Couple Kabyle : Akila Et Nadir 3
Le week-end se passa, elle neut pas ses règles. Elle fut soucieuse toute la semaine,
se retenant de men parler, se tranquillisant devant ma sérénité affichée. Je faisais
comme si de rien nétait. En fin de semaine, nous nous sommes rendus ensemble à la
pharmacie pour acheter un test de grossesse. Je la tenais par la main, quelle
écrasait très fort. Je lui dis que peut-être « mon » bébé encore minuscule sagitait
dans son ventre, et quand le test fut positif, elle fut vraiment soulagée par mon
attitude, et laissa éclater sa joie.
Toi qui étais si sûr que je risquais rien les premiers mois - fit-elle en
riant. Bravo ! Révise tes cours
Je les connaissais encore par cur
mais ne lui dis pas.
Les deux premiers mois, elle fut comme à son habitude. Abdelkader ne venait plus, en
tout cas plus pour la même chose. Son petit ventre se bomba légèrement, ses seins
gonflèrent un peu, elle était plus belle que jamais. Puis sa libido sactiva au
troisième mois, elle devint bien plus gourmande encore que dhabitude.
Jai envie de faire des folies, dit-elle
Hi hi ! Je vais devoir demander de laide ! Ah la la, mais où vais-je
trouver un homme mûr comme tu les aimes puisque tu as repoussé Abdelkader au prétexte
de ta grossesse ?
Idiot ! Va le chercher. Pas sûr quil maime comme ça, mais il devra sen
contenter
Il va adorer, comme moi !
Abdelkader reprend rôle damant assidu. Il devint cette fois un peu plus complice avec
moi et nous nous entendions bien pour la faire jouir. Javais toujours cette honte à
la rencontre de nos yeux. Il ne venait plus de lui-même, cest moi qui allais le
chercher, une humiliation de plus. Il ne sut rien de nos jeux à A Sidi Belabes,
cétait une bulle secrète entre Akila et moi, rien quà nous deux.
elle se fit plus tendre encore quelle ne lavait jamais été, et je ne peux pas
décrire létat dexcitation, moi qui suis si cérébral, qui semparait de moi. Je la
voyais enceinte (peut-être !) dun homme racolé sur le trottoir de S idi Belabes.
Elle gémissait en se faisant prendre en levrette par notre propriétaire devant, devant
moi, son mari. La serviette dAbdelkader absorbe les inévitables débordements de ce
gros producteur de sperme. Le souvenir de nos jeux, de louest algérien, était
permanent dans ses délires, donc dans les nôtres, mais jamais elle ne fit allusion à
la paternité. Elle aimait, quand je fatiguais, fouetter ma libido en utilisant les
mots qui mexcitaient. Lorsquelle demandait à son mari cocu de se venger davoir eu
des clients, elle savait ce qui allait advenir.
Quand elle me menaçait daller seule à Sidi-Belabes assouvir des besoins que son mari
cocu ne pouvait satisfaire, ma bite se dressait toute seule. Même si mes bourses
étaient sèches (je navais pas celles dAbdelkader). Au sixième mois, grâce à la
gentillesse de son gynécologue, elle fut en congé de maternité. Seule chez nous
jusquau terme, elle sadonna jusquau huitième mois à son passe-temps favori avec le
proprio qui sépuisait, comme moi. Le neuvième, son mal de dos la rendit plus sage.
Elle navait pris que de la poitrine, et du ventre, rien ailleurs.
Elle donna naissance à Kahina, en février 2003, après quatorze mois de mariage
animés. Jai adopté cette petite dans tous le sens du terme, tant elle était adorable,
même si elle ne me ressemblait pas vraiment
Akila fut bonne mère, et son accouchement
sans problème la rendit rapidement « opérationnelle ». Elle me la tout de suite fait
comprendre. Mais dur-dur dêtre obligé de se retirer pour éviter une seconde grossesse
dans la foulée.
