Histoire De Sexe Sans Titre.

le train de 19h05, entrait en gare avec dix minutes de retard.il faisait déjà nuit
depuis plus de deux heures.dehors il faisait froid,je n'avais qu'une envie me mettre a
l'abri de cette bise hivernale qui renforçait encore cette sensation de froidure.le
train s'arrêta sur le quai numero 12, dans un long crissement aigu de freinage et de
feraille.j'ouvre la porte et monte à bord.dans le compartiment,il y avait deux gars
occupés à se bécoter,a se rouler une belle.ca n'avait pas l'air de les déranger de
sentir un regard insistant posé sur eux.je m'etais installé de telle manière, a ne
rien rater de leurs ébats.l'un d'eux un grand gaillard,a la peau laiteuse me toisait
un moment.il me souriait puis frotta énergiquement la paume de sa main contre la jolie
bosse qui s'offrait à lui, entre les jambes de son mec plus âgé que lui.je ne pouvais
m'empêcher de me toucher.étais ce inconsciemment ou étais je déjà excité par leur
manège? c'est a ce moment là qu'ils se sont tout les deux levés pour venir s'asseoir
de chaque côté de moi.
-ca t'excite de nous mater fit le plus âgé,dimitri.il me pelota l'entrejambe.
-IL bande,j'espère demanda alan.
-ouais.elle est dure,la salope.la porte du compartiment s'ouvrit sur un contrôleur.il
semblait les connaître et leur lança.
-salut les fripouilles.toujours occupé a draguer les voyageurs.Dimitri glissa une main
entre les cuisses du contrôleur.
-ne me dis pas que cela te laisse indifférent,Polo. t'es pas devenu subitement
insensible. et puis,murmura t-il en me regardant d'un sourire narquois avant de
poursuivre..tu mets toujours mon Polo,des sous-vêtements de femme sous ton joli
uniforme.Alan ne disait rien.il me branlait lentement.je sentais sa main frotter
contre mon sexe.ou étais je tombé?j'etais pas très rassuré entre ses deux types et ce
contrôleur que Dimitri déshabillait.

il voulait me montrer et s'employait a descendre
la braguette du contrôleur et a déboutonné son froc.il portait un string rouge en
dentelle.Polo arborait sous le délicat tissu ajouré une belle tige que l'on pouvait
voir.
-méfie toi de lui ajouta Alan,c'est un contrôleur de mes deux.le gentil Polo,ne l'est
pas toujours.le train était lancé a travers la plaine environnante .il allait
commençer bientôt par monter les premiers contreforts de la montagne ou il neigeait
abondamment depuis peu.il n'y avait plus d'arrêt ,juste au bout le terminus de ce
train.Polo baissa son froc sur ses chevilles.Alan avait ouvert mon froc et sortit ma
queue.il me sucait.il était assez maladroit.c'etait une petite fellation.il sucotait
mon gland et n'allait guère plus loin.
-il manque de pratique m'avoua Dimitri.mais il a un beau petit cul étroit,si tu veux y
gouter.Dimitri se pencha au dessus de ma queue et deux belles bouches gourmandes
lèchaient,se disputaient leur pitance et s'en nourissaient avec délectation.je tendis
la main pour branler Polo.il baissa son string et me mit sa bite entre les mains.une
queue fière,magnifique a qui j'avais envie de tailler une pipe. il s'etait agenouillé
sur la banquette en moleskine et je n'avais plus qu'a tourner la tête pour être face a
sa bite..son gland était humide,tiède.j'en fis le tour avec ma langue,lèchant
délicatement ce bout décalotté,le méat,lui titillant l'urètre.il frémissait déjà.il
n'allait pas tenir longtemps le contrôleur.c'etait une espèce d'ejaculateur précoce
mais j'adorais ce genre de type.je savais que j'allais prendre l'ascendant et que je
pourrais mener les ébats a ma quise.j'adorai l'odeur lavande de sa queue qui
m'imprégnait les narines et le petit gout salé qui pointait au bout de son gland.une
petite bave annonciatrice d'un déluge imminent.il haletait le malheureux.et je lèchait
toute la longueur de sa bite qui entrait de tout son long dans ma bouche.les deux
petits cons qui s'escrimaient pitueusement sur ma queue apparaissaient comme des
amateurs,des manchots.Polo était au bord de l'implosion.il ahanait,suait a grosses
gouttes.
