Majo
La voir ainsi sur ses longues jambes, avec ses cuisses un peu épaisses me donne envie delle. Dautres part je vois que ses yeux colorés différemment lui donnent cet atout supplémentaire de jolie fille. A dire vrai, quand je la croise je ne sais où regarder tellement elle est désirable. En plus si elle saperçoit que je la fixe un peu trop, elle baisse la tête. Elle doit savoir au fond delle-même que jai envie delle. Sil existe un mot plus fort quenvie, cest celui-ci quil faut choisir.
Elle ne le sait certainement pas, le soir au lit je pense toujours à elle. Je bande et doit me branler pour satisfaire, mal, mon désir. Si elle suppose que je le fais cest quelle aussi se fait du bien en pensant à moi. Après tout cest possible.
Le ciel me sourit : je prends cette nouvelle ligne de tram pour visiter des parties de la ville que je ne connais pas ou mal. Je ne trouve quune place à coté dune jeune fille, qui est bien sur la demoiselle. Vue de près elle est encore plus belle. Le parcours est de 55 minutes aller et autant au retour. Jai largement le temps dengager la conversation, ce qui ne prend que 5 minutes à bavarder de généralités. Arrive le moment où je ne peux mempêcher de lui dire quelle est fort jolie. Elle rougit en me regardant dans les yeux.
Vous verrez, dite ça à une jolie fille, surtout si elle nest pas « cest moi » elle fera pareil. Nous en oublions de regarder ce qui se passe dehors, même les voisins du voyages ne nous intéressent plus. Pour le retour, nous sommes sensés changer de voiture pour aller à lavant. Cest à ce moment que jose poser mes lèvres sur les siennes. Sa bouche souvre pour laisser passer ma langue. Elle aime les baisers, aimer-t-elle le reste ?
Comme nous sommes totalement seul dans notre petit coin, je caresse son genou le plus proche.
- Oui, continue, jaime bien ça.
- Jusquen haut ?
Elle ne dit plus rien, jobéis à ses désirs, ma main passe sur les bas monte vers son sexe.
- Tu sais je pense à toi tous les soirs.
- Moi aussi, même que
..
- Même que quoi ?
Elle ne répond pas, je crois avoir compris quelle se branle comme moi. Nous descendons à un arrêt près dun grand jardin public. Pour moi cest idéal pour donner les premiers plaisirs complets à cette fille. Nous trouvons un banc à labri des regards. Je remets ma main vers sa chatte. Ses jambes sont bien écartées. Je trouve en haut de ses bas la peau de ses jambes. Un peu plus haut, sa culotte me parait très humide. Je passe sous la couture pour trouver son sexe. Là, elle écarte totalement les cuisses. Jai libre accès sur sa chatte. Je ne cherche pas longtemps son petit bouton camouflé sous son abri. Il bande déjà.
Je caresse largement ce petit bout de chair qui donne beaucoup de plaisir aux filles. Pendant que je la masturbe mes lèvres ne quittent pas sa bouche, nos langues sagitent beaucoup. Elle pose sa main sur ma bite bien bandée.
Je la sens me masser cet endroit sensible avant quelle me la sorte. Je me sens soulagé en partie. Sa main droite prend toute ma queue, descend lentement le prépuce avec beaucoup de maestria. Cest visible que je ne suis pas son premier, ni que ma bite est inconnue au moins en forme.
Elle branle fort bien, à tel point que je suis obligé de larrêter : la première masturbation que donne une fille est toujours très excitante. Je la sens jouir. Je me sens supérieur quand je lui demande :
- Cétait bon ?
- Oui. Jai joui. Jen voudrais encore, mais pas ici.
- Tu voudrais quoi ?
- Tout.
- Comment tu tappelles ?
- On mappelle Majo. Cest le diminutif de Marie Jo.
On ne peut être plus précise. Je sens que ma queue va avoir du travail à la satisfaire encore.
Nous sortons du jardin public pour aller on ne sait où. Je ne tiens pas à un hôtel de passe, ce qui aurait le charme de me couper tous mes effets et en plus, elle nest pas une vulgaire pute.
Majo habite au second, passe devant moi. Je ne me gêne pas pour espionner ce qui se passe entre ses jambes. Je regarde le haut de ses bas, la culotte et le peu de fesses. Une fois chez elle, plus de tracas, cest elle qui recommence à membrasser sur la bouche. Nous sommes directement dans une grande pièce qui doit lui suffire. Un grand lit nous tend les bras.
Je recommence mes caresses sur ses jambes, je monte directement sur sa chatte toujours très mouillée. Ses jambes écartées me permettent de la branler encore. Il me semble quelle jouit plus vite que la première fois.
