Hélène : La Contre Visite : Troisième Partie
Hélène : La contre visite : troisième partie
Je me réveille en sursaut, seule la faible lueur du réveil luit dans lombre de la chambre, Il est quatre heure trente. Je ne me souviens que vaguement de ce qui sest passé après ma jouissance.
Elles mont détachée, puis conduite vers le lit, où elles mont déshabillée. Elles mont couverte dune couette moelleuse, et se sont glissées, nues, chacune dun côté, me prenant dans un étau voluptueux. Jai sombré dans le sommeil.
Je peux distinguer à ma droite la blondeur de ma bourrelle, et sur la gauche la masse sombre de la chevelure de mon autre maitresse. Je referme les yeux, je projette les événements de la soirée sur lécran de mes paupières. Je glisse ma main entre mes cuisses, et je commence à me caresser. Je suis en train de pousser un soupir quand une main se plaque sur ma bouche, une autre me bloque entre mes jambes.
- Chut, vous allez la réveiller.
Jouvre les yeux, au-dessus de moi, je distingue la chevelure dHélène.
- Vous nêtes pas très discrète,
- Jai fait un rêve érotique, et il faut bien que je me soulage !
Ses doigts écartent les miens et fouillent mon sexe, écartant mes lèvres et plongeant dans ma vulve trempée.
Au passage, elle griffe légèrement mon bourgeon, marrachant un petit aie
Elle me branle doucement. Puis un doigt se glisse dans mon petit trou.
- Pas par-là, cest encore un peu douloureux,
- Je men moque, cest moi qui commande, et je fais ce que je veux,
- Mais
- Il faut que vous y fassiez, Mel ne vous prendra plus que par-là, et elle poursuit.
- Vous devez apprendre à vous donner comme ça, à genoux, cest la position préférée de votre maitresse, elle enchaine à voix basse.
- Et vous devrez aussi apprendre à vous agenouiller et tendre votre cul pour le fouet, vous verrez, cest très bon.
Elle embrasse mon sein, et aspire mon mamelon.
Elle me branle avec vigueur. Jouvre et je ferme spasmodiquement mes cuisses.
Lorgasme monte. Je mords mon poing pour ne pas crier. Je me cambre. Elle croque ma framboise. Le flash, je pars.
Elle dégage sa main de mes cuisses serrées. Je roule sur le côté, je me pelotonne contre elle, en chien de fusil. Je cale ma cambrure contre son petit ventre si chaud et si confortable.
Jatt son poignet, pour quelle empaume mon pauvre nibard martyrisé.
- Trop bon !!! fais-je à voix basse, avant de mendormir.
Je suis réveillée par un bruit deau. Normal, la salle de bain nest séparée de la chambre que par un mur de pavés de verre translucide.
Les deux femmes me tournent le dos. Mél savonne le dos de sa belle, puis glisse sur ses fesses.
Sa main se faufile entre les miches pour une toilette plus intime. La brune se penche en avant pour faciliter laccès de son sillon. Deux doigts enduits de savon sinsinuent dans son illet et le masse, puis le rince.
Hélène se redresse et se retourne. Elle pose sa main droite sur la tête de son amante, cette dernière sagenouille. Elle pousse son bassin en avant et écarte les genoux. Un filet doré jaillit, éclaboussant la poitrine de mon amie blonde. Mel se rapproche, le jet arrose son visage. Elle tourne la tête de droite à gauche en fermant les yeux, soffrant à la pluie dorée. Les doigts de son amante se crochent dans sa chevelure, elle ouvre la bouche. Hélène plaque le visage de sa soumise contre sa vulve ruisselante de pisse.
Bouleversée, je me détourne et mappuie contre la cloison de verre. Mon cur bat la chamade.
Une main saisit la mienne, et mattire sous la douche.
- Venez, on va soccuper de vous, puis Hélène continue
- Normalement, cest à la soumise de prendre soin du corps de sa maitresse et de son hygiène.
