L'Éducation De Papillon - 2Ème Épisode

Merci de vos commentaires encourageants. Voici donc la suite. Toujours preneur de vos
remarques (et les filles, cela vous plait aussi ?)

(résumé du 1 : Papillon se demande d’où lui est venue cette envie de dominer un des
formateurs free-lance qu'elle emploie – Elle se souvient…..)

Elle a seize ans, et elle passe une partie de ses vacances d'été dans sa famille, chez
un oncle et une tante, en Normandie. Elle aime cette région où les couleurs changent
avec le temps qu'il fait, changeant lui aussi ! La maison est belle et spacieuse, tout
près de la mer, et elle y retrouve chaque été ses cousins et cousines. Sa mère a
quatre frères et sœurs, qui ont fait de nombreux cousins, certains proches de son
âge. Ensemble, depuis la petite enfance, ils découvrent les environs, rencontrent les
autres jeunes du coin. Depuis ses douze ans, elle est plus libre de ses mouvements,
et peut aller se promener, seule ou avec d'autres s, dans la ville proche, au
camping du coin, bref vivre sa vie d'adolescente en recherche de liberté et
d'expériences.
Ce jour-là, ce jour qu'elle avait réussi à oublier, il fait très beau. Lors du
déjeuner, les s ont décidé qu'ils iraient tous ensemble à la plage, les grands
s'occupant des plus petits. L'oncle et la tante ont donné leur accord. Les autres
adultes sont partis pour la journée, et eux déclarent être un peu fatigués et vouloir
rester à se reposer. Ils rejoindront la petite troupe un peu plus tard.
Sa tante Claire est une belle femme d'une quarantaine d'année, toujours très soignée.
Une grande chevelure blonde lui descend sur les épaules. Elle a les yeux bleus et le
regard doux, sauf quand elle se met en colère, moments qui impressionnent Papillon.
Elle aime cette tante et la respecte beaucoup.
Son oncle Eric, du même âge, est grand et sportif, l'œil noir, le cheveu court.

