Col Et Perrine

Des fois je regrette d’habiter loin de tout. Col, (diminutif de Colette) s’occupe bien de notre intérieur, sans être une esclave de la propreté. Par plaisir c’est elle qui a pris en charge le potager, bien utile, le poulailler. Pour le reste je suis bien occupé à la garde et l’élevage du troupeau de moutons. Je l’ai connu un jour quand j’étais en ville acheter des ustensiles de cuisines. Dans la boutique, comme j’étais perdu, c’est elle qui m’a dirigé gentiment. De fil en aiguille nous nous sommes plût puis, vivons ensemble : elle m’avait adopté. Je l’ai convaincue sans peine de venir avec moi dans mon désert.
Nous avons une vie formidable. Elle avait bien vécu avant moi, elle m’a appris des choses en amour dont je n’avais même pas idée. En plus elle aime bien la bagatelle. Peu de jours se passent sans une baise ou des masturbations. Je n’avais que ce moyen quand j’étais seul. Je ne pensais jamais qu’une fille se branle comme elle le fait.
Nous retournons en ville pour nos achats de produits que nous ne produisons pas. Mais il ne faut pas croire que nous sommes totalement isolés. Quelques fois, surtout l’hiver, nous recueillons des égarés. Surtout des jeunes femmes qui se croient supérieure pour faire des randonnées. Tout ça met un peu de sel dans notre vie.
Ainsi il doit y avoir trois mois, vers 22 heures une main frappe à notre porte sous les aboies de nos chiens de berger. Col va ouvrir avec précautions : une jeune femme est perdue. Toujours serviable Col la fait entrer, lui propose de lui préparer des œufs au plats avec un peu de cansalade (un genre de lard)
Elle fait plaisir à voir dévorer. Col lui indique sa chambre où elle ne reste pas, elle a besoin de raconter son histoire dont, avec Col nous nous désintéressons totalement. Je regarde la fille en imaginant tout ce que je pourrai faire avec elle. Je regarde Col qui la détaille aussi. A son regard je comprends que comme moi elle pense les mêmes choses que moi.

