Un Mariage Plutôt Sympa - 2
Chapitre 2 : La nuit de noce.
Nous venions juste de laisser Marielle devant chez elle et Gisèle nous proposais de finir la nuit avec elle à notre hôtel
Que demander de plus le soir dun si beau mariage, si bien commencé
Lhôtel était à deux rues de la maison de Marielle et nous y arrivâmes très vite. Comme cétait un petit hôtel dune petite ville de province, il ny avait pas de gardien. Non, la propriétaire nous avait donné la clé de la porte dentrée et celles de nos chambres respectives à Georges et à moi. Elle savait que nous rentrions tard et nous avait dit quainsi, ce serait plus commode
Donc de ce côté-là tout allait pour le mieux : Gisèle nous avait demandé la discrétion la plus absolue sur son escapade, relativement à la petite ville où elle était évidemment très connue,
et mariée !
Nous sommes entrés dans bruit et avons monté lescalier avec précaution. A 5h 30 du matin il fallait se faire le plus discret possible. En réalité, je crois que nous étions à peu près seuls dans lhôtel
Nous entrons dans ma chambre. Si nous avons choisi la mienne, cest quelle se trouve au bout du couloir et contigüe à celle de Georges, ainsi nous étions à peu près tranquilles concernant le bruit possible de nos ébats.
Sans perdre de temps, malgré lheure tardive (ou avancée !) et surtout malgré la fatigue de nos ébats passés, nous enlaçons la belle Gisèle, la prenant debout, entre nous deux. Ces instants où lon sent le corps dune femme enlacé par deux hommes ensembles, sont des moments particuliers et passablement érotiques ! Dexpérience, je savais que les femmes qui aiment lamour apprécient tout particulièrement cette situation. Frottée, pelotée, embrassée, caressée, lutinée, par devant et par derrière en même temps, la femme se sent grisée, transportée, soulevée, envolée
Cest là une sensation forte à retrouver le plus souvent possible et à utiliser sans modération !
Cette position devait plaire à Gisèle car nous lavons tenue ainsi un long moment debout entre nous deux.
Derrière elle, Georges lui, la tenait embrassée dans ses bras, dune main il lui pelotait les seins quil avait sortis du soutien gorge, de lautre, passée sous sa robe et engagée dans le string, il lui caressait lillet. Il lui passait aussi sans doute un doigt dans le trou à baiser, car de temps à autres, ma main qui caressait le pubis et le clito de la belle, rencontrait celle de Georges. En alternance avec moi, il lembrassait profondément lui aussi, quand elle renversait la tête et lorsque javais mes lèvres sur les siennes, il lui embrassait le cou, caresse quune femme adore lorsquelle est ainsi lutinée
Gisèle aimait lamour, cela transpirait par toute sa peau et par tous ses gestes. Elle frottait ses superbes fesses sur le braquemart tendu de Georges, dont elle caressait, par derrière elle, la tige à travers le tissu. De sa main gauche, elle me pelotait le torse. Elle appliquait sa cuisse gauche sur le haut de ma jambe, et ainsi me bloquait la bite et les couilles contre elle. On la sentait commencer à fondre. Cest vrai que cette position est excellente pour lérotisation des corps et des sens
Dans son dos, Gisèle avait sorti la verge gonflée de Georges quelle branlait sur son côté droit avec de lents va-et-vient. Toujours dans notre position debout, elle avait monté son pied gauche sur une chaise, ce qui donnait un bien meilleur accès à sa longue fente. Je descendis ma main à sa foufoune pour la caresser et lui enfiler un doigt dans le trou. Sa vulve était déjà onctueuse de sa mouille qui commençait à couler du trou largement ouvert. Jy entrais deux doigts sans problème que je commençais à tourner et à faire aller et venir
-" Ah oui
Branle-moi bien chéri
Tu sais que jaime avoir mon joli trou bouché, coûte que coûte et par un beau calibre
" De sa main gauche, elle avait saisit mon engin et le pétrissait à travers le pantalon, dont je lâchais la ceinture.
Je menhardis et mis un troisième doigt dans le trou ouvert. Cela ne la dérangea pas le moins du monde et même je dirais que cela lui fit apparemment peu deffet
Jintroduisis le quatrième. Et toute la pointe de ma main pénétra, le pouce restant appuyé sur le clitoris.
