Rencontre Surprenante En Argentine
Buenos Aires Avril 2006
Je vous résume ci-après laventure qui mest arrivée il y a presque 5 ans en
Argentine.
Jai un copain de longue date qui était parti à laventure (il avait à lépoque 26 ans
et moi 30) ; il faisait le tour du monde en +/- un an. Et après avoir arrangé nos
agendas, il était prévu que jaille le rejoindre en Argentine pour un séjour de 3
semaines.
Je débarque donc à Buenos Aires, un soir davril 2006, et retrouve mon pote Bernard
qui était là depuis déjà 1 mois. Bien installé, il avait trouvé une copine et logeait
avec elle dans un immense loft quelle partageait avec 4 filles et 3 garçons dans le
quartier Palermo.
« Tinquiètes pas me dit-il pour le logement, tauras aucun frais, on vit quasi en
communauté, on fait pot commun. Cest la fête presque tout le temps
. »
Mon arrivée au loft est dailleurs fêtée comme il se doit, je suis très bien accueilli
et jai vite compris quon partage tout : la bouffe, les verres, les cigarettes, les
joints,
. Et après quelques heures
.les filles passent de bras en bras.
Mais, assez crevé par le voyage et le décalage horaire, je ne profite pas à fond de
cette 1ère soirée et je mécroule après quelques verres de punch et deux bons tafs
Les 3 jours suivants, nous partons à la découverte de la ville avec Tonia, la copine
de Bernard puis tous les soirs, cest la fête au loft.
Le samedi, Bernard, Tonia et les autres décident de memmener en boite, dans le
quartier branché de Puerto Madero.
Après avoir déconnés dans 2 boites complètement bourrées (les boites et nous aussi),
nous nous dirigeons vers un club un peu plus calme où Tonia et ses amis avaient
rendez-vous vers 2 h du mat. Et cest là, quune fois les présentations faites avec
cette nouvelle bande damis, je craquais complètement sur une fille superbe, que Tonia
me présente comme sappelant Isabella : 1m 78, yeux bruns, cheveux très noirs,
longues jambes musclées dans un jeans moulant avec des bottes noires jusquau genoux
et un tee-shirt bariolé qui laissait deviner une paire de seins bien proportionnés.
Après quelques mots en Anglais et en Espagnol et deux cocktails, je linvite à danser
; ce quelle accepte de suite. Une fois sur la piste, elle se déchaine, elle saute,
elle se déhanche, rie, chante
Enfin une série de morceaux calmes et je peux enfin la
suivre dans un slow langoureux, elle se plaque contre moi : nos corps se frottent lun
à lautre et je ne tarde pas à avoir un beau début dérection, ce quelle remarque
directement et la fait rire de plus belle ; et elle se serre de plus belle. Peu après
cette série de slow, elle demande, tout de go : « veux-tu rentrer avec moi ou restes-
tu avec tes copains ? » Sans hésiter une seconde, jaccepte de rentrer avec elle. Il
nest pas loin de 4 h.
Je vais donc prévenir Bernard : « Tu rentres avec Isabella ? me dit-il en riant,
daccord, mais
. Je ne comprends pas la suite à cause du vacarme !!!!!!
Une fois dehors, Isabella me dit « Jhabite à +/- 2 kms, on y va à pied, Ok ?? » OK,
et nous voilà partis, bras dessus bras dessous. Un peu titubant, environ une demi-
heure plus tard, nous arrivons devant un immeuble à apparts dans un quartier assez
calme. On prend lascenseur pour le sixième et dernier étage. Dès la fermeture des
portes, Isabella se plaque à moi et membrasse goulument en me caressant le dos et les
fesses. Je me mets à lui peloter les fesses, mais lascenseur termine sa course. On
est à destination, elle ouvre la porte et nous entrons dans un vaste appart.
Dès la porte refermée, nous reprenons notre baiser de plus belle, puis elle sécarte
et me dit « Viens, allons au salon, on va prendre un verre ou thé, café, ce que tu
veux ». Vu que je me sens encore un peu saoul « Va pour un thé ». Elle sinstalle à la
cuisine pendant que jenlève ma veste et me laisse tomber dans un divan. Jinspecte
les lieux puis je ferme les yeux
.. Ai-je somnolé ? Sans doute, car je suis réveillé
par une sensation extraordinaire, Isabella, qui nest plus vêtue que dun peignoir en
soie noir, est occupée à me caresser à travers mon pantalon en toile
.
