La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 93)

Nouvelle histoire avec l’arrivée de l’esclaveAsdtrideMDE au Château !

L’arrivée d’esclaveAsdtrideMDE au Château

Je m’appelle esclaveAsdtrideMDE et j’avais enfin obtenu de mon Maître le Marquis
d’Evans, l’autorisation de venir chez lui au château. Et c’est donc après une longue
route de quelques heures que je traversai un village après avoir quitté l’autoroute,
comme mon Maître me l’avait indiqué via le Net. Une fois ce village traversé, un
panneau indicateur m’indiqua ‘’Domaine et Château des Evans, 5 kilomètres’’. Je pris
donc cette départementale peu large. A petite allure, au bout de plusieurs et longues
minutes, je vis sur la droite un très long et haut mur longeant cette petite route de
campagne arborée de chaque côté de chênes centenaires, qui du côté du mur étais
plantés à l’intérieur et donnaient un impressionnant ombrage. Puis environ 800 mètres
plus loin, le mur fut interrompu par une immense et haute grille de fer forgée qui
séparait la suite du mur qui ne paraissait pas finir, tellement il se perdit dans mon
regard au lointain. Une impressionnante corniche, forgée elle aussi, surplombait la
grille où l’on pouvait lire « Château des Evans ».

J’allais stopper le moteur quand la grille s’ouvrit automatiquement sous mes yeux et
je compris que ma visite avait déjà été remarquée. En effet des caméras de vidéo-
surveillance m’avaient sans aucun doute repérée. J’enclenchais donc la première et
m’engouffrais enfin dans le fameux domaine du Château. Celui-ci était flanqué devant
moi, environ 100 mètres plus loin. Sur cette distance des pelouses parfaitement
vertes, entretenues et ornées ci et là de statues grecques, des massifs de fleurs
travaillés par les meilleurs jardiniers. Une allée de graviers rouges marrons donnait
à l’ensemble une idée d’un entretien parfait des lieux.

Le château imposant était à
lui seul un pur chef-d’oeuvre d’architecture. Et des siècles d’Histoire semblaient me
parler à la simple vue de l’édifice.

Je stoppais ma voiture en bas du volumineux perron dans la grande cour quand un homme
grand à la démarche solennelle sortit du château. Je compris que ce devait être Walter
tant il avait tout dans l’allure d’un majordome. Il tenait en main un collier. Je
descendis de mon véhicule quand l’homme arrivait à pas lent vers moi. Il stoppa et me
dévisagea des pieds à la tête d’un air sévère sans aucun sourire. Puis un silence de
quelques secondes qui me paruT une éternité. Enfin, il ouvrit la bouche. Il fut assez
laconique en me disant simplement :

- Bonjour, je suis Walter, vous ne pouvez être qu’Astride. Suivez-moi, j’ai des ordres
très stricts à votre sujet.
- Bon … Bonjour Monsieur Walter, je … Je …, balbutiais-je avec timidité
- Vous n’avez rien à dire, suivez moi et ne dites rien, coupa court Walter d’un ton
sévère

Je suivis donc cet homme avec mon cœur qui battait à cent à l’heure, mes jambes
tremblaient car j’étais si impressionnée par la froideur de ce majordome que je
n’osais rajouter un mot. De plus je savais pourquoi j’étais là, je l’avais accepté,
assimilé et je venais pour me soumettre à mon Maître et donc je me devais de commencer
de suite à obéir au ‘’bras droit’’ du Marquis d’Evans. D’ailleurs en suivant son
domestique je sentis mon bas ventre s’émoustiller. Une sensation peu banale pour moi
dans un lieu peu banal. Il me fit entrer par une petite porte en chêne verni, basse et
dérobée sur l’arrière du château que l’on contourna au préalable. Walter actionna une
grosse poignée forgée et les gongs grincèrent quand la porte s’ouvrit. Je perçu de
suite l’obscurité et l’humidité qui régnaient ici. Le majordome sortit de sa poche une
lampe électrique et me dit simplement.


