L'Éducation De Papillon - Episode 6

(Aux dames qui me font le plaisir d'apprécier mes écrits, j'aimerais "papoter" avec vous. Envoyez moi donc un message avec votre adresse)

(Papillon a découvert les plaisirs saphiques. Elle n'oublie pas son projet éducatif....)

Jeudi matin, Papillon se réveille de bonne humeur. Jean paresse à côté d'elle. Elle se love contre lui et sent sur sa cuisse l'érection matinale. Elle entoure la hampe et fait quelques mouvements. Jean grogne dans son demi-sommeil, tout en ouvrant des cuisses pour permettre à sa femme de caresser ses testicules tout fripés. Elle les empoigne quelques instants, et les serre peu à peu, pour réveiller Jean. C'est un de leurs jeux du matin, une attention coquine pour bien démarrer la journée en étant proches. Jean lance une main caresser un sein de Papillon, puis se réveille complètement.
-"Debout, mon loup" lui glisse-t-elle dans l'oreille, et elle se lève et se prépare. Un petit déjeuner léger et la voilà partie pour son entreprise, sans avoir oublié un petit sac inhabituel qui renferme ses projets de fin de journée.
La journée se passe gentiment. Tous les formateurs sont là, les salariés des clients aussi, et un doux murmure bruisse dans les couloirs, signe que globalement tout se passe pour le mieux.
A part l'atelier dirigé par M. PONCE, qui se passe dans ses bureaux aujourd'hui. Elle a tendu l'oreille en passant et à entendu un peu de bruit.
A vingt heures, elle part toujours concentrée sur ses dossiers, elle ressent un peu d'impatience.
-"Ah, encore une demi-heure" pense-t-elle, "c'est cela qui me préoccupe !" et elle tente tant bien que mal de terminer un dossier de TVA.
Dix minutes avant l'heure de son rendez-vous, elle range ses affaires et dégage tout ce qui reste son bureau, sauf une grande règle plate jaune, souvenir d'une autre époque. Elle se change rapidement et met une jupe très courte, sans culotte, et un boléro rouge sans soutien-gorge.


-"Pas la peine de perdre du temps dans le déshabillage" a-t-elle pensé, et la perspective de sa deuxième rencontre avec M. PONCE l'excite. Elle relit ses notes jetées sur un papier pour s'en imprégner. A l'heure attendue, elle l'entend frapper à sa porte et un frisson d'adrénaline lui parcourt le corps. Elle se lève, va ouvrir, et apercevant son visiteur, lui dit d'un air dur: "Bonsoir, tu es à l'heure, c'est bien. Va dans mon bureau et prépare toi comme je te l'ai dit".
-"Oui Patronne" lui répond l'homme. A peine entré dans le bureau, se déshabille entièrement et va se mettre à quatre pattes à gauche du bureau.
Elle entre à son tour et voit avec satisfaction la situation.
-" Tu es un bon soumis, je vais t'appeler Alfred et te félicite, tu as gagné le droit de me regarder. Mets-toi en tailleur et regarde. " Et elle entreprend une danse lascive devant lui, sans se déshabiller, mais en caressant ses cuisses, ses seins, ses cheveux, passant ses mains sur son pubis, relevant par instants sa courte jupe pour que l'homme puisse apercevoir sa chatte à l'air libre.
Il la regarde, et ses yeux bleus qui la font rêver incitent Papillon à se déhancher de plus belle.
Un début d'érection est visible chez M. PONCE, et Papillon décide qu'il est temps de recommencer son dressage.
-"C'est fini", lui lance-t-elle, "viens ici !". Il s'approche. "Arrête-toi". Elle le contourne, att la grande règle jaune et le frappe sur chaque fesse, laissant une plaque rouge. "Alors, Alfred, tu as bien travaillé avec ton groupe ? Ce n'est pas encore satisfaisant à ce que j'ai pu entendre du couloir". Et elle lui assène un coup de règle pour chaque erreur qu'il a commis, en les énumérant. "Il va falloir être plus efficace, Alfred, je ne suis pas contente du résultat, tu vas le voir!"
Les fesses de l'homme rougeoient sous les coups, mais il se tait. Il sait qu'il n'a rien à dire, il a accepté l'éducation qu'il reçoit.
Elle monte sur son dos, à califourchon, et lui dit: "Marche, tu es mon âne ce soir".
Et il commence à avancer doucement. Papillon sent son abricot qui s'écrase sur le dos de l'homme, et cette sensation la fait mouiller. Elle lui tire les cheveux pour le freiner, puis le cravache pour qu'il aille plus vite. Elle ressent le plaisir du frottement de son sexe, et son clitoris est déjà gonflé. M. PONCE halète et dans un virage, ses bras flageolent et il s'écroule. Papillon s'est levée et le regarde durement.
-" Bon, Alfred, je vois que tu n'es pas résistant, je ne suis pas contente. Allonge- toi sur le dos sur mon bureau". L'homme se positionne. "Relève tes genoux, que je vois bien ton cul." Il s'exécute et Papillon admire ces fesses bombées, pas trop grosses, au milieu desquelles l'anus attire son regard.
Elle s'approche, et lui dit :" Branle-toi devant moi". M. PONCE att sa queue et commence à se caresser. Papillon a enlevé son boléro et ses seins qui pointent accélèrent l'excitation de l'homme.
-"Continue, et mets-toi un doigt dans le cul en même temps". L'homme blêmit, visiblement il n'a jamais exploré son anus. Mais il tend un doigt, et caresse un peu sa rondelle avant d'introduire son index.
-"C'est bon hein, de s'enculer soi-même, continue, branle toi, encule toi, je veux te voir te donner du plaisir. Un peu honteux, M. PONCE agite ses mains tout en reluquant les seins de Papillon, qui se les malaxe en le regardant.
Elle aime cette sensation de domination, de voir cet homme se masturber la queue et le cul devant elle, de lui obéir. Elle sent son intimité qui commence à se gorger de liqueur.
Papillon att le sac "spécial baise" qu'elle a constitué, et en sors un nouveau gode, effilé et long. Elle le suce lentement et après y avoir mis un peu d'huile, l'approche de sa cible.
-"Alors Alfred, je vois qu'il faut que je t'aide", minaude-t-elle en lui insérant l'objet. Il couine, la douleur irradie sa chair, mais il ne se rebelle pas. Elle lui branle le cul un long moment, sans l'amener à la jouissance. Lui ressent maintenant le plaisir de la pénétration, et s'abandonne à la domination de Papillon.