Sa main se posent sur ma bite bien droite à létroit dans le pantalon. Elle arrive à défaire le bouton principal et la fermeture éclair, passe sa main sous le slip trouve ma queue bandée. Elle sort ma queue. Elle me branle normalement sans que je larrête. Elle doit savoir sarrêter seule. Je tends mon bas ventre en avant, près à jouir.
Elle arrête tout pour commencer à me caresser sous la chemise. Daccord, elle veut que je la pelote, avec plaisir. Je passe la main sous son top, je trouve par derrière la fermeture de son soutif. Jai vite fait de la mettre torse nu. Un joli spectacle devant moi. Je pensais que Majo avait de jolis seins, mais pas à ce point : ils pointent vers le haut, les tétons très durs mattirent. Mes lèvres abandonnent les siennes. Je la tète littéralement. Je ne sais à quoi elle sent, en tout cas cest très agréable. Sans quelle se détache de moi elle enlève sa culotte et sa jupe.
Presque nue, mis à part les bas, elle se love contre moi. Je sens son ventre contre ma bite : Majo le remue exprès. Je caresse maintenant ses fesses magnifiquement dures. Je ne sais comment elle fait, je me trouve avec deux doigts dans la raie fessière. Je les descends puisquelle my a autorisé presque. Lentement je mapproche dun endroit névralgique : son petit trou. Elle doit accepter la sodomie.
Elle mentraine sur le lit. Je me déshabille comme je peux en vitesse. Je me mets entre ses jambes, ma langue part à la recherche de ses endroits favoris. Jen connais déjà deux. Je commence par le plus proche. En le voyant je trouve quil est jolie, ce fondement. Ce petit trou plissé, encore un peu ouvert après mon investigation digitale. Je lèche largement le cul. Je sens ses mains venir sur ma tête. Elle me dirige un peu. Quand ma langue entre un peu, elle appuie sur la tête. Jinsiste donc. Je la sens jouir encore un fois par le cul. Jallais me retirer.
- Non restes encore une fois.
Majo veut que je continue mon léchage. Je continue avec plaisir, surtout quelle a bon gout à cet endroit, ce qui est rare. Elle se laisse partir encore une fois ; Jarrive à sortir ma langue pour visiter son vagin. Cette source est encore plus mouillée que le reste. Je me régale de sa liqueur. Jaime en règle générale la cyprine, mais la sienne est particulièrement bonne, agréablement sexy. Je me demande comment jai fait pour men passer jusquà ce jour. Le bout de la langue en fait plusieurs fois le tour avant quelle jouisse. Je préfère lui lécher le bouton. Je sais quelle la sensible. Autant en profiter pour lui donner le plaisir suprême.
- Oui, encore, cest bon, fais moi jouir, encore je suis ta salope.
Elle rajoute dautres mots incompréhensibles doù il ressort quelle aime baiser. Jaime moi aussi la baiser. Je monte sur elle. Je mécrase presque sur son corps. Avant que je sois en elle, ses jambes entourent mes fesses.
Jentre lentement au fond de son puits. Quelle douceur de la baiser. Je ne peux savoir exactement ce quelle ressent. En tout cas ce doit être pas loin du 7° ciel.
Elle accompagne les mouvements, elle gémit sans cesse.
Elle doit en être inondée. Jarrive à ne pas débander, elle voudrait que je reste pour la baiser encore. Jai des idées plus précises. Si elle a accepté et mon doigt et la langue dans son cul, elle va aimer ma bite au même endroit.
Je change simplement de trou. Majo comprend vite : elle reste sur le dos, écarte ses fesses, se mouille bien la pastille. Elle prend ma bite pour la diriger. Je suis juste à lentrée arrière.
Je pousse un peu pour ne pas labimer. Jentre comme dans du beurre. Je ne suis pas son premier à la sodomiser. Elle remet ses talons sur mes fesses. Ouverte comme rarement elle prend son plaisir plusieurs fois. Je me trouve bien dans son cloaque : ma bite va-et-vient sans problème.
Je ne sais même pas combien de fois elle jouit. Moi jarrive péniblement à jouir une seule fois au fond de son ventre.
Je tombe sur le coté. Elle accepte les baiser sur la bouche, elle me veut cette fois dans sa bouche, aussi elle me fait lever, me lave la queue. Nous revenons au lit. Et là jai droit à une fellation inconnue. Sa langue lèche normalement la bite, ses lèvres me baisent simplement. Elle se sert de lintérieur de ses joues. Si elle caresse mes couilles, elle nhésite pas un seul instant à entrer un doigt dans le cul. Je bande comme un âne, je lâche la purée dans sa bouche. Elle me montre quelle avale tout.
Quand sa bouche se pose sur la mienne jai encore le gout du sperme sur sa langue. Enfin elle avoue quelle aime se branler en pensant à moi. Maintenant que nous sommes ensemble je ne sais pas à qui elle pense en se masturbant.
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