L'Amour Est Il Aveugle ?

Ma copine Mélissa m’a invitée à passer quelques jours chez elle, seulement elle
travaille tous les après midi je me retrouve seule, enfin presque son père reste a la
maison et pour cause : il est aveugle a la suite d’un accident juste après la
naissance Mélissa, quel dommage un si bel homme, et pourtant il se déplace quasiment
comme tout le monde
- Tu peux te faire bronzer nue, mon pauvre père ne risque pas de te voir
Après quelques hésitations c’est ce que je fais sur un transat au bord de la piscine
j’offre mon corps de dix neuf ans aux rayons du soleil les yeux fermés je suis
biiieeeennnnnnnnn !
Soudain dans un demi-sommeil je me sens observée on m’effleure le visage, j’entrouvre
les paupières …mon dieu c’est le papa de Mélissa qui est penché au dessus de moi Il
est en slip de bain que veut il ?
- Tu es réveillée Romane ? n’ai pas peur je te ‘ regardais ‘ dormir, oui avec
le temps j’ai appris à regarder du bout des doigts, je peux dire que tu es belle, les
yeux en amandes, tu as de petites pommettes saillantes une fossette sur la joue
droite, un petit nez en trompette et des lèvres légèrement pulpeuses vraiment un beau
visage je suppose que le reste va avec !
Sait il que je suis nue ? Ses doigts descendent sur mon cou effleurent mes épaules
- Tu as les seins nus ? je ne trouve pas de bretelles
- Heuuuu oui
- Tu as bien raison, après tout le vieux cochon que je suis ne peut voir tes
charmes ! serait tu entièrement nue ?
Je souffle un ouiiii timide, c’est a ce moment là que je réalise que je peux le
détailler a loisir sans être obligée de soutenir son regard , mes yeux se dirigent
immédiatement entre ses cuisses, le maillot est bien remplis, je devine sa queue pliée
en forme de grosse virgule et depuis que je lui ai avoué ma nudité il a tendance à
gonfler … et si je le poussais dans ses derniers retranchements ?
- Seriez-vous capable de deviner ma pointure de bonnets ?
- De tes seins ? je pense que oui mais ce ne serait pas raisonnable
- Nous somment seuls je ne le répéterais à personne CHICHE !
Sans répondre les doigts descendent le long de mes épaules, deux doigts dessinent le
contour d’un sein dont le téton réagis immédiatement puis il remonte vers le sommet,
tourne autour du téton désormais érigé, puis la deuxième main se pose carrément sur
l’autre pour tester s’il tient dans sa paume
- Quelle belle poitrine, Je dirais que tu fais un quatre vingt cinq B !
exactement comme ma femme
- Houaaaa chapeau ! vous êtes extraordinaire
Mais l’expérience s’éternise c’est maintenant un pelotage en règle que je subis, ou
plutôt qu’il me gratifie car c’est très agréable! Une goutte perle à mes petites
lèvres, son slip de bain continu à gonfler
- …et en taille de ….

.slip vous pourriez ?
- Ho non ! Romane ne me demande pas de regarder entre tes cuisses voyons tu
pourrais être ma fille !
- Vous en avez envie ne dites pas le contraire je le vois moi ! et j’en ai envie
aussi ! aller ne vous faites pas prier et justement je ne suis pas votre fille !
Les mains très douces parcourent mon buste puis mon ventre, il ‘ regarde ‘ mon nombril
puis il positionne se doigts en ceinture a ma taille, en serrant un peu ils se
rejoignent
- Tu fais du trente six ! encore comme ma femme !
- Oh c’est tricher là ! pour être sûr faites donc l’entre jambes
- C’est ça que tu veux ? te faire toucher ….soit
Les mains caressent le mont de vénus en grattant doucement mes poils, sa verge se tend
dans son slip désormais étroit, le gland est prêt a jaillir a la taille, je ne sais ce
qui me retient de la saisir ….ses doigt parcourent mes aines évitant scrupuleusement
de toucher par pudeur ou simplement pour me faire languir mes lèvres gonflées,
j’écarte au maximum les jambes pour lui faire comprendre que je suis prête a tout, ma
chatte est trempée mais ce salaud descend vers mes genoux puis mes jambes
- Tes mollets sont très bien galbés …
- Rassurez-moi sur mes cuisses...
