Le Petit Commerce A Du Bon

Gabriel vingt et un ans et moi Anaïs vingt ans sortons ensemble depuis l’école
primaire, nous vivons en couple depuis peu, ayant trouvé un loyer pas cher dans une
ancienne ferme a l’extérieur d’un petit village pour pouvoir ainsi quitter le
domicile de ses parents très gentils il faut le dire, mais chez qui nous ne pouvions
assouvir pleinement nos fantasmes, quel plaisir de nous courir après nus en dehors de
ma maison
Gabriel aime mon coté exhibitionniste, lors de fêtes entre copains ou partout ou
l’occasion se présente je n’ai pas peur de montrer mes seins et ma petite culotte, il
est fier de mon corps et j’aime me sentir désirée, un jour il m’a même ‘ prêtée ‘ a
deux de ses amis tandis qu’il filmait nos ébats pour avoir un souvenir a regarder lors
de nos soirées intimes a la maison
Gabriel a un bon boulot qui nous permet de vivre correctement moi je cherche du
travail mais il est dur d’en trouver c’est l’inconvénient de la campagne ainsi que
pour faire les courses heureusement un épicier fait une tournée deux fois par
semaines, il entre dans notre grande cour pour venir juste devant la porte, le souci
c’est qu’il commence sa tournée par nous le matin de bonne heure je ne suis pas
toujours apprêtée décemment
- Dit moi Anaïs tu ne m’a jamais dit comment était ton épicier ?
- Benn, c’est un homme d’une cinquantaine d’années, il aime bien plaisanter il a
toujours une vanne à me sortir !
- Donc il est bel homme sinon tu m’aurais dit que c’était un vieux con, il ne te
drague pas ?
- Il est bien conservé et c’est vrai qu’il me détaille de la tête aux pieds
- Qu’attends-tu pour lui montrer tes charmes ?
- Jamais sans ton accord chéri tu le sais
- Alors tu l’as …
Puisque Gabriel est OK moi ça m’excite ! Le lendemain je me pointe au fourgon le
corsage assez ouvert pour que mon soutien gorge bien remplit soit apparent
- Bonjours ma petite dame.

.. Hooo, les pamplemousses sont beaux cette année !
- Haha !il parait aussi que les abricots seront bien juteux !
- J’aime quand une femme a de la répartie ! j’ai aussi de la belle banane bien
cintrée en plus grosse bien sûr ! Mais je préfère la figue …
- Vous êtes blagueur !! a vendredi ?
Le soir je raconte tout ça à Gabriel
- Oh c’est du léger ! tu peux faire mieux je le sais
- Comme tu veux chéri demain je lui fait voir carrément mes seins
- hé ben voilà !
Le vendredi je passe sur moi un grand teeshirt de mon copain sans rien dessous,
l’épicier arrive, heureusement que personne ne peut me voir sortir comme ça on me
prendrait pour une folle, il est tellement sidéré qu’il en perd la parole !
- Bonjours monsieur
- Eeeeeuuuh, moi c’n’est pas monsieur c’est Paul
- Bonjours Paul moi c’est Anaïs, alors qu’avez-vous de beau aujourd’hui ?
Je me penche vers sa vitrine exposant ainsi la mienne de vitrine ! La large encolure
du vêtement baille tellement que mes seins sont visibles sans chercher à mater, si il
le veut il peut même apercevoir ma toison pubienne !
- Je vais avoir du mal à faire ma tournée après ce que je perçois ! mes autres
clientes seraient plutôt du genre vieille bique !
- Oh excusez moi je n’ai pas eu le temps de m’habiller
- Rassurez vous Anaïs ça ne me choque pas c’est un plaisir de vous voir ainsi
habillée ou plutôt déshabillée !
- Je pourrais revenir comme ça alors ?
- Huuuummmm, je crois que je vais avoir une attaque ! j’en suis tout ému
- On le serait a moins je vous comprends …ça fait cintrer les bananes ….
Y’en a qui seraient descendus du fourgon pour me sauter car je suis sure qu’il bande
comme un taureau, mais cet homme a quand même du respect pour la femme que je suis il
sait se contenter de ce que je lui offre, Il est repartit rouge comme une tomate, sans
doute s’est il arrêté plus loin pour se masturber, le soir après m’avoir embrassée
Gabriel me pose la question …
- Hé bien ce matin je suis sortie avec ton grand teeshirt… mais sans rien
dessous
- Vouuaahhh ! et alors ?
- Il était complètement affolé, il a eu tout son temps pour mater mes nichons et
peut être mon pubis, il devait avoir une de ces trique !
- Hé ! regarde la mienne ! la suite c’est quoi ?
- Tu veux que j’aille plus loin ? je ne veux pas me faire sauter en ton absence
- Sauter non, quoique... on verra plus tard y’a encore des trucs à essayer
avant…..aller vient dans la chambre femelle dévergondée !