-aahhh,oh.oui.ralait-il.le visage tout rouge,le souffle court.les deux autres le
regardèrent un peu jaloux de n'etre pas a sa place.Polo hurla sa jouissance,suivit
d'ungrognement de bête terrassé a qui on venait de vider les couilles.il jouissait
abondamment et était généreux de son jus qu'il ne semblait pas distribué avec
parcimonie.un jus qui m'ouvrait l'appétit qui ne me sevrait nullement et j'avalais
goulument comme en manque,vampirisant ses couilles jusqu'a les assécher.le contrôleur
retira sa bite,laissant ma bouche vide ..il était là,les bras ballants,la queue
suspendu a son ventre grassouillet.j'aurais voulu lui donner une fessée,le corriger.
-lequel tu veux lui demandai-je,les désignant tout les deux du menton.
-Dimitri répondit Polo. tu suces merveilleusement.tu m'as épuisé.j'en ai encore mal
aux couilles.je m'emparais durement ,de la main gauche,les serrant fortement entre mes
doigts comme pour les écraser,les réduire,les pulvériser .il se lècha les lèvres en
esquisant une grimace de douleur,me jetant un regard de soumission,de détresse.
-aie.s'exclama t-il.vous me faites mal.
-tant mieux.je t'imagine vêtue comme une pute.t'as ce genre de vêtement.Polo acquiesca
de la tête,des larmes dans les yeux.
-bon.occupe toi de Dimitri.ils allèrent installer sur la banquette d'en face.dehors,il
tombait maintenant de gros flocons qui commencait a recouvrir les champs et les
arbres.a travers la vitre,on pouvait a peine distinguer les villages,les toits des
maisons blanchis par cette nuit sombre.le blondinet continuait a me sucer de façon
mécanique.je l'obligeais a se relever pour immédiatement lui déboucler la ceinture de
son froc et descendre son froc le long de ses jambes.il était mignon dans son boxer
fuschia sous lequel se formait une petite bosse.il ne devait pas etre gâté par la
nature.un long corps longiligne,a la peau mate que j'humais a lui ôtant son pull-over
a col roulé et son t-shirt blanc immaculé.il se dégageait de lui,une odeur de
propreté.je lui pinçai les tetons ce qui l'eveilla,le rendit moins consentant,plus
entreprenant lorqu'il m'attrapa les couilles et me défia de son regard noir,comme pour
me dire : " pince moi encore les tetons et tu verras ce qui va t'arriver:"je lui
repincai les tetons et sa main se reserra autour de mon sexe.le train freina
brutalement.alan fut déséquilibré et tomba de tout son corps sur moi.je lui planta les
dents dans son mamelon.il hurla et je sentis qu'il était hyper excité.son mamelon
entre l'etau de mes dents était malmené,machouillé,mordu et que cela le déstabilisait
complétement,le rendait moins arrogant.son tetons était si fragile,si petit et d'une
sensibilité exacerbé.j'en sucai l'extrême fragilité,la ténacité qui semblait s'en
extirper miraculeusement.cette minuscule pointe dardé était entre mes lèvres
affamées,mes dents,une source phénoménale de plaisir divin.le jeunot était chaud.une
tâche humide apparut sur son slip.j'avais intérêt a ne pas le brusquer sinon il
aurait pu rendre les armes bien trop tôt.il se laissait aller,sentant que je lui
bouffait les tetons et qu'il était dominer par sa propre excitation.il ne contrôlait
plus rien,seuls ses tetons d'ou montait un désir irrépressible lui donnait cette
impression de planer,d'être ailleurs.travailler les tetons d'un mec pouvait se réveler
etre d'une étonnante force,ou provoquer un embrasement total
.Alan y était hypersensible.mes mains couraient sur son dos,glissaient sous
l'elastique de son boxer.il avait de belles fesses pommelées,rondes et fermes qui
s'empaumaient a merveille aux creux de mes mains.et sa petite chatte s'ouvrit sous
l'impulsion d'un ou deux doigts qui en découvraient son aptitude a s'adapter au
differents type d'intromission.un cul de gonzesse,de pute..je le fis s'agenouiller sur
la banquette,son ventre contre le dossier ,les fesses nues.attiré par cette chair ,si
souvent cachée,j'y ai planté mes dents,avant d'ecarter ses fesses pour lui brouter
l'anus,y glisser ma langue,l'y introduire subrepticement.j'astiquai son cul a coup de
langue,pourlèchai son étroit sillon,enduisait de ma salive son trou pour qu'il se
fasse plus acceuillant,soit moins rétif a mes doigts qui s'y faufilaient avec une
aisance étonnante.il avait le petit de l'expérience.pendant que je lui trouait le
fion,il se branlait contre le dossier.son cul s'est crispé.mes doigts bougeaient moins
facilement et j'ai senti aprés un relâchement tout aussi soudainement lorqu'il a joui
sur le dossier de la banquette.dommage pensai-je,il n'a pu se contenir.je métais remis
debout lorsque ,Polo vint s'ecraser contre mon dos.il s'y frotta.