C‘est une belle nana qui a l‘air assez salope. Ce ne serait pas la première fois que Col commettrait avec une fille le « crime » de bisexualité.
Déjà dans sa jeunesse, Col avait une amie très chère avec laquelle elle s’amusait volontiers à se branler ou se sucer. Dans notre solitude elle m’en parle souvent ainsi que de son désir de recommencer quelques fois. Je l’ai ainsi vu en 69 avec une amie, devant moi. Les instants suivants étaient des plus chauds de notre existence quand je me suis mêlé en enculant son amie.
Donc Col a les mêmes intentions que moi. La fille est plus honteuse de s’être perdue que de sa fatigue relative. Col s’arrange pour bien montrer ses cuisses ainsi que le petit slip qui ne cache presque rien de sa chatte. Evidemment la jeune femme regarde. Elle fait celle qui ne voit rien tout en posant son regard à plusieurs reprises entre les jambes de mon épouse.
Elle nous demande l’autorisation d’aller se coucher, comme si nous l’en empêchions. Elle revient 5 minutes plus tard en nuisette. Qu’elle idée de balader ce genre de vêtement en visitant un pays à pieds. Bien sur nous pouvons tout voir de sa plastique. Elle vient près de Col, tend ses lèvres. C’est invitation attendue. Je pense que ma femmes doit bien mouiller, moi je bande de plus en plus fort.
Col ne sais pas résister à ce genre d’invite. Sa bouche et celle de notre nouvelle amie ne font qu’une reliées par les langues. Elles commencent à se peloter. Je sors ma queue qui déborde pour me branler doucement. C’est pour le moment le seul sexe bien visible. Elles sont belles ensembles, prêtes pour le grand saut vers les orgasmes. Doucement elles se déshabillent. Je connais bien le corps de ma femme, par contre je découvre celui la nouvelle venue.
C’est Col qui prend la direction pour leurs caresses. Elle est la première à passer sa main sous la nuisette où elle trouve très vite ce qu’elle cherche. Les jambes écartées la jeune se laisse faire. Col s’y connait bien pour la masturber.
Leurs bouches toujours très proches elles murmurent de paroles que j’entends à peine :
- Oui, branles moi, J’aime.
- Caresse-moi la chatte.
- Doucement, je vais jouir.
- Non, jouis vite pour que je recommence et que mon mari puise d’enculer ou te baiser, comme tu veux.
- Je le voudrais partout dans tous mes trous si tu me caresse aussi. Elles se chauffent ou elle s’excitent, je n’en sais rien.
Je pose quand même la question de savoir comment s’appelle notre amante.
D’une voie un peux cassée, comme les filles qui meurent d’envie de se faire mettre, elle répond :
- Perrine.
- Jolie nom, moins beau que celle qui le porte.
Je ne peux m’empêcher de la taquiner puisque je vais la baiser. Puis, ma femme la première pose sa tête sur les cuisses de Perrine. Quand le peu de vêtement est enlevé, Col y passe lentement. Je ne vois pas ce qu’elle fait, je sais comment elle fait. Habituellement elle embrasse l’intérieur des deux cuisses avant de les lécher délicatement. J’aperçois le passage de sa tête quand elle arrive sur la chatte de Perrine. Celle-ci pose ses deux bras derrière elle, elle ouvre ses cuisses en grand. Les yeux fermés, la tête en arrière, elle prend son plaisir.
Je vais aider ma femme nue. Je caresse ses jambes, ses cuisses. Je vais la branler avant de la sucer ou la lui mettre, comme elle voudra, à moins qu’elle me demande d’aller dans le ventre de Perrine, ce que je ferrais de toute façon. Elle soulève son cul, elle me veut donc là. Je n’hésite plus ma queue se loge entre ses fesses. Avant de la sodomiser, je passe une main sous elle pour chercher et caresser son clitoris, comme elle aime. Je puise de sa cyprine dans sa chatte, je lui en enduit l’anus avant de m’enfoncer en elle. Aux mouvements de ses reins, je sais qu’elle apprécie, J’approfondis au maximum ma présence dans son cul qui me donne toujours autant de plaisir que la première fois.
Je peux voir ce qu’elle fait avec sa bouche dans la chatte de Perrine.
Je sais qu’elle la fait jouir plusieurs fois.
Le temps passant nous sommes nus tous les trois. Je compare les deux corps. Celui de Perrine me donne envie de la baiser, celui de ma femme de l’enculer encore. Elles sont aussi sexys l’une que l’autre, elles donnent autant envie de les avoir.
Perrine me donne son corps avec l’assentiment de ma femme qui me l’offre. Je l’embrasse partout où c’est possible. Les seins sont durs, plus que ceux de Col. Ses fesses attirent mes lèvres. J’ai envie de lui lécher le cul. Elle se couche en comprenant fort bien ce que je veux lui faire, qu’elle accepte volontiers. En cours de route j’arrête par politesse sur son bouton pour lui donner trois coups de langue, j’entre dans son con toute la longueur de ma langue puis, passant le périnée que je lèche au passage j’arrive enfin sur son anus.
Elle sait fort bien comment fonctionne le système quand elle écarte le plus possible son rectum. Ma langue n’a aucune difficulté pour le lécher et entrer. Je l’encule ainsi légèrement. Si elle veut ma queue, je suis à son service.
Ma femme, qui décidément a pris le contrôle de notre baise, me fait me relever un peu pour que je baise Perrine qui visiblement en a envie. Je me trouve donc la bite tendue vers l’entrée d’un con splendide. Je ne me guide même pas, c’est Col qui prenant ma queue la met d’elle-même à l’endroit voulu. Ce con est très mouillé. Ma bite y entre comme dans un moulin. J’y glisse littéralement. Je sens que Col caresse mes couilles. Elle pose un doigt juste sur mon cul pour l’y entrer profondément, comme nous aimont quand nous baisons ensemble.
Je sens les crispations internes du vagin dans lequel je passe et repasse. Col baissée un peu embrasse Perrine sur la bouche. En remerciement, elle lui caresse la fente. Ce n’est plus une baise en trio, c’est une débauche totale.
Je jouis dans le ventre de Perrine. Quand j’en sors, Col me lèche tout, la cyprine de notre commune amante, et mon sperme. Je suis obligé de les voir s’amuser ensemble.
C’est Perrine qui a pris la direction. Col devient passive, ce qui ne le lui ressemble pas. Elles sont assises corps à corps, les lèvres soudées, leurs main caressant la poitrine de l’autre avant d’aller sur les cons. Perrine couche Col sur le dos, lui murmure je ne sais quoi à l’oreille. Col se lève pour revenir avec le double gode qu’elle garde précieusement pour son usage personnel pur se faire des doubles pénétrations, dans la chambre.
Perrine le prend, le fait entrer dans le cul de ma femme . Elle le lui laisse en attente pour se coucher les fesses presque contre celles de Col. Elle l’enfonce dans le cul de sa compagne avant de se le mettre profondément. Elle assure elle-même la conduite des va-et-vient. J’entends leurs cris de plaisir et de jouissance. Perrine, vicieuse, n’arrête pas entre chaque jouissance. Je suis accroupi à leur coté, je vois tout en détail. Voir entrer ce gode dans les deux culs me donne envie de les enculer aussi. Je me branle en les regardant. J’aimerai qu’un des deux me prenne dans la bouche pour récupérer mn sperme. Je ne peux pas la donner à ma femme qui ferme les yeux de plaisir. Seule la bouche de Perrine me permet de me faire faire une fellation. Je ne pensais jamais qu’elle soit aussi douée pour sucer.
Sa bouche est un volcan, comme son con. Ajoutez à cela sa langue, le tableau est complet pour un bon orgasme qui ne tarde pas. Elles jouissent presque en même temps que moi.
Je ne sais qui embrasser. Elles sont aussi agréable l’une que l’autre, surtout quand elles font des choses réservées aux hommes, comme s’enculer.
Nous avons notre compte. Nous allons nous coucher, elles ensemble et moi dans la chambre de Perrine. Dans la nuit je me lève pour satisfaire un besoin naturel. Elles n’ont pas fermé les volets : la lune éclaire leurs corps nus. Disons qu’elle éclaire deux corps enlacés.
Elles sont en 69, se lèchent. Le seul endroit libre est le con de ma femme. Je m’empresse de la baiser. Elle est toujours aussi agréable à baiser. Je sais qu’elle adore baiser. Je peux jouir sans crainte dans son ventre.
Les deux tribades n’ont cure de moi. Je les gêne plutôt. Je me retire pour reprendre des forces. Je suis réveillé le matin par une bouche sur autour de ma bite, un con sur ma bouche.
Je suis le roi des hommes en me faisant traiter ainsi. Nous jouissons longuement toute la journée.
Perrine a passé une semaine chez nous, jusqu’au moment ou se produisait son indisposition. C’est dommage, elle aidait à sortir les bêtes et les rentrer avec les chiens. Elle n’était pas habiller pur ce travail, la nudité lui allait fort bien. Même notre chien de troupeau la trouvait à son gout en lui reniflant la chatte, d’où excitations supplémentaires.

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