Les Origines De La Saga Des Esclaves Au Château... (Épisode 103)
ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS
Année 1784 - L'initiation d'une jeune aristocrate -7- (le retour)
Revêtue d'une robe fort prude, Emma de Fontanges s'apprête à quitter le château d'Evans. A l'issue de deux journées au cours desquelles son existence a définitivement basculé, elle prend congé de Celui qui désormais est Le Guide tout puissant de sa destinée. Dans la vaste et riche demeure, tout est calme. Il est encore tôt le matin et l'on s'affaire en silence. Sous le contrôle attentif des domestiques, les esclaves vaquent aux diverses occupations que leur impose leur état. Nettoyage, époussetage, cirer parquets et meubles,frotter les dalles de marbre afin que leur brillant ne soient point altéré aux yeux Du Maître...
Le Marquis d'Evans, justement, descend les immenses escaliers en compagnie de sa désormais esclave. Il a revêtu ses plus beaux atours et le couple resplendit, Lui de munificence, elle d'élégante sobriété. Du coin de l'oeil, certains observent la jeune femme, qui quelques heures plus tôt, subissait les assauts des Marquis d'Evans et de Sade, tandis qu'elle venait de se livrer aux attouchements d'une horde d'esclaves en pleine orgie. Qui, sous la pudeur de cette robe, devinerait quelle catin lubrique peut devenir cette jeune aristocrate ? Nul n'oserait évoquer la chose, tandis que Le Marquis a offert son bras à "l'innocente"qui n'est autre que la "chaste" pupille de sa tant aimée cousine ! Derrière ce couple qui s'avance vers la sortie, deux esclaves mâles portent chacun une lourde malle contenant divers cadeaux Du Marquis pour Mademoiselle de Fontanges et pour Sa cousine. Ainsi, la jeune noble qui était arrivée au château vierge et éperdue, amoureuse et désespérée, en repart déniaisée et asservie, plus amoureuse encore et au comble d'un étrange bonheur qu'elle a du mal, encore, à définir.
En bas du perron, le carrosse Du Marquis l'attend. Tandis que les esclaves chargent les malles sur le toit, Le Marquis offrant toujours son bras à la damoiselle, la mène jusqu'à la portière qu'ouvre le cocher.
- "Toi, je te confie cette noble demoiselle, n'oublie pas combien elle m'est chère, compris manant !"
- "Oui Monseigneur, oui... n'ayez aucune crainte..."
- "Je n'en ai point, car je te connais Hans le Berger, cela fait bien des années que tu es à mon service "
- "Oui Monseigneur, tout , lorsque mes parents sont arrivés de la lointaine Hongrie"
- "Certes... je compte donc sur toi... pour veiller sur elle et qu'elle arrive en belle et bonne santé chez ma cousine. Par ailleurs, comme il est important qu'elle n'oublie plus ce qu'elle est désormais (et là, la petite demoiselle blêmit) je te permets donc d'en user, mais avec circonspection..."
Le cocher s'incline, puis tourne son oeil vicieux vers la belle de Fontanges, pétrifiée...
- "N'oublie pas que ses orifices les plus intimes n'appartiennent qu'à moi ! Mais je ne doute pas, cocher, que tu sauras bien trouver quelque façon d'en tirer plaisir et jouissance. Mais en aucun cas, tu ne me l'abîme ! Sinon, je te retrouverai et je ferai en sorte que mon bourreau fasse de toi le meilleur hongre de mon cheptel !"
- "Si fait Messire... il en sera tout comme Vous l'ordonnez, soyez en assuré"
Le Marquis congédie d'un geste le personnage et se tourne vers Emma qui n'a ni bougé, ni seulement laissé échapper le moindre souffle
.- "Ehh !! Que croyais tu ? Ce que tu es, tu le demeures, même loin de moi... Compris ? ", lui dit le Noble dun air sévère
Emma baisse les yeux
- "Oui mon Seigneur et Maître... je Vous appartiens corps et âme et accomplirai Votre Volonté en toutes choses"
- "Bien.
- "Oui mon Seigneur et Maître... je suis Votre petite putain. Et le demeurerai à jamais si Vous y consentez"
- "Alors, ne me déçois pas et à jamais tu le demeureras", lui lance Le Marquis et lui claquant la croupe afin de lui signifier qu'il est temps pour elle se grimper dans le carrosse.- "Salue bien ma chère cousine pour moi ! et dis lui que je viendrai sous quinzaine la visiter... Ainsi que sa pupille que je veux jusque là de la plus extrême pruderie !"
