Lui
Nous devons partir quelques jours en voyage dagrément (damoureux pour dire la vérité). Cétais notre première escapade depuis longtemps. Nous en avions besoin avec Lui, mon chéri. Je ne lai jamais trompé, lui la fait une fois avec sa première petite amie. Il me la avoué aussitôt. Jai oublié quand il ma fait lamour divinement bien.
Nous avons choisi un trou pour être réellement seuls. Lhôtel sans étoiles, mais dun confort remarquable nous convenait parfaitement. Surtout le personnel. A table, dès que nous finissions un verre, la serveuse venait le remplir à nouveau.
Dès la première nuit jai eu envie de me faire baiser. Il était fatigué de la journée de conduite. Il ma expédiée, juste le temps de bander, de me la mettre par devant, jouir et sendormir. Il ma fallut aller dans la salle de bain, ouvrir les robinets du bidet. Cétait la première fois que javais vu un tel accessoire dans uns salle de bain. Outre le fait de se laver les fesses et les pieds, il permet également de faire jaillir un jet vertical destiné à le recevoir, pour les femmes, dans les endroits sensibles, pour se laver après lamour.
Assisse sur ce jet javais des sensations formidables sur la chatte. Jai pu me branler ainsi le clitoris, lentrée du puits, puis le cul. Bien évidemment je nen parlais pas à mon époux qui dormait du sommeil du juste. Jai gardé la plénitude des orgasmes un bon moment avant de mendormir aussi.
Le lendemain matin Lui, se levait plus tôt que moi. Quand je me suis réveillée il ma parlé du bidet. Il sétait aperçu de la présence du jet. Il la pris sur son cul. Ca lui a tellement plu quil sest branlé dessus.
Puis, la journée commençant, nous avons fait ce que nous devions faire la veille. Jétais nue, lui aussi. Il ma simplement touché le minou. Jétais déjà toute mouillée. Je pensais quil allait me baiser. Il ma sucée longuement. De moi-même jai mis mes jambes autour de ta tête. Jai aimé sa langue baladeuse.
Enfin il soccupe de Lui en mettant sa pine dans mon con. Je sais quil baise bien avec sa queue bien à ma taille. Aujourdhui il me semble que cest moi qui madapte à sa pine. Jen ai le bas ventre plein de sa sève.
Il sort faire un tour pour acheter un journal. Je reste nue sur le lit découvert quand sans frapper une femme de chambre aux cheveux blancs, entre, pour faire la chambre et me parler. Jai à peine le temps de me couvrir, même si elle ma vu nue comme Eve.
- Je vous ai menti. Je ne venais pas faire la chambre. Jai une bonne et une mauvaise nouvelle. La mauvaise est que votre mari a eu un accident et la bonne quil est à lhôpital où vous pouvez aller le voir.
Elle nest pas partie que je suis débout, toujours nue. Elle me regarde intéressée. Moi je men fiche, je mhabille rapidement pour aller à lhôpital. Jen oublie de mettre une culotte, je suis affolée. Un taxi memmène rapidement à lhosto distant dune quarantaine de kilomètres.
Mon mari a été opéré quand jarrive. Je vois le chirurgien qui me dit de ne pas men faire. Il pourra sortir dici une quinzaine de jours. Il se réveille à peine. Je lembrasse comme une folle. Dire que notre voyage damoureux se termine ainsi. Selon ses instructions je retourne à lhôtel pour ne revenir que le surlendemain.
Me voilà revenu au point de départ. La femme de chambre me demande des nouvelles. Elle men demande souvent au point que je minterroge sur ses intentions. Jen ai la confirmation le soir même. Je vais dans ma chambre dès le repas fini. Jai envie de me satisfaire au fameux bidet. Je me mets nue, jouvre les robinets sans faire attention à ce qui se passe autour de moi. Je commence à bien sentir mon plaisir monter quand je sens des mains sur mes seins.
Evidemment cest la femme de chambre qui vient me caresser.
- Jaime trop les femmes.
Moi, je ne les connais pas du tout.
- Lâchez-moi.
- Jai envie de toi, de te faire jouir avec ma langue et mes mains partout où tu aimes. Jouis maintenant ;
Ses paroles mexcitent tant que je commence à jouir. Je sens ses mains caresser plus fort mes seins, venir sur ma chatte se substi au jet deau. Elle me branle gentiment. Je jouis encore une fois. Elle me fait lever pour essuyer mon entre jambes avec une grosse serviette qui a le don de mexciter encore plus.
