La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 92)
(Suite de l'épisode 51 de la petite parenthèse avec 1 écrit d'une de mes meilleures
soumises)
Voici ce que je lui ai adressé comme à chacune et chacun d'eux :
Je veux que vous me fassiez chacun de vous une rédaction.
Voici le sujet : 'Nous sommes le matin 9h. Tu es informé que ton Maître viendra chez
toi cet après-midi à 14h. Il sais que tu seras seul (e) chez toi et exige que tu te
tiennes prêt (e) à l'accueillir.
Comment et que prépares-tu, pour que sa visite soit la plus réussie. Narre les
préparatifs et sa venue et la séance de soumission qui suit, laquelle tu réalises avec
Lui et heureux (se) de l'effec.''
Soyez imaginatifs. A vos claviers...
Ecrit par Astride :
Je métire, mes courbatures me font souffrir, et je jette un coup dil à ma montre. 9
heures, déjà trois heures que je suis réveillée, les habitudes ont la vie dures, même
quand je peux dormir, mon horloge biologique me réveille à 6 heures. Je suis déjà
rentrée de mon jogging journalier et je me questionne afin doccuper ma journée au
mieux. Il fait vraiment trop mauvais pour une activité à lextérieur, une piscine sera
parfaite pour me distraire. Mais avant de partir, il me faut contrôler mes mails.
Jattends depuis quelques jours, le programme de notre prochaine expédition étant
guide de montagne.
7 mails reçus, je regarde les adresses, quand tout dun coup mon regard se bloque sur
lune dentre elle. Je ne respire plus, je suis tétanisée, une excitation monte en
moi. Je connais bien cette sensation, dès que je vois cette adresse, je ne pense à
plus rien dautre ! Au diable, mon programme, mes activités prévues ou un rendez-vous,
une seule chose compte : Mon Maître ma écrit ! Le cur battant, jouvre mon courrier,
Il mavertit quIl va venir, et quIl sera là vers 14 heures ! Une poussé dadrénaline
me prend.
parfait pour accueillir mon Maître. Je me lève dun bon, je prends mon sac de sport,
et ne prends même pas le temps de le défaire. Hop, dans larmoire, puis je cours à la
salle de bains.
Tout en mépilant je réfléchis à ce que je dois faire avant larrivée de mon Maître.
Il me faut nettoyer lappartement, préparer le souper (je ne sais pas jusque à quelle
heure Il désire rester, mais mieux vaux tout prévoir), me préparer et surtout trouver
quelques objets qui plairont à mon Maître. Je sors complètement nue et me mets au
ménage, tout y passe; sol, vitres, poussière, je change même les draps. Après tout,
mon Maître vient me voir dans mon modeste appartement, il faut quil soit parfait pour
laccueillir. Tout en mactivant, je réfléchis au comment me procurer quelques jouets.
Jai beau adoré lendroit où je vis, mais habiter au fond dune vallée dans un petit
village, comporte quelques inconvénients. En effet, même si on trouve toutes les
denrées essentielles à la vie de tous les jours, il ny a aucun sex-shop à moins de 30
minutes en voiture. Et pas question de prendre 1 heure pour y aller !
Je jette un coup dil à ma montre, 12 heures déjà, je range le matériel de nettoyage,
mattable et avale rapidement un dîner frugal mais consistant. Pas question davoir le
ventre qui gronde lorsque je serais avec mon Maître. Je réfléchis encore, je nai pas
le choix, si je veux faire plaisir à mon Maître, il me faut prendre mon courage à 2
mains, rabattre ma fierté et aller demander, après tout, ça ne doit pas être plus dure
que faire de la cascade de glace ! Jenfile rapidement un short et un débardeur puis
je pars en courant à travers le village, quelques instants plus tard, jarrive devant
une maison un peu à lécart. Je sais que là habite un couple Maître/soumise car une
fois en allant faire mon jogging le matin, javais vu lhomme promener sa femme avec
une laisse dans le jardin.
un peu derrière lui et elle ne prend jamais la parole sans le questionner du regard.
Je sonne à la porte, les joues rouges dembarras, lhomme mouvre et me demande ce
quil peu faire pour moi. Je lui explique dune voix hésitante que mon Maître vient me
rendre visite aujourdhui et que je nai rien pour le divertir ! Il me regarde un long
moment, je baisse la tête, puis il me dit dentrer et dattendre près de la porte.