-" Oh, oui
Vas-y mon grand, ça me fait du bien
Cest bon, vas-y rentre tout
toute la main, je ten prie ! Toute la main !!... " Jaccédais à sa demande et retirant un peu ma main de lorifice baveux, je réunis le pouce aux quatre doigts que je présentait au trou. La blonde fléchit un peu la jambe qui reposait par terre, remonta un peu le pied qui était sur la chaise et à ma grande surprise, toute ma main entra sans rencontrer aucune résistance, presque jusquau poignet. Geneviève était fistée !
La grande salope avait ce quelle souhaitait depuis le début de la soirée : se faire mettre une main entière dans son trou de coquine ! Jouvris alors doucement ma main et commençais à la tourner dans la cavité, dont je touchais (enfin !) le fond du bout des doigts. Toujours très doucement pour ne pas la blesser, je fermais les doigts et les ouvrais alternativement tout en effectuant avec ma main une rotation dun demi-tour. La garce commençait à jouir. Cétait pour moi une sensation bizarre, javais limpression que mes doigts manuvraient dans une espèce de mélasse, fait de mucus assez consistant et de liquide plutôt visqueux. En avant et à lentrée de la grotte, je sentais sur mon poignet commencer à couler une liqueur chaude de son pipi trou
Comme pour la fister bien à fond, javais dû me pencher en avant la tête au niveau de son pubis, elle avait lâché ma bite. De ma main libre je me branlais doucement tant lexcitation était forte
Georges aussi avait modifié sa position : il sétait accroupi sous les cuisses ouvertes de la grande blonde et il lui avait mis un doigt dans le fion, tandis quil lui passait sa langue dans la raie des fesses, juste au-dessus de lillet enfilé.
- " Ah, oui
Continuez petits salauds, vous me faites du bien
Ah putain que jaime ça, quon soccupe de mes trous
Ohhhh, ouiiii
Franck, mon joli, occupe-toi aussi de mon clito
Vas-y chéri, lèche-le ! Lèche-le, il en a tant envie !!... "
Vous laurez compris, Franck, cest moi. Je me mettais à genoux devant elle et jappliquais ma bouche au-dessus de ma main fisteuse, sur le haut de sa fente distendue. Le clito était sorti des nymphes et bandait énormément. Il est vrai, me dis-je, quil doit avoir besoin de quelque chose. Je lai déjà dit, elle a là un bouton plutôt énorme
Le nez appliqué sur sa toison peu abondante, jaspirais entre mes lèvres le clito qui me paraissait bien plus gros quun noyau de cerise
De ses deux mains la coquine mappuyais la tête sur son pubis
Mon menton frottait sur mon bras. Je sentais la liqueur chaude ruisseler sur la pointe de mon menton. A chaque coup de langue la cyprine remontait jusquà ma bouche. La salope déchargeait et en même temps fléchissait sur ses jambes. Georges avait enlevé son doigt de la rosette. De ses deux mains il lui écartait au maximum les fesses et dardait sa langue dans le trou du cul. La garce jouissait en blasphémant comme à son habitude :
- " Oh putain
Ca fait du bien !!... Il y a longtemps que je nai pas été enfilée et sucée de partout comme ça !... Jaurais voulu que le Bon Dieu me fasse putain ou bonne sur
Jen ai connu une qui disait, que dans son couvent il y avait des parties de baise infernale avec les jeunes moinillons !!... Oui
Vas-y chéri, tourne bien ta main
Fais-moi décharger encore !!.
La grande blonde narrêtait pas de décharger. Au point que tout en la fistant à fond, je me demandais si elle aurait assez de foutre pour en sortir encore
En attendant elle narrêtait pas ! Georges sétait relevé de sa position et reprenant en main son braquemart très bandé, il lui passait le bout de sa bite dans la raie des fesses et sur le trou du cul. Je sentais son gland effleurer mon bras à chaque aller et retour du membre.
