31/5 Suite

J’ai passé une très mauvaise nuit , j’avais des flashs de ma soirée passée et
j’appréhendais beaucoup le retour au boulot. Je n’arrêtais plus d’y repenser, son
regard, sa queue, son sperme , la salope que j’avais été…Les deux jours qui suivirent
furent assez bizarre , pas de changements dans le travail mais il subsistait un
malaise entre nous deux. Le troisième , je ne tenait plus , je voulais mettre les
choses au clair et lui proposais de passer boire le café chez moi après le boulot. Mon
appart étant sur son chemin il accepta. Arrivé chez moi ,nous nous installâmes dans la
cuisine et je servit le café. Je lui fit part de mes doutes mais aussi de mon
ressentis par rapport à ce qui c’était passé. Il me répondit qu’il n’avait aucun
regrets ,qu’il avait passé un très bon moment et qu’il ne tenait qu’à moi de décider
pour la suite. Un frisson me parcourut , était-ce une invitation? Mon sexe gonflait
doucement. Pour en avoir le cœur net je le relançais faisant mine de ne pas comprendre
où il voulait en venir. Il me sourit et m’indiqua qu’on pouvait en rester là si je le
voulais mais qu’il n’avait rien contre l’idée d’être pompé de si belle manière de
temps à autre si ça m’avait tant plu. Je me mis à rougir , il était là , tout prêt ,
et je pouvais lui offrir ma bouche. Il se produit un blanc de quelques secondes
pendant lesquelles je réfléchis aux conséquences que pourrait avoir une éventuelles
deuxième turlutte en moins de soixante-douze heures. Je me rendis vite à l’évidence,
j’en avait tellement envies! Je rompis le silence d’un presque inaudible « Alors?…
- Alors c’est à toi de voir » me répondit-il avec son meilleur sourire. Déterminé,je
disparu aussitôt sous la table de la cuisine. Lui se recula légèrement pour me laisser
la place nécessaire . Je commençais par déterminer la dureté de sa queue en la
caressant à travers son jeans.

Déjà très excité ,il ne tarda pas à appuyer légèrement
sur ma tête pour la coller à son entre jambe. Je me décidai alors à libérer sa queue
du tissu dans lequel elle est enfermée. Je le branle très doucement en ne le quittant
pas du regard car j’adore le faire languir. Il se montre très impatient ,se lève pour
abaisser jeans et caleçon et me colle sa queue sur le visage. J’en profite pour la
sentir et lui lécher les couilles pour le faire patienter encore un peu. A bout de
patience ,il me saisit délicatement par les cheveux et me claque son gland à plusieurs
reprises sur le visage.
-Arrête ton chichi p’tite pompeuse, suce ma queue comme tu aimes si bien le faire, me
susurra-t-il à l’oreille. Le ton employé m’en disait long sur la considération qu’il
avait envers moi après ce début de deuxième turlutte. Au lieu de me rebuter, l’idée
qu’il me considère comme une p’tite pompeuse qui aimait sa queue me procura comme une
décharge électrique d’excitation. Je gobais sa queue immédiatement et la suçait à fond
donnant le meilleur de moi-même. Il accompagnait mes mouvements de nuque par de légers
mouvements de hanche m’encourageant à « lui montrer à quel point j’aimais sucer sa
queue ».Il avait vite compris que quelque mots bien choisit me donnaient du cœur à
l’ouvrage. Je commençais déjà à ressentir de légères gênes au niveau des lèvres et de
la nuque du à la fréquence élevée de mes va et viens le long de sa queue dure ainsi
qu’à l’entrée de ma gorge heurter assez fréquemment par la pointe de son gland.
J’avais glisser ma main gauche dans mon caleçon afin de me caresser tandis que ma
salive dégoulinait le long de mon menton. Ça ne faisait pas dix minutes que j’avais
entreprit cette deuxième turlutte que mon Vincent ,déjà haletant,me signala qu’il
allait m’envoyer la purée et qu’il voulait décharger sur ma p’tite gueule de suceuse.
Je ralentit sensiblement le rythme afin de faire durer un peu le plaisir mais lui ne
l’entendait pas de cette oreille. Il saisit fermement par les cheveux d’une main
pendant qu’il se branlait rapidement de l’autre. Sa queue était à deux doigts de mon
visage, j’entendais le bruit typique de la branlette humide mêlé à sa respiration
d’animal en rute. J’était à mon tour impatient de sentir son sperme sur mon visage
tandis que je me branlait lentement pour ne pas décharger trop vite de mon coté. Le
moment venu, il agrippa tellement fort mes cheveux qu’il m’arracha un léger cri de
douleur avant de m’arroser littéralement le visage de son liquide chaud et crémeux.
Mes cheveux ,mes yeux ,mon nez,mes joues et même ma langue furent aspergés. Je sentais
le tout dégouliner sur ma peau et ne résistai pas à lui aspirer les dernières gouttes
sorties de son gland. Je tombai en arrière afin de terminer de me branler sous ses
yeux fier et rassasiés. Je finis par m’asperger à mon tour de mon propre sperme tout
en me délectant de son sperme dégoulinant sur le visage. J’attendit par terre, souillé
de sperme,pendant que je l’entendait uriner.
- T’as vraiment l’air d’une catin ,comme ça. T’en est peut-être une… En tout cas t’es
la reine de la turlutte ,tellement gourmande,une vrai bouffeuse de bite!
-…., rien ne sortit de ma bouche ,encore sonner par l’orgasme que je m’était procuré
-Aller, remet toi bien et si t’es sage je repasse demain…
Il partit. Je me suis doucher , j’ai bien manger et je me suis coucher tôt , impatient
d’être demain soir.