Sex-Tape 3
Le sourire peint sur les lèvres de Marc, en dit plus que tout commentaire. Il a vu,
tout vu, sans aucun doute. Que faire? Faire comme si rien ne s'était passé? Attendre
sa réaction ? Peut-être ne dira-t-il rien... Mais mon mauvais génie commence à me
murmurer : c'est l'occasion rêvée, tu as toujours voulu savoir l'effet que tu pouvais
procurer sur les autres? L'as-tu excité? S'est-il masturbé en regardant la cassette?
D'un autre côté je suis une femme "honorable" (enfin après ce que je lui ai montré...)
et s'il ne dit rien on en restera là....
J'attends, un peu, j'attends, puis je ne peux plus résister.
J'essaie de ne pas éluder tout en essayant d'écarter le danger
- Je vois que tu as aimé dis-donc ! Je ne sais pas quel film c'était, tu connais
ton pote il aime bien ce genre de film et je ne suis même pas sûre qu'il ne les
regarde qu'avec moi. Je suis sûre qu'il en voit d'autres quand je n'y suis pas !
- Oh je ne sais pas si tu as vu celui-là mais je suis certain que ce que vit la
nana te plairait !
- Pourquoi ?
- Je ne sais pas, disons que la nana semble vraiment prendre son pied tout en
restant très classe alors que c'est vraiment très très chaud !
- Et ça me plairait ?
- Disons qu'il y a des choses troublantes : tu es aussi belle que la nana,
encore plus classe qu'elle mais quelque chose dans tes yeux me dit que tu pourrais
être capable d'en faire au moins autant. Oui, tu es aussi belle, au moins aussi belle,
encore plus classe, certainement et tes yeux pétillent. Oh oui ils pétillent tu sais !
- En fait j'adorerais tourner un film comme ça avec une nana pareille !
- Et tu crois que le réalisateur apprécierait ?
- Je ne sais pas. Peut-être que si je lui faisais voir un bout dessai...
- Tu sais daprès ce que tu me dis ça à l'air d'être un film d'amateur, je crois
que si tu le veux vraiment il faudrait que ces amateurs t'y invitent, et qui te dit
que le gars n'est pas jaloux ou possessif ?
- Oui, tu as raison.
Alors le mari... Qu'est-ce que tu en penses ? Si tu étais dans cette situation ?
- Si j'étais dans cette situation ...
Je suis un peu perdue, je répète
mécaniquement sa question « si j'étais dans la situation de lui demander de participer
à mes ébats avec mon mari? »
- Cest juste insensé ! La question ne se pose pas mais, mais
Peut-être quà sa
place
Je ne sais pas.. oui, peut-être accepterais-je... Si la personne qui me le
demandait, m'assurerait de sa complète discrétion bien sûr. Je pense aussi que tu
devrais plaire à la fille
mais tu es plutôt beau gosse! Même si j'imagine que cette
fille aurait d'autres critères que ta belle gueule.
Marc est intrigué ou ne veut pas comprendre "dautres critères?"
- Je te laisse imaginer, des critères à prendre en compte si jétais dans cette
situation, bien sûr.
- Tu veux dire que ... Selon comment je suis équipé
C'est important pour toi,
la taille de ... ? Marc semble perdre pied.
- Ben faut voir !
Et peut-être aussi que la fille en a déjà parlé à son mari, peut-être qu'ils sont
d'accord tous les deux
Mais Non. En fait si c'était moi je n'accepterais pas comme ça!
Marc est surpris, cela semble en contradiction avec ce que je viens de dire.
- Comprends-moi, je suis une femme honnête. Et même si j'ai des fantasmes comme
tout le monde je ne me vois pas accepter un truc pareil. Même s'il est séduisant comme
toi, même s'il avait de quoi me surprendre avec son chose... parce que oui ça compte
pour moi. Et du coup même s'il pouvait, avec Pierre, me combler vraiment, de partout.
Bien-sûr cela me tente. Mais non, je n'accepterai pas.
- Dommage. Si tu avais été cette nana, je me serais damné pour partager cette
intimité, ce fantasme...
- Si j'étais cette Nana, j'aimerais me retrouver dans une pareille situation
sans jamais avoir à me prononcer, à avouer un tel fantasme.
- Alanys? Marc? Vous êtes là ?
Pierre rentre des courses, interrompant nos confidences, laissant Marc sur des
charbons ardents et moi tout de même fortement troublée par cette conversation.