Un moment, le va-et-vient sarrêta, il était en train de lui mettre sa bite dans le petit trou. Dune main, elle sécartait une fesse et faisait des mouvements du bassin pour faciliter la pénétration du bout. Georges dut humecter son vit de salive à plusieurs reprises. Enfin il parvint à enter dans lanus qui goba le gland dun coup. Le reste du mandrin mit plus de temps à entrer complètement. Enfin il fut dans la place. Georges pliait un peu les genoux pour donner à sa bite le bon angle pour pénétrer. Il commençait un va-et-vient dans le cul de la grande Gisèle, que ses coups de reins envoyaient sur moi ce qui augmentait la profondeur du fistage. Sous les coups de bélier de Georges, il me devenait impossible de continuer à sucer le gros clito de la coquine. Me reculant, je pouvais voir par-dessous la chatte ouverte de Gisèle, les couilles de mon copain se balancer à contretemps des poussées. Je sentais à travers les parois intimes de la grande salope le bout de la bite de Georges passer et repasser au niveau de mon poignet et pistonner les entrailles. La jolie femelle était enculée. De temps à autre, approchant ma bouche de sa chatte, je donnais quelques coups de langue subtils au clitoris qui bandait à fond. Cela la faisait décharger de plus bel sur mon bras
Entre deux râles elle dit à Georges :
- " Mon grand, ne décharge pas maintenant
Je voudrais tant que vous me baisiez bien à fond tous les deux ensembles
Oh oui, putain ! Je nai pas eu mon compte de bites
Surtout en ce moment jai besoin den avoir ! Et vous êtes là à deux ! Cest super ! Baisez-moi !
Baisez-moi bien !!... "
Très doucement elle commença à se relever de sa position cuisses très écartées et fléchies en poussant sur ses jambes. Georges la décula et je sortis très lentement ma poing et mon poignet de son vagin. Du trou ouvert qui restait béant, des gouttes et quelques filets de mouille séchappaient. Mon bras était englué dans un manchon translucide de mucus blanchâtre, mêlé à de la cyprine plus liquide et transparente. De ma vie je navais jamais vu cela. Baissant la jambe quelle avait sur la chaise, elle se pencha sur mon avant-bras quelle prit et quelle me lécha avec délectation. Cela non plus je ne lavais jamais vu faire à une femme. Sucer et déguster ses propres sécrétions ! Puis elle se retourna et prit en bouche la bite de Georges qui sortait toute chaude de son cul. Elle la suça et la pompa se délectant là encore de son propre jus. La garce décidément insatiable, continuait en même temps de se branler dune main. Je filais rapidement à la salle de main me débarrasser de mon manchon de cyprine sous le robinet du lavabo
Lorsque je revins dans la chambre, Gisèle faisait allonger Georges sur le lit, le dos sur le couvre-lit, la bite bien dressée. Elle lenjamba à lenvers, ses fesses sur le ventre de Georges pour avoir la bite devant elle au milieu de ses cuisses ouvertes. Elle prit le membre bandé et le passa à plusieurs reprises dans sa fente mouillée. Puis du bout du gland, elle se lustra lillet et se lenfila rapidement dans le cul. La bite entra presque complètement sans aucune résistance. Enfilée au cul, a salope fit elle-même quelques va-et-vient sur le pieu.
-" Oh putain, cest toujours aussi bon !
Une pine dans le cul, cest merveilleux ! Les femmes qui ne connaissent pas ça, ne savent pas ce quelles perdent, les salopes ! Rien nest aussi bon ! Et toi mon chéri, tu encules superbement ! ". Puis me faisant signe, elle ajouta :
- " Viens mon chéri
Franck, viens me baiser ! Jaime aussi ça tu sais !!
" Tandis que jobéissais et que je présentais ma verge toujours bandée à son trou de femme, je me demandais si après lui avoir mis mon bras elle allait encore pouvoir sentir ma bite ! Elle se la passa quelques instants dans la fente, depuis le niveau de la hampe de Georges, jusquà son clitoris. Surtout son clitoris, quelle prit bien le temps de faire reluire. Puis elle senfila elle-même mon membre dans son trou à bites, me demandant de pousser bien à fond. Jeus limpression que mon sexe se noyait dans une cavité trop vaste pour lui
A coups sûrs, je ne devais pas toucher pas les parois. Pourtant lorsque Georges commença ses va-et-vient dans le cul de la belle, je sentais son braquemart bouter la paroi que ma propre bite frottait de son côté. La blonde Gisèle geignait :
-" Ah mes salauds
Allez-y doucement mais fermement que je sente bien vos bites ensemble passer et repasser sur mes parois !... Là comme ça
Ralentissez maintenant et appuyez bien fort vos pines !! Oh putain, je voudrais que ça ne sarrête jamais !!... Je bande
Je bande et je jouis !
