02-Découverte De La Sodomie

Découverte de la sodomie.

Cela fait à présent quatre ans que j’ai découvert ma bisexualité mais elle c’est juste
cantonnée à la fellation et cela me convenait tout à fait pour le moment. Je ne
ressentais pas l’envie de passer à plus et pour tout dire j’en avais peur.
Un jour, dans mon sauna préféré, je me retrouve dans le jakkuzi à côté d'un beau
gosse la trentaine largement entamée, un mec très bien foutu. Le gay typique, mais pas
une « folle » plutôt beau mâle, le corps bien entretenu, les cheveux brun coupés très
courts et surtout de très beaux yeux bleus.
Depuis dix minutes que nous trempons face à face à profiter du bain à bulle sans
échanger une parole. Deux types viennent nous rejoindre. Pour leur faire un peu de
place, nous nous déplaçons et on se retrouve cuisse contre cuisse. Cette jambe est
ferme et musclée, le poil ras en pleine repousse. Le contact est électrisant, je bande
de le sentir si proche. Complètement décontracté, les yeux fermés, je me laisse à une
douce rêverie où se mec me branle sous l'eau. Un autre garçon vient profiter du lieu
et pour laisser encore un peu de place, cette fois-ci il se lève et m'enjambe pour
passer de l'autre côté. Le spectacle est grandiose. Une belle queue en semi-érection
et décalottée me passer sous le nez. Pour couronner le tout, il en profite pour me
frôler le gland du bout des doigts, se rassoie et me sourit. Sa cuisse appuie encore
plus contre la mienne. Là j'ose, je lui caresse le dessus de la cuisse, ses muscles
sont saillants et très fermes. Il ouvre un peu plus les jambes ma main plonge vers son
chibre. Le gland bien décalotté, je le branle sous l'eau, il en fait de même. Les
bouillons cachent nos caresses et nos voisins ne se doutent de rien, du moins je le
suppose. Faisant fi de notre entourage, il me roule un patin d'enfer, me chevauche,
s'assoie sur moi et me dévore la bouche.

Nos queues se mêlent sous l'eau. Je sens une
main nous tripoter la bite. Notre voisin tente sa chance, il est trop maladroit, tant
pis pour lui, nous le repoussons gentiment.
On décide de s’isoler. La queue tendue, on se sèche prestement, direction les back-
room. La porte à peine refermée je me jette sur sa queue et l'engloutis d'un coup. Je
le pompe goulument, son gland d'un rose profond rentre et sort de ma bouche dans un
bruit de succion, je lui lèche la hampe, les bourses. Il se pose sur le bord de la
banquette, j’ai à présent libre accès à sa rosette. L'invitation et trop bonne, je
visite l’entre fesse du bout de la langue. Nous sommes tous les deux en osmose. Je
reprends sa queue en bouche, il me tient la tête pour donner le rythme. Il se penche
sur moi et part à la conquête de ma petite fleur. A présent, un doigt me caresse
l'anus, je suis pris de panique, je n'ai jamais pratiqué la sodomie, je ne me sens pas
prêt, mon pétale de rose lui a peut-être laissé penser le contraire.
Mon œillet se contracte. « Tu ne veux pas? » me demande-t-il. « J'ai jamais fait! ». «
Tu veux essayer? ». Je ne peux lui répondre, pris entre deux sensations; l'excitation
de vouloir essayer et la peur d'avoir mal. « Écoute, me dit-il, tu te mets en position
de levrette, je me mets derrière toi et c'est toi qui viens t'empaler sur moi! ». Tout
se bouscule dans ma tête, c’est peut-être le moment d’essayer et sans même y réfléchir
je me mets à quatre pattes le cul bien tendu. Mon regard ne quitte pas cette queue,
elle me fait envie et peur en même temps.
Il prend une bonne rasade de gel au distributeur et commence à me masser le cul, tout
doucement d’abord puis il pénètre un doigt. Je suis tétanisé par la peur et
l'excitation, je le laisse me masser doucement et tendrement. Je me décontracte petit
à petit. Je branle sa bite que j'imagine déjà dans mon cul.
Jaugeant, certainement que
je suis prêt, il prend un préservatif. Ça y est cette fois-ci je ne peux plus reculer,
je vais me faire enculer. La queue gainée de latex je le vois l'enduire de gel, je
retiens mon souffle, il vient se placer derrière moi et pose son gland contre ma
rosette, ses mains se plaquent sur mes hanches, il commence un doux va et vient sans
forcer, de mon côté je vais à l'encontre de sa queue craignant le moment de la
pénétration. Cette tête violacée appuie, insiste, force même quelques fois, mais
toujours dans la douceur. .Son gland écarte peu à peu ma collerette, mon initiateur
s'arrête un temps et me demande si tout va bien? D'un hochement de la tête, je lui
fais comprendre que tout va bien.
« Maintenant c'est toi qui va venir vers moi à ton rythme et comme tu le sens! ».
J’appuie sur sa queue, m'arrêtant régulièrement par palier. Son gland vient de passer,
je stoppe un moment, je sens cette colonne me pourfendre. Je reprends ma poussée, mais
à mi-chemin, je m'arrête très vite cela devient douloureux. Je me contente de faire
des va et viens sur cette moitié. C’est déjà énorme pour moi, du moins je le croyais.
Je lui demande de me pénétrer un peu plus, les douleurs ce sont estompées : « Mais je
suis à fond ! ». Je passe une main entre mes cuisses et force est de constater que ses
couilles collent aux miennes. C'est une drôle de sensation, je suis très excité, mais
je ne bande pas. Je me laisse aller à cette pénétration douce et sensuelle jusqu'à ce
que je ressente des soubresauts et un long râle. On a jouit de mon corps.
Voilà, je ne suis plus vierge de ce côté-ci. Une fois retirée, j'ai l'impression que
mon cul reste ouvert, c’en est presque gênant. Nous restons là à discuter, il me
demande mes impressions ? Elles sont très positives finalement. Dans le fil de notre
conversation il m'a avoué que mon p'tit cul l'avait excité.
Telle une petite salope je
viens me frotter sur sa bite en riant. « Fait gaffe je pourrais recommencer ! ». Je
lui réponds « Chiche! », « Maintenant que le passage est fait! », joignant le geste à
la parole je m’appuie sur le rebord de la banquette le cul tendu. Il frotte sa queue
sur mon sillon, je sens cette colonne de chair reprendre vigueur. Il me remet du gel,
enfile une capote et pose le gland sur la rosette. Avec moins de ménagement, il
enfourne sa pine d'un seul trait. Je le prends sans sourciller et sans aucune
douleur. Il agrippe mes hanches et sans modération, me laboure les reins. Excité par
la situation ma queue tendue vient battre contre mon ventre à chaque coup de boutoir.
C'est ainsi que je me suis fait baiser pendant un bon quart d'heure avant qu'il ne
vienne décharger sur mon dos.
Première expérience réussi et ce fut le début d'une longue série qui dure depuis
maintenant sept ans, avec à chaque fois avec autant de bonheur sinon plus!!! Il paraît
que mon cul est bandant (sourire). Mon bel amant s'appelait Patrice et je lui dédie ce
récit.

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