Quelque instant plus tard, il revient avec un carton fermé quil me tend.
- Voilà, chienne, tu ne louvriras pas, tu le donneras ainsi à ton Maître, je sais
quil appréciera ce quil y a dedans, après tout, entre Maîtres, il faut bien
sentraider ! Et ne tinquiète pas surtout, tous les objets sont neufs, je les ai
acheté hier et je nai pas encore eu le temps de les essayer avec ma soumise ! Tu
minspires confiance et je devine aisément que tu me ramèneras mon carton sans
problème. Mon bonjour à ton Maître.
Enfin il me tourne le dos et part comme si je nétais rien de plus quun meuble sans
intérêt. Je rentre chez moi un peu ébranlée par cette rencontre, cest en effet la
première fois que je parle à quelquun de ma soumission et pour dire la vérité, je
mouille encore plus quavant alors que mes joues sont, au contraire, rouge de honte.
Quelle sensation étrange. Lorsque jarrive chez moi, je nai pas encore réussi à
démêler mes sentiments, mais le temps nest plus à la réflexion, jai en effet tout
juste le temps de finir les lasagnes, de préparer la bouteille de cognac, de sortir le
verre pour mon Maître, que je dois immédiatement filer sous la douche, je me mets de
la crème, contrôle mon épilation, me maquille légèrement, pose le carton sur la table
basse et vais me mettre en position près de la porte.
Mon corps est nu, la seule chose qui lorne est le bracelet avec lannaux à mon
poignet.
Jattends ainsi quand jentends sonner 14 heures, je ne mouille plus, je coule, je
suis tellement excitée que je dois me faire puissance pour ne pas me caresser. Mais en
même temps jai peur; et si mon Maître était déçu, et si Il ne me trouvait pas la
hauteur ?
Mon esprit tourne à 100 km/h, je commence à paniquer, après tout mon Maître à sûrement
des choses plus importantes à faire que de venir me voir. Une larme coule le long de
ma joue, mais je ne bouge toujours pas. Quand tout dun coup, jentends des bruits de
pas. La poignée sabaisse et la porte souvre. Il est là, je le sens au plus profond
de mon être, seul Lui et cette prestance, cette autorité naturelle qui nous donne
envie de faire tout pour Lui plaire. La joie inonde mon cur, mais en même temps je
deviens rouge de honte. Jai osé douter de la parole de mon Maître !
Il sarrête devant moi, reste un moment immobile, sans parler, me regarde, ces
quelques secondes de silence me paraissent une éternité. Jaimerais faire de même mais
je garde la tête baissé. Il me prend le menton et me redresse doucement. Il me regarde
droit dans les yeux et semble lire jusquau fond de mon âme. De son pouce, Il essuie
la larme de ma joue.
- Une larme ? On en reparlera plus tard ! Maintenant jai quelque chose pour toi !
Il se met à chercher dans ses poches, je me sens encore plus honteuse, non seulement
Il est venu, mais en plus Il mapporte un cadeau ! Et moi qui doutai de Lui ! Il sort
un collier de sa poche et me le mets puis Il prend une laisse quIl mattache au cou.
Toujours sans un mot, il me fait mettre à 4 pattes et part visiter lappartement. Le
collier est conçu de telle façon que si je navance pas à la même vitesse que Lui, il
se ressert, japprends donc rapidement à marcher dans ces traces.
de lappartement, Il revient au salon et sassoit sur le canapé. Il me fait un petit
signe de main et je Lui sers rapidement un verre, puis je me mets à genoux devant Lui
en position dattente.
Puis il se penche au dessus de la petite table de salon, voit et prend le carton mis
en évidence (sur lequel javais inscrit dessus au marqueur : A lattention de mon
Maître) et tout en louvrant, Il me demande doù il vient. Je Lui explique.
Jentends aussi le bruit dobjets que lon déballe, je suis curieuse, de voir ce que
cest, mais mon Maître ne ma pas permis de bouger alors je reste statique. Quelques
minutes plus tard, Il se tourne vers moi et redresse ma tête.
- Pourquoi pleurais-tu lorsque je suis arrivé ? me demanda-t-il calmement.
Je reste sans voix, je nose pas Lui répondre, puis finalement je murmure :
- Jai
Jai pensé que Vous ne viendriez pas.