-Nous allons descendre ces escaliers de pierres, ils sont étroits, abrupts et
glissants. Alors faites attention de ne pas tomber, ils vont en colimaçon dans les
entrailles du château.

Tout en me disant cela, il m’installa le collier et une laisse autour de mon cou. Puis
il tira doucement sur la laisse m’obligeant à le suivre. Je le précédai avec
appréhension en me tenant à la corde qui faisait guise de rampe pendant toute la
descente qui me semblait à n’en plus finir. La lumière de la lampe de Walter qui
marchait devant, donnait une lugubre atmosphère et le temps me durait d’arriver en
bas. Seule la résonance de nos pas se fit entendre. Quand nous arrivâmes à la dernière
marche, le valet ouvrit une autre porte qui semblait rouillée sur ses gongs car il
fallut que le domestique donne un coup d’épaule pour qu’elle puisse s’ouvrir. Enfin de
la lumière artificielle par un éclairage de néons apparut dans le long et étroit
couloir aux murs de pierres équarries. Sur le sol de simples dalles grises et unies
sans décoration.

Mais mon regard se porta sur ce que je vis de suite. En effet environ tous les 3
mètres de chaque côté du couloir, les portes de cachots et je compris que nous étions
dans les profondeurs du château, dans la crypte du château. Walter me mena au fond du
couloir dans une pièce à la porte entrebâillée, C’était une immense cave à vins.
Effectivement les étagères de milliers de bouteilles de Grands Rouges étaient exposées
sur tous les côtés de la cave. Il y avait aussi d’innombrables tonneaux de vins
couchés à l’horizontal et empilés et en rangées sur 3 hauteurs de tonneau et par
dizaine sur la longueur. Chaque tonneau devait avoir une contenance de 200 litres. On
aurait cru une caverne d’Ali Baba d’un grand producteur. Je m’imaginais pendant
quelques secondes la fortune de cette cave où certaines bouteilles des plus grands
Crus devaient certainement datées.
Walter se mit subitement à me tutoyer :

- Nous voici à la cave du château. Pas de chichi ici, déshabille-toi et couche-toi ici
sur le dos sur cette large planche.

En effet, au milieu de la cave il y avait 4 tonneaux exposés à la verticale à distance
égale et qui formaient ainsi un large espace carré qui faisait office de pieds de
table car de larges planches unies étaient posées dessus et formaient ainsi un plateau
de table parfait à hauteur d’un mètre du sol. Sachant que je ne pouvais contester les
ordres de mon Maître exprimés par la bouche de son valet, j’obtempérais. Même si me
dévêtir devant cet homme me gêna un peu, je ne tardais pas à me retrouver toute nue.
Je m’installais donc sur le plateau comme exigé. Le majordome m’attacha les pieds à
des crochets vissés au plateau, ce qui m’obligea à rester les jambes écartées et à
avoir mon sexe largement ouvert et offert à la vue. Mais il me laissa les mains
libres. Je n’avais pas le choix, je devais rester couchée ainsi. J’étais là attachée à
cette ‘’table’’ insolite tel un chien à sa niche, à la différence que je devais rester
dans la position couchée, la tête regardant le plafond en pierres en arc voûté

- Ton Maître sait ton fantasme et il exige que dès ton entrée au château, tu puisses
assouvir ton rêve. Alors tu devras sucer tous ceux qui ont pour ordre de venir te
voir, et les laisser jouir dans ta bouche, oui tu n’es qu’un trou, un trou de putain.
Ha ! ha ! ha ! dit le majordome en sortant.

En sortant donc il laissa la porte entrebâillée de nouveau. Alors commença l’attente
qui ne dura guère. En effet, quelques minutes plus tard, des bruits de pas sur les
dalles firent écho dans toute la cave. Je frissonnai en tournant la tête et regardant
qui venait. Serait-ce mon Maître ? Je n’osais l’espérer. Mon espoir fut vite retombé,
c’était un géant black, nu à la verge déjà en une impressionnante érection.
Il avait
un tatouage sur la poitrine des armoiries des Evans et un matricule tatoué :e983MDE.
Il me sourit, s’avança, et me mit son sexe sous mon nez. Il me dit simplement 2 mots
laconiques :

- Suce chienne

Voilà, tout était dit. J’ouvris la bouche et commençai à le sucer. Je lui caressai les
couilles, tout en allant et venant sur son sexe. Il ne dura pas très longtemps, sans
doute très excité par la situation. Il se retira, jouit sur mes seins et ne dit aucun
mot quand il prit mes cheveux, s’essuya dessus et sortit sans prononcer autre parole.

