L'Éducation De Papillon - 3
Merci de vos commentaires encourageants. Voici donc la suite - 3ème épisode
Papillon vient de se remémorer les évènements à la source de son désir de domination
sur M. PONCE)
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Papillon est assise dans le bureau chez son client. Il est presque 22 heures. Une
porte donne directement sur la rue, ce qui lui permet de partir même tard. Elle doit
rentrer, sinon son compagnon va s'inquiéter. Mais l'émotion qu'elle ressent suite à la
séance de domination, l'excitation qui l'a submergée en se remémorant son oncle et sa
tante la conduisent à vouloir se calmer avant de rentrer. Sans s'en rendre compte,
elle s'est caressé un sein, puis l'autre pendant qu'elle revivait la scène de son
adolescence. Sa culotte est toujours trempée. Elle décide de se faire jouir
rapidement, comme elle sait si bien le faire. Elle att le gode, et après avoir
caressé son bouton, se l'enfonce profondément et se donne de grand élans dans le con.
De l'autre main, elle pince son clitoris. Elle ne tarde pas à jouir, les jambes très
écartées, la tête en arrière, les fesses au bord du fauteuil, offerte au nouveau
plaisir qu'elle s'offre. Haletante, mais calmée, elle se rajuste, finit de ranger son
bureau.
Juste avant de quitter la pièce, elle y jette un regard circulaire. Jamais ce lieu
n'avait connu pareille débauche. Elle s'était bien déjà caressée dans des moments de
calme, le soir, mais l'image de M. PONCE sur le bureau, le phallus d'acier inséré dans
son trou lui revient. Elle sourit, et tout en éteignant la lumière, commence à
imaginer ce qu'elle va lui demander dans deux jours
Elle arrive chez elle. Son compagnon est heureux de la voir. Il a préparé un encas
pour elle, il sait qu'elle dîne de peu quand elle rentre tard. Ils bavardent un peu de
leur journée de travail. Jean, son compagnon, lui raconte l'arrivée d'une nouvelle
secrétaire dans le service, et l'émoi parmi les collaborateurs.
deux ans, elle a charmé tout le monde avec ses yeux noisette, ses cheveux auburn et sa
silhouette fine et élancée. Il a même fallu qu'il ramène un peu de calme par des
toussotements répétés et des regards compréhensifs mais invitant à se remettre au
travail.
Papillon observe qu'en lui racontant cette séquence, une petite bosse a commencé à
pointer sous le jogging que son compagnon aime mettre en rentrant du travail.
-"Dis donc, coquin, on dirait qu'elle t'a excité aussi cette jeune secrétaire". Son
compagnon sourit. "Bien sûr, je ne suis pas de bois, et même si j'étais chargé de
ramener le calme, je l'ai trouvée moi aussi sexy et attirante". Papillon le regarde
avec amour. Elle sait que son compagnon est fidèle, qu'il ne la tromperait pour rien
au monde, alors elle peut lui laisser le plaisir des yeux. Et puis après la séance de
ce soir, elle ne se voit pas jouer les jalouses ! Elle décide de le taquiner un peu.
-" Tu aimerais bien la sauter, cette jeunette, cela te changerait de la femme mûre que
tu as dans ton lit"
-"Tu es bête, tu sais bien que c'est toi que j'aime et que je désire"
-"Oui, mais je vois aussi la bosse dans le pantalon, qui te trahit" lui sourit-elle en
posant la main dessus. Rapidement, la bosse gonfle et bientôt, c'est la tige du sexe
en érection qui tend le tissu.
-"Mon gros loup, je vois qu'il va falloir que tu te détendes, tu as l'air tout
contracté dans ton jogging!" dit-elle en se penchant, et dégageant le sexe tendu de
sa gaine, elle le met en bouche aussi sec.
Jean se laisse faire. Il adore les pipes et sa femme sait si bien les faire.
