La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 95)
(Suite de l'épisode 58 : Le Marquis d'Evans en Martinique avec Lenny - Troisième
journée)
Je fus réveillée par un soubresaut du bateau. Les vagues claquaient contre la coque.
Zut ! Javais oublié que nous étions à quai ! Je navais mis que trois pare-battages,
ce qui nétait pas suffisant lorsquil y avait autant de vagues. La coque allait être
rayée si je ne quittais pas le quai rapidement. Sans réveiller mon Maître, je sortis
du lit, enfilai une robe de chambre pour sortir sur le pont supérieur. Deux marins
étaient déjà sur le pont.
- Leeny ! Cest bien ton bateau, alors ! Je lai reconnu. Jai failli descendre pour
te prévenir.
Heureusement que je métais réveillée à temps, ils auraient vu tous les « jouets » de
mon Maître.
- Merci, Thibault ! Javais complètement oublié que nous étions en période de marée
haute !
- Cest vraiment pas le genre de chose quil faut oublier quand on fait du bateau !
répondit lautre marin, que je ne connaissais pas, en se moquant de moi.
Je rougis légèrement. Il faut dire que javais autre chose en tête ces derniers temps.
Avec un sourire gêné, je répondis :
- Cest vrai. Jai un peu la tête ailleurs en ce moment.
- Ha ! Ha ! Ha ! éclata Thibault dun rire sec et gras caractéristique des marins
antillais. Allons fais vite il faut défaire le nud damarrage. Heureusement que tu
nas fait quun nud de chaise ! Bien que cest assez dangereux pour rester toute une
nuit. Mais au moins, ce sera facile à enlever ! Va chercher la gaffe pendant quon les
défait. Regarde, tes pare-battages sont presque dégonflés !
Je me précipitai à lintérieur, attrapai la gaffe et ressortis. Heureusement, je
navais pas réveillé mon vénéré Maître, le Marquis dEvans. Une secousse me fit
basculer. Je me rattrapai à lun des sièges.
prêts. Je maccrochai à la rambarde et dès quils eurent défaits les nuds, je
poussais dun coup sec avec la gaffe pour éloigner le bateau du quai. Avec quelques
secousses, les vagues portèrent enfin le bateau à plusieurs mètres du quai. Je fis un
signe à mon ami et son collègue pour les remercier puis me précipitai à la barre. Le
moteur gronda puis je pus enfin prendre le contrôle du bateau. Après avoir passé les
plots de sécurité, je pus accélérer et méloigner du port. Mais quest-ce qui métait
arrivé ! Comment avais-je pu oublier que nous étions en marée haute ? Et cette
histoire de nud de chaise ! La première chose que mon père mavait appris en
menseignant lart de naviguer, cétait de ne jamais rester à quai trop longtemps en
période de marée haute, et que rester à quai plus de quatre heures nécessitait un nud
de Cabestan ! Javais mis mon Maître en danger ! Quelle imbécile je faisais !
Une fois éloignée de la baie de Fort-de-France, je défis la ceinture de ma robe de
chambre et me dévêtis. Il était sept heures trente à ma montre et le soleil tapait
déjà rudement contre les parois blanches du bateau. Je fis descendre lancre et
redescendit dans la cabine. Heureusement, Sir Edouard dormait toujours, malgré le
boucan que nous avions fait. Jenfilai mon collier. Quelle mésaventure de si bon matin
! Je rangeais un peu le salon et la cuisine puis minstallai devant la porte de la
chambre, sur les genoux, la tête baissée. Au bout dune demi-heure, jentendis du
mouvement derrière la porte. Il était enfin réveillé ! Je me redressai vivement,
corrigeant ma posture qui sétait relâchée durant la demi-heure, et attendis
patiemment quIl sorte. La porte souvrit lentement et jeus un élan de tendresse en
voyant le visage encore endormi du Marquis dEvans. Il était adorable !
- Bonjour, ma petite chienne de Leeny.
- Oui, Maître. Et vous ?
- Parfaitement. Jai dormi comme un . Bien. Le repas est-il prêt ? Nayant pas
dîné hier soir, je meurs de faim.
Avec effroi, je me souvins que je navais pas préparé le petit-déjeuner !
- Oh Maître ! Je suis désolée ! Jai complètement oublié ! Il y a eu tellement de
choses qui se sont passées ce matin, que
- Je ne veux rien entendre. Tu te dois de ne rien oublier lorsquil sagit de ton
Maître, répondit-Il avec une voix calme mais ferme.
Il me regardait avec ce regard sévère que je craignais tant. Je baissais la tête.