Elle me laisse en létat et me dit « voilà le thé est prêt et toi
.presque ». Elle
nous sert et sassied face de moi ; « Tu peux continuer, lui dis-je » « Oui, oui, mais
attends, bois le thé, nous avons tout le temps
. Tu peux prendre un bain pour te
rafraichir car je naime pas trop les odeurs de fumée, de sueurs et autres
. » « Ok,
je bois et tu me montres
. » Une fois, le thé au goût assez bizarre avalé, elle me
dirige vers la salle de bain où un bain chaud mattendait !!! Je me déshabille, entre
dans leau et commence à me laver, quand je me sens pris dune douce euphorie et dune
impression de planer complètement.
Isabella, toujours en peignoir, me frotte le dos, puis se met à caresser mon sexe mou
mais qui ne tarde pas à prendre une position plus digne, elle me caresse aussi
doucement les couilles
Je suis aux anges, dans un état second, nébuleux. Je essaye de
lui ouvrir son peignoir mais elle recule et me dit « Viens que je tessuie » Une fois
debout, elle se met à me frictionner le dos, la poitrine, et commence à descendre se
mettant à genoux. Elle essuie précautionneusement mon sexe tendu avant de le prendre
entre ses lèvres, tout en me massant les fesses puis les jambes. Je suis en
ébullition, mais dans une douce torpeur, dailleurs mes jambes ont du mal à me porter.
« Viens, dit-elle, allons dans la chambre »
Dans la chambre plongée dans une pénombre relaxante, un lit gigantesque nous
attendait, mais je me sens de plus en plus dans le gaz.
Isabella me fait me coucher, reprend ses caresses puis sans que je naie le temps de
réagir, elle mattache les mains avec une longue écharpe à la tête du lit. « Laisse-
toi faire, dit-elle » et elle recommence une incroyable séance de caresses, elle a
les mains partout en même temps, puis elle se concentre sur mon sexe qui est
maintenant tendu à son maximum, cen est presque douloureux.
me lécher la queue sur toute sa longueur et à jouer avec mon gland, en même temps,
elle me caresse les couilles. Elle me fait subir ce traitement un temps qui ma parut
une éternité, je suis au bord de lexplosion mais toujours dans un état de torpeur
inexplicable. Je veux moi aussi la caresser, mais comme je suis attaché. Isabella me
met alors un préservatif. Elle saccroupit au dessus de moi en me tournant le dos,
sécarte les fesses, place son petit trou juste contre mon gland et senfonce
doucement, tout doucement. Puis elle entame une série de va-et-vient de plus en plus
profonds et de plus en plus rapides. Je sens ses muscles se contracter puis se
relâcher : je nai jamais ressentis une telle sensation, cétait comme si seul mon
sexe était vivant. Elle pousse un long feulement de jouissance, se calme et reste un
long moment totalement empalée sur mon sexe toujours en érection. Elle reprend ensuite
ses mouvements de va-et vient, cétait incroyable, elle joue avec moi comme avec un
gode avant de jouir une deuxième fois de la même façon. Après un moment de
récupération, elle vient membrasser et me dit « Maintenant, je vais te faire jouir à
ton tour ».
Elle me reprend entre ses lèvres et commence à me sucer, à me caresser sur toute la
longueur mais aussi à insister autour de mon anus. Je la sens shumecter les doigts
avant den enfoncer un, puis deux et de les faire tourner. Je devins complètement
dingue et je jouis comme jamais dans sa bouche. Je suis exténué
. Je mendors comme
une brute !!!
Quand je rouvre les yeux, la chambre est toujours plongée dans lobscurité, je
découvre Isabella blottie contre moi, je me lève doucement pour me rendre aux
toilettes et boire un grand verre deau, car je suis bizarrement assez vaseux.
Je me passe la tête sous leau, pour me remettre les idées en place car je me
demandais si je nai pas rêvé.
Je reviens dans le lit, Isabella na pas bougé, je lembrasse dans le cou, lui
caresse le dos, puis me mets à lui peloter les seins, car maintenant je me sens en
forme et rien ne me paralysait comme cette nuit. Je me rends compte quelle a des
seins plus volumineux que je ne croyais de prime abord.