- Plus fort, répète plus fort chienne, je veux être sûr davoir bien compris.
- Jai pensé que Vous ne viendriez pas Maître ! Je sais, je suis désolée mais jai
douté de Vous.
- Ah ! Et est-ce que je tai donné limpression durant toute notre relation que je ne
tenais pas mes promesses ?
- Non Maître, je suis désolée.
- Alors, que proposes-tu pour te faire pardonner ?
- Punissez-moi, Maître. Sil Vous plait.
- Avec plaisir, ma chienne, avec plaisir. Mais viens me sucer pendant que je réfléchis
à ce que tu mérites.
Alors, je mapproche de Lui avec diligence, je déboutonne sa braguette et je sors son
sexe à moitié mou. Puis je Le prends dans ma bouche. Il durcit assez vite. Cest
divin, Le sentir là au plus profond de ma gorge, chaud, dur et sentir sa main
empoignant ma chevelure pour me donner le rythme adéquat est la chose la plus belle
que je nai jamais ressentie. Malheureusement, même les meilleures choses ont une fin
et je savais que ma punition sera à la hauteur de mon affront.
Bien trop vite à mon goût, Il me fait redresser la tête et débarrasser la table. Puis
Il mordonne de me coucher sur cette dernière à plat ventre et mattache aux quatre
pieds avec les menottes trouvées dans le carton. Il me bande les yeux, je lentends
prendre quelque chose dans le carton, enfin je le sens quIl me tourne autour. Je suis
tétanisée, la peur sinsinue en moi de même quune excitation grandissante. Tout dun
coup, je sens la main ferme et chaude de mon Maître sur ma croupe. Elle est douce,
leffet est instantané, je nai plus peur, mon Maître est là. Il me murmure à
loreille :
- Compte fort et noublie pas de remercier surtout.
Une vive douleur se répandit dans mon corps, je venais de recevoir un coup de fouet
sur les fesses. Après tout jaurais du me douter quIl choisirait cet instrument,
nest ce pas ce que lon utilise pour faire obéir un animal récalcitrant.
- Un, merci Maître !
Les coups senchaînent à une cadence irrégulière, la douleur et le plaisir se
superposent. Je ne sais plus se que je ressens. Au 7ème coup, ma voix se brise, mais
je mefforce quand même de continuer à remercier. Au 10ème coup jétais en larme mais
aussi tout proche de lorgasme. Je ne vois toujours pas ce que fait mon Maître, mais
je sens quelques chose de froid sur mon fondement, je me débats. Jamais personne ne
ma pris par là ! Un coup de fouet sabat en travers de mon dos, je marrête
instantanément. Cest mon Maître qui est avec moi, je ne dois pas loublier, mon corps
et mon âme Lui appartiennent et Il en fait ce quIl estime le plus juste !
Il enfonce un doigt, puis un deuxième, bientôt cest sa grosse et raide bite que je
sens, Il senfonce dun coup profondément, Il me déchire, une plainte méchappe. Mon
Maître me besogne violement, puissamment, je sens ses bourses taper contre mon cul à
chaque passage. Je ne suis plus moi, je ne suis même plus son esclave, je suis juste
un trou quIl utilise comme Il le désir. Ses coups de reins, saccroissent, je suis
laminée, épuisée, mon orgasme est tout proche et malgré la douleur jexplose, je jouis
comme jamais ça ne métais arrivée. Il senfonce encore une fois de toutes ses forces
et Il éjacule dans mes entrailles en de longs jets chauds qui sinondent en moi. Il
reste un moment sans bouger dans un profond coït. Je suis inerte, je ne bouge plus et
je sens le sommeil venir. Puis Il se retire, menlève le bandeau et me caresse la tête
comme on caresserait un chien. Il se penche vers moi et me murmure:
- Dors ma petite catin, dors un moment, car quand tu te réveilleras je te ferais
découvrir ce que je vais faire avec le reste du contenu du carton et tu auras besoin
de toutes tes forces.
Jentrouvre mes yeux une dernière fois, Il est là, Il est beau, je peux dormir en
paix, je sais quIl sera là lors de mon réveil. Jen doute pas une seconde, la leçon à
porter ses fruits
.
Pour vous mon Maître, votre esclave à Vos pieds,
esclaveAstride
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