Il a
une position importante dans une grande société et gagne très confortablement sa vie,
ce qui permet à sa femme de s'adonner au plaisir de la création. Elle sculpte, fait de
la poterie, peint et dessine, en fait laisse libre court à sa créativité dans tous
les domaines. Elle commence même à avoir des clients pour ses œuvres. Cet oncle,
Papillon le craint un peu, car il est souvent un peu bourru. Ils n'ont qu'un fils, de
8 ans à ce moment-là, et si elle voit la complicité entre lui et son père, celui-ci
n'exprime pas avec ses neveux la même proximité. Alors elle reste un peu à distance,
attendant qu'il sollicite la conversation parfois. Et dans ces instants il sait être
chaleureux.
Ce jour-là, donc, ce jour enfoui au tréfonds d'elle-même, elle est partie avec les
autres. Cela fait maintenant une heure qu'ils sont tous à rire, jouer, se baigner,
lire, profiter du moment. Soudain, Papillon se rend compte qu'elle a oublié son livre
dans sa chambre. Elle prévient ses cousins qu'elle part le chercher à la maison et
reviens ensuite. Insouciante, elle grimpe la dune, redescend le chemin qui mène à la
maison, pénètre dans le grand jardin par le portillon du fond, remonte la grande
allée, et entre par la porte de la cuisine donnant sur une terrasse ombragée.
Elle est pieds nus, et le sable sous ses pieds crisse un peu dans le silence. Elle
revient s'essuyer les pieds, voulant éviter une remarque de sa tante, parfois
tatillonne sur la propreté.
Elle entre dans le large couloir donnant sur l'entrée, et commence à monter l'escalier
menant à sa chambre. A mi- étage, elle entend comme un gémissement et se fige,
l'oreille aux aguets. Un sourd gémissement continu lui parvient. Elle monte à pas de
chat, prenant garde de ne pas faire grincer la dernière marche, et s'approche de la
source du bruit. Cela semble venir de la chambre de son oncle et de sa tante.
Papillon
est encore jeune et vierge, mais elle est adolescente, et son corps qui s'est bien
développé depuis un an l'a appelé à découvrir le désir, et même le plaisir solitaire.
Elle aime caresser son duvet naissant, et c'est une de ces caresses, un peu plus
longue que d'habitude, qui lui a fait connaître son premier orgasme. Depuis, sans être
focalisée sur le sujet, elle se branle régulièrement. Elle a entendu des histoires
aussi, les jours de réunions familiales ou les adultes, finissant par oublier la
présence des plus jeunes, se laissent aller à des propos moins contrôlés, plus grivois
parfois. Elle comprend donc que le gémissement qu'elle entend, provenant d'une
chambre, a une signification claire. Elle écoute, immobile, dans le couloir.
-"Hmmmmmmm, oui, hmmmmmmm, défonce-moi, enfonce toi bien profondément, j'aime te
sentir au fond de moi, encore, encore, ahhhhhhhhh, c'est trop bon, j'aime ça, fais-moi
jouir, prends moi, je te veux, je veux sentir ce gourdin m'envahir…" Les gémissements
ont laissé la place à des mots, et Papillon est électrisée par ce qu'elle entend. Elle
imagine sa tante en train d'être pénétrée par son compagnon. Elle écoute quelques
instants encore les bruits du lit supportant l'assaut, et elle commence à sentir sa
chatte s'humidifier. Elle est en maillot de bain, et il n'est pas difficile à sa main
d'atteindre son duvet qu'elle commence à caresser. Elle écoute encore, et les mêmes
paroles continuent, toujours plus crues. Perplexe, mais curieuse, elle s'approche à
pas de loup de la porte de la chambre, restée entrouverte. Cette chambre est précédée
d'une petite entrée, dans laquelle une grande glace couvre la hauteur du mur. Cachée
dans un recoin du couloir, Papillon peut voir ce qui se passe dans la chambre, dans le
reflet du miroir.
Et elle voit Claire, à quatre pattes sur le lit, en train de se faire baiser en
levrette par Eric, qui lui enfonce puissamment sa queue.
Claire est en train de jouir.
Papillon est trempée et son doigt se glisse dans sa chatte au rythme du vit d'Eric
dans celle de Claire. Eric finit par jouir aussi : il sort sa queue et éjacule sur le
dos de Claire.
A peine a-t-il fini que Claire se relève, att une badine posée à côté du lit, se
tourne vers Eric et lui dit durement, tout en lui donnant un coup sur les fesses :
"Maintenant, à genoux, et recueille la semence que tu as envoyée sur mon dos".
Stupéfaite, Papillon voit son oncle se positionner, et lécher sa femme, debout, qui
lui offre son dos. La jeune fille ne bouge plus, le souffle coupé. Elle comprend qu'il
se passe quelque chose d'inhabituel, quelque chose dont elle n'a jamais entendu
parler, même aux fins de banquets les plus arrosés. Alors elle regarde, et sa main est
remontée de son sexe à sa bouche, pour l'empêcher de faire un bruit.
Une fois le sperme aspiré, Claire se dirige vers une des armoires de la chambre et en
sort un objet que Papillon n'a jamais vu. Cela ressemble à la verge d'un homme, en
caoutchouc, et Papillon comprend qu'elle voit un gode, cet objet dont elle a seulement
entendu parler jusque-là. Sa tante se dirige vers son oncle et lui dit :"A quatre
pattes sur le lit, cochon, et vite!" en accompagnant son propos d'un coup de badine
appuyé sur les fesses. Eric gémit sous la douleur, et s'exécute rapidement, en lâchant
:"Oui Patronne". Papillon n'en croit pas ses oreilles, et tétanisée, elle assiste à la
suite. Sa tante enduit le cul d'Eric d'un peu d'huile, puis lui enfonce lentement
l'objet dans l'anus. Papillon a entendu ses cousins parler de "se faire enculer" mais
elle n'avait pas une idée précise de la question. Là, sous ses yeux, elle voit son
oncle se faire enculer avec un gode par sa femme, devenue autoritaire. Elle voit les
couilles velues qui pendent, la verge à moitié érigée qui est décalottée par Claire.

