Une Belle Nuit À L'Etoile

Je me nomme Hélène B. et j’ai juste quarante ans.
Pour commencer, je dois vous dire que je suis une assez jolie femme, plutôt sexy et
très, très portée sur le sexe depuis toujours, surtout depuis que j’ai épousé un fort
bel homme, de bonne position sociale et très agréable à vivre, mais qui est aussi et
surtout, un très "mauvais coup". Il est au lit, ce que l’on appelle trivialement : un
" bonnet de nuit ". J’aurai l’occasion de vous en parler…
J’aime aussi conter quelques unes de mes aventures et faire quelques confessions de
ces moments particuliers que j'adore accomplir de temps en temps avec mon ami, amant
et complice, qui m'aide beaucoup par sa compréhension et son imagination, à assouvir
la plupart de mes envies…
L'histoire que je vais vous conter aujourd’hui, avec tous les détails nécessaires à
connaître, se passait lors d'un de nos fréquents déplacements à Paris, à Jacques et à
moi. Jacques, c’est l’ami – amant dont je viens de vous parler.
C'était, je m'en souviens très bien, un soir de février dans le quartier de l’Etoile,
près de l’Arc de Triomphe. Il faisait froid et nous étions allés dîner dans un bon
restaurant, avenue de Wagram… Au cours du repas, j'avais remarqué un beau jeune homme
d'environ 35 ans et que je trouvais très à mon goût : grand, mince, un visage aux
traits réguliers, brun aux yeux bleus et d'une certaine classe… Il dînait seul et
semblait s’ennuyer fort dans ce restaurant plutôt désert et assez guindé.
D'ailleurs à plusieurs reprises, je surpris quelques uns de ses regards et même
quelques sourires à mon adresse, qui m'indiquaient qu'il m'avait lui aussi remarquée
et que je ne le laissais pas indifférent. Et donc, durant tout le repas par
provocation ou invitation peu importe, je lui avais laissé largement apercevoir mon
entrejambes et le slip transparent en dentelles que je portais, prenant la précaution
de bien écarter les jambes sous la table… Jacques, mon cher complice et ami de
toujours, avait bien entendu, lui aussi remarqué notre manège.

Il avait parfaitement
décodé mes regards appuyés pour le jeune homme de la table d'en face. Il me
connaissait si bien !... Aussi, à la fin du dîner, je lui demandais sans aucune gêne
:
- " Chéri, Jacques mon ami, ce que je vais te demander ne vas pas t'étonner, je le
sais… Pourrais-tu aller inviter le jeune et beau mec qui finit de dîner juste derrière
toi… Invite-le je te prie à venir s'asseoir à notre table et prendre le café avec
nous ? Ce serait super s'il acceptait… Ce soir j'ai très envie d'un de nos petits
moments…, et ce type me semble très à propos pour cela… Tu veux bien s'il te plaît,
faire cela pour moi ?!"
Jacques avec un coup œil complice et un sourire sympa, se leva et alla lui parler. Au
bout d'un court instant il revint accompagné du beau jeune homme. Il était encore plus
beau de près : de beaux cheveux, un regard superbe, des lèvres très sensuelles, un
visage intelligent, fin et subtil… Jacques le fit asseoir en face de moi et il qui
engagea la conversation. C'est toujours ainsi que les choses se passent quand nous
sommes ensemble et que je fais montre de mes envies : c'est Jacques qui prend contact,
informe, invite avec un minimum de précisions et qui ensuite mène les négociations
pour moi et en ma présence… C'est très confortable pour moi et cela me laisse toute le
loisir d'observer à fond et avec précision les interlocuteurs, de surveiller leur
réactions non verbales… Bref, Jacques est vraiment un complice super et qui m'aide
énormément dans l'aboutissement de ce genre de situations, et ce qui plus est, en
toute sécurité…
Dès qu'ils furent installés et les cafés servis, Jacques engagea directement la
proposition :
- " Comme je viens de vous le dire en vous invitant il y a un instant, vous plaisait
beaucoup à mon épouse et elle aimerait vous connaître plus intiment, si vous voyez ce
que je veux dire…". Le jeune type me dévisageait avec étonnement et semblait abasourdi
par la proposition aussi nette et directe… Il guettait sur mon visage un signe ou une
expression qui aurait dit mon rejet de cette proposition. Je me contentais de lui
sourire et de le regarder avec un regard mouillé et sensuel… Jacques continua :