Isabella gémit et commence à se réveiller quand je glisse ma main vers son sexe
et
.là, surprise, je découvre sous son nombril
.. une queue
.et tout ce qui va avec.
Le tout de belle taille car elle aussi a une belle « érection du matin ». Je retire ma
main vivement.
Elle se retourne de suite et me dit
- « Tu nétais pas au courant ? Tonia et les autres ne tont rien dit »
- « Non, et je suis surpris après tout ce que tu mas fait cette nuit et je ne
me suis rendu compte de rien »
- « Jai peu un peu trop sur leuphorisant que jai mis dans ton thé et
avec ce que tu avais bu et fumé avant
. »
- « Ah bon, tu mavais ; cest pour ça que je ne me suis pas rendu compte
que tu avais une queue»
- « Ben oui, pendant que tu dormais dans le divan, je me suis préparée et avec
lobscurité et en ne me frottant pas trop contre toi, tu ne pouvais rien voir ou
sentir »
- « En tout cas, je navais jamais baisé comme ça, aussi longtemps
. aussi
fort
.. »
- « Ah ça, tu peux le dire, tu tes écroulé vers 7 h du matin. Tu ne nen
veux pas ? »
- « Ten vouloir après une nuit pareille !!!! Impossible »
Et pour confirmer mes dires, je lembrasse, tout en lui caressant les seins « Je pense
même que jai souvent eu envie dune telle aventure
..sans y croire
»
« Attends, dit-elle, je reviens tout de suite », en se dirigeant vers la salle de
bain. Elle revient 2 minutes plus tard et ouvrit légèrement les tentures pour laisser
entrer la lumière.
Je la découvre enfin entièrement nue, elle est magnifique, fine mais musclée, ses
seins tiennent bien droit, elle a des hanches assez larges, des fesses bien
rebondies
. Elle vient se recoucher :
« Donc, tu ne regrettes rien ? »
«Je serai même plutôt davis de remettre ça » et je recommence à lembrasser en la
caressant, et elle me rend la pareille aussitôt.
Mes mains courent de ses seins à son dos, puis elles descendent à la rencontre de cet
objet de mystère pour moi, car si javais déjà vu des tas de queues dans des
vestiaires de foot ; je nen avais jamais touché dautre que la mienne.
- « Oh oui caresse-moi »
- « Je nai jamais fait ça »
- « Fais comme avec la tienne, doucement et tendrement »
Faisant comme elle dit, je sens très vite son sexe commencer à se dresser. Et quand je
dis se dresser, je suis ébahi. Isabella était très bien montée, tellement bien que
jen devins jaloux
- « Et bien, tu as une queue magnifique »
- « Tu nas pas envie de la lécher ? Dailleurs tourne-toi que je profite de la
tienne
. »
Nous voilà en position de 69, mais jhésite un peu. Isabella, elle pas, elle me lèche
déjà le gland en me caressant la base et les couilles. Du coup, jy vais, jentrouvre
les lèvres, mapproche de son gland, donne un coup de langue, un autre, puis je lèche
doucement, et finalement le fais entrer entièrement dans ma bouche. Quelle sensation
!!!
- « Caresse-moi en même temps » dit Isabella dun ton un peu professoral.
Car elle ne chômait pas de son côté et ma queue était complètement tendue. Jamais, je
navais eu affaire avec une telle suceuse et pour me montrer lexemple, elle me gobe
complètement jusquau fond de sa gorge.
Pour ne pas être en reste, je commence par enfoncer la moitié de son sexe puis
jessaye daller plus loin ; je prends vraiment beaucoup de plaisir à ma première
pipe. Et, en entendant Isabella gémir, je me dis que je ne me débrouillais pas si mal.
Cest alors que je la sens enfoncer un doigt dans mon anus, jai un mouvement
involontaire de contraction qui la fait rire.
- « Tu naime pas ? »
- « Huuummm, si, si, mais je nai pas lhabitude, mais continue, cest bon
»
Pas besoin dinsister avec Isabella, elle nhésite pas et enfonce cette fois deux
doigts bien humidifiés et commence à les faire tourner. Jai du mal à me concentrer
sur sa queue que je continue à lécher. Après quelques allers-retours, elle place un
troisième doigt et là je commence vraiment à ressentir une sensation inconnue.
