Le Propriétaire

Nous habitions à cette époque un petit appartement d’une trentaine de mètres carré dans une vieille maison rurale composée de plusieurs petits logements et d’une cour intérieure, avec plusieurs garages, desservant ces différents appartements.
Le nôtre comportait une chambre à l’étage et au rez-de-chaussée une cuisine salon, une salle de bain et un WC.
C’était petit mais pas très cher à la location et avec nos moyens nous ne pouvions pas avoir mieux.
Nous y habitions depuis quatre ans.
Depuis les dix-huit ans de Nathalie nous avions emménagé ici.
Ils étaient deux propriétaires à gérer cette maison, le premier d’environ cinquante-cinq ans, bien conservé, un corps assez musclé, pas une once de graisse, environ un mètre soixante-quinze, poilu mais pas trop, assez viril et beau mec malgré son âge. Il avait quand même plus de trente ans de plus que nous.
Le deuxième avait la quarantaine, très grand et assez baraqué, moins musclé mais pas trop mal non plus.
C’était souvent Stéphane le plus vieux qui faisait les petits travaux et venait ramasser les loyers.
La maison étant assez vieille il y avait souvent des petits travaux à faire, il était là deux à trois fois par semaine.
Le loyer à payer était, d’un commun accord, une moitié en chèque et l’autre en liquide.

Nous étions jeunes (vingt-deux et vingt-cinq ans) et un peu trop insouciants à cette époque, la tenue des comptes était sommaire et lorsque Nathalie s’est retrouvée au chômage les fins de mois devenaient de plus en plus dur.
Plus de week-end, plus de sortie, plus de resto, il fallait se serrer la ceinture.
Les découverts sur le compte arrivaient de plus en plus tôt.
Nous avons cherché des solutions mais malheureusement rien de bien miraculeux.
« On va demander à Stéphane si on peut ne pas lui donner le liquide pendant quelques mois » me dit Nathalie.
« Tu crois qu’il va vouloir ? »
« Une mini-jupe, un beau décolleté et mon sourire le plus charmeur le fera peut-être accepter »
« Fais gaffe qu’il ne te demande pas plus qu’une vision de tes charmes et de ton sourire »
« Pffffffffff il est trop vieux pour moi »
Je savais qu’il ne la laissait pas indifférente et vice et versa.


Elle le trouvait beau mec et m’avait dit plusieurs fois « Dommage qu’il ait trente-trois ans de plus que moi car je me le serais bien tapé »
Parfois quand il passait cherchait l’argent du loyer le soir, on buvait l’apéro ensemble et je le voyais souvent reluqué Nathalie surtout qu’à la maison elle s’habillait toujours peu et très court.
Elle en jouait aussi car elle aimait beaucoup exciter les hommes avec ses tenue et ses positions indécentes.
« Je lui en parlerais quand je le verrais dans la cour, je le vois souvent depuis que je suis à la maison tous les temps » me dit-elle.
« Ok, surtout qu’il devrait bientôt venir car on est à la fin du mois »

Quelques jours plus tard le voyant dans la cour, elle l’interpelle en lui demandant s’il veut venir boire un café car elle voudrait lui demander quelque chose.
Dix secondes après il était sur le pas de la porte.
« Tu as un souci dans la maison ? » Il la tutoyait depuis le début alors qu’elle le vouvoyait, probablement à cause de la différence d’âge.
« Non, non, enfin c’est heu…. Comment vous dire… entrez donc je préfère vous en parler à l’intérieur devant un café »
Une mini-jupe à la limite des fesses, un chemisier ample, très ouvert et un peu transparent laissant deviner sa lourde poitrine libre de sous-vêtements.
Les yeux de Stéphane n’étaient pas assez grands pour regarder partout en même temps.
Le café servit, ils se sont assis sur le canapé pour le déguster et parler.
« Voilà, on a des problèmes de fric en ce moment car je suis au chômage et je ne vais pas toucher beaucoup d’indemnités » une petite pause et elle reprend :
« Je voulais savoir s’il y avait moyen de diminuer le loyer ou de décaler le paiement du liquide le temps que l’on se sorte de cette mauvaise passe »
« Tu sais qu’on partage les loyers en deux avec Jacques (c’était le deuxième propriétaire) et je ne sais pas s’il va être d’accord »
Il a pris sa tasse pour boire une gorgée de café, puis une autre, jusqu’à la finir.

