Double Fistage
Enfin la villa en construction voisine de la mienne est terminée. Fini les bruits du
chantier, fini les cris et engueulades entre ouvriers. Les voisins aménagent sans
bruit. Le seul désagrément est le départ en trombe du nouveau voisin sous les matin
vers 7 heures. Sa femme ne travaille pas, enfin dehors, jignore ce quelle fait après
son bain, laprès midi dans leur piscine où il me semble quelle est toujours nue. En
tout cas ils sont bien polis: ils disent toujours bonjour aux voisins. Je la rencontre
souvent au centre du village quand, au lieu daller faire mes courses en ville, je me
sert chez les commerçants du coin. Je suis ce quon appelle un capitaliste: je vis de
mes rentes tout simplement. Je semble inoccupé, alors que jai une foule dactivité,
entre autre lamour. Jaime bien jouir. Cest la chose la plus normale chez un homme.
Bon an mal an jarrive tout de même à me farcir une bonne trentaine de femmes; jeunes
femmes célibataires et souvent des femmes mariées que je préfère: elle savant bien
faire lamour simplement pour le plaisir.
Un jour, sans chercher à le regarder je vois ma nouvelle voisine se dirigeant vers la
piscine. Elle porte un genre de peignoir de bain ouvert. La pudeur ne doit pas être
son fort. Japerçois sa poitrine avec des seins extraordinairement beaux. Je reste
pour voir la suite: elle enlève son peignoir pour montrer le reste. Elle porte un
genre de string, disons un bébé string tellement il ne cache rien. A vue de nez il
couvre simplement le début des lèvres de son sexe. Quand elle se tourne je peux voir
que ce « vêtement » est retenu par deux ficelles qui semblent maintenir le peu de
tissu. Sa vue seule, aussi peu habillée me donne la trique. Sen est même gênant
tellement je bande. Tans pis, même si elle me voit je ne peux mempêcher de sortir mon
vit pour me toucher.
Ma bite se régale dehors, on dirait quelle a sa vie propre. Je la prends dans ma main
droite et fais les aller et venue normales. Je ne tiens pas longtemps: jéclabousse la
terre en face de moi. Jai à peine le temps de me rebrailler quand jentend la voix de
la voisine:
- Venez si vous voulez prendre un bain;
- Maintenant ?
Je nose pas lui dire que je viens de me branler en la regardant, jinvente une
occupation:
- Non, merci pas maintenant, jai un rendez vous, demain si vous voulez.
- Je compte sur vous demain vers 15 heures.
- Daccord.
Ouf, je me sens soulagé. Je nallais pas aller chez elle la bite en berne. Demain tout
sera OK, à condition que cette nuit je ne me branle pas trop.
Ca commence mal, dès le diner avalé je bande en pensant à demain. Tant pis jai trop
envie de me caresser. Je me mets nu, totalement nu et pense à son corps. Jaimerais la
lécher, la baiser, lenculer. Je lui ferai en plus tous ce quelle voudra. Je jouis
quand je suis assis sur ma chaise, la bite qui gicle dans un verre pour que je vois la
quantité de sperme que je fabrique. Je le laisse dans le frigo pour ne pas quil
sèche. Avant de me coucher jai encore envie: je vais passer mon érection sous la
douche froide. Jarrive péniblement à me calmer. Par contre le lendemain matin je fais
comme un ado: je bande dès mon réveil. Je file à nouveau sous la douche, cette fois
jai mis leau chaude, je la fait couler sur la queue qui na toujours pas débandé. Le
plaisir est instantané, ma pine bande encore plus, le prépuce vers le bas le jet coule
directement sur le gland. Je le fait aller et venir jusquau pubis pour revenir
sattarder sur ma bite. Je ralenti mes mouvements, je veux faire durer le premier
orgasme de la journée. Jour long aujourdhui. Ce nest pas possible elle ma envouté
tellement jai envie de son corps contre le mien.
Je sors de chez moi pour aller sonner chez elle. Elle ouvre très vite. Je lattendais
habillée; elle ne porte que son string mini. En femme dintérieur accomplie, elle
minvite pour prendre un café. Je suis sur un divan, je peux la voir dans la cuisine,
préparer le café: ses fesses sont parfaites. Elle vient nous servir, ses seins sont
presque contre mon visage. Jaurais pu les embrasser au passage. Elle sinstalle dans
un fauteuil, juste en face de moi. Je la détaille des pieds à la tête: beau brin de
fille. Une paire de seins qui est montant, des aréoles brunes sans plus. Elle se tient
très mal les jambes écartées. Si je ne vois pas le début de sa chatte, je peux voir le
reste, il me semble apercevoir son petit cul.
