La Spécialiste Et Son Gendarme
Jétais jeune encore, vers les 15/16 ans. Un copain un jour a tenu à me faire ses chatouilles particulières. Je ne savais pas ce quétaient ce genre de chatouilles. Il a commencé par passer une main sur mes pieds. Cétait assez agréable, il a monté lentement sa main, passant jusque sous mon slip. Je me demandais où il allait en venir. Jétais vite fixé. Je bandais quand sa main a pris la bite. Il venait me soulager de la pression. Je ne sentais plus de chatouilles, mais un sérieux besoin dorgasme.
Sans plus rien me demander, il a enlevé mon pantalon, suivit du slip. Ma queue était grosse, moins que la sienne quand à son tour il était cul nu, comme moi. Il me branlait très lentement, de moi-même jai pris dans ma main sa grosse pine par rapport à moi. Je le masturbais comme pour moi.
Lui passait une main entre mes cuisses ouvertes pour aller à la recherche de mon illet. Cétait agréable surtout quand je pouvais moi aussi lui mettre un doigt sur son anus. Jai eu lidée de renter une phalange dans son cul. Nous étions à égalité quand nous avons jouis. Notre « liaison » durait depuis trop longtemps, jusquau jour où nous nous sommes fait surprendre par sa mère, une femme très rigoriste. Il en était au point de vouloir menculer, ce que je refusais en regardant la grosseur de son mandrin.
Heureusement puisque deux mois après il déménageait avec sa famille pur un ailleurs que je devinais plein de bites à branler pour lui.
Je nai regretté son départ quun court temps. Je jouissais aussi bien en me branlant, même si je pensais souvent à sa bite.
Jai totalement changé quand, javais un peu plus de 17 ans, presque 18, je devais passer une visite médicale complète chez une spécialiste. Jarrivais dans son cabinet juste à lheure. Personne dans la salle dattente. Par contre un gendarme de femme à moustache mintimait lordre dattendre mon tour. En la voyant je me demandais déjà sur quelle doctoresse jallais tomber.
Un coup de fil interrompt la tâche de taper un compte rendu que faisait la gardienne (je ne trouve pas dautres mots). Je dois me présenter à la doctoresse. Je mattends à trouver la copie conforme de la femme gendarmesque. Pour le moment je ne sais pas à quoi elle ressemble : elle me tourne le dos.
- Entrez, entrez, asseyais vous.
Une fois assis, je la regarde toujours quand un miracle se produit : elle se retourne, je la vois en entier. Une merveille que jusquà présent je nai jamais vue. Cest un mélange de déesses antique, de Marilyn, de Bardot davant
Je tends lenveloppe contenant le mot de mon médecin traitant. Elle lit pour finir en me demandant de me déshabiller complètement. Jempile mes vêtements sur une chaise, sans me rassoir. Enfin elle me regarde de haut en bas puis linverse, avec un arrêt sur mon service trois pièces. Je tâche de rester impassible.
Elle sapproche pour me prendre la tension, cest bon, cest surtout vite fait. Un bon coup de stéthoscope devant, derrière. Il semble que je vais bien du coté pulmonaire, ce qui est normal, je ne fume pas, ça me fait tousser. Par contre jai dans les narines lodeur de son parfum. Je ne sais si cest cette odeur qui me fait bander, comme ça, dun seul coup.
Son commentaire me glace un peu sans me faire débander :
- Je vois, je vois.
Si elle ne voit pas ma queue grosse bien raidie, cest quelle ne voit pas un éléphant.
- Venez-vous allonger sur la table.
Me voilà marchant, bandant toujours pour mallonger sur la table. Je suis couché avec des idées de jouissance plein la tête.
- Je connais un remède simple contre le mal qui vous indispose.
Elle téléphone à sa garde personnelle pour quelle parte, sa journée finissant. Ainsi je me retrouve seule avec une femme qui me donne envie delle dans son cabinet. Elle sautorise à me tutoyer :
Je vais te sucer dabord à condition que te me suce aussi après. Jaime le sperme. Le tien doit être bon et tout frais.
Je ne sais quoi répondre à cette avance des plus osée. Je me laisse faire comme elle veut. Elle prend dabord mes couilles quelle caresse, mets un doigt sur lanus. Ca jaime bien. Son autre main prend ma bite en entier, vers la base. Elle tire un peu pour faire descendre de prépuce. Enfin elle passe sa langue sur le gland. Je sursaute de plaisir. Elle en fait le tour complet avant de mavaler.
Ma première fellation : une réussite totale mais trop courte. Je ne suis pas habitué à ce genre de traitement, même si cest une doctoresse qui lapplique. Je nai pas le temps de lui dire que jallais jouir quand mon sperme séchappe à gros bouillons de ma queue.
Je suis déçu, ma queue va débander, je ne pourrais pas la baiser. Elle me garde dans la bouche, je la sens déglutir mon sperme. La voir faire me ravigote assez pour me redonner la pêche.
Enfin elle lâche ma queue : sa période cannibale est terminée. Elle enlève sa blouse. Je regarde ce corps nu qui mexcite encore plus quand elle passe deux doigts dans la chatte. Ainsi elle reçoit les malades dans le plus simple appareil, à moins quelle se touche entre deux clients.
