Huguette, La Vierge
Il faisait relativement chaud. Nous nous baladions en voiture avec Huguette. Cétait
notre première promenade seul. Cette fille me donnait des envies de baise pas
possible. Elle était jeunette encore, à peine 18 ans, à coté de moi plus de 35 ans
bien sonnés.
Son allure générale était celle dune fille racée, pleine de charme avec ce quil faut
là où il faut. Pour quelle soit bien éduquée, ses parents lavaient mise dans un
pensionnat réputé pour sa dureté, une boite de bonnes surs. Je ne la connaissais que
depuis ses vacances, soit à peine 15 jours. Javais eu un choc en la voyant.
Ses parents en me la présentant me recommandaient bien de faire attention à elle. Pour
faire attention, jétais le premier. Je la voulais dans mon lit, simplement.
Aujourdhui je me décide pour la faire venir à la plage pas tellement loin, entre la
Nouvelle et La Franqui. Pour ceux qui ne connaissent pas cest sur la côte
languedocienne, une plage immense où on peut se perdre dans la garrigue toute proche.
Papa et maman sont daccord. Huguette possède même un maillot. Jai peur de celui-ci.
Après une demi-heure de route nous sommes sur place. Il y a peu de monde, cest loin
de tout. Pour préserver sa pudeur, je gare la voiture près dun grand pin. Elle retire
sa robe lâche, ses chaussures. Elle me demande de me retourner pendant quelle se met
le maillot. Evidement je risquais de la voir nue.
Nempêche que son corps est bien visible : réellement cest une fille sexy. Je ne sais
si elle sen doute. En tout cas elle ne fait rien pour se cacher. Quelle paire de
nibards, quelle paire de fesses !!!
Je me retiens pour ne pas bander. Ce nest quand même pas la première fille que je
vois en maillot. Cest quand même la plus baisable.
Pour moi, cest sans pudeur que je me change. Je tourne mon dos vers elle quand
jenlève ce que je porte et met mon slip de bain.
retourne, elle regarde mes fesses et le paquet entre mes jambes. Son regard met un bon
moment avant de virer. Tiens donc.
Je lui tends la main pour aller dans leau. Elle mentraine en courant vers la plage.
La mer est calme, comme rarement est la Méditerranée. Toujours en nous tenant la main
elle me fait entrer dans leau comme un boulet. Elle me lâche enfin : je peux nager.
Je ne suis pas un champion olympique, je me débrouille simplement. Je fais une
centaine de mètres quand je la vois près de moi, me dépasser. Je ne savais pas quelle
était une naïade.
Elle se fiche de moi quand elle fait la planche, loin du peu des autres baigneurs. Le
plus fort est quelle mappelle pour une sombre histoire de crampe. Je vais à son
secours. Cest bien se que je pensais elle se moque de moi quand elle revient au
rivage.
La leçon pour moi est que je la trouve toujours aussi attirante. Huguette doit sen
apercevoir. Elle se couche sur le sable, au soleil, mattire en tendant les bras. Je
me laisse tomber près delle, tout près delle, à nous toucher. Si elle est sur le
dos, je suis sur le ventre. Au moins elle ne me verra pas bander au cas où. Elle me
demande daller lui chercher la crème à bronzer. Elle se moque encore de moi : elle
aurait bien pu la prendre avant de quitter la voiture.
Je reviens avec la crème, elle me sourit dun air coquin. Je me dévoue pour passer la
pommade. Elle se tourne pour me présenter son dos. Je commence par les épaules, je
descends sur son dos ; je suis gêné par les bretelles du soutien gorge. Au diable la
bienséance, je défais le soutif. Comme elle ne réagit pas, je continue ma friction
quand jarrive sur le slip, je passe par la même méthode. Je descends le plus possible
le vêtement, je le mets jusquau début des fesses.
Javais raison, elle est sacrément bien faite.
comme je suis, je vois son illet fermé. Mes doigts ont des chatouillis, ils
voudraient bien aller se promener entre les fesses magnifiques. Je commence à bander.
Je continue ma manuvre : je sors carrément le slip. Elle ne fait rien pour me
retenir. Elle lève même les pieds pour retirer ce qui cachait son intimité.
Jen profite pour caresser les mollets qui sécartent un peu. Je monte ma main très
lentement pour ne pas leffrayer. Je suis à hauteur des genoux, je sens la douceur de
ses jambes. Et je continue sur la peau fragile en grimpant toujours.
Elle sait fort bien ce que je fais, ce que je vise, elle ne réagit pas négativement.
En guise de fille bien éduquée, elle se pose là. Je mapproche encore un peu delle,
la retourne sur le dos. Delle-même elle enlève son soutien gorge. Là elle est nue.
Elle me regarde bien dans les yeux dun air interrogateur.