-"Viens, montons dans la chambre", et elle le prend par la main et l'emmène. Il la
suit, le pantalon à moitié sur les cuisses, la queue en l'air. "Tu as l'air fin,
heureusement que les s ne sont pas là ce soir !". Il trottine derrière elle, et
arrive à lui passer une main sous la jupe.
-"Mais dis donc, tu es trempée toi, c'est moi qui t'excite ainsi ? D'habitude je ne te
fais pas tant d'effet". Papillon lui rétorque, masquant son trouble : "c'est ton
histoire de secrétaire, je t'ai imaginé en train de la sauter sur ton bureau, et cela
m'a excité, va savoir pourquoi !"
Il lui pétrit l'entrejambe pendant qu'ils se dirigent vers l'escalier, et son désir
refait surface. "Décidément, la soirée est chaude" se dit-elle "profitons de ce qui
passe".
Ils arrivent au pied de l'escalier. Jean att Papillon, la retourne vers lui et
l'embrasse avec passion. Leurs langues se mélangent, dans une étreinte où leurs mains
ne restent pas inactives dans une branlette réciproque.
Papillon se recule, se retourne et commence à monter l'escalier. Au bout de quelques
marches, Jean, dans son dos, l'immobilise et la fait pencher en avant, l'obligeant à
poser les mains sur une marche.
Il baisse sa culotte à mi-jambe. "Comme ça, nous sommes à égalité" lui lance-t-il, et
il enfouit son visage entre ses fesses, lui léchant la raie à grandes lampées. "Tu
sens fort", dit-il, "j'aime quand tu exhale le désir, l'envie de sexe". Il insinue sa
langue autour de son illet, puis le pénètre. Elle aime cette sensation d'humidité sur
son cul, et elle tend ses fesses à sa rencontre. Il la fouille quelques instants. Puis
elle se relève et continue à monter l'escalier. Elle le fait passer devant elle et
quelques marches plus haut, le retourne à son tour et l'assoit sur une marche. Elle le
regarde tendrement, puis à nouveau aspire sa queue, lui prodiguant une fellation,
agenouillée un peu plus bas.
-"Arrête, je vais gicler" supplie-t-il. Elle se relève, il se redresse, et ils
finissent de monter l'escalier. Leur chambre est juste à droite, et en marchant à
petits pas, gênés par leurs habits à mi- jambes, ils s'affaissent de concert sur le
lit en riant.
Fébrilement, ils se déshabillent mutuellement, arrachant à moitié les vêtements dans
leur excitation.
Ils roulent sur le lit, se chevauchant à tour de rôle en s'embrassant furieusement.
Ils sentent le corps de l'autre appuyer sur leurs torses, les mains qui caressent les
hanches, les épaules, le cou, les cuisses, le ventre. Leurs peaux se couvrent d'une
pellicule de transpiration qui rend les mouvements plus huilés, comme s'ils glissaient
l'un sur l'autre.
Puis Jean se lève et dit :"viens, je te veux toute propre". Papillon le suit dans la
salle de bain, ou un grand espace, avec deux douches, les accueille. Jean actionne
les robinets, et tous deux profitent du jet chaud qui les lave. Ils prennent chacun un
savon, et lavent le corps de l'autre. L'excitation est un peu retombée, et leurs
gestes se font plus tendres, plus doux. Papillon perd ses doigts dans les poils du
torse de Jean, elle aime ce côté un peu viril de son corps. Ses doigts massent son
ventre, qui a profité de sa bonne cuisine depuis des années, et qui marque la
cinquantaine peu sportive. Mais elle l'aime ainsi, elle a vu cette petite bedaine
naître au fil du temps, et c'est "la sienne". Jean apprécie lui aussi le corps de
cette femme, qui lui a donné de beaux s, et qui en porte la mémoire. S'il aime
regarder les corps jeunes et lisses, il a un faible pour cette maturité épanouie qui
aime tant le plaisir.
