Valérie

Je suis Valérie, j’ai 28 ans. Je travaille et vis à Paris. J’aime mon petit boulot de
vendeuse. Une de mes collègues, Odile a un faible pour moi. Je ne l’ai jamais rejetée:
elle est sexy, me plais beaucoup à tel point que nous passons deux ou trois nuits par
semaine ensemble. Elle aime quand nous faisons des 69, comme moi. Je les épice
toujours par un ou deux doigts dans son cul. Je sais, je commence toujours trop fort,
mais c’est la vérité: pourquoi la cacher, j’aime l’amour, même si je suis divorcée.
Mon ex baisait tellement mal que j’en ai changé plusieurs fois. Je me suis tournée
vers l’amour « libre ». Je pense par là que j’ai la liberté de choisir mes amants ou
amantes.
Lé semaine dernière j’ai rencontré un type à la piscine: je n’étais vêtue que d’un
bikini ultra court. Je sais qu’on pouvait me voir la moitié au moins des seins dont
les tétons, curieux regardent toujours ce qui se passe, et de mes fesses: je suis un
peu exhibitionniste, quand il m’a vu, il est passé sous moi pour me tirer vers le
fond. J’ai pris un peu la tasse quand son copain est venu à mon secours. Je ne sais
plus lequel a pris un sein dans sa main. Je l’ai laissé faire, j’avais besoin d’un peu
plus de brutalité qu’avec Odile. Voyant mon inertie, les deux s’y sont mis.
Heureusement que nous étions à l’écart sinon, ils se mettaient tous les deux sur moi.
Pour les calmer je leur donnais rendez vous chez moi le soir même. Ils comprenaient ce
qui allait se passer, comme moi je l’espérais.
Vers 20 heurs 30 Marcel, le premier est arrivé: nous avons échangés un long baiser.
Nos langues se régalaient dans le bouche de l’autre. Nous finissons à peine quand
Paul, l’autre garçon est venu. Avec lui les choses étaient plus chaudes, je sentais
déjà sa bite à travers son pantalon.
J’avais enfin pour la première fois de ma vie deux hommes rien que pour moi.

Je ne
sais ce que j’en attendais, si je voulais jouir comme une dingue, avec deux bites ce
ne devrait pas être trop difficile. Ni l’un ni l’autre ne prenait l’initiative, alors
je me suis dévouée: j’ai ouvert les deux braguettes pour sortir les pistolets. Tout a
été plus vite pour la suite; j’ai vaguement léché les deux glands avant de commencer à
les déshabiller. J’ai réussi à les mettre tout nus.
Elles me plaisaient ces deux bites bandée. Au fond de moi je pensais que j’étais une
changeuse de voir ça: rares sont les femmes qui peuvent dire qu’elle vont en avoir
deux à la fois. J’étais toutes mouillée, il me semblais que ma cyprine coulait entre
mes fesses. C’est Paul qui à genoux devant moi venait adorer ma chatte. Sa langue
faisait des ravages: il suçait mes lèvres, passais sa langue entre elles avant de
venir se fixer comme une sangsue sur le clitoris. Je frémissais comme rarement.
J’étais sur le point de jouir quand Marcel m’a donné sa queue dans la bouche. Elle
étais bonne, tellement bonne qu’après avoir léché le gland je me suis attachée à le
mettre au plus profond de ma bouche. Ma tête faisait des allers et venue autour de
cette belle queue. Je le sentais grossir pour finalement sentir son jet de sperme dans
la bouche. Que c’était agréable ce liquide visqueux et chaud dans ma bouche. Je l’ai
fait passer partout, ailleurs que sur ma langue tellement je voulais le déguster,
comme un bon vin.
La langue de Paul finissait de me faire jouir pour la seconde fois. Il m’avait lécher
le clito puis sa langue était allée sur l’anus, dans lequel il a entré sa langue le
plus possible.
Je venais de vivre mon premier instant de double amant; J’en voulais encore plus. Paul
était trop bien placé, il est venu sur moi: j’avais toujours les cuisses bien écartées
quand il a posé sa pine, juste à l’entrée de ma féminité.
J’avais bien besoin d’une
bite dans mon con. Il est venu planter sa queue dans mon ventre avec beaucoup de
calme. Je voulais qu’il me la mette presque avec brutalité. Il est venu jusqu’au fond
de mon vagin: je le sentais quand il remontait pour sortir. Il me l’a remise
brusquement: j’ai jouis de suite.
Il s’est couché sur le dos, avec sa queue toujours en moi: il laissait une place à
Marcel qui n’attendait que ça. Il a craché sur mon anus: je sentais sa salive couler
entre mes jambes. J’ai enfin senti une autre bite contre mon cul. Brusquement j’ai eu
peur, peur qu’il me fasse mal, peur de ne pas jouir. Il m’a détendu en posant la pine
contre l’ anus. Il a été très doux pour me la mettre. Je sentais son gland entrer
très lentement, je le sentais quand il mettait toutes sa bite dans le cul. Les deux
hommes ont synchronisé leur mouvement: une bite sortait de mon cul quand l’autre
entrait plus profond dans mon vagin. Ma bouche était prise par les lèvres de Paul. Je
me suis laissée aller complètement quand j’ai senti arrivé l’orgasme. Un orgasme
inouï.
Je les ai senti jouir ensemble en moi. J’avais dans mon ventre une bonne dose de
sperme. Quand ils sont sortis, j’ai senti comme un grand vide. Je les voulait encore.
Je n’avais pas de chance, ils débandaient tous les deux. Pour moi ils étaient impolis:
débander devant une fille qu’ils baisaient était insupportable. J’ai pris la bite de
Paul dans la bouche: elle avait goût à ma chatte: c’était agréable de sentir mon gout.
J’ai pris la deuxième bite dans ma main droite, je l’ai pressé jusqu’à ce que je sente
enfin quelle grossissait.
Les deux bien dures, me plaisait. Je voulais voir un spectacle que j’attend depuis
longtemps, les voir se branler. Je le leur ai demandé plusieurs fois, ils n’ont jamais
voulu. Alors je me suis donné aux deux à la fois, en changeant d’endroit: c’est sur
Marcel que je me suis enfilé par devant et c’est Paul qui a eu droit à mon cul.

Je ne pouvais rien dire, sinon je les fâcherais, c’est la bite de Paul qui m’a fait le
plus de bien dans le cul. Cette fois cette double pénétration me faisait encore plus
de bien que la première. D’abord à cause de cette nouvelle bite dans le cul et ensuite
à cause de la longueur. Je n’ai pas mesuré, mais j’ai du me faire mettre par les deux
bites au moins 1 heure puisque nous avons fini à 2 heures ½. Ils étaient crevés,
alors que j’étais encore en forme pour recommencer. Alors chacun à son tour m’a léché
le clitoris. J’ai encore joui. J’ai pu les branler encore un fois: il ne sortait plus
rien de leur méat.
En attendant nous nous revoyons la semaine prochaine.
Odile sait que je fais l’amour avec deux hommes. Elle ne m’envie pas. Elle n’est
surtout pas jalouse, sauf le premier soir où j’avais encore mal au clitoris à force de
cunnilingus. Je voudrais qu’elle aussi choisisse deux mecs pour la baiser, elle ne
veux surtout pas. Elle préfère les filles.

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