- "Si vous êtes d’accord avec ce que je vous propose, vous pourrez passer un moment
avec Madame et en ma présence. N’est-ce pas Anny ? (Anny est le pseudo que Jacques
emploie en pareille situation). Mais attention ! Que tout soit dit : d’abord on
regarde, c’est même surtout pour cela qu’on vous invite, on touche et on caresse si
elle vous y autorise, ce sera sûrement le cas d’ailleurs, mais tout peut s’arrêter là,
donc pas de frustration ensuite, OK ? De plus c’est madame qui garde les initiatives,
et ce de façon absolue. C’est d’accord aussi ? "
Le gars ne disait mot, je le subjuguais : il ne me quittait pas des yeux. Moi-même
j'étais troublée par son beau regard et je sentais dans le bas du ventre et dans le
plus profond de ma petite chatte intime quelques tiraillements de désir… Il finit par
dire :
- " Oui, d’accord, mais qu’est-ce que je dois faire…, ou donner en échange ? "
- " Rien, répliqua Jacques, vous n’avez rien à donner; seulement à faire ce
qu’elle vous demandera... Je ne crois pas que vous ayez à vous en plaindre !... et il
ajouta : pour vous faire prendre une décision en tout état de cause, vous allez suivre
ce que je vais dire. Madame va descendre aux toilettes. Vous allez la suivre à une
demi minute. Elle va s’arranger pour être vue de vous un instant dans la situation
qu’elle choisira. Vous la verrez, puis vous remonterez me voir, je vous dirais la
suite si toutefois vous voulez continuer... D’accord comme ça ? "
Pour confirmer le jeu engagé par Jacques, je me levais lentement, j'adressais un
sourire et un regard d'invite à l'homme assis en face de moi, qui restait interloqué
et je descendais aux toilettes. Je mouillais déjà abondamment et j'avais la chatte en
feu à la seule pensée du jeu érotique qui s'amorçait…
Je me tenais un moment devant le lavabo, côté "Femmes", porte ouverte, de façon à ce
que l’homme puisse me voir en descendant. Je l'entendais descendre quatre à quatre… A
ce moment, sous prétexte de rajuster mes bas, faisant mine de ne pas me savoir
observée, je me tournais de trois quarts par rapport à la porte et je remonterais ma
jupe plissée écossaise assez haut, me retroussant, tirant mes bas et m’arrangeant à
montrer mes cuisses et même l'amorce de mon petit slip en dentelles blanches... Je
savais le gars dans l’entrée de la porte et de savoir son état d'excitation, me
chauffait moi-même énormément.
Puis, j'entrais dans une des cabines de toilettes. Je savais qu'il y avait dans cet
endroit des trous de voyeurs où les hommes dans les cabines contiguës du côté
"Hommes", mataient les dames dans les moments où elles satisfont leurs besoins
intimes. Nous les femmes avons cette particularité de remarquer ces choses là dès
l'entrée dans ces lieux et de s'en souvenir toujours… Donc, je savais qu'il y avait ce
genre de "dispositifs d'observation" à cet endroit de Paris et après avoir vérifié dès
en entrant que c'était bien toujours le cas, je m'arrangeais à faire en sorte d'en
laisser voir le plus possible, l’air mine de rien…
J'entendis la porte de la cabine à côté se refermer… Je remontrais alors bien haut ma
jupe, baissais mon slip blanc et enjambant très haut et très écartée la cuvette des
W.C., j'urinerais à demi fléchie sur le siège, laissant voir sans équivoque ma fente
ruisselante... Puis, je m'essuyais longuement et de façon très appliquée écartant au
mieux mes lèvres sexuelles et j'esquissais une furtive masturbation de mon clitoris et
du haut de ma vulve. Juste à peine et sans insistance, de façon à organiser le suspens
et à provoquer plus d'envies que de choses résolues... J'imaginais aisément l'état
dans lequel devait se trouver le type, à mater ainsi ma fente et mes dessous sans y
être encore véritablement invité !
Sortant de la cabine, je m'arrête un instant au lavabo de nouveau, histoire de laisser
le temps au mec de remonter et d'être seul un moment avec Jacques. Avant de remonter,
je fis un examen rapide de mon slip le baissant à mi-cuisses ; je remarquais que le
fond était abondamment mouillé, malgré un essuyage rigoureux dans les toilettes…
Au moment où je les ai rejoints, le jeune homme était en train de dire, sans doute
suite à une question de Jacques :
- " Oh oui !! Sûr !! Mais c’est vrai, je n’ai rien à donner ??"
