Premiers Amours Avec Martine

Je me sens toute petite entre ses bras. C’est bien la première fois que je me laisse
prendre dans les filets d’une autre fille : elle m’a séduite au bord de la plage, il y
a quelques temps, sans qu’il ne soit jamais question de sexe. Je trouvais que Martine
était sexy, attirante, belle en un mot. Moi, je me trouve quelconque, moche sans
charme.
Je suis bien mariée à la suite d’une union de circonstance : ma famille et celle de
mon époux ont des intérêts en communs. Dans ce milieu, les filles ne comptent pas ou
si peu, seuls les « fortunes » peuvent s’allier.
Dans le malheur que j’acceptais j’avais eu la possibilité de ne plus être vierge :
j’avais connu les plaisir de la « chair ». La nuit de noce, catastrophique à cause de
l’inexpérience de mon mari, ne me faisait pas regretter mon premier amant. Deux ans
plus tard, malheureusement pour lui, mon mari passait sous un camion. Depuis je vis
parfaitement bien, avec pas mal de revenus.
J’ai vécu comment je voulais : libre de mes actions. J’ai bien eu deux ou trois
aventures de droite ou de gauche, sans que j’en garde un souvenir impérissable. Je
passe mes vacances d’été à la plage, dans une maison que mon mari avait acheté pour me
faire un plaisir que nous n’avons pas eu le temps de partager. J’en profite pour
passer deux mois plein en été. Je ne suis qu’à quelques mètres de l’eau aussi j’en
profite au maximum : mes parents me laissent en paix comme mes beaux parents. De temps
en temps j’ai un vague cousin qui passe avec sa femme pour prendre « les eaux ».
Je vais me baigner le soir quand la plage est presque vide : pas de voisinage gênant,
sauf Martine qui me fait la cour comme on dit. Nous allons dans l’eau ensemble, nous
amusons comme des gamines, nous sortons pur nous essuyer.
Elle me trouve à son gout, m’invite à manger une glace dans un bistrot du coin, ou,
mieux chez elle.