« J’ai peut-être une solution » … « ça ne tiens qu’à toi » … « Tu n’es pas obligé de me répondre tout de suite » Il prenait bien son temps entre chaque morceau de phrase.
« Je veux bien pendant quelques temps que tu ne me donne plus que la moitié du liquide, celle de Jacques, la mienne c’est cadeaux, tu n’auras pas à me rembourser ».
« Et je dois faire quoi en échange ? » lui demanda-t-elle un peu angoissée.
« Tu es belle, tu es jeune, tu es fraiche, tu es très aguichante avec tes tenues, bref tu ne me laisse pas indifférent »
« Pour être clair, il faut que tu passes à la casserole pour ça » « Attention, pas juste une fois » « Au moins à chaque fois que je viendrais chercher le loyer et que tu ne me donnera pas le liquide » « Je viendrais quand ton mari ne sera pas là, car je me doute bien que tu ne voudras pas qu’il le sache »
Sa voix était posée, calme ce qui donnait plus d’intensité à ses mots.
Un peu abasourdit Nathalie ne savait plus quoi dire.
Il a alors enfoncé un peu plus le clou en lui disant :
« Et si t’es un bon coup je pourrais en parler à Jacques, qui, s’il est d’accord, ce dont je ne doute pas, viendra aussi te baiser avec moi contre l’autre moitié du liquide »
«Heuuu… je… je peux réfléchir ? »
« Bien sûr, donne-moi la réponse dans deux jours quand je passerais chercher le loyer en début d’après-midi »

Une fois seule, elle ne savait plus quoi faire :
Est-ce que je dois le faire, mais si je fais ça c’est comme si je faisais la pute, est-ce que je dois en parler à mon homme…
Toute la journée elle n’a fait que penser à ce qu’elle devait faire ou ne pas faire.
Finalement quand je suis rentré le soir, elle m’a tout raconté.
Toute la soirée nous en avons parlé et débattu, je n’étais pas pour et elle était prête à le faire.
Elle me disait que vu qu’il lui plaisait bien, elle n’aurait pas l’impression de faire ça que pour de l’argent.
Au bout d’un certain temps, nous sommes tombés d’accord, elle pouvait le faire, sachant que vu que ce n’était pas lui qui la payait mais elle qui ne lui donnait pas d’argent, l’honneur était sauf.


Deux jours plus tard, comme prévu, vers quatorze heures il frappe à la porte.
Ma femme lui ouvre et le fait entrer, elle n’est vêtue que d’un string et d’une veste blanche très légère, ouverte jusqu’au nombril et qui descend juste au-dessous de ses fesses.
Son opulente poitrine tend tellement la veste que l’ouverture fait un triangle entre son nombril et la pointe de chaque sein.
Stéphane a un large sourire car il se doute que si elle le reçoit dans une tenue si provocante c’est qu’elle a accepté son marché.
Elle lui propose de s’assoir sur le canapé et lui apporte un café.
« Voilà, je… je suis d’accord… je me donnerais à vous mais uniquement une fois par mois, si j’ai envie de ne plus le faire alors je vous donnerais le liquide, quand je voudrais arrêter parce que nos finances vont mieux, je ne le ferais plus et n’essayais pas de me faire chanter si je ne veux plus le faire et surtout soyez très discret. » Elle avait déballé très vite, comme si elle voulait maitriser la situation.
Trop content de savoir qu’il allait se taper la petite jeunette, comme il l’appelait parfois, il a accepté le contrat.
« Alors on commence tout de suite » dit-il en se levant.
« On va monter dans ta chambre, ça me plait de savoir que je vais te baiser sur ton lit conjugal. » Il lui avait dit ça d’un ton autoritaire, c’est lui qui allait diriger maintenant et elle devrait lui obéir car elle lui appartenait le temps d’un après-midi.
Elle l’avait bien compris et se demandait si elle n’avait pas fait une bêtise en lui disant oui.
Il a bien maté son cul quand elle l’a précédé dans escalier pour rejoindre la chambre.
« Fou toi à poil » lui a-t-il dit à peine arrivé en haut.
Dans le même temps il s’est mis nu aussi, il bandait déjà.
« Mets-toi à genou et suce moi »
Elle s’est exécutée et a commencé à entourer sa bite avec ses lèvres pulpeuses, sa langue et venue aussitôt jouer avec le gland et le titiller et sa main se poser sur sa hampe pour le branler en même temps.