Oh cest bon cest bon !!..." En effet la salope déchargeait et me mouillait abondamment la racine de la bite. Je sentais que jallais rendre les armes et lâcher mon foutre moi aussi. Gisèle avait dû le sentir car elle sécria :
-" Arrêtez ne déchargez pas !! Pas déjà !... Ce nest pas cela que je veux !
Cest vos deux bites dans le trou fait pour ça !! ". Et disant cela dun brusque coup de rein elle se décule du vit de Georges dont elle se saisit prestement et se lenfonce dans le con, juste en dessous de ma bite à moi
La coquine se prend les deux bites dans le même trou !
-" Ah, oui !! Oui ! Cest que jaime par-dessus tout ! Deux bites ensemble !... Il ny a rien de meilleur !! Allez-y mes salauds bougez !! Lun sort quand lautre rentre ! Oh jaime ça ! Allez-y bien à fond !! Ouiiii
Maintenant entrez les deux ensemble !! Oui, comme ça !... "
La cochonne jouissait
Et moi, allumé par les frottements tant sur des parois du vagin que sur la bite de Georges, je ne puis tenir plus longtemps et je lui crépissais la matrice dune longue décharge en trois ou 4 jets, la bite tendue à lextrême
-" Salaud, préviens quand tu décharges !! Tu sais que je ne veux pas en laisser perdre !!... Et toi ne décharge pas maintenant, dit-elle à Georges, prends moi vite derrière que je sente ton sperme chaud couler dans mon cul !... " Disant cela, elle se désenconna de la bite de Georges quelle senfila prestement dans le cul. Le vit entra à fond et y déchargea longuement avec des soubresauts. Il était temps !...
- " Et toi, viens dans ma bouche que je te suce et que je pompe le reste de ton jus
" Ce que je fis. Ma verge commençait déjà à se ramollir
Je me remontais sur elle et je lui mon chibre sur ses lèvres. Elle lenfourna et la pompa avec avidité.
- " Oh oui
Jaime je retrouve le goût de ma chatte en même temps que ton jus de mâle ! Cest bon ! Oh, oui, cest bon !!
" La garce se délectait et se barbouillait de nos sécrétions. Le vit de Georges lui aussi devenait de plus en plus flasque. Il était sorti du cul de la grande blonde et reposait, inerte sur le côté près la cuisse de la femme. Sentant que la bite avait quitté son cul, tout en continuant à me pomper, elle descendit une main à sa rosette. Elle prit au bout de ses doigts du sperme de Georges mêlé à son propre jus ; elle remonta sa main à sa bouche et laissant ma bite, elle suça ses doigts se régalant une nouvelle fois des substances odorantes !
Puis la belle salope se dégageant de Georges, me prit la tête dans ses deux mains et se mit en rouler des patins mouillés et profonds. Jen eu presquun haut-le-cur tant je suis allergique à toutes les sécrétions venant de la baise
Surtout les miennes et celles de mes congénères mâles ! Je me dégageais rapidement à mon tour et filais à la salle de bain où je bus directement au lavabo, une grande goulée deau claire qui me fit du bien.
Gisèle, était en train de soccuper de Georges ou plutôt de sa verge. En vain car celle-ci restait désespérément flasque et particulièrement résistante à tout relèvement de sa part ! Même sil était 5 heures du matin et que la nuit avait été longue, la belle garce en voulait encore :
-" Mais vous nallez pas me laisser tomber... Ce nest pas tous les jours que je peux avoir deux beaux mecs correctement montés pour me faire du bien !! Alors on en profite, hein !!
" Elle me signe de revenir sur le lit. Elle sallongea sur le dos, remonta ses jambes en ouvrant bien grand ses cuisses et nous montra sa moule très longue et très large, aux belles lèvres, grandes et petites, bien développées, comme jai eu loccasion den parler plus haut
Elle nous fit mettre de chaque côté de ses hanches. Jétais à sa droite et Georges à sa gauche. Elle voulait voir nos bites pendant quelle se masturberait.