Je ne l’ai jamais vue avec un homme, à me demander si elle ne les
fuit pas. Je n’ai pas ce souci, je me contente seule le soir ou le matin en prenant
une douche. Un simple coup de jet sur la chatte et je suis satisfaite. Je crois que
pour elle c’est pareil. Mais pourquoi diable elle ne cherche pas d’amant, à son âge,
se serait simple de trouver, plutôt que me chiner.
Pas plus tard que la semaine dernière, pour une fois le temps étant à la pluie, je ne
suis sortie que pour prendre une glace. Bien sur Martine était là. Nous avons bavardé
comme souvent pour ne rien dire. Elle m’a invitée chez elle pour le reste de l’après
midi. J’ai accepté pour passer le temps. Je ne l’ai pas tellement regretté. Chez elle
son séjour me semblait simple à coté du mien.
Elle a répété qu’elle me trouvait à son gout, qu’il ne fallait pas trop la pousser
pour m’aimer. A ce petit jeu je me suis fait prendre simplement, comme une débutante.
Je ne sais même plus pour qu’elle raison elle m’a embrassée sur la joue. Ses lèvres
ont dérapées pour se trouver sur les miennes. Sans doute par manque d’affection pour
moi, j’ai laissé sa langue venir dans ma bouche. C’était trop agréable pour que je
refuse.
Elle a bien profité de mon désarroi pour accen sa caresse. Elle m’a pris dans ses
bras comme une petite fille qui a du chagrin. Ses bras m’entourent, me rassurent, je
m’y sens bien à l’abri de tout. Elle commence à me déshabiller lentement, sans que je
trouve à redire : nous nous voyons trop souvent en petite tenue, elle et moi en simple
string sans soutien gorge, alors nue devant elle ne me gêne pas, sauf que je suis chez
elle.
Elle me caresse lentement, trop lentement à mon gout sauf qu’elle laisse mon visage
pour mes seins. Qu’elle douceur, pourquoi les quelques hommes que j’ai connu ne me
caressaient-ils pas de cette façon ? Elle m’excite comme rarement.
Pourtant elle est
la première à me faire cet effet, pourquoi ?
Je sens que je mouille. Ma cyprine doit même déborder de mon string. Si elle pouvait
avoir l’idée de me toucher entre les jambes, je la laisserais faire. Une main va sur
mes hanches, avant de se déplacer sur mon ventre. Je la sens sur le nombril pour la
perdre quand elle passe sur ma fourrure. J’écarte à peine les jambes quand elle
cherche un endroit où mettre ses doigts.
Elle me fait certainement ce qu’elle se fait. Un seul doigt suffit à trouver mon
clitoris : elle me caresse tellement bien que je me crispe en jouissant. Elle reprend
son baiser ; je ne m’en lasse pas. Elle n’a pas quitté mon bouton, elle recommence
immédiatement à me branler : je m’accroche à son cou pour ne pas tomber.
Elle me fait m’assoir sur un fauteuil. Devant moi elle fait un striptease : je
connaissais sa poitrine, je ne connaissais pas son bas ventre, il est comme je le
pensais un peu rasé simplement. Son sexe est à la hauteur de ma figure, je peux le
sentir, c’est agréable. Elle ne me demande rien, je sais pourtant qu’elle aimera que
je la fasse jouir, seulement je ne sais pas trop comment faire, sauf qu’un lointain
souvenir me revient : mon premier m’avait donne beaucoup de plaisir avec sa langue.
Pourquoi ne pas lui rendre de cette façon le plaisir qu’elle m’a donné ?
Je l’attire contre moi. Mon visage est contre son ventre. Ma joue caresse son ombilic,
mais je suis prête à aller plus loin. Je fouille son entrejambe avec ma langue. Je
trouve bien sur son secret. Je sens son odeur captivante. Son gout sur ma langue est
agréable. Je la lèche à peine, quand rapidement trop, à mon gout, elle prend son
pied :
- Je voulais que tu me suce la première fois que je t’ai vue.
- Moi non, maintenant je peux le faire quand tu voudras.
Elle accentue ma pression sur elle en tenant ma bouche contre son sexe.
Elle me prend
la main pour me mener sur son lit. C’est plus commode pour la suite que je sens bien
venir. Je ne sais ce qui me prend ; au lieu de me laisser faire, c’est moi qui prends
les initiatives. A peine couchée j’ai encore besoins de la lécher. C’est plus commode
allongées.
Par contre je ne m’attendais pas si vite à la suite : ma bouche à peine sur son con,
elle m’enjambe pour me donner le sien. Mon, notre premier 69, celui qu’on oublie
jamais. Celui où on met tout son cœur pour faire du bien à la partenaire. C’est-ce qui
nous arrivent de mieux depuis le début. Je suis devenue adoratrice de son sexe en
entier et pourtant, je dévie sur son anus, alors que j’aurai pu me contenter de son
vagin. Je ne sais pourquoi j’aime aussi son odeur plus forte à cet endroit très
personnel. Je ne force pratiquement pas pour entrer ma langue. Elle me rend la
pareille. C’est bon de faire ensemble ce qui nous plait. C’est encore meilleur quand
nous jouissons ensemble comme de véritables amantes que nous devenons maintenant.
Nous oublions complètement le monde extérieur ppour nous aimer, trop sans doute. Nous
allons loin, très loin dans le libertinage entre nous deux, lesbienne pour lle depuis
toujours, pourmoi depuis peu. Nos sexes cherchent maintenant à s’emboiter par une
masturbations anormale de nos clitoris.
Elle tient à me montre ce que fait un fistage: elle met lentement toute sa main dans
mon vagin:; que c’est bon. Je le lui rendrais demain;
Je me fiche de ce que dira la famille. Je suis libre de mon corps et de mon fric. Je
me trouve bien avec Martine, après tout je connais une tante qui est devenue comme
moi.

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