Nous passons à table comme si de rien n'était, avec je le sens des regards lourds de
la part de Marc. Pierre semble ne rien remarquer, ce qui m'étonne, vu sa finesse
d'esprit pour ces choses-là.
Puis nous poursuivons au salon, digestif et discussions animées et variées. Fourbue,
je décide d'aller me coucher, laissant les deux compères en plein débat politique. Je
ferme les yeux et plonge presque aussitôt dans une nuit troublée, ou des scènes de la
vidéo viennent hanter mes rêves, dans lesquels Marc s'est invité, Marc et son sexe
énorme, gigantesque... Des caresses me font frissonner... Éveillée, endormie... Pierre
est contre moi et ses mains parcourent mon corps... Ou rêvais-je encore?
- Mmm ! Mais qu'est-ce que tu fais ? Tu sais quil y a Marc à côté ! Il peut
nous entendre!
- Et bien ça lui donnera des idées pour ses prochains fantasmes
- Tu es dingue ! Sans parler qu'il vit là, ça pourrait être dangereux !
- J'ai confiance en toi.
- Pas moi !
- Que veux-tu dire?
- Que j'ai des pulsions moi-aussi et me laisser toute seule avec lui tout excité
c'est jouer avec le feu!
- Tu craquerais ?
- Je ne veux pas te tromper.
- Ce nétait pas vraiment ma question
Tu craquerais pour lui si on n'était pas
ensemble ?
- Oui, certainement !
- Donc j'ai le droit de m'inquiéter.
- Je te répète que je ne te tromperais pas mais que ça reste vachement délicat,
surtout que tu lui as laissé toute ta collection de porno et qu'il ne se gêne pas pour
les regarder.
- Tu crois qu'il a vu « notre » cassette ?
Bien sûr, il ne me l'a pas dit directement, mais ses sous-entendus laissent peu de
place au doute.
- Arrête! mmmmm!!
Pierre me connaît par cur, et il sait ce qu'il doit faire pour que je ne sois plus
qu'une poupée molle dans ses bras.
- Tu es toute mouillée, coquine... ça t'excite de parler de ça, hein?
Je retiens mes soupirs et dans le noir les mains qui me caressent n'ont plus
d'identité. Des mains de mâle en train d'échauffer sa femelle. Les mains de Pierre,
les mains de Marc... J'ai peur des rivages vers lesquels il veut m'emmener, mais ma
libido me joue des tours. Ces caresses de plus en plus précises, ces mains qui me
pétrissent gagnent peu à peu le combat. Tout à coup, tous mes sens sont en alerte. Un
courant d'air? Un grincement de porte, un couinement de parquet? Une raie de lumière
dans l'obscurité? Une respiration... Je suis pétrifiée... Je bloque les mains de
Pierre là où elles se trouvent. Ses doigts continuent sournoisement à me supplicier...
- Arrête !
- Pourquoi ? Je sais que tu en as envie, tu es trempée !
Je murmure :
- La porte...
Il me murmure
- Laisse-le regarder, on fait comme si...
Nous essayons d'être silencieux, je ne veux pas qu'il sache que nous l'avons
découvert.
- Tu es fou. Je ne veux pas
- Il regarde, il s'excite, tout le monde s'amuse...
- Je ne veux pas franchir ce pas... pas maintenant
- Mais plus tard... ma cochonne adorée? ... alors on va le faire patienter mais
il en aura pour son argent. Il va souffrir tu sais ?
- Chut!
Et il reprend ses caresses de plus belle, et, un peu rassurée je me laisse aller
d'avantage. Mais je n'avouerai pas ma complicité. Je n'ai rien vu.
C'est moi qui suit du côté de la porte. Insidieusement, Pierre tire les couvertures à
lui.
Je résiste, gardant mes épaules couvertes, étant en chien de fusil, mon visage tourné
vers lui. Ainsi mes soupirs sont dirigés vers mon homme et je peux lui parler très
doucement.
Quelle contrainte que le silence! Aussi excitante que d'avoir les yeux bandés ou les
mains liées. Ce qui d'ailleurs n'est pas loin de la réalité, étant donné que j'essaie
de bouger le moins possible, d'avoir le souffle régulier, souhaitant vraiment faire
croire que je suis endormie.
Pierre tire encore sur le drap, dernier rempart de ma nudité. Je sens l'air frais
envelopper mes hanches comme une délivrance. La fraîcheur que je ressens sur mes
fesses se transforme en chaleur sur mes joues et dans tout mon corps.
