Une Sodo Frustrante
Avant tout, je remercie ceux qui mont écrit pour me féliciter de mes aventures passées et de mexcuser pour les éventuelles fautes dorthographe.
Pour ce récit javais 22 ans, cela faisait un bout de temps que je navais rien fait avec un mec. A vrai dire depuis ma première fois à 17 ans, et ça me travaillais de plus en plus. Alors je me suis rendu sur un tchat dans lespoir de trouver un passif le temps dune après-midi.
Je ne tarde pas à trouver un mec plus jeune que moi, 17 ans je crois sur Paris. En discutant je voyais quil était bien chaud et surtout en manque donc je me prépare comme il faut et file le voir quelques jours plus tard âpres lavoir mieux connu.
Vers 13h-14h je devais le retrouver pas loin de chez lui car il ny avait personne. On se donna donc rendez-vous prés dun arrêt de bus quon devait prendre ensemble pour aller chez lui. Je le vois arriver. Une sorte de petit minet espagnol à la peau matte, jean en cuir noir, bottines noir en cuir, et petit sac à main pour « homme » enfin bref une ptite tata en puissance. Un peu mal à laise on discute de tout et de rien avec bien-sûr mon seul intérêt était de le baiser, il me fît marcher et encore marcher, et me sors à un moment avec son petit accent efféminé :
- On va chez moi si tu membrasses.
Jai dis non merci direct. En plus dehors. En gros depuis le début il me faisait marcher autour de chez lui. Il me menait en bateau mais je lui ai vite fais comprendre qui commandait. Donc on arrive chez lui après un moment de marche, petit appart tranquille au 4eme. Il vivait avec sa mère séparée depuis X années. On file dans sa chambre, où il y ferme les volets, puis viens vers moi me saisi pour me faire allonger sur le lit. Javais juste eu le temps de retirer ma veste et mes chaussures. Je me retrouve avec mon jean à mi-cuisses. Il se mit à caresser mon boxer puis sortir ma bite déjà bien assez dure par lexcitation de penser à ce quil allait me faire.
Ah cette sensation de sa main froide sur ma queue chaude, puis de sentir sa bouche brulante gober mon gland et le reste de mon sexe bien en érection ne me déplaise jamais. Je le voyais donc maspirer comme il fallait. Jappuyais sur sa tête âpres quelques secondes, puis progressivement une deuxième main pour lui imposer mon mouvement et finir ma domination par relever mon bassin en rythme pour enfoncer le reste de ma queue dans sa gorge. Je voyais bien que cétait trop gros pour lui car il avait des hauts le cur à chaque fois que jallais trop profond. Il continua à me sucer de cette manière, en alternant de temps en temps à gober mes couilles avec force, limite il me faisait mal tellement il aspirait fort dessus. Rapidement je vins à linsulter pour lencourager, et lui baisait ouvertement la bouche en lui donnant de petite gifle.
Après une bonne vingtaine de minutes où je sentais sa langue tourner autour de mon gland, je décida de changer de position pour lui baiser la bouche en missionnaire. Il prit un petit coussin quil plaça derrière sa tête de manière à ce quelle soit surélevée. Puis je vins mallonger sur lui, et lui enfourna ma queue au fond de la gorge. Il nétait pas prêt quil se mis quand même à sucer. Penché sur lui, je prenais appui sur un bras, et de lautre main je le prenais par les cheveux pour le faire sucer plus en profondeur et lui mettais encore des claques. Il semblait adorer puisquil caressa mes petites fesses poilues et appuya dessus en gémissant.
Je lui baisais donc la bouche dans cette position très dominatrice quand soudain le drame
Jentends la deuxième porte de sa chambre souvrir. Car jexplique sa chambre est composé deux trois portes ; une qui donne sur le couloir mais qui ne servait pas, une sans porte justement qui donnait sur le salon et la dernière qui donnait sur la salle de bain.
- Oh excusez-moi, je suis désolé ! Rougit-elle. Malgré sa gêne je remarquais quelle ne détachait pas son regard de ma bite.
- Maman ! Se plaint lautre homosexuel efféminé.
- Désolé je ne vous avez pas entendu.
Cest vrai que dans un sens nous navions pas fait de bruit à peine rentré chez elle. Elle devait dormir dans sa chambre. Il dégagea ma bite baveuse de sa bouche pour briser la gêne occasionné. Elle referma la porte rapidement et fit le tour par le couloir.
- Elle dit rien ta mère ?
- Non, non elle a lhabitude tinquiètes.
- Ok. Je lui repris la tête pour me faire sucer sans me préoccuper de lincident. Il la reprit avec gourmandise en se laissant faire.
Sa mère elle sétait installé dans le salon devant la télé. Je dois avouer que de savoir quaucune porte ne nous séparait du salon et quelle pouvait voir et entendre tout ce qui se passait, mexcitait et me perturbait en même temps. Je nosais pas trop soupirer ou même gémir de plaisir. Au bout dun quart dheure encore jen avais marre de me faire sucer.
- Jveux tenculer, mets toi à quatre pattes. Il mobéit .
- Va doucement au début ca fais longtemps que jai rien fais.
- Tinquiètes. Bien-sûr je ne comptais pas aller doucement mais il était si étroit que même après avoir son anus il se crispait et savançait.
- Arrête de bouger, putain !
- Mais ca me fais mal !
- Tinquiètes, ça va passer. Je recommençais encore a forcer mon gland capoté mais rien ny faisais.
- Attends jai du lubrifiant. Il en prit donc un peu, se le mit sur le cul et ma queue. Malgré après avoir réessayé de cette manière ca ne rentrait pas, de plus à force de frustration je commençais à débander. Il se mit dans une autre position.
La enfin je réussissais à lui mettre mais pas totalement profond car je lui faisais trop mal. Je ne voulais vraiment pas être doux. Je sentais vraiment bien son petit trou étroit aspirer mon gland. Je commença donc un va et vient lent mais tout en forçant un peu plus à chaque fois, poussant bien sur mes reins, mais rien ny faisait. Il me regardait bouche bée le regard plein de douleur en me tenant le ventre pour pas que jaille plus loin mais à chaque fois je le giflais pour quil retire ses mains. Je continua à le baiser de cette manière un petit moment essayant denfoncer ma queue à chaque fois un peu plus profond. Il gémissait de plaisir et de douleur.
Voyant que ça ne donnait rien au bout dun moment, je me retira et vira la capote, la jetant dans un coin de la pièce.
- Bon ça marche pas. Suces moi dépêches toi. Je lui pris la nuque et le tira vers moi. Mon autre main tenant la base de mon sexe orienté vers son visage. Il eut à peine le temps douvrir sa bouche baveuse que mon sexe força lentrée. Je ne pu mempêcher sous cette exquise sensation de pousser un gémissement assez fort que sa mère du entendre vu quelle baissa le son de sa télé.
- Vas-y, suces moi ma chérie !
Comme je voulais jouir je nhésitais plus à me laisser aller en gémissant fort. Sa succion faisait de plus en plus de bruit, il gémissait de temps en temps aussi comme une fille. Et rapidement à force de lui baiser la bouche, je sentis le sperme monter. Je lui tenais la tête pour ne pas quil recule et dans un long gémissement haut perché lui inonda la bouche de mon lait chaud. Je lui en envoya tellement quil ne pu tout avaler et quelques gouttes débordèrent de sa bouche pour couler sur sa joue et tomber par terre.
A peine ais-je jouis que je me rhabillai. Je le vis sallonger et sassoupir. Sorti de la pièce et souris à sa mère dun air victorieux, disant au revoir en me remettant la bite en place à travers le jean et me barra.
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