Jamais elle n'avait vu si précisément l'anatomie masculine de dos.
Le sexe de caoutchouc fait maintenant son office et Claire s'amuse à varier les
mouvements, la rapidité d'action. Parfois, elle enlève le gode et Papillon aperçoit
l'anus qui se referme sur lui-même, obstruant ce trou inconnu. Claire att alors le
sexe d'Eric et le branle, lui redonnant peu à peu de la vigueur. Elle le fesse en
même temps. "Petit salopard, tu aimes quand je te fouette de ma badine, tu aimes que
je te mette à quatre pattes pour te remplir le trou".
-"Oui Patronne", est la seule réponse qui semble autorisée à Eric.
Claire continue ce petit jeu pendant un quart d'heure, et Papillon, qui ose à peine
respirer, se nourrit de ce spectacle qui la bouleverse. Elle ferme parfois les yeux,
quand elle voit le sourire vainqueur de sa tante et les grimaces de douleur de son
oncle, mais elle les rouvre bientôt, fascinée par la scène. Son maillot de bain est
trempé d'excitation, et même un petit filet coule le long de sa cuisse.
Et puis soudain, sa tante délaisse le gode, ordonne à Eric de rester en place, et va
vers un placard. Elle disparaît quelques instants aux yeux de la jeune fille. Elle
réapparaît enfin et Papillon manque pousser un cri de stupeur. Sa tante à maintenant
un sexe d'homme ! Remise de sa surprise, Papillon aperçoit les lanières de cuir qui
retiennent ce phallus tendu. Elle écarquille les yeux en apercevant sa tante
s'approcher inexorablement du cul de son oncle, huiler l'engin qui semble énorme, et
après une tape sur les fesses, enfoncer la tige jusqu'au fond du cul de son homme.
Elle ondule, dominant les fesses d'Eric, un rictus de joie sur son visage, les yeux à
moitié clos de plaisir. Et maintenant c'est lui qui crie : "Hmmmmmmm, oui, hmmmmmmm,
défonce-moi, enfonce toi bien profondément, j'aime te sentir au fond de moi, encore,
encore, ahhhhhhhhh, c'est trop bon, j'aime ça, fais-moi jouir, prends moi, je te veux,
je veux sentir ce gourdin m'envahir…" Les mêmes mots que sa tante un peu plus tôt, il
y a une éternité, quand Papillon était encore une jeune fille innocente des jeux des
grands, juste titillée par ses glandes avec l'imaginaire de son âge. Elle est glacée,
partagée entre le dégoût et la fascination.
Au moment où Eric éjacule une nouvelle fois sous les coups de boutoir de Claire, où
ils sont tous deux en train de crier leur jouissance commune, Papillon recouvre ses
esprits et, glissant silencieusement sur le parquet, passe prendre son livre en
courant dans sa chambre et s'enfuit. Elle rejoint peu après ses cousins, qui se sont à
peine aperçu de son absence et ne remarquent pas son trouble. La tête encore pleine
des visions qu'elle a eues, Papillon s'allonge sur sa serviette de bain, et s'endort,
pour les oublier. A l'arrivée d'Eric et Claire, un peu plus tard, elle voit que tout
est rentré dans l'ordre, que la vie reprend normalement, et elle décide de ne jamais
parler à quiconque de ce qu'elle a vu, d'oublier les scènes initiatiques que sa
curiosité lui a fait découvrir, mais aussi de ne plus jamais revenir passer ses
vacances dans cette maison.
Cette dernière résolution ne dépendait pas d'elle, bien sûr, mais "le hasard" a voulu
qu'après les vacances, son père soit envoyé par sa société en Afrique, où elle est
restée jusqu'à ses 20 ans…………………………………

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