- Je suis désolée, Maître
Je vous prie de me punir pour mon manque dassiduité.
- Jy compte bien. Maintenant, prépare-moi ce petit-déjeuner. Tu nauras pas le tient,
pour la peine. Mais ne crois pas que jen ai fini avec toi.
- Oui, Maître. Merci, Maître.
Je mactivai dans la cuisine, le plus rapidement possible et servis le Marquis
dEvans. Puis je me postai à ses pieds.
- Ne crois pas que tu auras lhonneur de goûter mon vit pour le moment.
- Oui, Maître.
Quand Il eu fini, il se leva et, dun geste de la main, mintima de Le suivre. Il me
fit le doucher. Je noubliai aucune partie de Son corps, le massant, le savonnant, me
délectant de sa peau si douce. Puis vint le moment de laver Son sexe. Je me mis au
travail, mappliquant à lui donner du plaisir en même temps. Je voulais Le prendre
dans ma bouche. Mais Il ne voudrait pas, je le savais. Quand jeus finit, ce fut mon
tour. Il me nettoya comme on nettoie une chienne, sans douceur. Je ne méritais pas sa
douceur car javais oublié son repas. Quand Il eut fini, Il me fit sortir de la
baignoire, peigna mes cheveux (javais remarqué quil aimait beaucoup cela), puis me
traîna jusquau pont supérieur.
- Connais-tu une plage déserte ?
- Oui, Maître.
- Bien.
Nous arrivâmes, au bout dune heure, sur une crique de sable blanc. Elle ne devait
faire guère plus de dix ou vingt mètres de long, et des buissons la bordaient tout en
longueur. Il y avait des cailles, aussi ne pouvais-je mapprocher à moins de trente
mètres. Je descendis donc à la sous-cabine et en sortit un zodiac que mon père avait
acheté un mois plus tôt. Nous navions pas eut le temps dy ajouter un moteur, aussi
redescendis-je chercher les rames. Le Marquis dEvans men empêcha. Ses yeux luisant
mavertirent quil avait eu une idée.
- Bien, allons-y.
Il prit des accessoires et grimpa dans le zodiac. Dun regard, il mintima de plonger.
Je mexécutai.
- Va devant la barque.
Une fois que cela fut fait, il fit tourner mon collier (javais remis celui en cuir
noir pour ne pas abîmer le blanc) et y accrocha une laisse plus épaisse, également
noire.
-
Bien, maintenant, nage et emmène ton Maître sur la plage.
Jentamais un crawl rapide quand un coup de fouet sabattit sur mes épaules.
- Tu es une chienne. Tu ne peux nager comme une humaine. Nage donc comme la chienne
que tu es.
Avec une phrase dexcuse, je commençai ma « nage du chien ». Jétais épuisée quand
nous arrivâmes sur le sable. Les cailles mavaient écorché les genoux et un banc de
poisson était venu picorer mes orteils et mes tétons, sans tenir compte des coups de
pieds que je leur donnais. Je tirais le bateau gonflable sur le sable pour que Sir
Edouard nait pas à mouiller Ses pieds. Il descendit et me fit signe de décharger ce
quil y avait à bord. Je sortis la chaise pliable, les « jouets » et la nappe quIl
avait emporté et jinstallai le tout sur le sable. Il avait également prit ma gamelle
et un panier que je devinais de nourriture, mais je décidai de les laisser à
lintérieur et de les recouvrir de la bâche pour éviter quils ne prennent trop de
soleil.
- Tu as bien nagé. Tu as le droit de me sucer, chienne.
Avec un grand sourire de contentement, je me précipitai vers le sexe dénudé du Marquis
dEvans. Je commençais par le lécher avec appétit puis je gobais tout dun seul coup.
Le Maître prit quelques minutes avant de poser une main sur ma tête. Il me fit reculer
et attrapa ma main pour quelle enserre son vit. Je compris ce quIl voulait. Je me
mis à Le masturber, dirigeant son gland vers moi. Il jouit sur mon visage et mes seins
tendus vers lui.
- Bonne chienne. Maintenant, ta punition. Tourne toi et tend ta croupe vers moi.
Je mexécutais, à la fois impatiente et anxieuse. Il sortit dun sac un fouet court
aux lanières nombreuses. Le premier coup de fouet fut cinglant et violent. Les neuf
autres qui suivirent furent encore pire. Satisfait de mon silence, Il adoucit Ses
coups pour les dix suivants. Puis Il me fit me retourner. Il claqua mes seins, les
empoigna et les vrilla. Cela faisait mal, mais cétait tellement bon ! Il les pinça
très fort, les fouetta. Puis je le vis sortir une sorte de crayon pointu. Il plaça la
pointe sur le bout de mon téton puis appuya en le faisant tourner. Jeus envie de
gémir tellement cétait bon, mais je me retins. Il fit de même avec lautre. Mes
tétons étaient rouges sang. Il vit un petit crabe passer. Il mintima de lattr.