davoir un second deux ans après Kahina, puis un troisième encore deux ans
après. Une idée à elle, que jai faite mienne car je navais rien contre. Je ne
lavais pas réalisé sur le coup, mais en y repensant un peu plus tard, jai remarqué
que cela coïncidait avec les voyages annuels de De son Oncle, et tout de suite mes
idées perverses sinstallèrent. Des jeux de Sidi Belabes au moment où elle sera à
nouveau féconde
Jai conscience dêtre anormal, mais je suis ainsi fait, une sorte de
transfert ou quelque chose comme ça. Notre vie fut chamboulée par Kahina, mais elle
était sage, fit rapidement ses nuits, et nous laissa redevenir amants. Akila prit à
nouveau la pilule, perdit tout le poids quelle avait pris, retrouva son corps
superbe, ses poils repoussèrent, plus soyeux que jamais, et sa libido revint au galop.
Elle passait instantanément de la mère à lamante dès que Kahina sendormait. De
lamante à la mère dès quun pleur la réveillait. Douche écossaise
mais nécessaire
Un vendredi, jour de repos en Algérie, le téléphone sonna et jentendis Akila
parler fort, comme pour attirer mon attention. Je lai retrouvée dans le salon. Elle
était nue, sans doute Kahina sétait-elle endormie. Kahina sapprêtait à me rejoindre
pour me surprendre dans la chambre où je rangeais des CD quand le téléphone a sonné.
Elle mit le haut-parleur. Cétait mon frère.
et je pars comme dhabitude début mai, le 7, pour trois semaines. Comme
lannée dernière Nadir avait bien voulu venir jusquà Sidi Belabes, jaipensé
Aucun problème, coupa-t-elle. Sidi Belabes est une si ville quon a bien
aimé. Oh, ça tombe bien. J peut-être, mais tu sais, avec la grossesse,
maintenant Kahina, je suis fatiguée et jaimerais bien me retrouver un peu avec Nadir.
Si ma mère veut bien garder le bébé un jour ou deux, si tu me permettais daccompagner
Nadir, on pourrait y dormir sur place et faire les souks environnant
Elle me regarda dun air très coquin, plaquant sa main sur sa foufoune et la massant
lentement. Jai bandé instantanément !
Ben, bien sûr belle-sur ! Venez en amoureux, ça vous fera du bien.
Oh oui, beaucoup de bien, insista-t-elle
Tu me prêtes ton mari que je mette cela au point avec lui ?
(Mon frère est un peu vieux jeux. Il pense toujours que le marché ne doit être conclu
quentre les hommes
Sil savait le pauvre !)
Oui. Mais jy pense, Préviens ton concierge quil ne sétonne pas, te
sachant parti, quil y ait des allées et venues dans ton appartement
Compte sur moi, je le lui dirai.
Les gens des chez-nous et les arabes ont lesprit tordu poursuivit-elle.
Après, on te raconterait quon a vu une femme au bras dun homme entrer ou sortir,
alors
Epatante
Cette coquine prévoyait tout. Mère attentive, épouse amoureuse, elle savait
se montrer perverse et calculatrice. Quest-ce quelle ninventerait dans le seul but
de recevoir des coups dans son ventre !
La mamie garda avec joie sa petite fille pour trois jours, nous laissant passer deux
nuits à Sidi Belabes.
Oh, jai envie, jai envie, jai envie
fit-elle toute excitée quand on fut
enfin dans la voiture, après avoir laissée Kahina chez sa mère à dans les hauteurs
dalger.
Eh, tu ne peux plus ten passer on dirait ? fis-je amusé
Mmmm, je peux me passer de tout. Mais pourquoi sen passer, cest si bon, si
pimenté, si.. si tout ! Tu me disais hier que toi aussi tu étais impatient : deux ans,
tu te rends compte, deux ans ! Tu nas plus envie ? dit-elle en se tournant vers moi.
Hi hi ! On ne serait pas là sinon
Et puis, il faut bien que tu entretiennes
mon excitation de « cocu » chéri, non ? Avec Abdelkader, je finissais par ne plus men
rendre vraiment compte
Perversité quand tu nous tiens ! Elle avait besoins dintégrer dans son esprit le fait
que lacte quelle commettait en mon encontre nétais pas normal.