Cette gratuité l’inquiétait. Jacques le rassura encore :
- " Non, rien… Seulement faire ce qu'elle vous demandera et dans les conditions que je
vous ai dites !..." Et sans me laisser le temps de m’asseoir, nous partons tous les 3
à notre hôtel tout près d’ici, situé rue La Pérouse, en bordure du XVI°
arrondissement.

Dès que nous fûmes dans la chambre, je quittais mon manteau et mes gants et commençais
à aguicher l'homme : je venais me frotter à lui, l'entourer de mes bras, l'enlacer en
lui caressant le visage, le cou de façon très furtive, lui effleurant le visage de mes
lèvres… Et aussi à lui caresser de façon à peine sensible tout le bas ventre à travers
le pantalon… Je sentais un renflement très prononcé et cela m'excitait beaucoup…
Je m'éclipsais un court moment dans la salle de bain où je me livrais à quelques
ablutions rapides de ma fente alors très chaude et de mon entrejambes qui déjà
dégoulinaient de mouille. Je changeais ma petite culotte pour une autre, propre et
sèche.
Deux ou trois minutes après j'étais de nouveau parmi les hommes, me présentant à eux
en relevant ma jupe pour montrer mes jolis dessous de dentelles et mes fesses que je
sais belles, rebondies juste ce qu’il faut et dont je suis très fière...
Je l'ai dit : j'adore être admirée et voir briller dans le fond des yeux des hommes
qui me matent et me convoitent, l'étincelle du désir que j'y ai allumée… Rien n'est
aussi fort pour moi et ce renvoi de l'émotion que je provoque, constitue le meilleur
terrain à ma jouissance et sa condition essentielle… J'ouvre lentement mon corsage,
dénude doucement ma poitrine et avec une extrême lenteur, je leur dévoile mes seins
pour le seul plaisir de les faire voir, de les faire admirer. Puis, fixant les hommes
bien dans les yeux, je me caresse doucement le bout des seins, passant de façon
lascive ma langue sur mes lèvres et ondulant les hanches. Je défais ensuite
complètement mon soutien-gorge et j'offre à leurs regards concupiscents ma poitrine
que je sais belle et bien faite et dont je suis également très fière…
Faisant cela, je vérifiais constamment l'état de la bosse dans leur pantalon et je
dois dire que le bel Eric (c'était le nom de notre jeune inconnu) en avait une de
bosse, particulièrement rebondie, laissant présager d'un bel engin… Cette observation
et toute la situation qui s’installait, augmentaient encore mon excitation. Je
décidais de porter une première estocade :
- " Cela vous plaît mes chéris ? Vous aimez mes seins ? Moi je les adore parce qu’il
sont beaux, aussi pour le plaisir qu'ils me donnent et pour l'excitation qu'ils vous
procurent…Vous voulez que je vous en montre un peu plus, hein n'est-ce pas ?…".
Je monte sur le lit où je m'accroupis faisant ouvrir ma jupe plissée écossaise.
J'adore cette jupe plissée : dans cette tenue, je me sens à la fois juvénile en diable
et aussi excitante qu’une femme expérimentée.... Dans cette position je me caresse
l’entrejambes et le fond du slip du bout des doigts, avec une lenteur calculée.
Eric commençait à se caresser discrètement la bosse à travers son pantalon. Je le
sentais, par son regard et aux traits de son visage, à deux doigts de la rupture…
- " Je devine à vos yeux que vous mourez d’envie de voir ma petite chatte ?
Hein, n’est-ce pas ?!... Je vais vous la montrer… par le bord de ma petite culotte
!..."