Javais souvent fait cela avec mes cousins, étant jeune. Je Lui ramenai le crabe au
bout de trois minutes et magenouillai face à Lui.
- Bien. Approche-le de tes tétons de manière à ce quil puisse te les pincer. Il nest
pas bien gros. Il ne devrait pas avoir assez de force pour te le percer.
Cétait en effet un bébé crabe. Je le regardai anxieusement puis lapprochai de mes
seins. Il sagitait entre mes doigts, ouvrait et fermait ses pinces. Je visais assez
bien, et quand il referma sa pince gauche, ce fut exactement sur mon téton droit, mais
il ne tint pas la prise. Il ouvrait et fermait sa pince sur mon téton. Mon Maître
regardait attentivement le crabe me martyriser le téton. Il semblait satisfait, ce qui
me rendit heureuse. Je tenais le crustacé au niveau de mon sein, jusquà ce quil soit
fermement accroché. Il douleur intense me vrillait le corps, accompagnée par un
plaisir encore plus fort. Sir Edouard mordonna alors de faire de même avec lautre
téton. Jattrapai donc mon sein dune main et la pince du crabe de lautre. Encore une
fois, je visai juste et la pince se referma sur la pointe déjà rouge. Je mis ensuite
mes mains le long de mon corps, et baissa les yeux. Maître regardait le spectacle avec
un grand sourire.
- Cest bien, chienne. Tu supportes de mieux en mieux la douleur.
Alors quIl disait cela, le crabe lâcha mon téton droit et pendouilla accroché au
gauche.
- Met toi à quatre pattes pour que le poids du crabe pèse bien sur ton téton.
Je mexécutai. Le crabe se balançait au bout de mon sein. Après trois ou quatre
seconde, il desserra sa pince et senfuit une fois sur le sable. Mes tétons étaient
maintenant violets. Cétait la première fois quils me faisaient autant souffrir et
cela me faisait mouiller dans mon bas ventre. Je regardai le Marquis dEvans,
terrifiée à lidée que ma punition était loin dêtre finie. Un mouvement dans les
buissons me fit me détourner de mon Maître. Il suivit mon regard, et nous aperçûmes un
homme, complètement dévêtu derrière les buissons. Il était grand et noir. Un bel homme
en réalité. Il semblait avoir entre vingt-cinq ou trente ans. Une de ses mains
entourait son sexe. Il devait se masturber en voyant le spectacle de ma fellation, du
fouet et du crabe
- Mais venez donc, mon ami, cette petite chienne peut bien faire ce travail, lança Sir
Edouard à son attention.
Timidement, il se dégagea des buissons. Il était encore plus grand que ce que je
pensais. Et lorsquil retira sa main, je cru que jallais mévanouir. Son sexe était
de la taille de mon avant-bras ! Que ce soit en longueur ou en épaisseur !
- Eh bien ! Cest un bien joli attirail que vous avez là, enchaîna mon Maître en
rigolant
- Merci, mec.
Je fus offusquée du ton quil employait pour parler à mon Maître. Mais je ne pouvais
rien dire.
- Elle est bonne ta meuf. Tu las chopée où ? dit-il avec un accent de banlieue
- Ma
Meuf, comme vous dites, nest autre que mon esclave. Cest lune des mes
soumises et cest ici même que je me la suis procurée, sur cette île merveilleuse.
- Ah ouais ? Jcrois qujai entendu parler dune vente desclave lannée dernière.
Mais jcroyais qucétait une blague. Pour moi ça existe plus lesclavage.
- Lesclavage persiste pourtant. Mais sous une autre forme. Maintenant, les esclaves
sont entièrement consentants, et cest par choix quils sont devenus ainsi. Voulez-
vous lessayer ? Elle est très docile.
- Ouais, jai vu ça, ouais. Grave que jveux lessayer ! Elle est grave bonne !
Linconnu me prit par les cheveux et me fit me retourner. Il mallongea sur le ventre,
écrasa mon visage dans le sable et sassit sur moi.
- Je vous prierais, tout de même de ne pas trop la brutaliser.
- Ouais, ok, mec. Tinquiète pas, Kassen sait ce quil fait !