Instantanément, elle percuta. En insistant sur le mot, elle sut que javais envie
quelle me pique.
Mon chéri, mon homme de ma vie. Ta petite femme va te faire « cocu » avec de
beaux messieurs mûrs, plusieurs, peut-être beaucoup qui sait ? On a deux nuits, trois
jours sur place. Et puis.. jy pense
on ira au souk avec largent que jaurai
durement gagné. Oh, idée ! Je te ferai un beau cadeau, avec largent que mauront
donné tous les hommes qui vont te faire cocu, qui vont piétiner ton honneur. Tu le
garderas, et cela texcitera chaque fois que tu lutiliseras
Eh, mais tu es une vraie putain
?!
Ta petite putain à toi. Ta petite prostituée.
Mais tu prends la pilule
Fais comme si je ne la prenais plus
Deux soirées de rêve, trois jours étourdissants. Plus belle que jamais, ma petite
putain sest à nouveau prostituée devant moi, toujours avec le même genre dhommes,
cinquante ans à peu près, solides, virils, pas défraîchis. Quatre le premier soir,
quatre autres le second.
Un feu dartifice, heureusement sans incident. Dans mon placard, jai vu ma petite
femme souvrir nue aux huit hommes qui lont consommée, engluée, inondée, souillée,
insulté, raillé. Jai entendu ses plaintes étouffées, ses gémissements retenus, et au
moins trois fois ses cris rentrés, mâchoires serrées. Ils lont prise en missionnaire
ou en levrette, et un a voulu la prendre à cheval sur lui. Je les ai entendus gémir
quand ils éjaculaient librement en elle. Elle sest excitée, a beaucoup joui, me
piquant entre chaque client avant de redescendre. Habitué à la posséder pleine de
sperme, jai pu me délecter de son odeur musquée, de ses souillures après le dernier
client de chaque soir. Comme lan passé, elle redevenait instantanément cette femme
adorable, tendre et douce de toujours. Elle moffrit un nouveau téléphone portable
importé deurope, avec son argent durement gagné, rappela-t-elle.
Comme ça, quand tu lutiliseras, tu penseras avec quoi je lai acheté mon
chéri.
Le deuxième soir, alors quon avait fait lamour après les autres et quon se serrait
tendrement, se laissant aller aux confidences, nous avons échangé sur notre vie de
couple, et notre avenir.
Daccord, fis-je, nos s, nos trois s, il faut encore en faire
deux, je te le rappelle
Mais tu vas mûrir, moi aussi. Je ressemblerai de plus en plus
à ces hommes qui te font mouiller, à ton oncle qui lâcherait bien 10 000 Dinars pour
être une heure à ma place ! Encore un client en perspective.
Elle ne répondit pas, sagissant de son oncle, malgré la perche tendue.
Oui, mûrir, tous les deux. Cela te gêne ? Regarde ma mère comme elle est
encore belle. Si jétais comme elle à son âge je serais heureuse.
À 49 ans, elle est canon, même vraiment bandante ! fis-je
Salaud
fit-elle
Non, cela ne me gêne pas. Je me demandais si tes goûts nallaient pas
changer. Si tu aimes tant la différence dâge, qui sait si à lavenir, puisque
jimagine que tu ne vas pas te mettre à aimer les vieillards
.
Oh non ! me coupa-t-elle
tu ne vas pas malgré toi être attirée par les hommes plus jeunes ? Tes
neveux, les copains de tes fils
? Si tes clients ne sont pas à risque côté sida, et
quils ne fréquentent les prostituées que protégés doù leur étonnement avec toi, les
jeune par contre
Le seul jeune homme qui me fasse mouiller, cest toi, idiot ! Les copains de
mes fils, si jen ai,
hi hi ! Jimagine ! Quils aillent sen vanter auprès deux et
quils me détestent, ou pire, quils veuillent faire pareil ! Non ! Et je crois que
jaurais des filles, enfin peut-être un garçon pour toi. Non
enfin qui sait ce que
jaimerais ? En tout cas aimer, et faire
ce nest pas pareil, et de toute manière je
ne ferai jamais rien que tu naimes pas toi non plus. Je taime trop. Et puis, si tu
es mûr et que jai des amants jeunes, tu seras jaloux, alors que cest linverse
aujourdhui
Je lai câlinée tendrement. Si elle est comme sa mère
(ouaaaah) quel bel avenir pour
moi Car sa mère est bandante. Piqué par cette idée, je lai provoquée.