Et disant cela, j'écarte le bord de dentelles et je leur montre ainsi une bonne partie
de ma fente à demi dissimulée sous mes poils blondinets. Eric a les yeux exorbités, ce
qui amuse beaucoup Jacques. Je sais que même si Jacques ne le laisse pas paraître, il
est tout autant excité par mes exhibitions de petite cochonne… J’encourage mes hommes
à mieux en profiter :
- " Ah oui, j’aime vous observer pendant que vous matez ma fente !... Vous la voyez
bien ma jolie fente ? Elle vous plaît ?... Approchez-vous entre mes cuisses pour la
voir de plus près.... Vous n’avez pas envie de la regarder bien en détail et de la
caresser ? Oh si… Parce que je sais que vous êtes de jolis petits salauds !... "
C’est vrai, j'adore être matée comme cela très en détails par des hommes dont
je sais que cela les provoque et les excite ; ces situations font monter mon désir au
plus haut point et constituent le début indispensable à mes orgasmes…
Je leur demande de retirer mes bas pour que je sente mieux leur présence entre mes
cuisses. Ce qu'ils font, chacun s'occupant d'une de mes jambes. De les avoir là,
ainsi, sous mes yeux, leur tête entre mes jambes très écartées, leur nez et leurs yeux
à quelques centimètres de mon intimité, de sentir leur souffle chaud et rapide sur la
peau de mes cuisses, déclenche dans mon bas-ventre une vague de plaisir et je
décharge. Je me laisse aller sans pouvoir contrôler quoique soit, tant la situation
m’excite...
Sur ce premier orgasme, ma fente se met à couler. Avec le fond de ma culotte j’éponge
d’un geste rapide ce premier flot de liqueur. Puis j’ouvre de nouveau bien grand le
côté de la culotte et j’écarte les grandes lèvres de ma jolie chatte qui sont très
développées et très enveloppantes. Je leur donne ainsi à voir toute ma vulve bien
ouverte, aux petites lèvres gonflées par le désir, dégageant bien l'entrée du con
dégoulinant de cyprine… Eric ne peut retenir un commentaire :
- "Ah ! Putain, elle coule la belle Anny !... C'est vraiment un coup super
!... Du jamais vu … jamais ! "
Cette remarque déclenche en moi un nouvel orgasme et je décharge une nouvelle
bordée. En effet, je ne sais pourquoi, mais quand je suis très, très excitée dans des
situations de ce type, de telles remarques ou de tels commentaires même brefs, me
procurent des orgasmes intenses et furtifs mais violents et dont la décharge est très
abondante… Je pense que je ne suis pas la seule femme à avoir ainsi de fortes
jouissances déclenchées par les remarques de leurs partenaires dans ces moments là…
Voulant changer un peu la situation je les invite à s'asseoir sur la banquette
en face du lit. Je me glisse alors à genoux à leurs pieds et j'entreprends de défaire
les braguettes :
- " Montrez-moi vos jolies bites viriles, sans avoir honte… Il y a déjà un
moment que je les vois pointer et faire la bosse dans vos pantalons... Oh oui !
Laissez-moi les sortir, que je les voie et que je les prenne bien en main !…"
J'avais de ma main gauche, libéré la bite de Jacques de son slip, mais de ma
seule main droite, je n'arrivais pas à sortir celle d'Eric de son cocon. Il faut dire
qu'il avait un calibre, le type : mes doigts n'arrivaient pas à en faire le tour du
vit pour le saisir par dessous afin de l'extraire. J'ai dû lâcher le bouton de la
ceinture et ouvrir complètement le pantalon libérant du caleçon un superbe membre d'au
moins 22cm sur au moins de 7 à 8 de diamètre !!
- " Ouais !... Bon Dieu, l’engin !!... Superbe !... Quel beau calibre !... Vous savez
mes chéris : j’aimerais que vous enleviez complètement vos pantalons que je puisse
bien voir vos couilles aussi et pouvoir les caresser ! "
Ce qu'ils firent sans rechigner.
Je pris alors une bite dans chacune de mes mains, dans la gauche celle de
Jacques qui n'était plus depuis longtemps une inconnue pour moi, et dans la droite,
celle du bel Eric, dont la vue seule m'excitait déjà terriblement… Je palpais les
bites et les branlais doucement Je descendais mes mains jusqu'aux couilles, les
caressant, puis passant ma langue sur les hampes avant d'engloutir complètement le
gland, alternativement de l'une et de l'autre. Eric était particulièrement bien monté
et j'avais du mal à me mettre tout le gland dans le bouche, tant le diamètre en était
important… Il était terriblement bien membré par rapport à la dotation de Jacques.