- « Jai envie de te faire lamour, me dit Isa en haletant, jai vraiment très
envie »
- « Moi aussi, mais tu ne vas pas me faire mal ? »
- « Non je vais faire très attention, tu marrêteras si ça ne va pas »
Elle avait déjà préparé un préservatif, quelle enfile très vite, et un tube de
lubrifiant, dont elle me « tartine » copieusement en enfonçant de nouveau ses doigts.
- « Mets toi à genoux, jambes écartées, la tête sur les oreillers, ce sera plus
facile »
Je sens alors quelque chose de bien plus gros tenter de pénétrer mon anus, elle y va
doucement pour mhabi, puis insiste plus fort et là, je sens son gland mécarter
et entrer entièrement.
En même temps, mon gémissement devient un cri, de surprise et un peu de douleur aussi,
quand elle force le passage
..
Elle fait alors une courte pause :
- « Ca va ?, je peux continuer ? » demande-telle
- « Oh oui, ça va, ça fait un peu mal mais vas-y, continue »
Elle pousse, alors, et fait pénétrer petit à petit tout son membre dont je sens chaque
avancée mécarter plus en profondeur, jusquau moment où je sens ses couilles contre
moi.
Ca y est, elle est totalement en moi !!!
Elle commence de lents mouvements de vas-et-viens. Après une bonne dizaine daller-
retour à ce rythme, elle accélère soudain et commence y aller plus en force. Puis,
elle se retire entièrement, rentre, se retire de nouveau
- « Alors, tu aimes, tu en veux encore ? Je le vois bien
. Tournes-toi, je veux
voir ton visage, maintenant
»
Je mexécute et elle écarte mes jambes et les lève, présente de nouveau son sexe
contre mon anus qui offre bien moins de résistance, elle me pénètre bien à fond en
souriant, se penche vers moi pour membrasser, puis se redresse pour mieux reprendre
ses longs mouvements de va-et-vient. Jen profite pour caresser ses seins dont les
tétons sont dressés. Elle prend ma queue en main et commence à me branler.
Je ressens une telle sensation que je ne tarde pas à jouir copieusement dans ses mains
et sur mon ventre.
- « Je vais bientôt jouir aussi, dit Isa, remets-toi sur le ventre, ce sera plus
puissant »
En effet, car une fois quIsa sest réinstallée bien au fond de mon cul, jessaye de
contracter les muscles de mon anus, je sens de suite quIsabella ny est pas
insensible car sa queue se gonfle encore plus. Mais, elle est très endurante et elle
mencule pendant encore un long moment. Mais soudain, elle pousse un long soupir
.
- « Je jouis, je jouis
.. »
Je sens les contractions de son sexe et malgré le préservatif jai limpression de
sentir ses longs jets de sperme en moi.
Isabella se retire et tombe littéralement à côté de moi. Nous nous embrassons
longuement.
- « Quelle jouissance, je navais jamais ressenti ça », lui dis-je.
- « Ca a été extraordinaire pour moi aussi, dit-elle, vraiment »
Nous nous tenons serrés lun contre lautre, nous embrassant, nous caressant, jouant
lun avec lautre.
- « Tu nas pas soif, demande-t-elle »
- « Je meure de soif »
- « Allons-nous rafraichir, et reprendre des forces »
- «Oh oui, jai faim aussi, mais quelle heure est-il ? »
- « Presque 3 heures de laprès-midi »
- « Mais, dis donc tu ma fais lamour plus dune heure !!!! »
- « Et cest quand tu veux pour remettre ça, combien de temps restes-tu en
Argentine ? »
- « Encore 15 jours, pourquoi ? »
- « Je suis en congé pour 3 semaines, si tu veux je peux être ton amie pour le
reste de ton séjour. Je peux te faire découvrir la ville, mais seulement si tu veux »
Pas besoin de me le demander deux fois, après un petit repas et une bonne douche, me
voilà parti chercher mes affaires au loft de Tonia, pendant quIsa fait des courses.
- « Pas de problème, me dit Tonia, je préviendrai Bernard, il est parti au
ravitaillement avec Sergio. Et alors, elle ta plu Isabella ? Elle est spéciale, hein
! Je tavais prévenu »
- « Javais rien compris à cause du bruit, mais jai vraiment envie de continuer
lexpérience, car sexuellement, je viens de passer une nuit et une journée
exceptionnelle »
- « Je sais, dit-elle en souriant, je connais Isabella aussi
»
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