Cest peut-être à force de vivre tes envies bizarres dhommes mûrs
mais si
moi, à mon tour, javais envie de coucher avec une femme
je la choisirais comme ta
mère
Tu as des tendances ueuses ? roucoula-t-elle
Jai eu envie de ma mère comme tous les adolescents qui surprennent nue la
leur, mais la masturbation aide à surmonter cela. Toi par contre, à aimer ainsi les
hommes de lâge de ton père, ou de ton oncle, si tu nes pas une ueuse en
puissance ?
Pas mon père, non, tabou. Mon oncle, ou
Mais, salaud, cochon, tu as envie
dune autre ?
Je lavais enfin piquée.
Vingt-six mois de mariage, dix-sept amants dont quatre nouveau ce soir même,
et tu veux me faire la morale ? Hi hi !
Non, bien sûr. Mais moi, je suis jalouse, voilà !
Cest pour ça que je
ferai tout ce que tu veux, pour que tu ne sois pas tenté daller ailleurs.
Une belle femme comme ta mère
Dommage ! Jattendrai vingt ans que tu lui
ressembles alors ?
Exact !
Elle membrassa, et me câlina. Elle se mit en chien de fusil, posant sa tête sur mon
ventre, le visage tourné vers moi.
Dis-moi que tu me taquines
fit-elle plaintive
Je te taquine, bien sûr ! Fis-je à voix basse. Dans un an, on fera notre
deuxième bébé
Il faudra calculer quand tu arrêteras ta pilule si tu veux quils aient
bien 2 ans décart, drôle didée
Et dans un an, comme lannée dernière, on sera là si
tu as toujours envie de jouer à vendre tes charmes
Elle me regarda avec intensité.
Cest toi le spécialiste du cycle féminin. fit-elle mutine. Dans un an, oui
dans un an, on sera là
si tu maimes toujours
On verra
en fait, cest mieux que ce
soit toi qui décide, moi, je fais comme tu veux.
Hummm, vais-je à nouveau connaître le summum de lexcitation en te regardant
te faire prendre sans protection ?
Mon chéri, jai des envies bizarres, toi aussi, alors
je men remets à toi
et
mais quest-ce que cest ?!
Elle porta sa main derrière la tête. Cétait ma bite, dure, dressée, fière, contre sa
nuque.
Mais tu bandes encore ! Cest de parler de cela qui texcite, hein ? Tu
aimes que je ten parle, dis-moi
Elle se fit toute câline. Ah, comment lui dire ouvertement ?
Lannée prochaine, dit-elle, on reviendra ici jouer. Tu me diras si je dois
arrêter la pilule avant, ou après
Et puis, si tu veux avant, tu pourras choisir les
dates, on pourrait venir jouer deux fois, une fois avant lovulation, une fois après,
pour éviter les cinq jours dangereux
Devant mon silence, elle se détendit, sallongea sur moi, bras tendus, et descendait
son visage pour me donner de petits bisous sur les lèvres, tout en murmurant.
Avant, après (bise), comme tu veux. Et si tu voulais pendant (longue bise)
,
eh bien je serai féconde
Hummmmmm
Ça texciterait
pendant, hein ?!
Elle membrassa, préférant peut-être ne pas entendre la réponse quelle attendait, ou
craignait, je ne sais pas, je nai pas su.