Son sexe était de bonne taille et assez ferme.
Elle l’a sucé goulument pendant une bonne dizaine de minutes pendant qu’il lui parlait.
« T’es une bonne petite salope toi, tu suce trop bien, t’es ma p’tite pute »
Elle n’avait pas l’habitude qu’on lui parle avec tous ces mots crus, mais si ça ne lui plaisait pas ment, ça ne lui déplaisait pas non plus.
Il va falloir que je m’habitue se dit-elle, les vieux ça doit avoir besoin de parler comme ça pour les exciter.
Elle le sentait au bord de l’explosion et a voulue sortir membre de sa bouche pour qu’il n’éjacule pas dedans.
Il l’a attrapé fermement par les cheveux pour lui plaquer la bouche contre son pubis, elle avait le nez dans ses poils et ne pouvait plus bouger.
Trois grosses giclées de sperme sont venues lui remplir la bouche.
Il a tiré sa tête en arrière en lui disant :
« Avale tout petite pute et nettoie bien ma bite »
Après avoir obéit à ses ordres, ils se sont assis sur le lit.
« J’ai soif » dit-il. «T’as pas une bière ? »
« Je vais voir s’il en reste »
Elle est revenue avec deux bières qu’ils ont sirotés tranquillement en discutant.
Il lui dit qu’elle était très douée avec sa bouche et qu’il ne regrettait pas leur contrat.
Elle pensait que s’en était fini pour aujourd’hui, mais lui ne l’entendais pas comme ça, il voulait profiter jusqu’au bout de la petite salope qu’il avait sous la main.
« Allonge toi, je vais m’occuper un peu de toi »
Une fois Nathalie couchée sur le dos, il a passé ses bras sous ses cuisses pour lui relever les jambes et les poser sur ses épaules afin de venir enfouir sa tête dans sa chatte pour bien la bouffer.
Il avait de l’expérience et lui a très vite procuré un orgasme.
Un deuxième est arrivé peu après alors qu’il continuait de la fouiller avec sa langue.
Nathalie avait préparé des préservatifs et du gel sur la table de nuit, le gel c’était au cas où elle ne mouillerait pas car elle avait peur d’être trop stressée et pas assez excitée.
Mais là, elle avait tellement bien joui que sa chatte était trempée.
Stéphane avait de nouveau retrouvé une belle érection et voyant les capotes en a attrapé une pour se l’enfiler.
Il est venu s’allonger sur Nathalie pour la pénétrer.
Sa bite bien dure en elle, il a commencé des mouvements de va et viens.
Elle émettait des petits gémissements à chaque coup de rein qu’il lui donnait.
Pendant plusieurs minutes il l’a baisé dans cette position jusqu’à ce qu’elle enroule ses bras et ses jambes autour de son torse et son bassin en criant sa jouissance.
Il lui a ensuite enfoncé sa langue dans la bouche et il se sont embrassés sauvagement.
« Tourne toi, j’ai envie de voir ton cul pendant que je te baise »
A quatre pattes il l’a de nouveau pénétré en la pilonnant bien fort, procurant ainsi deux autres orgasmes à ma femme.
Pendant qu’il la prenait ainsi, son pouce titillait son anus pour le dilater un peu.
« Non pas là, je n’aime pas trop »
Ne tenant pas compte de cette remarque, il a attrapé le flacon de gel pour en mettre dessus afin de faciliter sa pénétration du cul de ma femme par ses doigts.
Il continuait de la défoncer tout en explorant un peu plus son cul, le gel aidant ses doigts rentraient plus facilement et dilatait bien son anus.
Il est sorti de son vagin pour présenter son gourdin devant ses fesses.
« Non pas mon cul, j’aime pas ça »
« Ta gueule, cette après-midi tu m’appartiens alors je fais ce que je veux de toi » « Tu es ma petite pute et tu vas m’obéir »
Disant cela, sa bite rentrait peu à peu dans son fondement.
Malgré son ton autoritaire il était particulièrement doux quant à sa pénétration du cul de ma femme, centimètre par centimètre il progressait tout doucement en elle en faisant parfois des pauses pour lui permettre de supporter cette bite qui l’enculait.
Une fois son membre complétement enfoncé dans ses fesses, il a commencé des petits va et viens léger puis progressivement plus ample.
Une douce sensation de plaisir commençait à envahir Nathalie, sentir ce pieu allait et venir dans son cul lui plaisait de plus en plus.
La tête enfouie dans l’oreiller pour masquer la jouissance qui s’annonçait, elle se masturbait avec ses doigts pour décupler son plaisir.
Un grand cri est sorti de sa bouche lorsque l’orgasme est arrivé pendant que Stéphane s’acharnait à la défoncer se sentant lui aussi au bord de la jouissance.
Il a émis un grognement bestial lorsqu’il s’est vidé dans ses entrailles s’affalant sur elle un fois fini.


