Sous Son Emprise 6... Le Travail, C'Est La Santé !

Je me dirigeais vers mon boulot, bien qu’étant soumise à mon patron je m’y plaisais et je regagnais à nouveau ma vie !
Ce jour-là, j’arrivais un rien plus tôt et le vis derrière son bureau, tête dans sa main, coude sur la table, stressé, agacé ?
- Bonjour… Dis-je timidement.
- Rentre. Dit-il sans me regarder.
Je restais debout devant son bureau en ne disant rien, il releva la tête et dit :
- J’ai un rendez-vous vraiment important cette après-midi… Sur celui-ci pourrais jouer sur l’avenir de notre société.
- Et je peux vous êtes utiles ?
- Je ne pense pas…
- …
- Prend ta matinée, tu as une robe blanche et des souliers à talons blancs ?
- Oui, pourquoi ?
- J’aimerais que tu reviennes début d’après-midi vêtue ainsi avec des sous-vêtements clair.
- Très bien, vos désirs sont des ordres.
- J’espère qu’elle est décolleté ta robe…
- Oui, assez fort…
- D’accord, à tout à l’heure, tu peux disposer.
- Merci monsieur.
Je partis et rentra chez moi, je me déshabillai entièrement comme il me l’avait déjà stipulé, je ne devais jamais porter aucun vêtement chez moi.
Je me couchais sur mon lit et m’assoupis… Je me réveillais peu avant midi et enfila alors tout ce qu’il m’avait demandé et repartit vers le travail.
- Bonjour, je suis de retour.
- Parfait ! Il y a quelques directives à respecter lors de ce rendez-vous.
- Lesquelles ?
- J’aimerais que tu prennes ton rôle d’assistante, de secrétaire à cœur, c’est un rendez-vous important, en aucun cas il déroulera sur notre jeu habituel, je compte sur tes compétences, est-ce bien clair ?
- Oui, je ferais de mon mieux.
Le rendez-vous arrivait et je stressais, je me mis à mon bureau et me levais à chaque fois que l’on m’appelait, ça semblait tourner mal, très mal !
Alors que l’on sentait que le rendez-vous allait se terminer, l’homme dit :
- Votre secrétaire est bien ravissante.


- Merci. Répondis mon patron.
- Approche. Dit-il en me faisant signe de venir.
J’y allais sans discuter et une fois tout prêt.
- Est-ce que cela vous dérangerais que je lui demande quelque chose ? Dit-il à mon patron.
- Bien sûr que non.
- Mademoiselle, verriez-vous un inconvénient à enlever votre robe ?
- Non, monsieur.
Je fis glissais les bretelles le long de mes épaules et glisser le long de mes bras pour ensuite faire glisser ma robe le long de mes jambes et passer tour à tour mes pieds pour m’en défaire.
- Voilà monsieur.
- Une très jolie secrétaire vous avez là.
- Merci. Répondit mon patron.
- Aurais-tu l’obligeance d’enlever tes sous-vêtements ?
- Oui monsieur.
Je dégrafai mon soutien-gorge et le mit sur ma robe, et fit ensuite glisser mon string que j’enlevais et alors que je m’apprêtais à le mettre au même endroit que mes affaires, l’homme me fit signe de lui donner, je m’approchais de lui et le déposait sur sa main.
- Et très obéissante. Dit-il en reniflant mon string.
- Elle connait très bien l’importance de cette entreprise et comme moi je ferais n’importe quoi pour elle.
- C’est une bonne mentalité, j’aimerais que tu viennes sur mes genoux ma petite que je m’amuse un peu avec toi.
- Oui monsieur.
Je m’assis sur ses genoux et ses mains commencèrent à caresser tout mon corps, ses doigts à s’insérer en moi, il serait aussi très fort chaque partie de mon corps, mon patron ne disait rien, regardant le spectacle de l’homme qui se régalais à jouer avec moi.
- Monte sur cette table et caresse-toi le temps que l’on finisse notre réunion. Me dit-il.
Je montais sur la table et me mit à genoux dessus, ma main sur mon sexe et me mit à me caresser et pénétrer mes doigts alors que la réunion repris.
L’atmosphère de celle-ci semblait avoir changé, l’homme s’était attendrit et la réunion se termina après une bonne demi-heure sur un accord. Alors que l’homme qui ne faisait plus attention à moi s’apprêtait à partir, il se tourna vers moi et me dit :
- Mademoiselle, si votre patron est d’accord, seriez-vous d’accord que je loue vos services ?
- Si monsieur est d’accord alors oui.