Marc est-il vraiment là, en train d'observer mes fesses blanches dans la nuit? Ou
suis-je en train de fantasmer? Mon plaisir coule littéralement entre mes cuisses,
d'autant plus que Pierre continue ses investigations.
Sa main ferme se pose doucement sur ma cuisse. Il tire vers lui me forçant à
mallonger, à plat ventre.
Sa main me caresse les fesses, les cuisses, remonte, s'insinue et tire encore vers
lui, doucement, fermement, m'obligeant à m'ouvrir.
Ainsi allongée je me cache, je ne vois rien, et dans l'obscurité de la chambre Marc ne
devrait rien voir non plus.
Il me caresse désormais, vraiment, intimement.
Je relève un genou, je m'ouvre d'avantage, je m'offre d'avantage.
- Ne bouge pas ! Me dit-il.
Je l'entends farfouiller dans sa table de nuit.
Puis je sens un objet pointer entre mes cuisses et s'appliquer contre mes lèvres. Une
pression et hop! Il disparaît dans ma chatte. D'après ce que je ressens, on dirait un
uf, dans la taille comme dans la forme. Puis sans aucun contact de Pierre, je le sens
ressortir doucement, comme si on le retirait à l'aide d'une ficelle. Puis un doigt le
pousse à nouveau, et après une légère hésitation, luf reprend sa place à l'intérieur
de moi. Puis plus rien... quasiment rien, si ce n'est un imperceptible chatouillis au
plus intime de moi-même. Une très légère vibration, inaudible, qui enfle doucement.
Luf doit appuyer sur mon point G car je ne tarde pas à m'agiter sérieusement... tout
en essayant de continuer à donner le change, de la belle endormie. Pierre doit avoir
la commande de l'objet en main car il tremble de plus en plus fort au fond de moi et
j'ai vraiment du mal à rester stoïque.
Je chuchote à l'oreille de Pierre qui est tout contre moi
- Arrête ça! Je vais jouir...
- Oui ma chérie... Jouis en silence! Mais ne bouge pas! Contiens-toi!
L'épreuve est difficile et presque douloureuse...
Alors doucement je me laisse aller, je me laisse envahir par le plaisir.
Je le sens monter, monter... cela n'explose pas, pas encore, ça monte mais n'explose
pas...
- Laisse-toi aller, rêve qu'on te caresse...
Je l'entends se lever, quelques pas et il revient sur le lit.
Il caresse mes fesses. J'aime ça.
Les vibrations baissent et se relancent. Cela me surprend, m'empêche d'arriver mais me
maintient dans une situation d'excitation très forte.
Je sens sa main, ses doigts qui écartent mes fesses et le contact d'un objet froid.
D'une main, il ouvre de l'autre il joue avec son objet et mon petit trou...
Et les vibrations changent encore ! Sacrée télécommande.
J'ai la tête dans l'oreiller et j'étouffe mes cris. Je suis aussi tétanisée, car je ne
veux pas montrer mes réactions. Si Marc est dans la chambre, il ne faut pas qu'il
croit que j'aime ça.
Si Marc est dans la chambre... Je le sens, je le vois... C'est peut-être lui qui
s'occupe de mon anus... Non! Il ne faut pas! Je rêve... je fantasme... C'est Pierre
qui m'a conditionnée, mais en fait nous sommes seuls...
J'en suis sûre! Je m'en persuade!
L'objet pénètre difficilement entre mes fesses. Pas très large, mais froid! Luf dans
mon sexe se met à bondir, comme s'il avait à l'intérieur une bille métallique qui
sauterait dans tous les sens.
Je mords l'oreiller et tend mes fesses en remontant encore plus mon genou sous moi.
Quel spectacle je dois offrir! Mais à qui? Qui en profite? Je cambre mon cul, je
m'ouvre, je m'exhibe...
Et malgré moi j'aime ça.
Pierre murmure à mon oreille (ce n'est donc pas Marc, ouf!) :
- J'adorerais te filmer comme cela... dommage que le caméscope soit coincé au
salon
Et disant cela il fait sortir le petit cylindre froid de mes fesses. Machinalement
j'ouvre les yeux, la tête sur le côté. De la lumière éclaire mes fesses !
- Qu'est-ce que tu fais ?
- Je joins l'utile à l'agréable... la magie de la Maglight ! Ça éclaire et c'est
étanche !
- Éteins !
- Non ! J'aime te regarder, tu es si excitante comme ça !