Il releva ma croupe et caressa mes fesses. Il les empoigna et me donna quelques
claques retentissantes. Puis il enfonça un doigt dans mon anus.
- Ouah ! Elle est bien ouverte la meuf ! Cest cool, jai même pas besoin dla
préparer !
Il positionna son gland à lentrée de ma rondelle. Sans ménagement, il senfonça
profondément. Tout son sexe memplit le ventre. Cétait effroyablement douloureux. Je
ne réussis même pas à retenir un cri de douleur. Linconnu me frappa le visage en
retour. Un coup de fouet retentit. Je ne compris pas doù il venait, car aucune
douleur ne métait parvenue dautre part que par mon cul. Cest lorsque jentendis
linconnu se crisper que je compris. Cétait lui qui avait reçu le coup.
- Il est formellement interdit de frapper une femme au visage. Quelle soit une
soumise ou non.
- Eh tu mas fouetté là ! Je rêve, mec !
Le Marquis dEvans le regarda de ce regard sévère, autoritaire, ce regard puissant
dun charisme hors norme, oui ce regard si pénétrant qui me paralysait toujours. Et
cela ne faisait pas effet que sur moi, apparemment. Linconnu simmobilisa. Un long
silence quand les deux regards se croisèrent. Sir Edouard ne cligna à aucun moment ses
yeux et fixa avec insistance le géant. Puis le black céda, vaincu en baissant la tête
et les yeux. Cétait incroyable ! Il mesurait plus de deux mètres, était baraqué comme
un boxeur, mais mon Maître réussissait quand même à le faire baisser les yeux, juste
par la puissance du regard.
- Jsuis désolé, scusez-moi, bafouilla-t-il
- Bien. Je vous permets de continuer, mais gare aux dérapages.
Il continua de me limer le cul pendant plus de dix minutes. Il navait cependant pas
encore joui quand il se retira, laissant mon trou béant et douloureux. Il me retourna
sur le dos et senfonça ensuite dans ma chatte, trempée malgré la douleur. Je me
sentais entièrement pleine, cétait divin. La douleur se mêlait parfaitement au
plaisir. Puis je sentis lhomme se paralyser en moi. Je crus quil allait jouir, mais
ce nétait pas ça. Il semblait surpris, pris au dépourvu. Cest alors que je vis la
main élégante du Marquis sur lépaule bronzée de mon martyre.
- Eh bien ! Je me disais, aussi, que ta rondelle avait lair bien ouverte. Et ces
petites cicatrices sur ton dos. Où est donc ton Maître ? Ou ta Maîtresse ?
Lhomme resta paralysé alors que, de Son sexe, mon Maître faisait des allés-retours
dans son cul de black. Il ferma les yeux, démontrant quil ressentait un immense
plaisir.
- Tu joues bien la comédie cependant. Jai failli croire que tu nétais pas lesclave
que jai vu à la foire lannée dernière. Et toi, Helena, continua-t-Il en haussant le
ton. Tu crois peut-être que je ne tai pas vu ? Allez, sort, ma belle, de derrière ton
bosquet
- Ah ! Cher cousin ! Pourquoi vois-tu toujours tout ?
- Allons, je sais reconnaître un esclave quand jen vois un. Il na pas bronché
lorsque je lai fouetté, excepté quand je lui ai parlé, mais il na pas crié. Ensuite,
quand je lai regardé avec insistance, il a baissé les yeux et sest excusé. Il y a
des signes qui ne trompent pas. Oh et ma mémoire ma permis de me souvenir de son
visage à la seconde où je lai vu. Tu las acheté à la foire aux esclaves lannée
dernière, non ? Je ty ai aperçu, mais je navais pu venir te parler.
- Ha ! Ha ! Ha ! En effet. Tu as une mémoire extraordinaire, tu es vraiment le
meilleur !
- Mais dis-moi, comment mas-tu retrouvé ?
- Je te connais ! Je savais que tu voudrais aller sur une plage déserte ! Si ce
nétait pas aujourdhui, saurait été demain. Ou après-demain. Et la plage la moins
connue, cest celle-ci. Je me disais bien que ta femelle allait te mener jusquici.
- Tu es très calculatrice, dis-moi.
- Tout ce que jai appris, je lai appris chez le meilleur !
- Cest un bien joli spécimen que tu as là.
- Je trouve aussi. Comme il était avec toi, cest exactement la personnalité quil
avait avant. Et depuis, il est devenu très docile. (Elle lui caressa la tête) Tu vas
être puni pour la manière dont tu as parlé au Marquis.
- Oui, Maîtresse, merci Maîtresse.