Elle remarque bien sur que je bande encore.
- Vous êtes plus excités quhier ?
- Oui cest vrai.
Elle ma vu quand je me branlai les yeux fermés.
- Javais envie de vous.
- Tu crois que je nai pas envie de toi et de ta bite ?
- Et ton mari ?
- Laisse le où il est, en se moment il dit se payer sa secrétaire, une belle garce.
Je le sais parce quil me la dit. On ne sa cache rien.
- Si on baise tu le lui dira ?
- Bien sur on ne se cache jamais nos plaisirs. Et puis assez parlé.
Elle se lève pour venir contre moi. Je sens son corps chaud contre le mien. Je me
penche à peine pour prendre sa bouche. Nos langues et nos salives se mélangent
allègrement. Je pose une main sur sa cuisse, elle ouvre immédiatement ses jambes.
Elle a la peau douce: je monte vers son string: je sens sa cyprine avant dy être.
Elle se soulève pour être nue. Je trouve facilement son bouton, bouton aussi chaud
que le reste de sa chatte. Je la masturbe en voulant la faire jouir. Sans labandonner
je pose ma langue sur la chatte. Je vais entrer dans son con. Cest un délice de goût
et dodeur. Joublie son clitoris pour me consacrer à son vagin.
les uns après les autres. Elle écarte complètement son compas.
- Oui, vas-y fistes moi.
- Là où je suis ?
- Oui, pourquoi te voudrais mettre ta main en entier dans le cul. ? Je nai jamais
fais par derrière.
- Il faut essayer.
- Pas les deux à la fois.
- Tu na jamais baiser avec une bite dans le con et lautre dans le cul ?
- Si, cest pas pareil.
- Essaye avant.
Elle se résout à le subir. Je me déshabille, elle prend ma bite dans la bouche. Jai
rarement eu une fellation aussi bien faite, avec sa langue, ses lèvres et ses mains,
elle emploi toutes ses connaissances. Je ne lui dit rien jusquà la fin. Tout le
sperme économisé depuis ce matin part dans sa bouche. Elle lâche ma colonne, tire sa
langue pour monter ma semence, elle lavale en une seule gorgée, avant de membrasser
sur le bouche. Nos goûts se mélangent dans nos bouches.
Je lui demande si elle a ne solution huileuse, jen ai besoin pour le fistage double.
Jenduite mes doigts de salive, jy ajoute sa cyprine bien abondante:
- Vite entre tes mains dans mes trous.
- Doucement princesse. Jarrive, je commence par le premier.
Jentre à ma façon, le poing fermé, formant une sorte de bite avec le pouce replié sur
lindex plié, les autres doigts touchant la paume de la main. Jouvre son entrée avec
son aide. Jentre très doucement, petit à petit ma main pénètre entièrement dans son
vagin. Je lai à peine mise quelle commence à gémir de plus en plus fort. Je force un
peu pour entrer le reste; Jen suis au poignet, ma main a totalement disparu dans son
ventre: elle ne gémit plus, elle commence à crier:
- Cest bon, mon dieu que cest bon, continue, même si je jouis, narrête pas, oui,
cest bon, même si jai mal. Je jouis. Je vais encore jouir.
- Attends ce nest que le début, je ne te lai pas encore mis dans le cul.
- Tu ne vas pas oser, tu vas me défoncer lanus.
- Cest justement ce que je vais te faire.
Je fais couler un peu dhuile sur son anus. Ma main est bien graissée. Je dispose mes
doigts comme tout à lheure. Je lui demande de bien ouvrir son cul, elle écarte les
fesses à deux mains. Jai juste la place pour deux doigts. Je commence par mettre le
début du pouce pour ouvrir encore un peu son anus. Je sens quil souvre gentiment.
Elle doit se faire enculer souvent. Je force encore plus que pour son con. Jarrive
après un bon moment de patience (comment ferait-on lamour sans patience) enfin je
suis en elle jusquà mon poignet. Je resta immobile un moment avant daller et venir.
Jarrive doucement à lui mettre ma main et la moitié de mon avant bras. Alliée à mon
autre main, elle la fait jouir longuement. Pour elle cest une bonne découverte. Elle
cri sans arrêt son bonheur dêtre ainsi pénétrée.
Je suis bien obligé de sortir de son ventre. Elle en voudrai encore. Comme je ne veux
pas aller en elle une autre fois; je préfère attendre que tout entre dans lordre.
Elle prend ma bite pour me donner une bonne sensation. Elle me branle encore mieux que
moi.
Un dernier baiser pour la route (jhabite à 30 mètres) et rendez vous demain plus tôt:
elle veut jouir davantage. Je suis à sa disposition entière. Demain je commencerais
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