- Et la porte ???
- Ne tinquiètes donc pas, tu ne crains riens ici
Je ne suis pas certaine que ce soit la réponse que j'attendais.
- Ne bouge pas je vais chercher le caméscope
- Et Marc ?
- Il doit dormir, je ne ferai pas de bruit...
Pierre sort de la chambre. Je suis pétrifiée. Comment ai-je pu me mettre dans une
telle situation? D'un autre côté, je n'ai qu'un mot à dire et tout s'arrête. Tout
s'arrête! Est-ce que c'est ce que je veux vraiment? Je suis si excitée... au bord de
l'explosion depuis plusieurs minutes. Mais la pointe d'appréhension qui persiste
m'empêche de basculer dans le plaisir.
Avant de partir Pierre a ralenti les vibrations de luf, ce qui me maintient sous
tension... Je mijote à feu doux.
Je suis toujours dans la même position, pour obéir au maître de mes désirs, pour
répondre aux désirs de mon "maître", le cul en l'air, exposée, la croupe illuminée.
Mon sexe coule, fond. Je sens de l'air parcourir ma nudité. La porte est
entrouverte... pourtant Pierre n'est pas encore remonté. J'entends des bruits éloignés
au rez-de-chaussée.
Enfin je l'entends revenir, mon cur semble vouloir exploser pris entre l'excitation
et la peur, je ressens un petit courant d'air, surtout entre mes cuisses mouillées par
mon plaisir...
Les murmures de Pierre me rassurent (s'il murmure c'est que Marc dort) :
- Voilà j'ai le caméscope. Attends pour être plus tranquille je vais masquer ton
visage comme cela tu ne craindras pas que l'on te reconnaisse!
Et il me pose un foulard autour des yeux.
Je ne sais pas s'il est censé me rendre aveugle ou juste discrète. Je pense qu'il
espérait me rendre aveugle... mais je vois au travers.
- Commet c'est ? Me demande-t-il ?
Je joue le jeu ("mon" jeu ?):
- Je ne vois rien, tu devras me guider
Il allume la lumière de la chambre.
Je suis toujours le nez dans les couvertures, et je me risque à tourner la tête pour
essayer de voir derrière moi. Je vois une ombre se déplacer et suppose que c'est
Pierre qui s'affaire pour installer la caméra sur son pied. Je tourne un peu plus la
tête et je me fige et resserre mes cuisses. Dans le fauteuil, là, il y a quelqu'un...
je crois... je gémis...
- Tout va bien, ma chérie?
- Ou...oui. Les sons ont du mal à sortir de mes lèvres.
- Voilà je suis presque prêt!
J'ai du mal à distinguer avec ce satané foulard, d'autant plus que la lumière
m'aveugle un peu. A moins que ce soit des vêtements entassés sur le siège. La forme
reste parfaitement immobile, aussi je me décontracte un peu. J'ai vraiment les nerfs à
vif.
- Tu es prête ma chérie? J'aimerai que tu montres à la caméra comment tu t'y
prends pour exciter un homme à distance...
- Quoi ? T'es pas un peu gonflé toi ! Tu me mets comme ça et tu veux que je
prenne l'initiative ?
- Tu sais bien que c'est à ce moment-là que tu m'excites le plus. Je sais bien
que tu ne me refuses rien... Là je voudrais que tu m'offres tes envies.
- Je ne sais pas...
Et puis sa demande me reviens : "montre à la caméra comment tu t'y prends pour exciter
un homme à distance" ; alors je pense à Marc... Je reste dos à la porte, je me
redresse, à genoux mais les épaules sur le drap, mes fesses plein cadre.
- Alors trouve-moi quelque chose qui se verra à la caméra
Et sortant luf vibrant de mon sexe j'ajoute :
- Quelque chose d'assez gros pour que ça se voit, ou alors des trucs rigolos que
l'on a à la maison. Allez, à toi de jouer : qu'est-ce qui exciterait un homme à
distance ? Allez, bon chien ! Va chercher !
Je ne murmurais plus, je parlais normalement, voire peut-être même plus fort que
normalement. Tant pis ! A Dieu vat !
A nouveau, je l'entends se diriger vers les escaliers.
Pendant qu'il cherche je remue les fesses, effectuant lascivement un mouvement
rotatif, comme si je voulais écrire des 8 avec mon cul. Et lorsque j'arrive au terme
de ma figure, je me cambre au maximum et tend ma croupe à la caméra. Si j'osais, je
m'ouvrirais à deux mains...