- Mais comme cest ta première fois, on va te chouchouter, renchérit Mél.
Et joignant le geste à la parole, elle commence à me savonner. Hélène laccompagne et me passe une éponge à peeling sur le corps. Mais elles en profitent manifestement pour me peloter. Je me laisse faire trouvant ce tripotage plutôt agréable.
Un main se glisse dans ma raie culière, et joue avec ma pilosité.
- Je mexcuse, je ne me suis pas fait épiler à cet endroit, jai eu honte.
- Ce nest pas grave si vous êtes propre, me répond Hélène.
- Oui, mais ces poils noirs, ce nest pas beau, rétorque la belle poule blonde.
- Alors, faites-vous teindre, propose la brune.
- Oui, fais-toi teindre en rousse, conclut Mél.
- Vous ny pensez pas ?
- Si bien sûr, en tant que ta maitresse, jai tous les droits sur ton corps et ta toison.
Elles me rincent, et ensuite nous nous essuyons mutuellement. Elles mattirent sur le lit et my allonge sur le ventre.
- Y-a du boulot, fait Mel.
- Je prends la droite, et toi la gauche, répond Hélène.
Quelques gouttes fraiches tombent sur mon cul. Elles commencent à pétrir mes fesses avec énergie. Je suis trop bien, je mabandonne, mieux je participe en ouvrant mes cuisses.
Cest une invitation, elles ciblent mon illet, elles étalent longuent sur mon petit cratère. Puis un doigt polisson le pénètre, bientôt rejoint par un autre. Ils entreprennent un massage fripon. Je soupire daise. Je suis moi-même surprise de ma complaisance, moi qui me considérait comme une coincée du cul.
- Cest bon, retournez-vous.
Je me mets sur le dos, les yeux toujours fermés. Elles se partagent le travail. Jidentifie les mains dHélène sur ma poitrine. Elle malaxe ma poitrine, sans oublier de pincer mes tétons. Quant à Mel, elle masse mon bedon et mes cuisses, évitant soigneusement de caresser mon sexe. Jen mouille de frustration. Je sens ma liqueur couler le long de mon périnée, de ma chatte à ma rondelle.
Je suis bien, je garde mes paupières fermées même quand je sens un appui à droite de ma tête. Une odeur de sexe féminin et de savon intime frôle mes narines.
Hélène sest placée à califourchon au-dessus de ma tête. Elle se penche en avant et saisit mes chevilles, elle lève mes jambes et les écarte, offrant ma chatte et mon trou du cul. Une langue humide caresse mon clitoris, puis elle descend jusquà ma rondelle, puis pousse sur mon anneau plissé et le pénètre, puis se retire.
Un objet arrondi se présente devant ma rosette. Mon sphincter résiste, mais la lubrification facilite son forçage. Le god me dilate et passe sans forcer. Je suis moi-même étonnée de la complaisance de mon anus. Mais depuis hier soir, plus rien ne me surprend. Maintenant que je suis empalée, Hélène repose mes jambes, légèrement repliées, pour me laisser accessible.
Elle se pose sur mon visage. Elle se dandine et colle sa rondelle contre ma bouche. Je glisse ma langue dans son anus. Celui-ci souvre et gobe ma langue. Je me pousse en lui, en même temps quil maspire. Je tourne mon muscle dans son rectum. Elle roucoule sous ma caresse. Je suis heureuse de la faire jouir.
Mon pistonnage anal redémarre. Jadore cette sensation dêtre empalée. Le leurre de verre coulisse sans peine, je peux sentir le délicieux frottement des reliefs du pal contre mon il de bronze. Je nai jamais connu un tel plaisir à la sodomie.
Ma jouissance monte, jhalète, la bouche dans la raie culière de ma domina. Dun coup, elle se laisse tomber, elle métouffe avec son cul, je bats frénétiquement des bras comme une noyée.