Nathalie a retrouvé rapidement du travail, mais pour le moment ce n’était qu’a temps partiel, ce qui lui laissait quelques après midi de disponible pour honorer son contrat mensuel avec Stéphane.

Pendant plusieurs mois il est venu la baiser à chaque fois qu’il passait chercher le chèque du loyer.
Il éjaculait toujours une première fois dans sa bouche puis après une petite pause, la prenait dans diverses positions.
Il ne l’enculait pas ment à chaque fois mais lui donnait tout le temps beaucoup de plaisir avec sa bouche et avec sa queue.
Un jour après avoir fini de la prendre, il lui dit :
«T’es quand même une sacré salope toi, tu aimes vraiment la bite, le mois prochain je t’amène Jacques, on viendra te baiser tout les deux et tu n’aura pas à donner sa part d’argent liquide. » « Et pour me remercier de ne plus avoir de liquide à donner, je viendrai me faire sucer dans le courant du mois. »
Son ton était toujours aussi autoritaire et ne lui laissait pas le choix.
Il est venu comme prévu se vider dans sa bouche un après-midi et plus tard en fin de mois lors du ramassage des loyers il était cette fois accompagné de Jacques.
Elle a ouvert la porte complétement nue et ils sont montés aussitôt dans la chambre.
Une fois les deux hommes déshabillés, elle s’est mise à genou devant eux pour les sucer, sa bouche passait d’une bite à l’autre et ils ont bandé très vite.
Jacques avait un sexe un peu plus court que Stéphane mais d’une taille correcte quand même.
Pendant une dizaine de minute ils se sont fait sucer, puis Stéphane a dit à Jacques :
« Vas-y baise la, tu vas voir c’est une bonne pute, elle aime la bite »
Nathalie s’est mise à quatre pattes le cul bien tendu vers Jacques qui, après avoir enfilé une capote s’est positionné pour la pénétrer pendant que Stéphane était revenu dans sa bouche.
Jacques, très excité par la vue de son cul, la pilonnait à un rythme effréné, il n’a pu se retenir très longtemps avant d’éjaculer en émettant un grognement sourd.
Stéphane de son côté n’était pas en reste et a englué de sperme la bouche de ma femme.
Cette première partie n’avait pas duré très longtemps et Nathalie était un peu resté sur sa faim.
Une petite pause d’une demi-heure a remis tout le monde en forme et ils se sont allongés de chaque côté de ma femme en la caressant partout.
Le sexe à nouveau bien raide, Jacques a demandé à Nathalie de venir sur lui.
Elle lui a donné une capote et est venue s’empaler sur sa queue, c’est elle qui montait et descendait sur sa bite.
Se laissant faire au départ, il a ensuite accompagné son mouvement en levant son bassin pour aller au-devant d’elle à chaque fois qu’elle descendait.
Stéphane pendant se temps caressait les fesses de ma femme et commençait à titiller son anus avec ses doigts avant d’y mettre un peu de gel.
Sachant qu’il était toujours doux lorsqu’il l’enculait, elle se laissa faire.
Elle s’est allongée sur Jacques en relevant ses fesses pour permettre à Stéphane, qui venait d’enfiler un préservatif, de la sodomiser pendant que Jacques continuait à la baiser.
Les deux bien calé en elle ont commencé leurs va et viens, un peu désordonnés au départ, ils se sont assez vite synchronisés.
Le fait de sentir ces deux bites dans chacun de ses trous lui a vite procuré un premier orgasme, sa bouche collée à celle de Jacques avec leurs langues entremêlées pendant qu’elle jouissait.
Ils ont continué à la besogner copieusement un long moment la faisant crier de plaisir à plusieurs reprises, puis ne tenant plus à force de l’entendre jouir ils se sont vidés en elle en même temps.
Elle sentait bien les contractions de leurs deux queues pendant qu’ils éjaculaient, ce qui lui déclencha un dernier orgasme encore plus bruyant.