Cest donc ça qui texcite le plus ? Que je te fasse cocu comme tu aimes, et
quen plus je me fasse engrossée par mes amants ? Cest ça qui texcitait quand
jétais enceinte ? Imaginer que je porte l dun des clients de lannée dernière
? Mais si tu préfères quon nen parle pas, je comprendrais. En tout cas, tu me diras
quand jarrête la pilule, et quand on vient ici
Comme à laccoutumée, elle redevint dès le lendemain matin la parfaite petite épouse
tendre et amoureuse, pleine dhumour et de taquinerie. Nous avons dépensé les 8000
Dinars gagnés la veille, sans oublier de faire avec le plein de la voiture ce qui nous
a fait rire (« mes frais de déplacement sont compris dans le prix », riait-elle). Puis
nous avons pris le chemin de la maison de ses parents où elle sest transformée en la
parfaite petite mère et la parfaite fille de famille. Cest ce que la société exigeait
de nous ! Alors rendons à la société ce qui appartient à la société.
Kahina a grandi, belle comme sa mère. Abdelkader était toujours aussi serviable, ayant
définitivement oublié de demander son loyer en client abonné. Akila senfermait avec
lui, car Kahina se déplaçait à quatre pattes à toute vitesse, puis apprit à marcher.
Elle ne se lassait pas de sétourdir avec lui, recevant le sperme surabondant que ses
testicules de buf fabriquaient toujours en quantité. Elle aimait cela. Elle aimait se
pervertir avec lui, aimait cette différence dâge qui lexcitait. Elle aimait ce côté
bestial qui pimentait ses ébats, sans compter le caractère scandaleux de son statut de
prostituée. Ce dernier lui permettait de gagner le montant de son loyer.
Lannée 2003 sest écoulée rapidement. Notre couple baignant dans un bonheur
renouvelé, avec ses jeux sexuels piquants, et ses délires nés des souvenirs de Sidi
Belabes.
Loncle dAkila se manifesta plusieurs fois, en téléphonant directement sur son
portable. Je nen aurais rien su, évidemment, mais elle tenait à me le dire. Il
voulait absolument coucher avec elle, et se plaisait à tenir des propos outranciers.
Akila jouait à lui répondre, pour entrer un peu dans son jeu. Elle me disait quil ny
avait pas de mal à être coquine en parole, et à distance. Je me demandais ce quils
pouvaient bien se dire. Akila restait vague, sans chercher à mentir, mais sans donner
plus dimportance à ce qui nen avait pas pour elle. Ma curiosité fut néanmoins piquée
et jai proposé à ma douce épouse coquine un petit jeu quelle accepta avec
excitation. Nous allions nous exciter à son insu, ce qui serait un juste retour. Un
soir comme tous les autres, ma petite femme et moi, nous sommes mis nus au lit. Elle
ma fait chut, puis elle la appelé en mettant le haut-parleur.
Tonton ? Cest Akila
Oh Akila, ma jolie ! ça me fait plaisir de tentendre. Tu ne peux imaginer
ma joie, ma chère nièce
Nadir est en stage et je suis seule ce soir. Comme je pensais à tes appels,
je me suis dit que peut-être cela te ferait plaisir que je tappelle ?
Quelle comédienne !
Oh que oui ! Je ne sais même pas comment me comporter tellement je suis
perturbé par ton appel.
Ah bon ! Pourtant dhabitude tu me dis des choses qui finissent toujours par me
fâcher. Mais cest peut-être dû au fait que linitiative vienne de moi ?
Oui certainement ! Tu sais très bien combien je taime Akila ! Oh ma Akila
chérie, comme jai envie de toi !
Je bande, ça y est tu as encore réussi à me faire
bander. Tu nas pas honte de faire bander ton oncle et de refuser de le satisfaire ?
Ah, toi tu mas fait mouiller, et tu ne mas pas satisfaite ! Tu as raté ton
coup lors de mon mariage avec Nadir. Et je ne te dis même pas ce que pensent les
femmes, des hommes qui loupent loccasion !
Elle me regardait, et jen profitais pour caresser son sexe, tout mouillé ! Ils
parlèrent longtemps, loncle posant des questions déplacées sur les dernières fois où
elle a fait lamour, comment, ce quelle aimait le plus, si elle sortait sans culotte
Akila était excitante. Elle répondait franchement, sauf pour notre bulle secrète bien
entendu. Cest là quelle a dit que jétais un merveilleux amant ; loncle ayant
failli s
Il faut que lon se voit, ce nest plus possible Akila chérie ! Je te ferais
oublier ton con de jeune mari. Tu découvriras avec moi ce que veut dire un homme mûr
avec la largeur de son vit.