Je m, mais je nessaie pas de repousser ma maitresse.
Elle se soulève, je prends une grande goulée dair, Mel mempale avec brutalité. Mon anus explose et mon orgasme avec.
- Ça va ?
Mes deux maitresses sont penchées avec sollicitude au-dessus de moi.
- Tu as des orgasmes spectaculaires, ma belle commente Mel.
- Vous mavez tuée toutes les deux.
- Reprenez vos esprits. Il va falloir se rhabiller.
Nous nous rhabillons les unes les autres, ce qui leur donne encore loccasion de me tripoter.
- Dites Hélène, vous vous êtes fait mal aux fesses. Tout à lheure, sous la douche, jai vu comme un bleu.
Elle me fait un demi-sourire et ajoute.
- Ma chère Anne So, je suis une femme comblée. Jai un compagnon attentionné, un amant tendre et attentif, et un maître délicieusement cruel, qui sait me mener dans les chemins sombres de la perversion, et elle ajoute,
- Et tout ça dans le même homme.
Mel reprend alors.
- Moi cest pareil, une amie délicate, une amante câline et une maitresse si inventive.
- Au fait ma poulette, il faut que je te rafraichisse. Mets-toi à quatre pattes sur ton lit, et Hélène continue.
- Anne So, troussez-la et baissez sa culotte.
Je mexécute dévoilant la croupe de ma belle maitresse. Celle-ci me demande.
- Tiens-moi les mains.
Je magenouille près du bord du lit. Je lui bloque les poignets.
- Tu las rangée où, ma poule ? lui demande Hélène.
- Dans la commode, dans le tiroir du haut, ma chérie.
La chérie en question farfouille dans le meuble, et se place derrière sa soumise, la cravache à la main.
Mel fixe son égard dans le mien et arrondit ses lèvres dans un baiser muet. Puis elle baisse ses paupières. Elle frissonne.
Un sifflement traverse la pièce. Mel se cabre, elle ouvre des yeux exorbités, sa bouche souvre dans un hurlement muet et se met à trembler de façon incoercible.
Elle sabat sur le côté en geignant.
- Jai mal, jai trop mal.
Nous la prenons dans nos bras et nous la câlinons quand
Dring
- Ça sonne ! Ça doit être le brunch ! Anne So peux-tu ouvrir sil te plait.
Je cours à la porte. Derrière, un paquet de cartons plats cache à moitié le coursier.
- Mel, cest le livreur, quest-ce que je fais.
- Tu le mets dans la cuisine.
Je le guide jusquà loffice. Il pose les boites sur la table. Je peux lobserver. Il na pas le look deliveroo. Jean noir, chemise de la même couleur, les manches remontées sur les avant-bras, des souliers rouges bien cirés. Il fait ma taille ou un peu plus, je lui donnerai une bonne cinquantaine, crâne rasé, et une élégante barbe de trois jours.
Il reste là, près des paquets, souriant, les bras ballants. Je me sens un peu gênée.
- Je mexcuse. Je nai rien sur moi pour le pourboire.
Un énorme éclat de rire retentit derrière moi. Puis Hélène me contourne et enlace le livreur et lui roule un patin denfer. Ils se séparent.
- Anne Sophie, je vous présente mon chéri,
Il me tend la main. Un peu godiche, je la prends et je bredouille un vague bonjour.
Nous déjeunons tous ensemble. Pierre, en parfait majordome a dressé la table et étalé les mezzés et les sushis, et comme dessert, une salade de fruit frais. Notre pseudo- livreur fait le service, je suis même étonné de son aisance dans une maison qui nest pas la sienne. Cest un moment agréable, et en plus, ils ne monopolisent pas les échanges, ils mincluent dans leur conversation, et me laissent me mettre en valeur. On papote, on plaisante, on rit, mais on ne se chambre pas.
Et cest déjà la fin de laprès-midi.
- Bon ! Il faut que je rentre, et je poursuis.