Si j'osais... et pourquoi n'oserais-je pas?
Mes épaules plaquées sur le lit, j'envoie mes mains en arrière et empoigne mes fesses
à deux mains, ouvrant un peu plus mon entre-fesse, m'exhibant comme jamais.
J'imagine la cassette diffusée dans un cinéma porno, avec des dizaines d'hommes en
train de se branler. Je vois leurs glands rouges et gonflés surgir entre leurs doigts
serrés, se masturber autour de moi, comme s'ils voulaient remplir les deux puits que
je leur offre. Je m'excite toute seule et je décide de me libérer avant que Pierre ne
revienne. J'en avais tellement envie que je jouis en une minute, deux doigts sur mon
petit bouton, un autre tapotant mon anus.
Je ne veux pas que Pierre le sache, aussi je fais le moins de bruit possible mais les
soubresauts de mon corps ne laissent aucun doute sur la puissance de mon orgasme.
Je me sens un peu soulagée mais loin d'être rassasiée. Cette situation me met dans un
tel état qu'il va falloir assurer pour éteindre l'incendie en moi.
J'entends Pierre arriver.
- Je t'ai trouvé quelque chose qui devrait te plaire... et te combler ma petite
gourmande. Sa voix est enjouée. Qu'est-ce qu'il va encore inventer?
- Le bon chien t'a ramené son nonoss. Il délire?! Et puis je me souviens que
c'est moi qui l'ai traité de « bon chien » tout à l'heure.
- Encore une seconde, je couvre de préservatifs et tu vas pouvoir t'amuser...
Il me pose l'objet dans la main. J'ai du mal à évaluer ayant toujours les yeux bandés.
En tout cas, c'est très gros et très dur. On dirait un énorme sexe en pierre ou en
bois, avec comme une paire de testicules des deux côtés!! Enfin, de petits
testicules... Non!!! Il n'a pas fait ça!!! Il est complètement à la masse mon chéri.
Si je ne me trompe pas, c'est l'os de buf que j'ai acheté pour S (notre chien)!!!
Je suis vraiment très surprise.
Il a déjà essayé tout ce qui peut entrer, tout ce qui a un manche ou une forme
longue... mais jamais l'os du chien !
- Alors c'est comme ça qu'un homme est excité loin de sa femme ! Au moins celle-
là tu ne le montreras à personne !
- Justement... dans celle-là tu es masquée.
- Et tu vas la montrer ?
- Pourquoi pas ?
- A qui ? À Marc?
- Tu aimerais ?
- Oui... Masquée.
- Alors mérite-le, excite-le, imagine-le devant la télé en train de baver devant
toi, vas-y !
- Imagine-le organiser une séance de projection privée avec une escouade de
militaires en mission, privés de femmes depuis des semaines...
Oh oui, je l'imagine, je les imagine... dans une région chaude, en Afrique
équatoriale, la chaleur, l'humidité, les hommes en pantalons de treillis et en marcel,
la sueur sur leur peau qui fait luire les muscles...
Je me tourne sur le dos, je me caresse, je presse mes seins, j'en pince les pointes...
Gros plan sur mes tétons dressés.
Les hommes crient, ils m'encouragent, m'invectivent, la tension monte...
J'ai chaud moi aussi, mes mains glissent sur mon corps, elles sont inexorablement
attirées vers mon entrecuisse, mes cuisses s'ouvrent, mes doigts ouvre ma chatte
poisseuse...
« Elle est trempée cette salope! »
Je me sens prête à tous les accueillir entre mes jambes.
« La vicieuse... Elle est ouverte! Elle nous attend ! »
Je découvre mon petit bouton entre deux doigts et le caresse, je coule, ruisselle...
« Vas-y fais toi jouir ! » Les treillis s'ouvrent et libèrent des sexes tendus vers
moi...
Je prends l'os et cherche le côté le plus adéquat. Il est énorme ! J'en fais à peine
le tour avec mes doigts!
« Défonce-toi! Prends-le bien au fond! Tu nous sens au fond de toi? » Les mains
s'agitent sur les sexes rougis, sur les glands congestionnés.
Je glisse l'os entre mes lèvres. La boule, comme un gros gland distend mes chairs,
puis s'engouffre dans mon sexe.
Les mains accélèrent... les sexes sont rouges! Les muscles saillent sur les avant-
bras... les tatouages... la chaleur... l'odeur mâle...