Elle ne pense pas tout de même que je vais la laisser en paix. Je me penche sur sa
bouche. Mes lèvres sont sur les siennes. Il me faut un moment qui me parait
interminable pour que ma langue puisse entrer dans sa bouche.
- Tu es mon premier.
Ca cest un grand aveu qui arrive au bon moment. Je me trouve avec une fille nue dans
mes bras qui me prévient : fais gaffe, je suis vierge. Je vais faire le nécessaire
pour que cette grave maladie lui passe. Je continue mon baiser, enfin sa langue
répond.
Pendant le baiser, ma main monte toujours entre ses cuisses. Je sens maintenant sa
fourrure sous ma main. Quand ma bouche va sur son cou, ma main elle est sur un sein.
Il est aussi doux que le reste. Je le sens frémir sous ma paume.
Le plus spectaculaire est que son téton bande de plus en plus dur. Moi, je bande
carrément : si elle touche mon bas ventre elle va se demander quel engin je porte.
Enfin ma main est sur sa chatte.
mouillée. Je peux y faire ce que je veux. Je vais essayer de la branler rien que pour
voir si elle jouit et comment.
Je ne cherche pas longtemps dans sa figue. Son clitoris est dehors. Je le caresse
légèrement. Je ne veux surtout pas quelle ai mal. Je lentends gémir quand je caresse
longuement le bouton. Et dun seul coup elle cri quelle jouit. Elle se tord dans tous
les sens. Je la laisse à son orgasme sans arrêter. Je la fais partir encore plus vite.
Je sens une main venir chercher ma bite. Elle me masse simplement sans avoir lidée de
me branler normalement. A moins quelle ne sache pas. Ma bite frémit sous sa main.
Elle sait bien que cest mon sexe qui va lui faire quelque chose dagréable dans un
moment. Ma main fouille toute sa fente, jusquà lanus. Là, jessaie pour voir sa
réaction. En principe les filles vierges naiment pas tellement ça. Lexcitation
aidant elle accepte que je caresse son cul. La seule réaction est encore un long
soupir avant que je sente quelle jouit.
Pour une vierge elle métonne de jouir autant pour une première fois. Jen ai mal à la
queue, je me mets entre ses jambes, ma bite à deux centimètres de son con. Javance
lentement, jusquau moment où ma bite touche lentrée secrète. Je reste ainsi immobile
pour la faire attendre un peu.
Je donne un seul coup de rein pour me trouver au fond dun four en action. Jai à
peine senti son hymen. Elle nen a rien dit. Je me mets à la limer comme si elle
savait baiser. Quand jentame le va-et-vient, elle semble maccompagner. Jaime sentir
nos pubis quand je suis au fond de son ventre. Je sens que je vais éclater. Pourtant
je suis fort surpris quand elle me dit jouir.
Je sors de son sexe. Je vais essayer le grand jeu. Je la mets en levrette. Quand je me
positionne derrière elle, elle sent quune autre partie sengage.
dans la raie fessière, en mattardant souvent sur son cul. Je suis encore mouillé de
sa cyprine. Je lui demande den mettre encore. Etonnée elle en met pas mal. Presque
trop.
Je peux enfin aller loger ma queue dans son cul tout neuf. Je prends ses seins dans
mes mains, je les caresse quand jentre très lentement. Là, elle pousse un cri de
surprise plus que de douleur. Je pousse au fond, jusquà ce que mes couilles battent
ses fesses. Je vais et viens dans son cul. Il est encore un peu serré, mais tellement
bon à sodomiser. Cette fois mon jet de sperme part dans son ventre. Je sors ma pine du
cul, elle la regarde avec un peu détonnement.
- Cétait drôlement bon dans le cul.
Elle fait la seule chose que je nattendais pas : elle me prend dans sa main en
entier. En voulant me caresser elle me branle, me donnant encore envie de son corps.
Je la fais rouler sur le sable avant de me raviser et lemmener nue à la voiture.
Après un essuyage rapide, elle me reprend. Je lui demande de me mettre dans sa bouche.
Je suis appuyé sur les fesses contre lauto. Elle est en prière devant ma queue. En la
prenant dans sa main déjà elle me fait encore bander plus fort. Elle me lèche comme un
esquimau. Elle ne sait pas encore sucer une bite : je le lui apprendrais vite. Arrive
le moment de vérité. Je gicle dans sa bouche : elle a un mouvement de recul devant la
force du jet. Et puis elle garde le tout dans sa bouche pour lavaler dès que jai
fini.
Décidément jai affaire à une débutante qui connait bien son affaire. Je sens que nous
allons baiser longtemps ensemble, même si les parents la pense très sage.
Il faut que je lui apprenne tout : depuis la masturbation dhomme, celle de femme
quelle ignore totalement. Et certainement ensuite les partouzes et autres joyeusetés.
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