Je suis mariée, tonton, ce que tu me demande est doublement interdit
Tu
veux que je trompe mon mari et du coup coucher avec mon propre oncle !
Par signe, je lui fis signe de dire oui, elle fit une moue de surprise, puis se
ravisa.
Ce nest pas un obstacle, insista loncle.
Je le sais bien, mais pas avec toi, pas avec mon oncle. Lexcitation et
lenvie de faire de moi ta femme te rendent ding, tonton. Accepte, sil te plait, que
dautres me baiserons certainement mais toi, non. Pourtant je sais que tu es fou de
mon corps et rien nétanchera la soif que tu as de mon corps. Tu pourras baiser les
femmes de la terre entière mais tu emporteras dans ta tombe ma marque sur toi. Il
fallait me baiser quand jétais encore entre tes griffes, tonton. Je ne devrais jamais
te dire cela mais cest dit
Aiiiieeeeeeee
Jai mal, jai mal, jai mal
Tes mots transpercent mes
entrailles comme le feraient des lames de boucher sur un foie tendre
--Tonton, quand bien même je voudrais tromper Nadir avec un vieux, fini de la
vie, comme toi, je suis à Alger et tu es aux Ait Yanni. 130 km nous sépare et il fait
nuit. Tu as ta femme. Vas déverser ta rage en elle.
--Oh, mais aucune femme ne pourra apaiser le désastre qui vas de ma poitrine à
mon bas-ventre et qui ne tend que vers toi. Et ma voiture qui est en panne comme par
hasard, jai envie dexploser. Sois humaine avec moi sil te plaît. Je pourrai être
contre toi dans moins dune heure et demie, si jempruntais la voiture de mon cousin
Idir ! Tu veux que lon se voit ? Dis-moi oui, de grâce
A nouveau, je lui fis signe de dire oui, ce qui la surprit une fois encore. Jai pris
un papier sur la table de nuit et ai griffonné bébé. Elle a souri.
Ce nest pas raisonnable. Et tu sais que je suis allergique au préservatif
que tu serais obligé de mettre
Alors si je tombais enceinte de toi, tu te rends
compte ? Un bébé de toi ?
Oh oui, tu crois que cest possible ? Je te ferai un bébé ? Mon existence
aurait un sens, enfin.
Jétais aux anges. Je bandais dur. Et si je la faisais engrossée par son oncle ?!
Quil serve au moins à quelque chose celui-là. Si elle aimait les vieux et me
cocufiait avec (pour mon grand plaisir il est vrai), cétait de sa faute à celui-là.
Je ne sais pas quoi te répondre
Tu nas pas de copine ? Beau comme tu es ?
À côté de toi, elles sont toutes laides. Je te veux toi !
Comme quand tu mas serrée le soir de mon mariage en dansant ? Jai senti ta
bosse, jai mouillé ma culotte, le soir de mes noces, tu te rends compte ?
Et Nadir
ma prise toute excitée, je létais de lui, mais aussi de toi
Inventes un stage, quelque chose, en Kabylie, ou voyons-nous à lhôtel à
Alger si tu préfères.
Non, je préfère en rêver. Et puis tu serais trop heureux dhumilier Nadir,
et Nadir, je laime
Elle raccrocha, malgré les protestations de son oncle. Elle me regarda incrédule, puis
ouvrit les bras. Je my suis précipité. Pleine de sève, elle était très excitée et
nous avons déliré en nous caressant avant de nous prendre avec fougue.
Je voulais juste jouer au téléphone
Finalement, je nai pas envie de briser
mon fantasme. Qui sait ensuite quel fantasme me viendrait ? Sil y en a qui revient.
Elle me serrait avec tendresse.
Celui-là, il me plait, dis-je. Pas sûr daimer ce qui le remplacerait ? Pas
de jeune comme moi (jalousie), pas de noir (complexe), pas de partouze (obscénité et
danger), pas de
Tu vois, finalement on se complète bien.
Heureusement !