- Moi qui te prenais pour une fillette sage …
Enfin les mains remontent lentement vers ma fourche je suis secouée d’agréables
frissons il décrit des cercles a l’intérieur des mes cuisses, le bout des doigts
effleurent mes lèvres mouillées ils ouvrent enfin mon orifice inondé je me cambre en
levant mon bassin a sa rencontre me voici empalée sur ses doigts qui commencent
aussitôt à me limer comme deux petites queues
- Muuuummm tu es toute mouillée Romane, merci il y a longtemps que je n’ai pas
touché une jeune fille
- Masturbez-moi Roland
- Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii Romane c’est trop bon pour refuser
Dans un sursaut d’audace je lance une main a la recherche de son membre coincé dans
son slip, il me facilite la tache en se positionnant face a moi j’ai toutes les peines
du monde à libérer le monstre
- A toi de me donner les dimensions de ma verge, ferme les yeux ….Combien en
grosseur ?
- Heuuuu, je dirais ….. quatre centimètres de diamètre ?
- Perdu ! cinq ! et la longueur ?
- Voyons … mes deux mains tiennent dessus ….. dix neuf ?
- Tes deux mains tiennent dessus mais le gland dépasse ! encore perdu : vingt
deux
- Cinq sur vingt deux ? c’est énorme ! j’en ai jamais vue de comme ça ! je
suppose que j’ai un gage ?
- Hé oui tu devine lequel ?
- Bien sûr ! En soixante neuf alors !
- J’allais te le proposer, vient sur moi
Il ôte ses lunettes sombres pour la première fois je vois ses yeux qui sont dans le
vague absolu, je me met en position inversée sur lui, ma chatte se vide littéralement
Roland explore la source et lape comme un chien ma liqueur abondante moi je me
cramponne a la verge que je peux regarder de tout prés puis je lèche le gland
congestionné comme s’il s’agissait d’une glace, son ‘ œil ‘ laisse perler de grosses
gouttes agréables au goût, je tâte ses bourses gorgées de sève, les doigts de Roland
viennent a la rescousse de la langue, il m’écarte le berlingot à déchirer mes lèvres,
je me lâche totalement, l’orgasme non simulé survient , j’ai honte il me semble pisser
carrément dans sa bouche , je l’entend renifler tousser il relève mon cul qui semble
l’
- Tu veux me noyer ?
- Excusez moi je n’ai pas pus me retenir
- Te retenir aurait été une grave erreur ! masturbe-moi plus fort si tu veux
goutter à mon foutre
- vous me baiserez après ?
- Plutôt deux fois qu’une !
Je manipule le membre décalottant et recalotant la tête a toute vitesse, de grosses
goutes perlent annonçant l’arrosage imminent, la bouche ouverte j’attends la première
fusée qui vole dans mes cheveux, je coiffe le gland de ma bouche pour ne plus rien
perdre, le sperme coule aux commissures de mes lèvres tellement sa jouissance est
abondante, Roland souffle bruyamment tant que sa queue a des contractions, je me
glisse a son coté pour le laisser récupérer
- Ne t’en va pas !
- Non je suis là c’était bon …
- le meilleur arrive allonge toi je veux me glisser sur toi en douceur je veux
effleurer ton corps avec le mien, ouvre bien les jambes ma queue est aussi sensible
que mes doigts elle trouvera toute seule le chemin de ton ventre
- Ho venez vite j’ai envie de vous sentir en moi
Roland se met a genoux en appuis sur les mains il avance vers moi la queue pointée a
l’horizontale telle une lance prête a me percer, son torse effleure mes cuisses puis
mon ventre, arrivé sur mes seins il tourne sa poitrine en rond pour agacer mes tétons
déjà bien durs, sa bouche cherche la mienne nous entamons un baiser passionné tandis
que la pointe de sa bitte caresse ma chatte dans un va et vient insupportable, je
retiens mon souffle il va me pénétrer …. Le gland force a l’entrée de ma vulve, mes
lèvres entrebâillées cèdent, Roland donne un coup de rein pour finir de m’empaler, ses
testicules chaudes tapent sur mon anus qui palpite, sans doute a-t-il envie lui aussi
de pénétration ?