Celui-ci avait un jolie bite, bien faite et d'une bonne moyenne : 16 - 17 par 5
environ. J'accordais un temps et une attention plus importants à celle de d'Eric, par
savoir-vivre car c'était lui l'invité, mais surtout parce que son sexe superbe
m'excitait infiniment plus ! L’inconnu sans doute et la taille aussi, il faut bien
l’avouer…
A plusieurs reprises pendant que je le suçais, j'eus une très forte envie de me
relever, d'enjamber le vit très dressé d’Eric et, en écartant le bord de ma culotte de
venir empaler ma fente en feu sur ce beau membre. Cette seule évocation me faisait
jouir et décharger de plus bel. Pourtant, j'avais encore plus envie d'autre chose :
- " Ah ! Que c'est bon d'avoir des bites comme ça, en main et à portée de lèvres… Et
je vois que vous avez très envie d'aller plus loin vous aussi et de me baiser !... Ce
sera pour tout à l’heure ! Pour le moment j’ai envie que vous me regardiez encore...".
Et, me relevant, je leur demande se mettre debout, comme ça, la bite bien bandée à
l'air… Je leur explique qu'ils vont devoir venir alternativement s'agenouiller devant
moi et regarder sous ma jupe écossaise le beau spectacle de mon entrejambes ; pendant
ce temps l'autre devant moi également, mais debout, se masturbera, à ma portée...
- " Eric, commence et vient entre mes jambes et toi Jacques vient devant moi que je te
voie et te caresse !" Eric plongea entre mes jambes, sous ma robe et pendant que je
regardais Jacques se branler devant moi, je sentais les cheveux d'Eric effleurer
l'intérieur de mes cuisses, son souffle chaud dans mon entrejambes, son nez frotter
mon pubis et mon clitoris à travers le tissu, sa langue passer sur le fond de mon slip
et tenter ; par les bords, de s'immiscer dans ma fente… Ce sont là des sensations à la
fois subtiles et intenses et qui me font chavirer les sens, c'est dire combien je
décharge sous de telles caresses et avec en prime la vue d'une bite à ma portée…
Puis à ma demande, ils changèrent de place : Eric se mit devant moi et Jacques sous ma
jupe… Le jeu continua ainsi quelques instants. Mais cette fois, j'étais penchée en
avant pour aspirer le membre magnifique d'Eric, le suçant et le branlant, alors que
Jacques, excellent lécheur, me fouillait la fente de sa langue par le bord écarté de
mon slip.
Bientôt, je ne puis résister au désir insurmontable de me branler sur une bite aussi
superbe que celle d’Eric. Je repoussais Jacques promptement, et remontant ma jupe sur
mon ventre je baissais à demi mon slip, juste pour permettre au joli braquemart qui
m'excitait tant, de passer juste au-dessus du haut de ma culotte à demi baissée. Et
là, saisissant promptement l’engin d'une main, je me plante le gland énorme sur le
clito déjà bandé à l'extrême…
Dès que le bout de la verge frotta mon clitoris, je déchargeais comme une folle et je
sentis dans la seconde, la bouche et le visage de Jacques inondés de mon foutre chaud.
Il redoubla ses coups de langue et je continuais de frotter le bout du membre sur le
haut de ma fente et sur mon clito en feu, par un va-et-vient calculé… Je jouissais
sans discontinuer. J'adore me branler ainsi, en me passant l’extrémité d’une bite sur
le clitoris et dans la fente. C'est une pratique que j'utilise très fréquemment au
cours de nos moments coquins avec Jacques, et je dois dire que ce jeu de branlage par
le gland d’une bite, surtout s'il est associé au léchage précis de mon entrejambes
comme c'était le cas ici, me fait jouir bien plus rapidement et bien plus intensément
qu’une pénétration traditionnelle de baise ordinaire...
Au bout de quelques minutes d'orgasmes ininterrompus au cours desquels j'avais
sans doute perdu une grande quantité de cyprine, j'arrêtais les caresses et remontant
mon slip à sa place, je m'affalais sur le lit en leur disant :
- "Ah, mes salauds ! Vous m’avez eu !... Vous m’avez faite fondre ! Vous m'avez
vidée de mon foutre…et sans me baiser encore…! Putain que c'était bon !... Ta bite est
bien dure Eric chéri, que s'en est un régal, tu m'as fait reluire mon petit bouton
d'amour… Quant à toi, mon chéri, ta langue est superbe de finesse et j'adore que tu
t'occupes de mes trous quand je jouis… Regardez dans quel état vous avez mis mon
entrejambes de petite coquine gourmande…". Et disant cela, j'écartais les jambes pour
montrer l'état de ma petite culotte toute imprégnée de ma mouille de femme jouissante.