Ils se savonnent, insinuant leurs doigts dans toutes ce qui passe à leur portée, et
Papillon écarte les jambes pour laisser Jean passer un doigt sur sa chatte. Elle le
retourne. Il continue à lisser sa fente et elle commence à passer un doigt dans sa
raie. De haut en bas, elle écarte peu à peu les deux fesses et se penchant, elle lui
passe la langue sur son anus tout propre. Ce soir, elle veut le cul des hommes, et
même si Jean ne se laisse pas trop faire habituellement, ce soir, elle décide que
c'est elle qui domine.
Elle att le tuyau de la douche, enlève la pomme, et lui insinue le jet dans le
boyau. Il sursaute, mais se laisse faire, car il aime parfois quand Papillon prend des
initiatives. Après ce traitement, son anus dilaté est une invitation pour Papillon,
qui att le gode qu'elle avait discrètement posé sur le haut de l'armoire à côté de
la douche quelques jours plus tôt. C'est un gode de bonne taille, pas trop gros,
qu'elle aime utiliser seule sous la douche. Elle le positionne et encule Jean qui
encaisse la taille de l'engin avec quelques soupirs crispés, mais qui ne tarde pas à
apprécier ce traitement. Papillon revoit la scène avec M. PONCE, il y a une heure à
peine, et elle rit de cette soirée inhabituelle où elle à l'occasion de défoncer un
trou du cul masculin deux fois de suite.
Elle continue un peu son petit jeu, puis relève son compagnon, et tous deux se sèchent
mutuellement, langoureusement.
La fatigue commence à se faire sentir, mais la queue de Jean est toujours érigée, et
Papillon veut la sentir en elle, retrouver cette sensation de pénétration humaine,
tout de même plus agréable que tous les objets qu'elle s'insinue habituellement pour
se faire plaisir.
Alors elle se penche sur le rebord du lavabo, tend son cul et lui dit :"Prends moi
maintenant, remplis moi, je veux sentir ta queue dans mon ventre". Jean s'approche
derrière elle, lui écarte un peu les jambes pour mieux voir l'accès à son vagin
luisant, puis enfonce son pieu d'un seul coup.
-"C'est ça que tu voulais, que je te prenne fortement ?".
-"Oui, vas-y, fort, tiens mes hanches, frappe avec ton ventre sur mes fesses". Jean
augmente la cadence, c'est tellement beau de tenir ainsi le cul de sa femme, de voir
l'illet palpiter sous ses coups de hanche.
-"Allez, mon gros loup, imagine que tu baises ta nouvelle secrétaire. Regarde comme
elle se donne à toi, Ça m'a l'air d'une belle cochonne". Jean n'en peux plus. L'image
de sa jeune secrétaire prise en levrette sur son bureau proposée par Papillon lui
emplit l'esprit, et il éjacule à gros jets dans la chatte de sa femme. Papillon jouit
au même instant.
Ils se regardent, les yeux pleins de tendresse, refont un rapide passage sous la
douche pour enlever ces nouveaux miasmes, puis rejoignent leur chambre où ils
s'allongent sur le dos, côte à côte, main dans la main. Ils éteignent la lumière, et
chacun caressant les doigts de l'autre, s'enfonce peu à peu dans le sommeil.
Juste avant de s'endormir, Jean dit: "ma nouvelle secrétaire à l'air de faire
beaucoup d'effet sur ton imagination." Papillon lui répond : "C'est vrai, il faudra en
reparler, car la description que tu m'en as faite et l'idée que tu la baises
m'excitent, et c'est bien la première fois que cela m'arrive !"
Le sommeil s'approche. Ils sont comblés, le corps au repos.
Une dernière pensée traverse l'esprit de Papillon: "Quelle journée, et dire que ce
n'est que le début de nouvelles aventures. Quelle chance !" puis elle sombre dans un
rêve peuplé de naïades et de jeunes satyres"
..
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