Je sens leurs odeurs, je les entends. Ils n'existent pas vraiment (pas encore ?) mais
je sens leur présence.
Je fais glisser l'os monstrueux dans mon sexe, je tends mon bassin, mon sexe, vers la
caméra, je vérifie le foulard sur mes yeux...
- Venez bandes de monstres ! Plantez-moi cette chose au fond de moi, faites-moi
jouir avec ce truc comme si c'était vos sexes réunis. aussi gros que tous vos sexes
ensemble, aussi durs que votre excitation ! ... Venez !
MMMMmmmm! Sensation assez inédite que ce renflement qui ramone mon intimité. Et
qu'est-ce que c'est dur! Rigide! Je pousse, je pousse, mais l'os est interminable...
Heureusement que je suis passablement excitée.
Les hommes ont les yeux exorbités... leurs sexes cramoisis gouttent... ils crient
indistinctement... des grognements...
J'entame des va-et-vient avec mon substitut. Il me semble que j'atteins des endroits
inexplorés... dans mon sexe, dans mon cortex... Je vais jouir à nouveau...
Un viol collectif... Tous les membres sont en moi! Leurs mains rugueuses me palpent!
Ils m'empoignent...
- Pierre, j'ai envie que tu t'imagines me regardant dans ta chambre dhôtel et
j'ai envie que tu crois que j'ai un amant alors masque ton visage et remue toi-même ce
chose !
En fait j'ai envie de me voir et de voir un homme, un inconnu profiter de moi.
Je lâche la chose, tends mon sexe vers la caméra.
- Venez ! Prenez-moi, il aime regarder.
J'attends quelques instants puis j'aperçois la silhouette masquée de Pierre approcher.
Il prend en main l'objet et commence à me tarauder. Mes mains libérées peuvent
s'occuper de mon petit bouton.
La pénétration est plus virile.
Ça y est ! Ils sont en moi! Leurs bites dures me remplissent. Je sens l'odeur de leurs
organismes en surchauffe. Pierre regarde, ils me baisent! C'est bon ce qu'ils me font!
- Oui ma chérie! Prends ton pied!
Bizarrement la voix de Pierre me semble plus loin que ce que j'imaginais. Mais je suis
dans un tel état!!
Sa main att une de mes chevilles, la soulève, et replie ma jambe contre ma
poitrine. Il fait de même avec l'autre jambe, m'ouvrant complètement à la caméra.
Puis il reprend son va et vient entre mes cuisses. J'entends un bruit près de la
caméra.
- Pierre? PIERRE ???
Je n'ai plus de doute mais en avais-je encore ?
J'aime me cacher, me poser en victime. C'est plus difficile de s'avouer ainsi. Comment
dire, Vicieuse ? Non je n'aime vraiment pas. Mais c'est si vrai. J'aime le plaisir,
j'aime exciter mon mari, je suis trempée et j'ai une boule de feu dans le ventre à
imaginer Marc dans la pièce. Marc qui me touche... Non! Ils n'ont pas osé !
Je veux garder un peu de mon intimité. Ne pas savoir. Pas vraiment. Pas
officiellement. Mais moi je veux savoir. Et je sais comment...
Jatt son bras pour qu'il reste là :
- Viens je veux te manger !
C'est le branle-bas de combat (?!?) J'entends bouger et sens l'affolement.
Je tire sur le bras et rapproche l'homme qui s'y rattache. Ce n'est pas Pierre. Je le
sais. Son bras, ses vêtements...
Je le défais fébrilement. Un sexe lourd surgit et heurte ma joue. L'odeur... et
maintenant le goût, la texture de la peau... Ça fait longtemps que mes doutes se sont
envolés. Il est très large et j'ai du mal à prendre son gland dans ma bouche. J'adore
cette grosse queue qui m'envahit. J'en rajoute un peu, innocente.
- Oh Pierre j'en avais tellement envie !
Je fais honneur à notre invité et mange sa queue avec avidité. J'essaie de l'avaler le
plus loin possible, ce qui me fait énormément saliver.
- Comme tu es gros ce soir, mon chéri!
Je suis le petit chaperon rouge et manifestement ce nest pas mère-grand qui peut
senorgueillir dun si appétissant appendice
Je pense que plus personne n'est dupe
mais tout le monde respecte le pacte.
Je suis une hétaïre à genoux et j'honore tous les jeunes militaires de mon fantasme.
- J'ai envie de toi, mon chéri, j'ai envie... fais-moi jour avec tous tes
amis...
