Recadrage
Lorsque je retournais chez Pierre, un accueil glacial my attendait :
- Jai appris que tu te caches les seins et la chatte lorsque tu es mise nue, et aussi quil faut te menacer de représailles pour que tu suces correctement. (je compris tout de suite a quoi Pierre faisait allusion)
Je te confie à des hommes pour ton bien ton plaisir et tu fais la mijaurée, lorsque des hommes te font lhonneur de te laisser les sucer, tu tappliques
Il me gifla, retira ou plutôt déchira mon chemisier en faisant sauter les boutons, mordonna de retirer ma jupe, ce que je fis rapidement, me pris par le collier, et, avec brutalité memmena dans la chambre
- Mets toi a quatre pattes sur le lit, la chatte en lair et la tête en bas, cuisses écartées et bien cambrée
Je ne me fis pas prier, jentendis le fouet, puis la ou plutôt sentis les douleurs, il me fouettait de bon cur, ce nétait pas pour mon plaisir, mais pour mon dressage.
Le fouet cessa, ce fut la cravache qui prit le relais
Je me voyais comme si jétais sortie de mon corps, Patricia la bourge sophistiquée, la croupe en lair, les mains derrière le dos, pas attachée et qui acceptait la cravache, mon corps tressautait a chaque coup, je remerciais mon tortionnaire de méduquer, je me cambrais le plus possible pour offrir ma croupe à la cravache et a Pierre, les brûlures étaient atroces. Mais, Pierre ne me faisait til pas vivre ce dont javais longtemps rêvé, désiré ?
je reconnaissais la pudeur mal placée dont javais fait preuve et mon manque dapplication à la fellation.
Je comprenait alors pourquoi une femme soumise devait remercier celui qui la dressait des sévices quil lui infligeait, javais donc encore beaucoup de choses a apprendre, a découvrir, et Pierre était mon guide, celui qui savait ce qui était bon pour moi.
Il nétait pas mon maître, jai horreur de ce mot, je suis esclave de mes sens, de mes pulsions, et de rien dautre ni de personne, si je me soumets, cest parce que je le veux bien.
Pierre obtint mes larmes, la cravache cessa
Il mappuyât sur les reins pour faire bien ressortir ma croupe et ainsi offrir ma chatte, et me pénétra dune seule poussée
Il me prenait sans ménagement, en même temps me claquait une fesse dune main avec vigueur (mes fesses déjà cuisantes), comme pour encourager une jument pendant la course, en me faisant la leçon
- une bourge comme toi ça obéi, ça se doit de donner satisfaction, ça sabandonne, ça souvre, offerte aux copains, comme une cochonne, car tu es une salope, reconnais le
- oui Pierre, je suis une salope, une cochonne jaime que tu me prêtes, que tu me diriges (cela me fit penser quau début de notre rencontre Pierre mavait dit que je devrais mappeler Peguy la cochonne)
Le plaisir montait de plus en plus, prise de force, fessée en même temps me plaisait beaucoup, je sentais ma chatte souvrir, souvrir, je mabandonnais mes doigts griffaient les draps, je hurlais dans un orgasme en remerciant Pierre.
Il me retourna, me mit son sexe dans la bouche, me tenant la tête il se servait de ma bouche comme dun vagin, il explosa en moi, javalais et le remerciais.
Je ne puis que constater quaprès être fouettée, cravachée, mon plaisir était beaucoup plus intense à lorgasme, je me donnais beaucoup plus, mabandonnais sans retenues
Qui eu dit que peu de temps avoir été « contrainte » mêtre mise dans les mains de Pierre, jen étais arrivée là, jéprouvais une addiction a me soumettre, je sais mon caractère, mes envies longtemps contenues my prédisposaient.
Jessaye de ne pas faire part seulement aux lecteurs de mon vécu sexuel, mais aussi de mes ressentis ; jespère que cela de vous nennuiera pas.
Nous passâmes une partie de la journée, ensemble, Pierre ma prise à nouveau, mais avec beaucoup de tendresse, me disant que ce soir Nadine allait venir pour tenir sa promesse : être fouettée entre les jambes, me disant que jallais souffrir et me dit aussi que jallais avoir une seconde chance de me racheter, il allait une nouvelle fois me prêter à des relations a lui et que cette fois, je devrais être parfaite
Ce qui me surpris : Nadine me manquait, je navait jamais éprouvé ce style de sentiments pour une femme, de plus une jeune femme.
Javais besoin de ses caresses, de sa façon de membrasser
Le soir arriva, Pierre minstalla nue à plat dos sur le lit, les membres solidement attachés aux montants du lit, les cuisses bien ouvertes et relevées avec un coussin sous les fesses, la chatte bien offerte. Il mencourageât, me disant que je devais connaître cela, que je pourrais hurler tant que je voudrai et pleurer, mais tu verras, ensuite nous te dorloterons
Nadine arriva, jétais impatiente et inquiète de la voir, elle dit bonjour a Pierre, pénétra dans la chambre :
- alors, prête la bourge ?
- Oui Nadine
- Tu vas bientôt me maudire
- Tu nes pas obligée
- Non, vous nêtes pas obligée
- Excusez moi Nadine vous nêtes pas obligée
- Mais si, voyons, je dois tenir mes promesses, et je te promets quensuite je prendrai soin de toi, tu es indécente Patricia dans cette position
Nadine qui pourrait être ma fille et qui allait me corriger, que je suis obligée de vouvoyer et elle qui me tutoie. Nadine qui me voit les cuisses ouvertes et qui me fait des réflexions, cest humiliant
Je la vois aller prendre le fouet à un seul brin, très efficace spécial pour le dressage de femmes comme moi, je me raidis, elle me caresse avec lle manche du fouet puis décide de me mettre un bandeau, je vois Pierre en spectateur, puis le noir, je sens la fouet ou je devine caresser mon entre jambe, ma chatte, lintérieur de mes cuisses, puis le sifflement et la douleur à lintérieur de mes cuisses, elle prend bien soin de fouetter chaque cuisse en remontant vers ma chatte offerte
La douleur est intense, puis la chatte, cest horrible, je hurle, jessaie de bouger pour échapper aux brûlures, impossible, un second coup, puis un autre, je pleure, je sanglote, Nadine poursuit son uvre
Elle sarrête enfin, pose son instrument de , sallonge près de moi, membrasse sur la bouche tout en me caressant le visage, la poitrine, puis me dit à loreille :
- Pierre ma demandé de te punir de la sorte chaque fois que tu ne donneras pas satisfaction, en plus de la punition quil te donnera.
- Non Nadine, jaimerai plutôt que vous vous occupiez de moi
Nadine se déshabilla, me passait de la pommade sur mes cuisses, ma chatte, cétait bon cela étouffait le feu, elle me caressa longuement, Pierre sétait aussi déshabillé, il me caressait les seins, membrassait, Nadine soccupait de mon clitoris, et dieu sait si elle savait y faire, je me cambrais jétais toujours attachée je jouissais
La suite de la soirée a été de douceurs, ils ont pris soin de moi, Pierre a pris possession de Nadine, je nétais pas jalouse, je ne puis expliquer le pourquoi, cest la première fois que jentendis Nadine « chanter » de plaisir
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!