-alors,ma grosse salope.a ton tour de jouir.les trois types se ruèrent sur moi et me
désapèrent rapidement.j'etais nu entre les deux banquettes,sur lequelles s'etaient
répartis les trois types.ils me palpaient le cul,la bite et les couilles.je me penchai
en avant, au dessus de la bite de dimitri.j'offrais ainsi ma croupe à Polo et Alan.
-baisez moi.prenez mon cul.
-la salope est toute chaude.fit polo en crachant sur mon cul.il me doigtait et
continuait a faire des commentaires salaces sur mon anatomie,prenant a témoin alan.
-un ptit cul étroit.tu trouves pas.
-attends,je vais l'elargir.en forçant l'entrée de mon orifice,avec quatre doigts.Alan
s'amusait de sentir l'etroitesse de ma chatte qui au départ parut réfractaire a cette
pénétration.il ne s'en souciait guère et insista pour qu'il finisse par y entrer,aprés
plusieurs essai.c'etait peut-être plus que mon cul pouvait en supporter.j'etais trop
passif et refusait jusque la,a donner mon cul.je pouvais sucer, enculer mais jamais
encore je ne m'etais fait mettre.je crois qu'alan,venait de découvrir que j'etais
vierge de ce côté la.ses doigts limaient mon cul, entraient,sortaient pour se
réintroduire aussi vite et il y ajoutai un cinquième doigt.c'etait douloureux,j'avais
beau protester,hurler,alan n'entendait rien,il s'en foutait.Polo était inquiet.ses
amis étaient-ils des pervers? Dimitri appréciait cette fellation.cette bouche devenait
de plus en plus vorace.alan me defonca le cul.sa main me déchira littéralement
lorsqu'elle m'ecartela.il dut s'y reprendre pour m'ouvrir .ses doigts entraient mais
sa main n'y arrivait pas.il pressa de toutes ses force pour m'elargir
,m'ouvrir.j'arrêta de sucer dimitri et m'accrochai a ses bras,au bord de
l'evanouissement.c'etait affreux,terrible.mon cul déchiré,semblait être dévasté,en
ruine.une douleur lancinante me perfora le bas du ventre,m'irradiait.et alan s'amusait
a tester mon degré de résistance en arrondissant sa main ,en un poing destructeur qui
augmentait mon supplice et repoussait les limites de l'etroitesse de mon cul proche de
la rupture.j' avais joui sans crier gare,comme un puceau,sur le ventre de dimitri.je
bavais,le regard hagard,sans force.alan retira son poing.mon cul resta un long moment
beant.Polo se rhabilla,pressé de partir,de reprendre du service.le train poursuivait
sa route.nous restâmes un moment sans rien dire.une voix nasillarde annonça que nous
arrivions.nous nous rhabillâmes a notre tour.
-attends me fit alan,mets ca.il me tendit un string en cuir .je l'enfilais.le train
s'arrêta en gare.nous descendîmes et sur le quai et nous séparâmes