- Et bien, nous nous reverrons vite je pense. Dit-il en passant la porte.
Mon patron s’assit derrière son bureau et poussa un soufflement de soulagement, ne me prêtant aucune attention.
- Aurore, approche.
- Oui, monsieur.
J’allais vers lui et il détachait son pantalon, je m’accroupis et mis sa queue dans ma bouche, faisant des va et viens dedans et le masturbant avec ma main, très vite il éjacula dedans et j’avalais comme à mon habitude.
- Merci monsieur.
Sans dire aucun mot, il m’attrapait par les cheveux et me relevais, me couchant sur la table, il poussait son sexe qui commençait à devenir mou contre le mien, il arrivait à le rentrer peu à peu et fit des va et viens dedans, il se remit à durcir assez vite, ce qui m’étonnais, me tirant par les cheveux en arrière il me baisait sans faire aucune mimique… Après un très long moment, beaucoup de transpiration de ma part il se vida en moi.
Il me fit passer derrière le bureau, du côté que j’étais souvent lorsqu’il s’adressait à moi et me couchait dessus, le ventre sur le bureau, il fit passer mes mains de l’autre côté et me menottais au tiroir fermer à clé, ce qui m’empêchait de bouger, il refit le tour et se mit derrière moi, me bloquant les jambes de manière à ce que je ne puisse plus les rapprochés l’une de l’autre.
Il se mit à jouer avec mon petit trou et m’enfonçais ses doigts sans humidifié, m’arrachant des cris de douleur et glissa dedans un plug, de petites larmes coulèrent le long de mes joues et posa sur mon sexe un glaçon froid, le laissant fondre et ensuite un second le glissant dans mon sexe.
Il partit peu de temps et revient et posait autre chose sur mon sexe, qui se mit à vibrer, je tentais de me dégager mais rien n’y fit, je finis par me laisser aller à mes orgasmes, il arrêta et me remit un glaçon dedans, me faisant sursauter et s’en allait.
Je finis par m’endormir, il me laissait là, la nuit, certainement pour que je sois toute prête pour lui le lendemain.

Le lendemain matin la porte s’ouvrit, j’allais enfin être détachée mais ce ne fut pas le cas.
- Oh tiens la petite secrétaire est en fait la petite pute du patron ?
- Svp, madame détachez moi.
- Et puis quoi encore ? Je ne veux pas me faire virer par le patron !
- Svp je dois faire pipi…
- D’accord, si tu embrasses mes pieds !
- Oui, d’accord !
Elle mit son pieds sur le dossier du siège et le présenta à ma bouche, et j’y déposais des bisous… « Avec la langue ! » je sortis la langue et lécha son pied, et l’autre… Suça ses doigts de pieds… Elle remit ses chaussures et passais derrière moi… Elle giflait à plusieurs fois mes fesses, m’arrachant des cris et des larmes.
- J’aurais pu avoir ton poste ! Mais non, t’es arrivée et tu as donné ton cul du coup moi je me retrouve à nettoyer les merdes !
- Pardon, excusez-moi, je ne savais pas !
- Tu aimes donnez ton cul ?
- …
- Réponds-moi sale garce !
- Oui…
- Très bien.
Elle retira le plug violent et peu de temps après y enfonça autre chose, fit des va et viens dedans, je me mis à crier de douleur, elle m’enculait avec le manche de son ballait ! Lorsqu’elle vit que je pleurais à chaude l’arme elle arrêta et écrit quelques choses sur mes fesses, laissant soins de ne pas enlever le ballait. Ensuite elle revint devant moi me regarder, souriante, et me crachait plusieurs fois à la figure, entre 7 et 8.
Elle partit et claqua la porte.
Lorsque la porte se rouvrit un peu plus tard, c’était mon patron il lut tout haut :
« Vous avez une bonne raison de me renvoyez maintenant, merci pour tout et au revoir ! PS : Vous pouvez garder le ballait vous avez déjà un endroit de rangement. »
Il vint s’asseoir sur sa chaise et me regardait et se mit à rire.
- Et bien tu en as pris pour ton grade toi !
- …
- Tu as aimée pas vrai ?
- Oui…
- C’était donc vrai ce que j’ai entendu ?
- Svp ?
- J’ai entendu que tu es sortie avec une fille et que tu acceptais de tout faire pour elle, que tu as fait des choses que peu de personne ferais.

- Oui…
- Pourquoi faisais-tu ça ?
- Je ne sais pas, j’aime…
- Intéressant.

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