Stéphane était célibataire donc assez disponible alors que Jacques, étant marié, ne pouvait pas se libérer aussi facilement.
Ils n’ont donc que peu de fois renouvelé le trio, mais Stéphane venait toujours une fois par mois et une autre fois pour se faire sucer.
Cette relation « e » a duré environ un an.
Un jour du mois d’Aout, alors que j’étais au boulot et que Nathalie avait sa journée de repos, Stéphane est venu travailler dans la cour, il avait embauché pour la semaine un homme qui lui avait été recommandé par un de ses amis, car Jacques était parti en vacances et il y avait des canalisations à réparer assez rapidement.
C’était un grand noir Sénégalais, d’une trentaine d’année et bien bâti.
Ils venaient d’arriver et commençaient à préparer les outils de travail.
Nathalie toujours très court vêtue est sortie pour allait chercher un truc dans le garage.
L’apercevant Stéphane lui a fait un signe de la main pour qu’elle vienne le voir.
Elle s’est approchée de lui et en lui posant la main sur les fesses il lui dit :
« Putain de bon matin comme ça tu m’excite déjà, tu me donnes envie de me faire sucer »
« Eh, doucement on pourrait nous voir dans la cour, je n’ai pas envie que les voisins sachent » « en plus t’es pas tout seul »
« T’inquiète pas pour les voisins ils sont tous en vacances » « Et Diallo on s’en fou s’il nous vois, il ne dira rien »
Il avait surtout aussi très envie de montrer à son ouvrier que cette petite jeunette était sa petite pute soumise.
« Vas-y suce moi » dit-il en baissant son short pour sortir sa bite déjà en érection.
Nathalie a hésité un peu puis s’est accroupi pour s’apprêter à sucer cette queue qu’elle commençait à bien connaitre.
Après avoir engloutie ce chibre entre ses lèvres, sa langue agile est venue s’enrouler autour du gland et bien le titiller.
Diallo un peu plus loin s’était arrêté de travailler pour regarder le spectacle de cette petite jeune d’une vingtaine d’année qui suçait un homme qui avait plus de deux fois et demie son âge.
Elle l’a sucé pendant une bonne dizaine de minutes puis Stéphane lui a bloqué la tête et s’est libéré de plusieurs jets de sperme au fond de sa gorge, fier de montrer à Diallo qu’il s’était vidé dans sa bouche et qu’elle avait tout avalé.
En retournant à la maison, ma femme, passant à côté de ce dernier, lui a fait un grand sourire en se léchant les lèvres.

Plus tard en milieu d’après-midi, Stéphane est venu demander à Nathalie si elle voulait bien laisser Diallo prendre une douche chez elle avant de repartir car il avait beaucoup transpiré et devait prendre les transports en commun.
Pendant qu’il prenait sa douche, elle avait offert une bière à Stéphane qui l’attendait pour le déposer au RER.
« Il m’a dit qu’il avait aimé te voir me sucer et que tu avais l’air d’aimer le sexe »
Elle sourit.
« Il parait qu’ils sont bien montés ces gars-là, tu veux pas vérifier ? »
« Je ne suis pas une p… heu… je ne le connais pas, je ne suce pas le premier venu quand même »
« Allez, sois sympa avec lui, tu l’as beaucoup excité, il n’a pas arrêté de me parler de toi toute la journée »