- Quelquun peut me poser à la gare ?
- Vous ny pensez pas, lance Hélène. Elle continue.
- Chaton, tu peux déposer Anne-So ?
- Oui, mais tu me prêtes ta voiture, elle est plus facile à conduire dans Paris.
Le retour sest passé en silence, perdue dans mes pensées. Pierre a une conduite fluide et apaisée. Je nai pas vu le temps passer.
Il se gare pile-poil devant mon immeuble. Il descend, et mouvre la portière.
- Voilà, vous êtes arrivée.
Je bredouille une banalité.
- Je peux vous proposer un café.
- Je vous remercie, mais je suis un peu pressé de retrouver Hélène.
- Elle a de la chance de vous avoir, vous êtes si gentil, si tolérant, si conciliant.
- Vous vous trompez, je ne suis ni conciliant, ni tolérant.
- Mais Hélène
- Hélène est ma soumise, elle sera punie pour son inconduite.
- Punie, mais cest Mel qui a tout fait.
- Je suis son sultan, et comme tel, jai toute autorité sur elle, et il complète
- Ce soir, elle sera fouettée. Dailleurs, je suis sûr quelle est déjà en train de se faire préparer, et il conclut.
- Bonne nuit, Anne-Sophie.
Il me plante déboussolée sur le trottoir. Jouvre mon sac pour y prendre mes clés. La lumière du réverbère me renvoie un éclat bleu.
Pierre.
Hélène sest installée, penchée sur le dossier du fauteuil, Mel lui bloque les mains sur lassise.
Le chat à neuf queues est posé sur laccoudoir. Un petit tas de soie est entortillée autour de sa cheville.
Je fais voler sa jupe sur son dos. Son cul est à ma disposition.
Je caresse la croupe opulente avec les lanières du martinet. Ses fesses opulentes frissonnent dimpatience.
- Ça cest passé comment, le retour avec Anne-So.
- Très bien, pas de problème sur la route, et je continue
- Elle est à point.
- Ça tombe bien, moi aussi, ajoute-t-elle en frétillant du croupion.
Anne-So
Je me tourne et me retourne dans mon lit, je narrive pas à trouver le sommeil. Je fouille dans mon sac à main, et je récupère le rosebud. Je salive et je le lubrifie. Je le pousse, violant moi-même mon anus, je me branle en repassant sur lécran de mes paupières le film de mon week-end, lentre-jambe humide de Mel , le crochet, la flagellation, mon godage, la chatte dHélène, la toilette intime des deux femmes, la pluie dorée, mon enculage, lanus gouteux de mon amante brune. Et maintenant, jimagine Hélène flagellée sur le meuble. Jamais une baise avec un de mes amants ne mavait autant bouleversée. Il faut que je revoie Mél.
Je veux être à elles.
Epilogue : Mel
Au fait, vous demandez si jai réussi ma vente. Et bien non, aucune des trois maisons ne leur convenait.
Mais un jour, un bien est rentré. Jappelle tout de suite appelé Anne So
Elle vient seule : son mari lui a laissé carter blanche.
Je la récupère à la gare et nous partons directement en visite. Une fois dans lentrée, elle a prend mon poignet et pose ma main sur sa croupe. Sous la soie fine de la jupe plissée, je sens labsence de culotte. Je fais glisser mes doigts dans son sillon entre ses fesses. Cest tiède et moelleux, jinsinue mon index jusquà son anus. Je sens comme un objet dur. Cette coquine a gardé mon cadeau au chaud. Jappuie puis je relâche ma pression, elle soupire
Elle me sourit. Je lentraine dans un salon aussi grand que le mien.
- Tu vois, tu as de la place, tu pourras caser tous tes meubles et dautres que tu chineras dans la vallée
- Tu me donneras ladresse dun antiquaire spécialisé en mobilier british, fait-elle coquine.
Elle a été conquise et a acheté cette demeure. Et après ?
Cest une autre histoire.
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