Nous avons fait l’amour comme des bêtes avec en pensée la présence de cet épicier,
j’ai jouis en hurlant son prénom en même temps que Gabriel déversait sa semence au
plus profond de mon ventre, après j’ai réfléchis a un stratagème pour coincer cet
homme qui je l’avoue m’attire de plus en plus
Lundi, le fourgon entre dans la cour, je sors habillée comme la dernière fois, il me
regarde venir comme si ma tenue était naturelle
- Qu’est ce que je vous sers aujourd’hui Anaïs ?
- Avez-vous des pèches ?
- Ah non mais demain matin je vais au marché de gros ce sont les premières je
vous en amène mardi matin
- Mais ce n’est pas votre jour de tournée ?
- C’n’est pas grave je viendrais de bonne heure si ça ne vous dérange pas
- Pas du tout mais de bonne heure je risque d’être encore moins habillée !
- Muuummm moins c’est nue !!
- On verra, a demain !!
Arrivée au pas de la porte je fais exprès de faire tomber mon porte monnaie, je me
penche sans plier les genoux résultat le teeshirt remonte, ma tirelire est saillante
entre mon fessier rebondi complètement découvert, je lui laisse le temps d’admirer la
vue, le camion qui démarrait cale ! Un coup de klaxon en remerciement et je rentre
vite ! Le pauvre gars s’est surement une nouvelle fois arrêté plus loin pour se
soulager, moi je me suis masturbée dans un fauteuil en l’imaginant se secouer la queue
Le soir Gabriel aussi bande quand je lui raconte
- Que va-t-il se passer demain chérie ?
- Beeennn je ne sais pas je suis peut être allée trop loin ?
- Tu ne peux plus te défiler sinon il va te prendre pour une allumeuse
- Ou pour une pute !!
- Passe aux attouchements ça devrait le satisfaire et toi aussi !
Le lendemain matin a huit heure une voiture entre dans la cour, c’est lui, je suis
encore en nuisette tant pis je reste comme ça, il va voir tout de suite sous le tissus
mes seins déjà durs et ma toison qui ne va pas tarder à s’humidifier
- Entrez Paul
- Oh ! excusez-moi, si vous voulez je peux repasser un peu plus tard
- Vous désirez vraiment que je passe un autre vêtement ?
- Pour être sincère …NON ! voici vos pêches
- Elles sont magnifiques combien vous dois-je ?
- Je suis déjà largement payé avec la vue qui me ravit !
- C’est trop gentil je ne veux pas passer pour une femme vénale ! Asseyez vous
je vous fais un café
Je verse le café dans sa tasse il est assis je suis debout tout prés de lui mes seins
a hauteur de ses yeux soudain une main effleure le creux de mon genou je ne bouge
plus, il comprend que je suis prête à me laisser toucher, la main remonte a
l’intérieur de ma cuisse, je dois poser la cafetière si je ne veux pas la lâcher
- Attendez Paul ……
En un éclair je fais passer par-dessus ma tête la nuisette encombrante puis je viens
m’installer sur son genou, il m‘enlace a la taille et l’autre main vient se nicher
antre mes cuisses ouvertes, je pose ma tète sur son épaule et ma main sur l’énorme
excroissance de son pantalon, un doigt joue avec ma fente il n’ose pas me pénétrer,
alors je le provoque en tirant sur la fermeture éclair de sa braguette
- Enfonce ton doigt Paul caresse moi la chatte j’en ai envie depuis longtemps
- Ooohhh quelle adorable minette on dirait une chatte de poupée, un seul doigt
la remplie
- Tu serais surpris de voir ce qu’elle peut avaler ! Aide moi à sortir ta queue
je veux voir cette banane !
- C’est qu’elle est bien coincée maintenant ! ….. voilà la bête !
- Vouuuh c’est vrai qu’elle ressemble a une banane quel beau fruit
- branle-moi Anaïs
Sans prononcer un mot nous nous caressons mutuellement, assise sur sa cuisse sur le
bout des fesses il fouille ma caverne avec deux doigts maintenant ma mouille coule
entre ses doigts pour former une flaque sur le carrelage, je prends un réel plaisir à
faire coulisser cette peau très souple, nous râlons tout deux de plus en plus fort
- Je vais jouir Paul …
- Moi aussi chérie
- Décharge au creux de ma main
- Attention ça vient Aaaaaaaaaahhhhhhhhhhhh
- Ouuuuiiiiiii c’est boooooooonnnnnnnnnnnnnnnn
Je recueille la précieuse liqueur tandis qu’il me tend ses deux doigts à lécher, je
m’exécute avec joie j’adore la saveur de ma mouille, puis en le fixant je tire la
langue et lape son sperme chaud dans ma main, je me penche vers lui mes lèvres sur les
siennes il ne refuse pas ce baiser spécial, je lui redonne la moitie de sa semence
qu’il avale sans broncher et je bois le reste
- Nous venons de communier Paul nous somment compère pour toujours
- C’est un grand honneur, je n’y faillirais jamais ! …Anaïs
- Oui Paul ?
- j’aimerais te faire une proposition
- Indécente j’espère !!...............
A SUIVRE