Elle me fait lever pour se coucher à ma place, elle écarte bien ses jambes. Je vois cette chatte toute mouillée.
- Suce-moi le con.
- Je ne sais pas faire ça.
- Tu es puceau, je sais, fais ce que je demande ou vas ten.
Partir alors que jai sous la main cette nana ? Pas question. Je vais faire tout ce quelle désire, même si comme elle dit je suis puceau. Je pose ma langue sur son pubis rasé. Cest doux. Mes lèvres descendent vers le bas pour trouver lendroit où elle sest branlée. Ma première impression est lodeur douce qui se dégage de son con. La deuxième est quelle mouille sans cesse. Quand je suis bien mis ma langue fait ce que lui demande la dame : Je fais dabord le tour de sa chatte en descendant vers son cul. Je ne pensais pas quelle aime autant ma langue sur son cul. Je lui aurais mis ma pine.
Je la fais jouir : je ne pensais jamais quelle jouisse ainsi. Je regarde de près les spasmes sur son anus. Je suis tellement pris par ce que je lui fais que même si je bande ne jai pas encore envie de la baiser. Jentre le bout de ma langue dans son con. Cest chaud, humide, ça donne envie dentrer encore plus. Jy perds la moitié de mon appendice. Je sens les mêmes spasmes que sur son cul. Je sors pour aller sur son bouton. Il est situé juste sous une légère protection quand il bande un peu comme une bite. Je le prends en entier dans la bouche, sans le lécher. Je le suce comme si je tétais ;
Elle pousse des soupirs de désir :
- Oui, suce moi, narrête pas, continue, tu me fais jouir, encore.
Une idée me passe par la tête, je porte une main sur le premier sein venu. Il est dur comme de la pierre. Ce nest quensuite quelle mautorise à la baiser. Elle na pas besoin de me le répéter. Jarrive à monter sur elle. Elle prend ma pine pour la diriger vers son enfer. Et quel enfer : jentre très facilement je commence les va-et-vient. Elle répond à mes mouvements. En passant sa main entre nous, elle arrive sur son clitoris quelle branle. Je sens en même temps sa main sur mes fesses et dans la raie. Elle ne cherche pas longtemps lanus. Elle y remet encore un puis deux doigts.
- Je tenculerais tout à lheure.
- Jaime ça.
- Tu veux que je le fasse de suite.
- Ah non, baises moi, tu réussis très bien cest bon, je vais jouir.
Là sa jouissance est aussi pour moi. Elle resserre son con par saccades sur ma queue. Je ne jouis pas par miracle.
Je me retire delle en y laissant une partie de mon innocence. Elle se lève, se tourne me présente ses fesses :
- Allez, encules moi
- Guide-moi.
Elle prend ma pine, la met sur son anus.
- Vas-y, encule.
Je force un peu et me voilà dans son ventre.
Je sors de son anus, totalement riquiqui. Je ne pourrais plus la baiser.
Elle membrasse sur la bouche, me donne sa langue à sucer. Jy retrouve le gout de ma queue, comme elle me dit trouver le gout de sa chatte sur ma langue.
- Je vais appeler une copine, nous baiserons à trois, tu verras, cest très bon.
- Mais je ne peux pas bander.
- A ton âge, on rebande vite et tu verras quand je baiserais avec ma copine, tu auras le trique.
Elle passe un coup de fil rapide. La personne appelée est vite là. Si la doctoresse est brune, la nouvelle venue est rousse.
-Cest lui ?
- Tu le vois, il est encore nu.
- Il ne bande pas.
- Bien sur je lai vidé.
- Jai envie de le sucer.
- Vas-y.
Je compte pour du beurre, on ne me demande rien. Quand je vois la rousse nue, je change davis en voyant sa touffe rousse. Elle me fait coucher sur la table, se penche pour me branler fort bien. Elle aussi caresse mes couilles avant de me bouffer mon machin. Elle suce au moins aussi bien que lautre qui lui met une main aux fesses. Je regarde la main qui passe sous les jambes pour aller sur le clitoris.
Elles commencent bien vite. Jallais jouir quand les dents se referment sur moi : elle aussi jouit pile au même moment. Je donne ma semence avec un temps de retard. Elle navale pas le sperme. Elle le partage avec lautre femme dans un profond baiser.
Là je ne peux plus que les regarder. Jai déjà vu de femmes baiser dans des films pornos. Mais là, ce nest pas du cinéma. Les cris ne sont pas simulés. Leur 69 non plus. Je ne sais combien de fois jentends les cris de « je jouis » Je les envie de pouvoir jouir autant. Je fini pas bander de plus en plus. Jallais me branler quand la doctoresse me voit commencer. Pour elle cest un crime que davoir deux filles à sa disposition et se masturber à vide.
Elles me demandent de venir sur elle pour soit en baiser une soit enculer. Je préfère un cul offert, celui de la rousse. Je force un peu plus que la première fois pour entrer, mais une fois dedans, mon gourdin trouve toute la place. Je la lime avec application pendant même quelle jouit, je ne sais si cest grâce à ma queue ou la langue de son amie. Quand je jouis à mon tour, jai comme un coup de massue tellement cest bon.
Pour finir, jai rendez vous deux fois par semaine pour le traitement spécial avec les deux dames. Je ne dis à ma mère que ce que je veux, il faut que je me fasse soigner par la spécialiste.
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