- "Oui mon Seigneur et Maître..." susurre avec vénération Emma de Fontanges,
Tandis que le carrosse s'ébranle dans la cour, gagne l'entrée du domaine, et prend la route du retour sous le regard satisfait Du Marquis... Une voix derrière lui retentit
- "Alors la voici partie notre si douce esclave ? AAh, quelle bonne petite salope ! (Le Marquis de Sade rejoint d'Evans) J'avais confiance en Votre jugement, mais là ! ... Vous avez su la révéler et si promptement ! Aucune résistance... subjuguée, fascinée... Aussi impuissante que la biche face au Lion ! Vos armoiries mon Ami ne sont point usurpées ! Et cette douce proie était ... délicieuse !"
- "Elle le sera plus encore (savoure Le Marquis d'Evans) Nous n'en sommes qu'au tout début. Je puis vous assurer mon ami que son potentiel est bien plus énorme encore. Et nous le ferons éclore, jusqu'au plus complet épanouissement. Cette petite emma n'a pas fini de nous combler... Et pas plus tard que dans deux petites semaines, je lui ferai franchir un nouveau pas !"....
Depuis des heures, le carrosse brinquebale sur les routes poussiéreuses et plus ou moins cahoteuses. Mais rapidement, il avale les lieues qui rapprochent Emma de Fontanges de la demeure de sa douce tutrice, la cousine Du Marquis.
- "Hôlà ! Cocher ? Que se passe-t-il ?"
Pas de réponse... Le carrosse s'enfonce sur un chemin plus étroit, entre les frondaisons d'une épaisse forêt qu'Emma connaît bien. Ces arbres immenses, cette sombre futaie, ce sont ceux de la forêt qui délimite les terres de sa tutrice. Elle s'en réjouit, mais s'interroge. Pourquoi prendre ce chemin, alors que la grande route mène directement au manoir ? C'est alors que le carrosse stoppe brutalement, le blocage des roues soulevant un énorme nuage de poussière qui fait retraiter Emma vers l'intérieur du véhicule. Et lorsque la poussière est retombée, elle découvre par l'ouverture de sa portière la trogne vulgaire du cocher qui l'observe. Elle ne peut retenir un petit cri, tandis que l'homme, qui sent l'écurie pour le moins et se demande-t-elle, le crottin, impose son corps gras et petit à l'intérieur. Il s'assied face à elle.
- "Alors la putain" ... T'souviens de c'quà dit l'Seigneur ? (Emma baisse timidement les yeux) Eyh ! J'te parle ! Faut pas fair' ta mijaurée avec moué ! t'é qu'une catin, c'est l'Seigneur qul'a dit !"
Emma relève la tête, elle garde les yeux baissés mais s'applique à parler haut
- "Oui Monsieur.
- "Voué ! C'est ben ça... Et comme ça qu'il a dit que j'peux tirer du plaisir !! Mmhh; Bon, allez, m'ont z'y tes nichons au brav' Hans !"
Emma le regarde... hésite... Ses mains tremblent doucement
- "l'Marquis l'a dit que j'peux en user ! Alors j'veux voir tes nichons, salope !"
Emma de Fontanges déglutit, puis aspire une grande bouffée d'air... Elle hésite une poignée de secondes, tandis que le cocher joue avec son fouet et le tend sous son nez... Alors elle commence à délacer lentement les rubans qui gardent le devant de sa robe fermé jusqu'au milieu du cou... Lentement, elle se délace, jusqu'à les défaire entièrement, puis elle écarte la première couche d'étoffes coûteuses, écarte les froufrous des chemises de lin fin qui se superposent, jusqu'à dévoiler deux seins, deux petits seins blancs, ronds et fermes aux tétons d'un rouge brun qui les fait parfaitement ressortir sur la pâleur des globes. Emma se redresse et les seins jaillissent, parfaitement exposés au regard du cocher qui laisse un peu de salive glisser à la commissure de ses lèvres...
- "Arhh ! La belle salope que vl'à ! remonte ta robe m'aintnant ! allez !"
Emma maintenant n'a plus d'hésitations... elle sent une étrange chaleur l'envahir... elle se mord les lèvres tandis que ses mains agrippent le bas de son épaisse robe et le relève, ainsi que les jupons aux belles dentelles, jusqu'à révéler les jambes et cuisses gainées de fins bas blancs, les jarretelles fleuries, la peau nue du haut des cuisses, d'une pure blancheur également...
- "Encore ! encore !!" crie le cocher et Emma obéit, sans même y penser, comme une évidence. Elle relève encore les lourdes étoffes jusqu'à révéler l'intérieur de ses cuisses, les chairs plus sombres, humides déjà qui palpitent... et elle écarte les cuisses aussi largement qu'elle le peut, afin d'en offrir la plus complète vision à l'homme suant et suintant qui se tient face à elle...