- Je pensais que cétait toi qui lavait envoyé, dit Sir Edouard
- Cest le cas. Je voulais essayer à réussir à te berner. Mais comme ça na pas
marché, je me dois de le punir. Cest un affront pour un Maître dêtre insulté par un
esclave, surtout un Maître de ta classe. Comme tu savais quil était un esclave, ça a
dû être très désagréable pour toi.
- Bah ! Je men suis bien sorti, répondit le Marquis dEvans avec un sourire.
- Désires-tu ten occuper ?
- Ce sera avec plaisir, ma chère cousine
Madame Helena Lui tendit un fouet en cuir véritable, une vraie antiquité.
- Eh bien ! Je me souviens de ce fouet !
- Evidemment, cest toi qui me las légué. Mon tout premier fouet. Je le garde pour
les sorties, comme aujourdhui.
- Bien, bien. Allons-y. Tourne-toi, chien.
Je regardai mon semblable se faire fouetter. Je me mettais un peu à sa place, et je
ressentais de la compassion pour lui, bien quil mait déchiré lanus et la chatte.
Madame Helena vint sasseoir en tailleur à côté de moi. Elle ressemblait à une
avec ses taches de rousseur et ses grands yeux bleus. Et son caractère juvénile y
était aussi pour beaucoup. Elle attacha ses longs cheveux noirs avec une pince et me
caressa la tête en regardant le spectacle de son esclave fouetté. Je me frottai contre
sa main. Elle minspirait vraiment confiance. Elle dégageait une sorte dautorité
imprégnée de tendresse qui égalait (cétait vraiment difficile de lavouer, car
improbable) presque celle de Maître. Quand le Noble eut fini de fouetter, elle se
releva et lui prit le fouet des mains.
- Jai limpression que vingt coups ne sont pas suffisants.
Elle abattit le fouet encore dix fois. Le dos et les fesses de lesclave étaient
striés de fines lignes rouges.
- Bien. Que dirais-tu de venir chez moi ? Jai la meilleure des esclaves cuisinières,
enfin meilleure, disons après ta Marie dans ton château en Métropole ! A la
différence, cest que ta cuisinière nest pas esclave mais plutôt dominatrice sadique.
- Eh bien, jai déjà refusé ton hospitalité une fois, je ne peux décemment pas la
refuser deux fois. Où habites-tu ?
- Tu te souviens tu lieux de la foire aux esclaves ? Cest à dix minutes de là. Au
François.
- Chienne Leeny, connais-tu cette ville ?
- Oui, Maitre, cest lun des quartiers riches de la Martinique.
- Exact, intervint la jeune Maîtresse. Bien alors voici ladresse, Leeny. Soyez là
vers 20h.
- Oui, Madame Helena.
- Elle est adorable, dit-Elle en me tapotant la tête.
Puis elle disparut comme Elle était apparue. Le Maître me fit manger à 4 pattes dans
ma gamelle à même le sable puis je rangeai nos affaires dans le zodiac. Le Marquis
dEvans sy installa puis je poussai la barque gonflable dans leau. La laisse fut
accrochée à mon collier et nous nous dirigeâmes vers le bateau. Une fois à bord, mon
Maître me sécha puis sallongea sur lune des chaises dextérieur.
- Je veux que tu toccupes de mon sexe.
- Oui, Maître, dis-je avec enthousiasme.
Je me mis alors à Le lécher, Le sucer, Lavaler avec grand appétit. Quand Il fut bien
dur, il me fit marrêter. Avec déception, jobéis.
- A quatre pattes par terre, la croupe levée vers le soleil, ordonna-t-Il. Je veux que
tes pommes de fesses soient bien rouges pour ce soir.
Jobéis. Il vint Senfoncer dans mon cul offert et après mavoir besogné un bon moment
à grands coups de boutoirs, Il se déversa en de longs jets de sperme dans mon
fondement et resta immobile dans un coït qui dura assez longtemps avant de se retirer.
Il mordonna ensuite de nettoyer sa bite avec ma langue. Puis Il Se rallongea et,
quelques minutes plus tard, Sa respiration calme et reposée mindiqua quIl dormait.
Le soleil de laprès-midi tapait fort sur mon cul levé vers lui. Ça brûlait de plus en
plus. Au bout de deux heures, le Maître se réveilla. Il était alors dix-sept heures,
lheure de se préparer.
- Bien. Tu es bien rouge. Cuite à point. Allons nous préparer.
Jeus beaucoup de mal à marcher, que ce soit debout ou à quatre pattes, tant mes
fesses me brûlaient.
(à suivre
)
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