Ioulia
Il est assez tard et jai faim. Devant le frigo ouvert, en étant nue, je ressens le
froid menvahir. Je trouve un bout de jambon blanc. Avec un peu de pain, même rassis,
ça fera mon affaire. Je mange lentement, ma main gauche retourne sur mon entrejambe.
Je viens de jouir, pourtant : il me la mise presque partout, sauf dans la chatte. Il a
même donné son sperme dans ma bouche, jen ai encore le gout. Ca ne me déplait pas du
tout, pourtant jaurais préférer quil me baise plutôt que me sodomiser pour une fois.
Bon, vous ne savez pas qui je suis : jai 30 ans, en couple avec René, un sacré
baiseur. Je mappelle Ioulia, dorigine russe. Nous nous sommes connus pas internet. A
tout hasard jai envoyé des messages à des adresses fournies par une agence. Je
voulais venir en France pour sa qualité de vie en échappant à la misère ambiante.
Javais assez dargent pour venir chez vous pour le rencontrer. Nous nous sommes plus
rapidement pour faire lamour une huitaine de jour après notre rencontre. Depuis je
vis avec lui.
Je me cache un peu à cause de mes papiers pas très en règle. Je men fiche tant que je
suis avec René, je ne risque rien. Il ne sait pas tous de moi. Avant, chez moi en
Sibérie, jaimais une fille. Nous vivions ensemble dans un petit appartement. Nous
nous étions connues en faculté pendant nos études. Nous apprenions le français. Nos
logements étaient en face et souvent nous allons chez lautre, jusquau jour où elle
est venue chez moi quand je prenais une douche. Elle mattendait dans la chambre : à
ma sortie, nue, elle ma regardé avec un drôle dair :
- Tu es belle nue comme ça. Si jétais un homme je sais ce que je te ferais.
- Fais-le alors.
Elle la fait quand je me suis trouvée allongée sur le lit, sa tête entre mes jambes,
sa langue sur ma chatte. La petite salope, elle ma fait jouir.
que je le lui rende. Jai simplement mis ma main sous sa robe pour trouver quelle
était nue dessous.
Jhésitais quand même un peu pour passer ma main. Elle ma pour que je la
masturbe. Je lai vite senti jouir. Elle en voulait encore, cette fois il fallait que
je la lèche sur sa demande.
Elle me lavait fait un peu avant, je ne pouvais pas le refuser, en plus jen avais
envie. Je lai mise nue : ma première fille nue, elle écartait ses cuisses, je voyais
sa chatte en entier. Avec un peu dappréhension ma langue allait sur son clitoris qui
était bien gonflé. Jai léché un petit moment qui me semblait durer beaucoup. Jétais
très étonnée de la violence des spasmes de son sexe : elle jouissait plus que moi.
Nous avons longuement continué pour la simple raison quil était plus simple de faire
lamour entre fille quavec des garçons toujours brutaux, surtout chez moi où seul
compte leurs plaisirs immédiats.
Bie sur jai eu plusieurs amants qui étaient plus âgés que moi, et qui savaient fort
bien faire jouir les filles. Tous ce que je sais sur lamour avec un homme, cest eux
qui me lont appris. Jai appris à tout aimer avec une bite, même le sperme. Jétais
devenue et je suis toujours bisexuelle.
Jen ai parlé à René qui ne me croit pas. Il ne sait pas quelle plaisir jéprouve
avec une autre femme. Il sen ai aperçu la fois où il ma surpris avec une de nos
amies chez moi un après midi : jétais contre notre amies, toutes les deux nues. Elle
me tenait dans ses bras, sa bouche sur la mienne. Cétait excitant pour nous deux.
René a voulu se mêler de ce qui ne le regardait pas : il voulait participer. Notre
amie commune ne le voulait pas, il nest pas son type dhomme.
Il nous a regardé nous aimer, sa bite était dehors, javais presque pitié de lui : il
se branlait. Ca nous excitait beaucoup de voir sa main sur sa queue.
tant que nous nous sommes vite sucées. Jai encore le gout de sa cyprine sur la
langue. Je sens encore sa langue sur mon petit trou. Jaime les feuilles de roses avec
une fille. Pour moi cest meilleur quune sodomie.
Quand nous avons cessé de jouir, il a voulu me baiser. Je me suis donnée encore une
fois à lui. Là, il ma baisée normalement avant de venir jouir dans ma bouche. Javais
encore des spasmes de jouissance quil était déjà dans la bouche. Je le mordillais un
peu avant de le lécher. Je lai fait jouir rapidement, par contre son jet était plus
important que les autres fois : il ma fallut plusieurs gorgées pour tout avaler.
Après une foule de paperasserie, jai enfin obtenu un titre de séjour dun an. Je suis
libre daller ou je veux. Je ne men prive pas ; je sors souvent avec notre amie, pas
tellement pour bavarder, surtout pour nous faire du bien. Elle ma appris des machins
que je ne connaissais pas du tout. Dabord caresser le clitoris de lautre avec son
clitoris. La première fois jétais étonnée du résultat, ensuite jen devenais accro.
Le plus agréable et démoniaque était quand elle me mettait toute sa main dans le
vagin. La première fois ça me faisait un peu mal, les fois suivantes je le demandais
toujours vers la fin de nos éreintes. Quand elle ma demande de le lui faire, jai cru
défaillir, cétait pour moi faire preuve dune grande confiance.
Je commençais par entrer deux doigts dans le puits, ensuite jen rajoutais un autre,
puis tous les doigts a vant de bien serré la main pour la faire entrer en entier et
en poussant la mettre jusquau poignet. Je faisais plus que la baiser, je la
défonçais, et elle râlait comme si elle avait mal alors quelle prenait un plaisir
impossible à décrire.
Un après midi, elle ma présenté Guy, un homme qui savait bien baiser. Nous étions à
trois, je doutais de ses capacités affichées.
monument. Quand il nous a demandé de le sucer, nous narrivions presque pas à le
prendre dans les bouches. Nous nous sommes misent à deux pour la fellation : une
sattaquant au gland, lautre à la tige. Javais droit au gland, avec difficulté je le
prenais en bouche. Ma langue léchait comme elle pouvait. Je le lâchais pour le donner
à mon amante : je préférais la sucer elle.
Comme il ne jouissait pas, il sest mit à nous faire lamour à nous deux à la fois.
Lautre fille sest mise sur la bite pour la rentrer dans son vagin. Elle en gémissait
sans cesse. Moi je préférais massoir sur sa bouche. Au moins jétais dans mon
élément. Sa langue suffisant à mon bonheur.
Pour le faire jouir, nous l »avons branlé& longuement pour voir sortir une fontaine
de sperme.
Je préférais baiser avec mon amante seule ou à la rigueur avec une autre ensemble.
Je vis toujours avec René qui ma demandé en mariage : je vais accepter pour devenir
française.
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