- "Ah la belle catin !" halète-t-il "Ah la putain !!" avec des gestes fébriles, il dégrafe sa culotte de cavalier, et révèle un corps à l'hygiène plus que douteuse, un sexe court mais très épais qui bande déjà... Il dégage sa queue et la saisit d'une main
- "Allez salope !!! Viens z'y et suc' moi donc ! Je veux sentir tes jolies lèvres sur ma queue ! C'est l'seul trou que l'Seigneur y m'permet... Et tu vas l'avoir, aaaah la putain' !!!"
Emma docile, dans un froufroutement de ses atours, parvient à s'agenouiller sur l'étroit plancher du carrosse et se penche sur le sexe que ses lèvres enserrent. Elle l'avale, l'aspire jusqu'à sentir le gland qui frotte contre son palais, les couilles à son menton... La bouche bien emplie par la tige courte mais fort épaisse, elle suce ce sexe malpropre. Malgré l'odeur forte, le goût musqué, rien ne la rebute. Elle suce vaillamment la queue, la fait aller et venir entre ses petites lèvres roses... L'aspire, la suce avidement toute entière. Sa langue titille le gland et elle sent le sexe qui se tend encore, durcit jusqu'à éclater... Et dans un long râle du cocher, tel un cerf en rut, il éclate. Ou plutôt le plaisir de Hans. Un flot épais inonde la gorge d'Emma, le jet envahit sa bouche et elle savoure son goût si brut ! Tandis qu'elle demeure prostrée sur le sol du carrosse, léchant ses lèvres sur lesquelles dégouline le surplus de jouissance du cocher, ce dernier se relève et se rajuste. Puis il saisit l'épaule d'emma et la contraint à se redresser. Il la fait pencher en avant, appuyée sur l'une des banquettes et se plaçant derrière elle lui relève les jupons, jusqu'à révéler son cul d'une incomparable et fine rondeur... Il la pelote un instant
- "Mmhh salop' va ! Un si beau cul et j'peux pas y foutr' !! Mais l'Seigneur il a dit, avant de la livrer, tu lui laiss'ras une petite signature ! Rien dtrop fort, mais faut qu'elle se souvienne de ce qu'ell'est"
Et crachant dans ses mains crasseuses, il déploie une partie de son fouet, juste assez pour pouvoir l'utiliser dans l'habitacle... Un, deux, trois... cinq... Deux coups de fouet sur les fesses charnues de la jeune aristocrate...
- "Et v'là ! L'Seigneur l'a dit : Pas plus d'dix ! Faut pas que ça marque dtrop ! Là t'es rougie, mais j'ai pas appuyé... dmain l'y paraîtra plus ! Allez tu t'attiff vit'fait, parce que moi j'y r'tourne et dans moins de trois heures faut qujsois revenus"...
Le cocher quitte le coche et regagne son banc, à l'avant, déployant cette fois pleinement son fouet, il le fait claquer en l'air au-dessus des têtes des corpulents chevaux qui repartent d'un bon pas. Tandis qu'emma remet avec difficulté ses dessous, chemises et robe... malgré les cahots, le carrosse regagne la grand'route, pour aller maintenant jusqu'au manoir où la jeune femme de noble famille, aux atours si sages, sait que sous les étoffes brûlent les désirs inavouables de la plus lubrique des catins. Une chienne qui n'a qu'un désir, s'offrir à son Maître le Marquis dEvans, procurer à Celui qu'elle aime et vénère tous les plaisirs qu'il Exigera, sans se soucier, ne fut-ce qu'un instant de cet avilissement qui ne la rend que plus dépendante encore...
Quand le carrosse Du Marquis arrive devant le petit perron du manoir, la tutrice de la belle emma sort de la bâtisse accueillir la belle damoiselle
- "Ah ma pupille ! Quel bonheur de vous retrouver" lance la cousine Du Marquis tandis qu'une Emma de Fontanges poudrée et engoncée dans une robe lacée jusqu'au cou descend du carrosse. Les deux femmes s'étreignent...
- "Que je suis heureuse ma pupille de vous accueillir. Ces deux journées m'ont paru interminables. Même si je sais qu'à votre âge, il est temps un peu que vous découvriez le monde, surtout sous la houlette bienveillante de mon si Cher Cousin Marquis d'Evans. Ainsi chez lui, je n'ai nulle inquiétude; je sais qu'il veillera sur vous à chaque instant et vous protégera de tout prétendant qui saviserait à tourner autour de vous"
- "Oh oui, ma chère, si vous saviez comme il est bon", s'exclame Emma de Fontanges ("eh oui, cousine, si vous saviez", croit sentendre dire emma dans son esprit, comme si le Marquis s'y était installé, présent en elle à chaque seconde)...
(A suivre
)
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