La Bourgeoisie
Native des beaux quartiers, mariée également dans autre beau quartier, je suis ce
quon baptise une bourgeoise aisée. Mes problèmes ne sont que la coiffure, le salon de
beauté, les magasins de fringues. Le reste passe bien au dessus de moi. Sauf une
petite chose : le sexe. Javais 18 ans, quand depuis notre villa vers Agde, la veille
de partir mon cousin, un jour memmène dans le centre naturiste. Jaurais pu refuser
daller là bas, mais jétais curieuse de voir des corps nus.
Nous avons du nous déshabiller pour entrer. Je regardais la plastique de Michel mon
cousin. Il était mon premier homme nu. Je regardais surtout sa queue. Il ne bandait
pas, en tout cas pas encore. Lui aussi regardait ma zigounette. Jétais encore nature,
avec mes poils garantis dorigine.
- Tu as une grosse queue, non ?
- Cest-ce que disent certaines femmes qui sont contentes de la prendre dans le con.
- Tu as eu beaucoup de femmes ?
Il compte sans doute pour faire le malin. Je sais de source sure quil sest payé sa
bonne. Et encore, il y a peu.
- Je ne peux pas le dire et toi, tu es vierge ?
- Non. Cest un copain de linstitution qui me la mise dans ma chambre la première
fois. Je nai pas aimé. Il a voulu menculer, comme si jétais une putain.
Nous allons nous installer pas loin dun jeune couple qui semble très amoureux. Elle
est sur le dos, les jambes ouvertes, lui est sur le ventre presque contre elle. Je
vois quil a sa main sur la chatte de la fille que malgré la distance nous entendons
bien gémir.
- Ils vont sans doute baiser, me dit Michel.
- Jespère voir ça.
- Regarde ma queue, je commence à bander.
Cest vrai, je regarde sa bite qui prend de lampleur. Elle monte sur son ventre. Je
nattends pas plus pour le branler (ça je sais faire depuis longtemps) Jai en main
son bâton qui grossit encore.
prépuce bien en bas, je caresse les couilles aussi. Il me demande de continuer à le
masturber. Je le fais, sans quil me le demande je commence à mouiller. Jaimerais
bien quil me fasse comme les amoureux dà coté. Après dix minutes de va-et-vient je
le fait jouir. Son sperme gicle bien sur son torse, un peu sur le mien.
- Pourquoi te ne mas pas branlée ?
- Tu aimes la masturbation ?
- Tu crois que je ne me branle jamais ?
- Excuses moi.
Il comprend quil a fait une faute de gout. Il se tourne, sa bite molle pour masser
deux doigts dans la chatte. Son doigtage est agréable, il me donne des frissons,
surtout que je vois que dautres personnes me voient. Je dois être exhibitionniste.
Le soir il aurait voulu continuer, me baiser même. Je refusais par principe.
Deux jours après notre retour au monde civilisé, je retrouvais certaines de mes
copines de linstitution. Nous nous racontons nos histoires de filles aussi
croustillantes les unes que les autres. ? Je suis la seule à ne pas avoir fait
lamour, même si je me suis fait branler ? Ca ne compte pas
.
La fin des études arrive. Je me demande pourquoi continuer en fac. A mon avis à rien.
Jallais arrêter quand je rencontre Paul, un grand gaillard bien costaud, joli comme
un cur qui me retourne chaque fois que je le vois. Jarrive de justesse à minscrire
(grâce à nos relations) et me voilà partie par désir de sexe vers des études longues
qui finalement me servent encore, puisque je suis un médecin cotée, cest normal avec
les honoraires que je prends, tout le monde, heureusement ne peuvent pas se payer une
visite à mon cabinet où jai une secrétaire.
Retour en arrière, Paul un jour, peut être deux mois après la rentrée me pose une
petite question sans importance :
- Veux-tu de moi comme amant.
- Bien sur idiot. Pourquoi me poser cette question.
- Jai envie de toi. Tu me veux ?
- Oui, mais pas dans le cul.
Pour une « jeune fille de bonne famille » ce nest pas une réponse normale ; Cest
vrai jaimerais bien quil me baise, me fasse jouir, longtemps.
Ca cest passé dans ma chambre au 2° étage de limmeuble où nous habitons. Il ma
embrassé longuement. Nos langues jouaient ensemble. Ses mains parcouraient mon corps.
Je le tenais par le cou. Il me tenait la taille. Je mapprochais de lui le plus
possible. Je le sentais bander. Cest agréable pour une fille de sentir leffet quon
fait sur ce petit bout dun corps dhomme.