En tout cas, tu mouillais comme une fontaine
dis-je amusé.
Tu me caressais
Menteuse !
Akila arrêta la pilule fin avril 2004. Mon frère nous a rappelés pour son déplacement
et nous a laissés lappartement. Ce fut le mois le plus torride. Nous sommes allés
deux fois à Sidi Belabes, deux nuits chaque fois. Ce mois-là, javais en poche sa
plaquette de pilules, elle sest fait posséder chaque fois par trois ou quatre
clients, et bien sûr Abdelkader. Son abonné, le taureau, qui a pu lui aussi, sans le
savoir, linonder et la féconde semence. Si je lai possédée plus queux réunis, je
nai pas une seule fois éjaculé en elle ce mois-là. Je les ai tous entendus grogner,
parfois rugir, quand ils se vidaient en elle, quand ils ont expulsé leurs spermes,
leurs semences, leurs saletés dans son ventre fertile. Cest féconde quelle sest
donnée à eux, comme je le voulais, fou que je suis, et elle sest fait à nouveau
engrosser.
Octobre 2004. Elle est actuellement enceinte de cinq mois. Superbe, enjouée,
pétillante, chaude, gourmande, amoureuse, et paie toujours en nature le propriétaire.
Il en profite au maximum avant de la perdre, car le logement devient trop petit et on
le lui a dit.
Février 2005. Areski vient de naître. Nous sommes heureux. La pointe de jalousie, en
ce qui me concerne, ne me quitte plus. Pour elle, la petite gène, pour ne pas dire
honte davoir servi aux bataillons arabes, lui fais rougir de temps à autre.
Nous avons déménagé pour aller habiter aux eucalyptus. Le cartier nest plus celui des
gorges tranchées comme il le fut. Aujourdhui cest un cartier réservé à la classe
moyenne Algérienne. Les jeunes familles sont issues des diplômés duniversités et
autres jeunes cadres. Néanmoins, subsiste un relent dislamisme. On y rencontre des
femme en tchador Iranien et autre habits islamiques.
Un soir en rentrant chez moi que ne fut ma surprise de trouver Akila assise autour
dun jus dorange avec Hakima et Chahrazad.
Deux femmes voilées presque intégralement. Je suis entré dans une colère aussi noire
que les voiles de ces femmes corbeau, porteuses de malheur.
Un ami me disait pendant les années 90 : « Quand le voile islamique entre dans une
maison, cette dernière ne tardera pas à exploser car cet habit na quun but, cest
celui-là »
Huit mois après nous divorcions, Akila et moi. Elle a continué à fréquenter ces femmes
qui lont guidé vers le chemin de la lumière, lui disaient-elles. Elle a mis le voile
et elle sest mise avec un arabe du désert. Elle est allée habiter avec lui dans sa
ville de Biskra. Ce dernier la emmené en Arabie saoudite pour faire le pèlerinage de
la Mecque.
Elle a eu deux s de lui. Un jour, elle a évoqué des vacances en Kabylie pour
apprendre à ses deux s à connaitre son pays dorigine. A partir de ce moment-là
elle na eu que des problèmes avec son mari et sa famille. Le barbu qui lui servait de
mari la répudié en lui arrachant les s. Elle a été obligée de quitter le foyer
familial mais elle est restée dans cette ville poussiéreuse pour être proche de ses
deux s. Pour subvenir à ses besoins elle sest prostituée.
« nrouhou nnikou leqbaylia » Nous allons baiser la kabyle, se moquaient les arabes de
Biskra en allant payer Akila.
Alors quelle ne voulait plus avoir affaire à moi, un soir jai reçu un appel de sa
part. Javais décroché pour parler avec le ou la propriétaire de ce numéro masqué,
encouragé par la femme qui été dans le lit avec moi.
Depuis un certain temps je me suis retrouvé à baiser les épouses des autres. Beaucoup
de celles à qui jai raconté mon histoire, à travers les sites de rencontres avaient
eu lenvie de soffrir à moi. Je nai jamais trouvé une explication à leur attitude.
--Allo, cest moi Akila
-- Vas te faire foutre
Je suis guéri.
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