J'avais à cet instant une envie folle d'être baisée. Quittant prestement ma jupe, je
me retournais sur le lit de façon à me mettre en levrette, position qui est de loin ma
préférée lors de ces extras… Je baissais ma culotte et me mis à quatre pattes sur le
lit, pointant mes jolies fesses vers eux et leur montrant ma raie culière et mon
abricot très juteux. Par dessous mon bras, je les voyais prendre en main leur membre
et continuer de s’astiquer en me regardant. J'adore m'exhiber dans cette position,
sans honte ni pudeur, devant les hommes que j'aguiche, je sais l'effet produit par de
telles images sur leurs désirs de mâles… Le seul fait de me savoir ainsi convoitée, me
faisait mouiller encore et je sentais ma fente couler. Jacques le premier s'approcha
et me lécha sur toute la longueur de la raie, de ma rosette à mon clitoris devenu
hypersensible… Comme à l'habitude sa langue était extra, précise et pointue et me
faisait déferler de plaisir. Je lui demandais :
- " Jacques mon chéri, allonges-toi sous moi et donnes-moi ta bite à sucer en
69… Eric me prendra en levrette pendant que tu me lécheras le clito…". Eric enfila
prestement un préservatif, puis se plaçant derrière moi après m'avoir léchée
furtivement, me fit sentir sa belle pointure en me parcourant en va-et-vient plusieurs
fois toute la longueur de ma fente offerte.
Je sentais l'orgasme monter. La caresse de la langue de Jacques à mon clito était
délicieuse et le membre d'Eric se frayait maintenant un passage entre mes lèvres
gonflées du désir d'être baisée… Au premier coup de boutoir, Eric vint de suite au
fond de ma matrice ; je déchargeais encore comme une gueuse, sans pouvoir contenir
plus longtemps ma liqueur qui déferlait du plus profond de mon ventre. Je savais
Jacques inondé, mais il en avait l'habitude… Il faut dire que lorsque je suis dans
cet état, en pleine jouissance, les ondées libérées sont souvent aussi fortes que si
je pissais, tant les jets de cyprine sont violents, tendus et abondants en liqueur
chaude. En ces moments là, je deviens ce que l'on appelle une femme fontaine…
Eric m'avait saisie par les hanches et me poussait bien à fond son beau calibre dans
le con. Il me limait le vagin et redoublait mon plaisir. Moi, les jambes écartées pour
favoriser la pénétration la plus profonde possible, je m'affalais de temps à autre sur
la bite de Jacques. Je frottais et branlais son joli membre entre mes seins et sur mes
tétons, lui léchant aussi les couilles. Déjà l'entreprise me rendait folle et avide de
jouir :
- " Oh ! Là, oui, c'est super !... Jacques, ta caresse à mon petit bouton d'amour est
divine !... Ne t’arrête pas, chéri, frotte-le moi doucement, là comme ça ... C’est
extra !... Je te suce en même temps pour ta peine !... Ah oui, vas-y là !... Et toi
Eric chéri, enfonce-toi bien au plus profond de mon con et fais-moi jouir encore !...
Oui…, oui, encore, chéri !!... Je vous aime tous les deux !... Baisez-moi bien, bien à
fond !... Ah putain, que c’est bon !... Je coule, je fonds.... Allez-y !!...
N’arrêtez pas !!!..."
Le tempo donné par Eric s'accéléra progressivement. Chaque coup de boutoir de sa bite
était l'occasion pour moi d'une nouvelle bordée de cyprine, que Jacques buvait et
pompait en dessous de ma fente ouverte… Le va-et-vient fut bientôt à son paroxysme. En
proie à une jouissance folle qui montait en moi de façon inéluctable, je ne savais
plus où j'étais… La bite d'Eric se fit encore plus présente. Dans mon vagin pourtant
dilaté, elle devenait énorme. Les va-et-vient de mon corps secoué par les assauts de
mon amant, branlaient la verge de Jacques entre mes seins. Je me mis à lui lécher le
trou du cul. En cinq seconde se fut le déluge de nos jouissances se libérant toutes
ensembles, ce qui est le sommet du plaisir : la bite d'Eric s'enfla encore et il
explosa en moi avec une violence extrême. Au-delà du préservatif, je sentais les jets
et les pulsations de son membre énorme, au point que j’ai cru un temps la capote
éclatée… Moi, je libérais en hurlant mon plaisir et le reste de ma liqueur dans la
bouche de Jacques Celui-ci, dans une extrême contraction me lâcha son foutre chaud et
onctueux entre les seins, me giclant sur tout le corps, du cou au pubis, en plusieurs
jets longs et abondants…
Toujours, dans ces quelques instants de jouissance paroxysmale, je ne contrôle plus
rien de mon corps ni de mon psychisme : outre le fait que je libère mon foutre en le
pissant littéralement, je profère également des mots orduriers, des blasphèmes même, à
l'adresse de mes baiseurs. Cela me change complètement de mes habitudes conjugales si
peu excitantes, où je suis un modèle de comportement réservé et ce, à tous les
niveaux, que ce soit physique, cérébral et évidemment, surtout sexuel… Vous aurez tout
compris, quand je vous aurai dit que chez moi avec mon mari, à la suite de chaque
séance de baise (si l’on peut appeler cela comme ça !) je suis obligée d’aller me
finir dans la salle de bain !...