Je soulève mon bassin pour qu’il comprenne que le moment de me pilonner est venu, son
vérin se met en mouvements comme celui d’une ancienne locomotive qui démarre, mes
muqueuses sont refoulées a chaque pénétrations, je pars dans un gémissement
ininterrompus, je ceinture sa taille de mes jambes pour qu’il s’introduise toujours
plus loin, jamais je n’ai été aussi bien baisée
Sa respiration est lente régulière seuls les bons baiseurs savent se contrôler ainsi
pour amener leur partenaire au septième ciel avant eux, le mien arrive vite pour ma
part, une onde exquise monte violement et me submerge, mon vagin lâche sa cyprine en
se contractant sur la verge de l’homme qui le ressent immédiatement
- Arrête ! Tu va me faire partir chérie …
- Ne te retiens plus arrose moi la moule donne moi tout ton jus va y ! VA
YYYYYYYY !!!!!!!!
- Vooouuuuuoooooohhhhh !!!!!!! haaaaaaaaaaaaaaaa ! que ça fait du
biiieeeennnnnnnnn
Nous restons sans bouger un bon moment nos poils sont amidonnés de sève visqueuse, sa
verge débande lentement et glisse de mon fourreau béant, ma chatte fait des bulles en
recrachant son trop plein, je suis un peu déçue ça va déjà se terminer nous allons
nous rhabiller et aux yeux de tous redevenir deux personnes entre lesquelles il ne
s’est jamais rien passé …
- Romane ?
- Oui Roland ?
- On ne va pas terminer comme ça, suce-moi un peu pour me redonner de la vigueur
et je te prends ton petit trou !
- C’EST VRAI ? oh chouette je n’osais pas te le demander
- C’est lui qui me l’a demandé pour toi il y a un moment qu’il se desserre !
Comme une affamée je plonge sur sa bitte qui très rapidement se redresse sous mes
succions voraces
- C’est bon je suis prêt
- Moi aussi, trouve moi je suis là en position !!
- Tu me fais jouer à colin-maillard ?
- Ta queue va te guider
Le front sur les mains, cambrée comme un arc j’attends, il se traine a genoux sa
bitte effleure mon cul, il me saisit par les hanches
- Je te tiens tu va y passer jeune dévergondée !
Il beurre mon trou de sécrétions et frotte son nœud longuement sur l’étoile qui se
déplisse peu à peu, je pousse pour faciliter la pénétration et amoindrir la douleur,
le membre prend lentement possession de mon boyau, je serre les dents pour ne pas
crier, la brulure passe rapidement, je lance mon cul vers lui pour m’empaler plus
profondément
- Haaaaaa tu trouve ça bon apparemment ? alors je vais te sodomiser dans les
règles de l’art
Roland se tient à mes hanches et commence un pilonnage intensif, mes seins sont
ballottés mon cul malmené l’homme se lâche complètement il se soulage sans doute
d’une frustration sexuelle, je frotte ma motte d’une main pour obtenir un orgasme
encore plus violent que je sens monter, mes cuisses tremblent, un spasme éclate dans
tout mon corps, une vague de cyprine jaillis hors de ma chatte inondant ses bourses
collées a mes fesses, en réponse son sperme jaillis entre mes reins , terrassée par
tant de bonheur je m’affale a terre ,il se retrouve la queue fouettant l’air avant de
retrouver rapidement ses dimensions initiales
- Tu m’as vidé dans tous les sens du terme romane mais c’était exquis, j’en ai
pour quelques jours à rêvasser en me caressant sur ce qui vient de se passer cet après
midi
- Ce serait dommage de perdre dans la nature un aussi bon sperme ! Pourquoi ne
pas remettre ça tout simplement je ne part que dans trois jours ……en attendant a la
maison a chaque fois que je passerais devant vous passez moi donc une main au cul ….
JE NE METS PLUS DE CULOTTE !!