Je le mange comme une folle. Bien sûr que ce n'est pas Pierre, bien évidemment. Et
j'aime ça.
J'essaie d'aller très loin mais je ne suis pas très douée pour cela. Et j'ai envie de
lui faire plaisir.
- Mmm tu es bon, meilleur encore que d'habitude, je t'adore mais excuse-moi je
ne peux pas aller plus loin. Mais si tu me promets de me garder ta liqueur pour tout à
l'heure - tu sais que je te boirai toujours - Si tu me le promets je te laisserai
aller là où tu sais
- Précise-moi ça
Ce n'est pas la voix de Pierre.
- Si tu me promets d'arriver dans ma bouche comme tu sais que cest mon petit
plaisir alors tu pourras me prendre par le petit trou, je sais bien que cest un peu
le tien et tu ny as pas droit souvent...
- Tu sais à quoi tu t'engages? Je suis très large et souvent on m'a refusé ce
plaisir rare... Aussi pour ça, je suis prêt à te promettre tout ce que tu veux...
Je n'entends plus Pierre, mais je sais qu'il doit être aux anges.
Marc sort de ma bouche dégoulinant de salive, tellement il a visité le fond de ma
gorge.
Je me retourne, soulève mes fesses et enfouis ma tête dans l'oreiller. Je sens qu'on
s'active derrière moi. Mes fesses sont écartées, une sensation fraîche sur mon petit
trou (du gel? de la salive?) Puis je sens une énorme boule venir buter dans ma raie, à
la recherche de la grotte interdite.
Après que je les aie mis au garde à vous avec ma bouche, les militaires m'ont
retournée, et maintenant ils s'occupent de ma croupe... Ils m'ont promis de tous y
passer...
Le gros sexe a trouvé l'entrée. Il pousse doucement mais fermement. Il pénètre
inexorablement entre mes fesses. J'en ai le souffle coupé.
- Viens mon chéri, Viens dans moi mais n'oublie pas que tu voulais que j'excite
un homme, tu sais celui qui me regarde dans sa chambre d'hôtel, dans la chambrée de la
caserne ou dans la cabine du sex-shop, alors n'oublie pas que la caméra doit tout
voir.
Je sens mon amant remonter derrière moi, presque debout. L'angle de pénétration est
incroyable. Il entre dans mes fesses mais il me semble qu'il remplit mon vagin aussi !
- Là il devrait en avoir pour son argent ! Ou alors il faudrait se rapprocher de
la caméra.
- Ou la faire venir à nous...
J'ose tout désormais. Je n'ai rien avoué mais tout cela m'amuse. Et puis quel plaisir
aussi.
J'entends du bruit. Je sens aussi qu'il y a plus de lumière. Pierre a dû s'avancer
avec le caméscope !
- Oh oui mon chéri, j'en avais tellement envie ! enfonce-toi au fond de moi,
montre-lui comment me faire jouir !
Marc (même si je ne me dévoile pas, je peux le nommer désormais), Marc donc
s'introduit complètement en moi. Heureusement, il n'est pas très long, mais il est si
large que je me sens remplie comme jamais.
Je sens ses testicules venir buter contre moi. Ouf !!! Je suis écartelée. La sensation
est étrange car de par sa position, le seul contact que j'ai avec lui, c'est sa queue
dans mon cul.
Il se retire lentement et je sens le renflement de son gland, chacune de ses veines,
ses pulsations tout au long de son retrait. Que c'est bon! Avant de ressortir
totalement, il entreprend de se réintroduire en moi.
J'entends le zoom de la caméra et j'imagine le gros plan. J'imagine ...
..le voyeur dans la chambre d'hôtel se branle, parfaitement captivée par l'action. Les
militaires sont tous avec moi. Ils me pénètrent de concert avec Marc. Ils sont tous
entre mes fesses...Je délire.
Marc commence les allers-retours avec toujours autant de lenteur et de fermeté. Comme
un piston bien huilé ayant atteint sa vitesse de croisière.
Et que c'est bon !
Je ne suis pas sûre d'avoir tenue plus d'une minute avant de jouir. Je me lâche, mon
râle s'intensifie, je hurle presque... Si Marc dort encore il va se réveiller !
- Déjà ? Me demande mon amant un rien déçu.
Déçu et insatisfait. Fourbue je me laisse doucement aller à plat ventre mais Marc
m'accompagne, toujours planté en moi.
- J'ai encore envie ! me susurre-t-il implorant.