Je la croyais vielle à cause de la blancheur de ses cheveux. Quand elle est nue, je vois un corps jeune, aux seins bien durs, avec son pubis rasé. Bref une fille qui doit avoir une trentaine dannées. Elle me fait coucher, vient sur moi, comme un homme. Je sens son corps léger sur le mien. Ses seins sur les miens, son pubis écrasé contre mon bas ventre. Je mouille toujours pour la première fois à cause dune fille. Jignore tout des relations entre femmes sinon quelles se servent beaucoup de leur langue. En plus quest-ce que je peux lui faire ? La branler, je pourrais.
Sa bouche vient sur la mienne. Par habitude je laisse sa langue venir sur la mienne. Ce premier baiser est très agréable, Je sens une main venir sur ma chatte. Elle se lève un peu, reste à genoux à mes cotés, regarde bien ma minette, y passe sa main, entre trois doigt dans le puits pour me branler. Elle me fait un bien fou. Mon ventre se creuse, je mouille toujours. Je vais jouir, je me retiens comme je peux, mal sans doute : je jouis longuement en lâchant pour la première fois des jets de cyprine loin devant moi. Me voilà devenue une femme fontaine. Comme pour ne pas perdre le liquide mon initiatrice met sa bouche pour avaler tout ce qui sort de ma chatte. J ai du lâcher je ne sais combien de liquide. Ca dure plusieurs minutes. Elle en profite jusquau tarissement de ma source.
Que cétait bon, quelle ma bien faite jouir. Je pense à Lui. Je ne sais pas comment lui annoncer la nouvelle que jaime me faire baiser par une femme.
Elle se tourne complètement pour me donner sa chatte en se mettant sur ma bouche. Elle prend également ma chatoune dans sa bouche en léchant partout. Si javais des craintes en commençant à la sucer, je nen ai plus après disons 30 secondes. Jimite tout ce quelle fait et en plus je prends gout à son con. Jimagine me sucer. Pourtant cest une autre femme que je suce pour la faire jouir. Je ferme les yeux au début comme si javais honte de voir son sexe.
Je commence à mhabi à la lécher, je me régale même de lavoir dans ma bouche. Jinvente des choses que jaimerais quelle me fasse. Je monte ma langue bien au-delà de son con. Je vise son cul. Je trouve un autre gout sur lanus. Cest bon, je continue. Jenfonce ma langue là dans son trou du cul. Il souvre seul, je pénètre le plus profond possible. Je le sens avoir des spasmes quand elle jouit. Cest pareil pour moi. Nous nous enculons volontairement sans bite.
Jai envie quelle passe sur le bidet. Elle le fait, je la mets de telle façon quelle reçoive le jet sur le cul. Je la branle sur le clitoris. Mon autre main est sur son sein que je fais encore grossir de désir.
- Baise-moi avec la serviette.
- Comment.
- Je vais te monter dabord.
Nous allons nous coucher à nouveau. Elle a la serviette en main. Elle en prend une partie de 25 centimètres environ, la plie une peu. Elle me fait ouvrir le con. Elle entre lentement la serviette, presque à moitié dans mon intimité. Je nai jamais été autant remplie. Quand elle regarde où elle en est, jai lanus et le clitoris inclus dans le con. Là, elle commence à appuyer, relâcher en recommençant sans cesse. Je la laisse faire, ne pouvant plus réagir. Cest un autre plaisir, plus complet, aussi bon quune baise avec Lui. Je jouis plusieurs fois encore. Je regrette quand elle me libère.
Devant moi, repue, elle se le fait seule. Ce nest pas difficile, je pourrais me le faire quand jen aurais envie. Elle ne me demande quune seule chose :
- Embrasses moi sur les seins.
Elle fini sa masturbation particulière plus vite que moi. Quand elle fini, elle passe un peignoir presque transparent.
- A demain.
Cest ça à demain, vivement quelle revienne. Dès quil peut je vois Lui laprès midi une petite heure.
Le soir je suis très occupée. Arrive le moment du départ. Nous baisons pour la dernière fois. Elle me fait plein de machins inédits dont je ne me souviens que très peu : je pensais au retour chez moi.
Bien sur il était à peu près en forme, il a voulu me baiser. Pour une fois je nai pas jouis comme les autres fois. Il se demandait pourquoi.
- Voilà quand tu étais à lhôpital une femme de chambre ma initié au lesbianisme. Jai beaucoup aimé.
- Quest-ce vous avez fait ?
- Sucer, branler, pénétration avec une serviette. Plein de machins quelle connait et que jaime.
- Tu veux retourner la voir ?
- Une ou deux fois, avec toi.
Cest-ce que nous avons fait. Elle était toujours aussi disponible. Quand Lui a voulu la baiser devant moi, elle a refusé pour accepter au cul. Ils ont joui presque ensemble, lui après elle. Heureusement quil me suçait mieux que les autres fois ;
Cétait il doit y avoir 10 ans. Je nai jamais recommencé avec une autre. Par contre je me masturbe avec une serviette dédiée.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!