Il n’y avait pas 1 minute que le black était parti qu’un autre homme arriva. Nu lui
aussi, il portait le matricule e839MDE. C’était un petit gros obèse environ la
soixantaine, moustachu à lunettes et aux airs vicieux dans ses yeux. Il avait déjà le
sexe en main, entra sans rien dire et me prit la bouche. Son sexe assez long se glissa
jusque dans ma gorge, et il me laissa à peine la place, de temps en temps, de
respirer. Très bientôt, ses saillies énergiques le firent éjaculer dans ma gorge
profondément, et il repartit, encore sans dire un mot… Je me rendis compte en le
voyant partir qu’il ne m’avait même pas regardée dans les yeux une seule fois. Je me
sentis vraiment humiliée mais aussi paradoxalement très excitée.

Il y en eut d’autres, principalement des esclaves du Marquis. Mais aussi des hommes du
personnel. Des aides cuisiniers, le secrétaire du Marquis, les jardiniers…. Je ne les
comptai pas. Ils jouirent sur mon visage, sur mes seins, souvent dans ma gorge.
Certains me dire de laisser leur sperme couler de ma bouche sur mes seins. Certains
jouirent dans mes cheveux. Un ou deux se masturbèrent devant moi, la plupart se firent
sucer. Quelques-uns me baisèrent la bouche, forte, vite, en m’insultant. Ils
essayaient de me couvrir de honte, et pas seulement de sperme. Cela m’excita à chaque
fois, et je pensais à mon Maître, qui me regardait peut-être par un caméra peut être
caché dans un angles mural de la cave.

Au bout d’un moment j’aperçu une longue file d’attente par la porte entrebâillée. Il
devait y avoir une bonne vingtaine d’hommes, tous nus, sexe en mains en train de se
branler et qui attendaient leur passage dans ma bouche.
Le premier de cette subite file d’attente s’avança. Il me dis simplement en te tirant
par les cheveux.

- Tu n’es qu’une salope de chienne

Et il s’enfonça dans ma gorge et appuyant sur ma tête légèrement relevée par ses
massives mains il me força à suivre son rythme puis au bout de quelques minutes il se
retira d’un coup et je sentis du sperme chaud m’éclabousser le visage, comme si cela
n’allait jamais finir. Je sentis sa semence couler sur mon visage.

J’étais comme folle. Je ne sentais rien d’autre que du sperme, qu’un trou à sperme.
Les queues se succédaient, les insultes, les pincements et les claques sur mes seins…
La situation m’excitait tellement que je voulais jouir !! Je voulais qu’on me prenne,
qu’on me doigte, qu’on me lèche, n’importe quoi ! J’avais tellement envie de jouir

Quand le dernier homme de la file d’attente s’approcha de moi, je vis que c’était
Walter. Il était nu et j’avoue ne pas l’avoir reconnu tout de suite sans habit. Il me
lança avec perversité :

- Maintenant que tu sucé tout le château, à part ton Maître qui te réserve une autre
surprise mais uniquement pour son plaisir, je ne vais pas me faire sucer moi … je
vais te baisser, chienne. Je ne doute pas que tu es trempée.

Montant sur le plateau et me chevauchant avec sa verge, il passa le long des cuisses
jusqu'au pubis, puis dans l'entre–jambe. De petits coups secs de sa verge tendue
claquaient comme un fouet sur mon sexe et tout en étirant et écartant mes lèvres
vulvaires trempées, il me pénétra d’un coup à une cadence inouïe à grands coups de
boutoir profonds. il ne tarda à me déclencher un orgasme puissant quand il éjacula
comme un taureau dans de longs râles bestiaux.

(à suivre …)

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