- Tu sais bien mon chéri que je peux arriver plusieurs fois, surtout comme cela
! Continue mon amour !
Je ne sais pas ce que pense Pierre de ces mots d'amour, sont-ils pour lui ou pour Marc
?
De toute façon cela paraît avoir un effet sur mon amant qui me semble durcir et
grossir encore ! Ses mains se pose sur mes reins, il prend appui sur moi, me plante
dans le lit et reprend ses mouvements entre mes fesses. Profonds, puissants.
Il ne me faut pas longtemps pour jouir encore. Marc sarrête.
- Dis-donc tu aimes vraiment ça toi !
- Tu le savais déjà non ? Retourne-moi, je veux que la caméra me filme ainsi.
- Tes désirs sont des ordres !
Mais il exécute mes ordres à sa façon. Il replie mes jambes sous moi, puis toujours
fiché au plus profond de moi, il att mes jambes sous mes genoux et me retourne, me
faisant coulisser autour de son pieu.
Quelles sensations!! Étonnant! Il faudra que je réessaie ça !! Maintenant mes jambes
repliées, il les ouvre. J'entends le ronronnement de la caméra tout proche. Pierre
doit se régaler à faire des gros plans de mon sexe ouvert et de mon cul empalé. Marc
reprend ses va-et-vient et dans cette position il pénètre encore plus profondément en
moi.
C'est incroyable! je vais jouir à nouveau. Je perds pied!
- Oh oui vas-y ! Plus fort ! Défonce-moi!
- Tu aimes ça te faire défoncer, hein? Les mots ont un effet dévastateur.
- Oh oui défonce moi le cul! Vas-y ! Vas-y! Ouuuuiiii !
...
Marc est toujours fiché en moi. Il n'a toujours pas joui, et il veut tenir sa
promesse.
Je me demande quand va-t-il moffrir sa liqueur... Toujours empalée, face à la caméra,
je me détends un peu, me laisse un peu aller, les yeux fermés derrière mon foulard.
Soudain je sens quelque chose de froid et dur contre mon sexe. J'ouvre les yeux. Je
vois au travers du foulard la silhouette de Pierre juste devant moi. J'entends sa voix
:
- Tu as oublié ton chien-chien qui veut jouer avec toi ! On va cacher son nonoss
!
Mais ça ne rentrera jamais!! Déjà, Marc me remplit le fondement de son gros mandrin,
comment veut-il faire pénétrer cet os qui est au moins aussi large?
Pierre ne s'est jamais arrêté à ce genre de considération, et je n'ai plus beaucoup de
volonté pour résister, après ces trois orgasmes successifs.
Marc ne bouge plus, il semble apprécier, d'autant plus que les agissements de Pierre
lui génèrent des sensations à travers la mince paroi séparant les deux orifices.
Je suis tellement excitée, ouverte que Pierre réussit à me pénétrer avec l'os, et
commence à agiter l'intrus dans mon sexe.
Je n'ai jamais été aussi pleine. Pleine, il n'y a pas d'autre mot!
Une nouvelle vague de plaisir se crée dans mon ventre. Et lorsque Marc se met à
bouger, le tsunami se déclenche. L'os est poussé par le ventre de Marc et s'enfouit
petit à petit dans mon sexe.
Je suis submergée, mais je suis sans force. Ma bouche s'ouvre sur un cri qui ne
sortira jamais. Je suis tétanisée. Je jouis.
Marc se retire doucement. Je sens une présence toute proche, je tourne la tête... ma
récompense !!!
Presque instinctivement j'ouvre la bouche. Un jet chaud et puissant me fouette les
lèvres. J'ouvre plus grand pour ne rien perdre. Je sens le second jet sur ma langue.
J'avance et att son gros gland entre mes lèvres. C'est moi qui va et vient, et lui
qui jouit, qui se répand dans ma bouche. Il semble ne devoir jamais s'arrêter. Il est
bon, salé, pas trop épais. Un petit goût de vanille derrière, une légère amertume
aussi. J'adore. Je le garde entre mes lèvres, longtemps.
Alors que Marc se relâche, que moi-même je ralentis et ne bouge plus, son sexe vide
toujours entre mes lèvres, je sens l'os monstrueux qui sort de mon sexe.
Marc recule, s'échappe doucement. Je suis un peu déçue. Il comprend, son gland gorgé
de plaisir se pose à nouveau sur mes lèvres. J'ouvre à nouveau ma bouche.
Ce n'est pas Marc...
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