-" Franck chéri, me dit-elle, va chercher dans mon sac à main, mon dong
Regarde bien, il est tout au fond, dans la doublure du fond
Cest mon plus fidèle compagnon
" Jallais effectivement chercher lobjet. Le sac à main était immense, un peu à limage de sa propriétaire. Comme dans tous les sacs des femmes, il y avait de multiples objets et choses dont je me suis toujours demandé à quoi tout cela pouvait être utile ! Je trouvais enfin dans une petite poche ménagée dans la doublure, une sorte de gros plug, pas très souple, assez lourd et dont une extrémité était bien renflée. Lobjet avait la forme dune grosse matraque. Je lapportais à Gisèle, toujours écartée sur le lit
- " Cest ma matraque !... Jai fait croire à mon mari que cétait une matraque pour me défendre comme il me laisse souvent seule. Mais en réalité, cest un gros gode
Tenez regardez ! " Elle prit en main lobjet par le petit bout et commença à se caresser le clitoris et lentrée du con avec le bout renflé
La belle garce se branlait doucement en prenant un grand plaisir à le faire et à faire monter sa jouissance de façon calculée
- " Ah, putain
Vous ne pouvez pas savoir comme cest bon !... Jai besoin de vous voir vous branler juste à côté de moi comme ça !... Même si vous ne bandez pas bien, branlez-vous jai besoin de ça pour maccompagner
Jen ai marre de me faire ça toute seule tous les jours devant des films pornos
Aujourdhui jen profite
Jen profite pour me faire baiser partout et me branler aussi !... Oh oui, ça cest bon
Cest bon
" Elle sétait enfilé le gode dans le trou à bites où il avait presque complètement disparu. Dune main, elle le faisait aller et venir dans sa matrice et de lautre elle frottait et se titillait le clitoris
Elle se branlait bien à fond devant des hommes qui en faisaient autant. Pour elle cétait le pied suprême
- " Viens mon joli, me dit-elle viens te branler et mettre le bout de la bite sur mon téton
Là oui comme ça
Que je puisse aussi sucer ton gland de temps en temps
Cela me fait du bien de voir et de sucer pendant que je me branle comme une salope !... " Je voyais sa liqueur commencer à sépancher au-dessus du gode quelle manuvrait de plus en plus rapidement. Je recommençais à bander en doutant cependant de la tenue et de la dureté de mon membre. Je lui massais le téton droit avec mon gland. De temps à autre, elle gobait le bout de mon vit et laspirait vivement en grognant de plaisir
Je sentais son orgasme monter. Je me disais quelle ne pourrait aller au bout après une nuit pareille et autant de décharges à son actif depuis hier soir ! Et pourtant je voyais son bassin se soulever doucement au rythme de son godage. Elle appela Georges :
- " Viens mon grand, mets-moi ta bite sur le clito
Juste là où jécarte mes lèvres
Oh, oui
Oui, là comme ça ! Frotte-moi le bouton damour, chéri
Oh putain, je ne vais pas tenir longtemps
je sens que je vais venir !... Je sens que oui !!... " Elle se cambrait et sarcboutait sur ses pieds et ses épaules, les fesses et les reins décollés du lit, senfonçant à fond le gode au fond de la matrice
-" Mets moi ton doigt dans le cul, dit-elle à Georges
Vas-y vite ! Prends le cul ! Je viens !!
Je viens !!
Déchargez aussi !!... "
Dans un dernier soubresaut son corps se tendit comme on bande un arc, son vagin expulsa le dong et elle déchargea deux ou trois jets énormes et violents qui allèrent bien au-delà du pied du lit ! Après 3 secondes où elle resta ainsi suspendue et tendue, la salope retomba le dos sur le lit, vaincue par sa propre jouissance. En même temps quelle ou presque, je déchargeais un mince filet de foutre sur la pointe de son téton
Il faut dire que je navais plus de jus dans la lampe. Georges aussi y alla de son reliquat de décharge et nen mis pas beaucoup plus que moi sur le pubis de la belle. Les cuisses toujours ouvertes sa chatte ruisselait de mouille qui sépanchait désormais en nappes peu abondantes mais continues. La grande Gisèle restait affalée, lintérieur des cuisses encore frémissant des spasmes de sa jouissance. Nous restâmes ainsi deux ou trois minutes sans bouger à regarder son trou béant dégoulinant de mouille.