Quand Diallo est sorti de la salle de bain, il était torse-nu et en short.
« J’ai laissé mon tee-shirt dans votre voiture » dit-il à Stéphane.
Et alors qu’il allait le chercher, Stéphane lui dit en montrant Nathalie :
« Elle te plais ? » « Tu veux la baiser, »
Surpris de la proposition il ne savait que répondre.
« Vas-y » continuât Stéphane s’adressant à ma femme « Montre à Diallo ce dont tu es capable »
Elle lui a alors pris la main pour le faire monter dans sa chambre, suivit de près par Stéphane.
En montant elle se disait qu’elle était folle, qu’elle allait peut-être trop loin, qu’elle ne devrait pas tout accepter de Stéphane, mais là, tout de suite, elle avait envie de ce grand black bien musclé.

Elle a baissé son short et attrapé son sexe qui pendait, une belle bite qui au repos dépassait largement la taille de certain en érection.
Elle le branlait en approchant sa bouche de ce braquemart pour lui faire gouter sa langue.
Son sexe a commencé à grossir pour arriver à une taille assez impressionnante.
« Whaaaaa je ne vais jamais pouvoir tout prendre »
Il lui caressait la tête pendant qu’elle le suçait et qu’elle le branlait avec ses deux mains.
« Maintenant baise la » lui dit Stéphane en lui donnant un préservatif.
« Allonge toi, je vais venir sur toi ce sera plus facile pour gérer ta bite » lui dit ma femme.
Allongé sur le dos, la bite bien raide pendant que Nathalie s’empalait doucement sur lui.
Elle lui dit de ne pas bouger et que c’est elle qui allait faire tout le boulot.
Elle montait et descendait sur cette grosse queue, d’abord doucement, puis au fur et à mesure que son plaisir montait elle a accéléré le mouvement jusqu’à ce qu’elle soit submergée par un orgasme comme elle avait rarement eu.
Toujours son pieu enfoncé en elle, il l’a fait tourner de façon à la positionner en levrette, c’était maintenant lui qui menait la danse et qui la baisait.
Excité par tout ça, Stéphane et venu devant la bouche de Nathalie pour qu’elle le suce à nouveau.
« Tu en profite là, salaud » lui dit-elle.
Diallo la pilonnait copieusement et elle se sentait bien remplie par ce gros gourdin qui la fît jouir plusieurs fois à un rythme rapproché.
Au bout d’une bonne demi-heure de ce traitement, Stéphane a une nouvelle fois arrosé la gorge de ma femme et Diallo peu de temps après s’est déversé en elle en poussant un grognement de plaisir.

Stéphane continuait à venir baiser ma femme tous les mois, souvent seul, parfois avec Jacques.
Quelques mois plus tard nous avons reçu une somme d’argent nous permettant de nous remettre à flot et de sortir de la zone rouge à la banque.
Nathalie a alors décidé de donner à nouveau la partie en liquide du loyer à Stéphane et de cesser cette relation « e ».
Lui bien sur était triste de sa décision mais l’a accepté. Il tenait sa parole.
Elle a quand même continué à lui accorder ses faveurs à plusieurs reprises après cela, car elle savait qu’il lui donnait beaucoup de plaisir à chaque fois et elle aimait le sucer.
Elle avait fini par trouver un boulot à temps complet, ce qui lui laissait beaucoup moins de temps pour ses frasques avec Stéphane et il fallait donc prendre plus de risques.
Ils ont failli se faire griller plusieurs fois pendant qu’elle le suçait, ce qui n’était pas grave en soi, mais nous ne voulions pas que Stéphane sache que j’étais au courant.
Il arrivait parfois lorsque je rentrais et que Stéphane était là, que je retrouve ma femme les cheveux un peu ébouriffés sentant le sperme ou ayant encore des traces sur la commissure des lèvres et lui la chemise mal rentrée dans son pantalon.
Je faisais, bien sûr, mine de ne pas m’en rendre compte mais ça m’excitait beaucoup.
Il a fait parti de ses amants régulier pas mal de temps puis leurs relations se sont espacées puis ont cessées tout naturellement.

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