Il ma fait coucher sur le lit, les jambes pendantes. Jattendais cet instant depuis
longtemps. Je me branlais souvent en pensant à une bouche sur moi. Quel bonheur de
sentir sa langue lécher toute ma fente et même un peu plus. Il a dabord entré sa
langue dans le vagin. Je ne sais pas ce quil y a fait. Il est resté longtemps pour
que je jouisse. Bien sur il a réussi, jen voulais encore, alors il a changé
demplacement en venant juste sur mon anus. Cet endroit où je ne voulais que personne
nentre. Jai senti sa langue forcer pour entrer un peu. Jai laissé mon cul souvrir.
La vache de langue, elle ma faite jouir encore une fois, preque aussi bon que par
devant.
Je le voulais dans mon ventre. Je savais quil allait me donner le grand frisson. Il
se doutait bien que je nétais plus vierge, il est entré comme dans un moulin.
Directement au fond. Je nai pas pu tenir, jai jouis, lentrainant aussi dans le même
orgasme.
Première baise avec Paul, premier orgasme commun. Régulièrement nous baisions toujours
avec bonheur. Un jour, nous déjeunions dans un restaurant je trouvais dans la
serviette une bague.
- Veux-tu mépouser ?
- Bien sur.
Nous en avons parlé à sa famille et la mienne.
marier ensemble.
Paul continuait ses études pour devenir maintenant un chirurgien réputé. Nous nous
sommes installés dans un appartement bien situé dans le triangle dor, là où jexerce.
Nos relations sexuelles sont toujours aussi chaudes puisque nous faisons tout ce qui
est possible à un couple de pratiquer : ce nest pas toujours très catholique, mais
nous aimons faire des choses interdites, comme changer de partenaire, avec un plus la
liberté pour lautre de faire lamour avec qui il veut à condition de le dire à
lautre.
Ma secrétaire au cabinet nest pas très utile. Elle permet de satisfaire un de mes bas
instincts : baiser avec une autre femme. Paul en profite souvent pour la baiser soit
avec moi, soit devant moi pendant que je me branle ou suce la fille.
Avec Marie, cest simple, elle a toujours envie de jouir. Je lai surprise je ne sais
combien de fois pendant quelle se mettait un gode dans la chatte, jusquau jour où je
lui ai demandé de venir me sucer la chatte. Je me mettais sur un des fauteuils du
cabinet les jambes bien ouvertes. Sa tête est vite venue, comme si elle attendait cet
instant depuis longtemps. Je lui rendais la pareille.
Un jour Paul est venu, sa journée pour une fois finie tôt. Il nous a surpris quand je
me faisais sucer. Sans rien dire il a enlevé son pantalon, son caleçon sa bite bien
droite sest plantée dans le cul de Marie. Elle laccepté aussitôt pour jouir
rapidement en disant simplement « merci, monsieur ». Le monsieur était très satisfait,
il lui demandait de lui nettoyer la queue avec la langue, chose quelle a faite comme
une dévergondée quelle était et est toujours.
Une fois par mois, jorganise des réceptions particulières où je ninvite que nos
proches, amis, quelques vague parents, et Marie. Nous ne sommes quune bonne
vingtaine.
les dames. Moi, je suis mixte : que ce soit un homme ou une femme, je men fiche un
peu, sauf si jai besoin de sperme dans la bouche. Paul est un peu comme moi, sauf que
parfois il va très loin avec des copains, allant jusquà enculer un ami ou rarement,
mais je lai vu se faire sodomiser, en se faisant sucer par la femme de celui qui la
lui mettait.
Jai le souvenir dun couple dont la femme avait un amant, présent lui aussi. Le trio
après une rapide baise où madame a pris dans les deux orifices entre jambes, me
demande de participer. Je ne savais pas trop quoi faire. La fille ma fait allonger
sur le tapis, est venue sur moi en 69. Jaime bien sucer et être sucée par une autre.
Jen avais pour ma participation, elle léchait comme une déesse. Les deux hommes qui
normalement se partagent celle qui maimait se sont mis sur nous. Ils nous ont tournés
sur le coté. Chacun est venu mettre sa queue dans un cul. Je recevais celle de
lamant. Il baisait lentement, profondément. Je sentais son pubis contre mes fesses.
Ajoutons à cela lappendice lingual de la femme, vous comprendrez pourquoi jai jouis
longuement.
Je pense que vous comprenez comment vit une famille unie dans mon milieu.
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