Le jour était maintenant en train de se lever. Il était 6 heures du matin. Nous étions Georges et moi, rompus et vidés, et pourtant, malgré la fatigue pas question de se coucher. Trop tard ! Ou top tôt !... Nous sommes allés tous les trois ensembles sous la douche Ce fut encore autre grand moment fait de langottages des seins de la grande Gisèle et dattouchements de clito, de fion et de bites. Elle avait demandé à ce que nous la tenions chacun sous une jambe dans la douche, les fesses très écartées au-dessus du vide. Et là dans cette position, elle a uriné longuement. Sa vulve présentait des lèvres turgescentes et rouges de nos attouchements de la nuit. Dans louverture de sa moule très ouverte elle nous donnait à voir la papille de son pipi-trou très dilatée et large doù séchappait londée dorée.
- " Il ny a rien que jaime comme ça : donner à voir à des hommes qui bandent, ma chatte bien ouverte qui pisse ! Cest comme quand je me branle le seul fait de savoir que je suis regardé mexcite énormément et me fait bander
Penchez-vous et regardez bien : je pisse pour vous !
"
Cétait vrai que la grande garce prenait du plaisir à cette exhibition, car pendant cette miction longue et interrompue, le clito était bien ressorti et se rengorgeait constamment, alors quun liquide un peu blanchâtre, qui nétait pas de lurine, sortait à la base de son trou et tombait goutte à goutte de son con ouvert. Elle pissa ainsi un long moment, puis les jets faiblirent. Il y en eut encore 2 ou 3 en rappel plus brefs et moins intenses, puis les dernières gouttes se dissipèrent dans les lèvres et le trou. Reposant ses pieds dans la douche, elle me fit accroupir à ses pieds, puis relevant une jambe, elle me coiffa de son entrejambe ruisselant deau en me demandant :
- " Suce-moi mon joli, viens me pomper le reste de pisse
Jadore être léchée quand jai pissé
Ta langue est bonne, vas-y, entre la bien dans le trou de ma chatte
Huuummm cest bon !... Et toi Georges passe-moi le bout ta bite sur le petit trou de mon cul
Ah, oui
Comme ça
Mets-le juste à lentrée de mon cul
Juste là, à la porte du ciel !
Oh, oui !... ".
Je léchais la putain bien à fond, le nez frottant son clito, ma langue bien enfoncée dans le trou à bites. Mon menton frottait la hampe de lengin de Georges, qui lui passait son gland sur la rosette. Georges lui tenait la jambe levée de sorte que javais la tête dans le compas de ses cuisses. Jentendais à ses râles et ses soupirs que la grande coquine appréciait nos caresses
Je sentais son plaisir monter. De ses deux mains elle mappliquait plus fortement sur sa connasse ouverte et elle se frottait de plus en plus fort en tournant son bassin et ses fesses sur mon visage mais aussi sur la bite de Georges. Dune pierre deux coups !
- " Ah, mes salauds, vous savez faire reluire une femme vous !... Ah, putain continuez !
Narrêtez pas !
Frottez-moi bien le cul et la fente
Oh, oui, comme ça
Oui !!...
Là maintenant, toi mets-moi ta bite dans le cul
Oui, dans le cul
Encule-moi mon joli !... Vas-y enfonce-toi bien !!... " Elle fit un mouvement vers le haut pour avaler le membre dans son cul. Mouvement par lequel sa fente méchappa un instant. Puis elle se plaqua de nouveau sur ma bouche et mon nez. Je happais son clito entre mes lèvres et le suçais, tandis que je lui mettais deux doigts dans le trou du con, là où ma langue lavait fouillée
La pute éclata et ce fut un déluge de liqueur et dinsanités dans ses propos. Elle déchargeait comme une folle. En dessous jétais couvert de son foutre chaud. Elle senculait elle-même sur le pieu de Georges et dans les mouvements quelle faisait, elle se frottait plus encore sur ma face inondée, ce qui redoublait sa jouissance et sa décharge de cyprine
Enfin, je sentis que juste au-dessus de mon menton, Georges à son tour larguait son foutre dans le cul de la belle, où il devait lui envoyer de longues et bonnes giclées
Mais nous nen avions pas fini ! Il lui en fallut encore ! Cétait sans compter avec linsatiabilité de Gisèle. Quand Georges eut déchargé, et quil se soit retiré de son cul, elle sest accroupie dans la douche. Elle a poussé sur son cul pour expulser le foutre de son enculeur et a voulu sen régaler
Elle recueillait au bout de ses doigts, quensuite elle suçait avec application et gourmandise. Puis pour terminer, alors quelle était encore accroupie, elle a voulu quon lui urine dessus :
- " Oh oui, dit-elle, jaime beaucoup voir les hommes pisser ! Jaime voir le trou par où ils déchargent quand ils me pissent dessus !... Jaime que leur pisse me coule sur les seins, entre les seins, coule sur ma chatte aussi !... Je me branle avec leur pisse
Il marrive même den boire un peu pour retrouver le goût de chaque mec
Franck, pisse-moi bien dans le bec ! Là comme ça
Putain que cest bon ! Cest chaud
Javale
A toi Georges !