Une accalmie relative suivit ce moment déchaîné… Mais je n'étais pas assouvie pour
autant. Sur le plan cérébral, j'avais une envie pressante de vérifier que je pouvais
encore séduire et allumer du désir chez mes partenaires, malgré ce que nous venions de
vivre et l'assouvissement de leurs sens… Au contraire, après ces moments délirants,
s'installe en moi un besoin de challenge : donner aux mecs comblés l'envie encore et
toujours d'en faire plus avec moi, ce qui est évidemment moins facile que lorsque les
choses commencent et que le désir ne demande qu'à être réveillé et développé… Là, il
faut payer davantage de sa personne !
Je me suis assise sur le lit et je repris leurs membres en mains. Eric enleva
promptement le préservatif plein de son sperme chaud et je pris immédiatement sa belle
pine en bouche, le suçant et la pompant de toute ma conviction. D'une main je
branlais Jacques qui reprenait rapidement des forces sous mes caresses…
Bientôt Eric fut de nouveau énorme et bien bandé. Je me mis à califourchon sur lui et
je pris son membre entre mes seins, le comprimant entre eux et le suçant, ce qui était
possible tant il était long. Jacques était venu se placer derrière moi et du bout de
son membre ragaillardi, me caressait la petite rosette et l'arrière de ma fente… Je
branlais très fortement Eric entre mes seins. J’avais pris en bouche le bout du gland.
De ma langue je caressais doucement la papille et de temps à autre j’aspirais, ma
langue plaquée sur le trou… Il ne fallut pas longtemps : dans un sursaut, ne pouvant
se contenir davantage, Eric se vida à nouveau, mais cette fois sur mes seins, mon cou,
ma bouche qu'il inonda d'un foutre épais, chaud et abondant. Sous l’effet de la
décharge, je pris encore mon pied et je libérais ma liqueur, en même temps que Jacques
le faisait lui aussi, honorant mes fesses, mon cul et ma fente en les inondant de son
foutre brûlant. Je repris encore un instant la bite d'Eric en bouche et je le suçais,
pompant les dernières gouttes de son foutre tandis qu'il se pâmait de plaisir…
Puis, je passais ensuite rapidement dans la salle de bain Je pris une douche pour me
nettoyer de tout le sperme qui m'inondait. Je remis mes bas et j'appelais les deux
mecs restés dans la chambre, à me rejoindre dans la salle de bain :
- " Pour vous remercier des superbes jouissances que vous m'avez données et que j'ai
eues grâce à vous, je vous invite à un petit spectacle ! " J'enjambe alors la cuvette
des W.C. et j'urine longuement debout, très écartée, me montrant bien à eux.
- " Eh voilà, dis-je, la boucle est bouclée mon cher Eric. Il y a 2 heures c'est ainsi
que tu me découvrais et je te donne à revoir ce petit spectacle pour terminer, à la
petite culotte près…! Vous êtes des amants merveilleux, vous m'avez tellement bien
fait jouir, que je vais en garder un souvenir extra !..."
Et je poussais la porte de la salle de bain derrière moi pour me retrouver seule ;
Jacques avait compris. Ils se rhabillèrent. Jacques raccompagna Eric jusqu'à l'entrée
de l'hôtel et pris congé de lui, tandis que restée seule dans la salle de bain, je me
masturbais et jouissait encore une dernière et superbe fois en évoquant le beau
braquemart d’Eric et les minutes chaudes qui venaient de s’écouler…
Mais cela Jacques ne le sut jamais… Ne lui dites pas, s’il vous plaît…

Hélène B.