Cest super, il y a un peu de ton foutre encore avec !
Les femmes qui nosent pas ça, manquent beaucoup de choses !!... "
Nous nous sommes remis un moment sous la douche pour nous laver de tout
A 10 heures du matin, je me pris à penser que, sans doute, mon neveu navait pas dû avoir une nuit de noces aussi belle et aussi agitée que la mienne !!
Epilogue.
Lorsque tous les trois, nous sommes revenus au mariage, il devait être près de 13 heures. Il faut vous expliquer que dans les mariages traditionnels et un peu huppés de province, les festivités de la noce durent 2 à 3 jours. La plupart des invités reviennent le lendemain pour, comme le veut la tradition, "manger les restes" !
Il y avait là de nouveau la belle Marielle, mais cette fois avec son mari. Lorsque je laperçus, mon cur se serra. Je devais avoir eu le coup de foudre pour cette jolie femme rousse dont je vous ai parlé plus haut ! Lors de nos frasques à lhôtel avec la grande Gisèle javais à plusieurs reprises, beaucoup regretté quelle ne soit pas des nôtres
La revoyant ici, si belle encore et tellement désirable, je sentis ma bite se mettre à bander. Une magnifique érection que je ne pouvais en rien réprimer, et ce malgré la nuit que javais passée ! Lorsque je mapprochais delle pour la saluer, je vis furtivement quelle avait remarqué la bosse dans mon pantalon. Elle madressa un signe plein de sous entendus. Puis, lorsquelle se tourna pour embrasser Gisèle qui arrivait à sa hauteur, adroitement elle se frotta les fesses à ma protubérance, à travers le tissu. Leffet fut immédiat : je larguais dans le slip ce qui me restait de foutre de la nuit ! Hélas, javais un pantalon clair et très vite un cerne humide se forma au niveau de ma braguette. Je dus en vitesse ramener ma veste devant pour dissimuler la bosse mouillée aux regards des convives
Je remarquais que la belle Marielle, par contre nétait pas dupe, car je surpris son regard amusé sur mon geste. Elle madressa un sourire et un clin dil discret, qui scellèrent notre complicité
Un peu avant le repas, elle sarrangea pour glisser dans ma poche une petite carte. Elle y avait écrit de sa main :
" Mon chéri, jai vraiment beaucoup aimé ces moments trop courts avec toi
Je te donne ladresse de lhôtel où je descends à Paris. Jy vais assez souvent, seule ou en compagnie de Gisèle. Donne-moi ton téléphone et je tappellerai lors de mon prochain voyage. Je tembrasse partout.
Marielle."
Je marrangeais pour lui glisser mon téléphone
Je lai revue, la belle Marielle et assez souvent je dois dire
Avec beaucoup de plaisir
Et je lai revue aussi avec la grande Gisèle ; toutes les deux ensembles
Ce fut là encore super !
Et là, lors dune de ces rencontres, notre intimité grandissant, la rousse et belle Marielle, me fit une confidence. Cétait une ancienne "fille de lEst", comme on les appelle, elle avait "professé" à Milan, puis à Marseille, où lors dune passe, elle avait rencontré son mari, un haut fonctionnaire qui sétait donné bonne conscience en voulant la sortir de là
Il nempêche elle navait pu rompre complètement avec son ancienne vie. Elle avait besoin de temps à autres
dautre chose ! "Chassez le naturel, il revient au galop
" et ce pour notre plus grand plaisir !
Mais cela, cest une autre histoire
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