Puis elle se penche vers le sac, et en sors un gode ceinture comme celui de sa tante. Le modèle forme sous ses fesses comme une culotte, mais fendue au milieu, et le pénis artificiel arbore une belle couleur naturelle. Le gland est bien dessiné, et des veines remontent le long de la hampe.
Il la regarde, effaré, et ses yeux qui l'invitent à ne pas aller plus loin ne l'arrêtent pas, au contraire. Elle se harnache et vient présenter ses hanches près du cul de M. PONCE.
Puis elle le sodomise lentement, et se lance dans un va et vient endiablé, ou les images de son enfance se mélangent avec aujourd'hui, et ses seins se balancent au rythme de sa pénétration. Elle mouille abondamment, son jus intime imbibant peu à peu les lanières.
-"Tu la sens cette grosse queue ? Dis-moi que cela te plaît de te faire ramoner le fondement. Tu es ma chose, mon objet sexuel, tu es mon soumis, je vais là ou jamais personne n'est allé, au fond de ton boyau. Sens-tu le bout de mon gode te masser la prostate ? Tu vas apprendre à jouir du cul, Alfred, et tu ne pourras plus t'en passer". Elle continue à l'envahir en lui lançant des mots crus. L'homme n'en croit pas ses oreilles, jamais il n'a eu de tels rapports, et malgré la douleur qu'il ressent par moments, malgré la honte qu'il ressent à être ainsi dominé, il est tétanisé par la beauté de Papillon et ne peut résister à cet appel de la chair.
Papillon fait maintenant mettre l'homme à quatre pattes sur le parquet, et reprends sa sodomie.
-"Ah la levrette, tu aimes prendre le cul des femmes, hein, et maintenant, tu ressens ce que cela fait d'être dos à sa partenaire, d'être contraint de ressentir ses assauts sans la voir, juste d'être en relation avec ce que ton cul encaisse, concentré sur ce petit bout de ton corps".
A force de le tarauder, M. PONCE sent le plaisir monter et il finit par éjaculer sur le parquet.
Papillon le fait à nouveau lécher son sperme, puis l'invite à se rhabiller.
Elle voit que l'homme la regarde avec gourmandise, qu'll voudrait lui donner du plaisir.
Mais elle a décidé de le priver de cette joie, de le laisser dans son désir, de le frustrer. Elle s'assoit à son bureau et l'invite à prendre la chaise devant. Elle a gardé ses seins à l'air pour le troubler.
L'air sévère, elle lui dit : "M. PONCE, nous sommes ici pour parler de votre capacité de formateur, pas pour que vous sautiez votre Patronne, alors dites-moi où vous en êtes".
Ils parlent des difficultés de l'homme, et la conversation évolue vite vers de nouveaux conseils, de nouvelles préconisations.
M. PONCE fixe les seins de Papillon pendant l'entretien tout en étant concentré sur celui-ci. Il les voit onduler avec les mouvements de sa Patronne, il les désire mais s'interdit tout acte qui lui vaudrait, il en est certain, une punition sévère. Papillon se délecte de ce désir refoulé.
Après s'être mis d'accord sur les actions à mener pendant la fin de la semaine et le week-end, Papillon lui donne un nouveau rendez-vous pour le mardi suivant.
-"Tu devras faire la même chose qu'aujourd'hui, sauf que tu porteras des bas de femme que tu garderas sur toi en te positionnant à côté de mon bureau. Tu as compris ?". L'homme est interloqué mais baisse les yeux en donnant son accord.
-" Bien, lèche mes pieds et rentre chez toi. A mardi". Il la regarde, et ses yeux pénètrent au fond de Papillon, qui frémit de désir, mais n'en laisse rien paraître.
Elle le raccompagne et sitôt la porte fermée, elle est envahie d'un désir de sexe énorme. Cette séance l'a follement excitée, et le désir de le frustrer n'empêche pas qu'elle soit également frustrée de ne pas avoir été touchée.
Elle s'enferme, se positionne à plat ventre sur son bureau, tend les fesses et s'enfonce puissamment le gode ceinture dans le vagin. Ses seins s'écrasent sur le bureau, et elle se masturbe ainsi quelques minutes, le corps tendu dans l'attente du plaisir, les fesses offertes à un amant imaginaire qui la laboure, la chatte dégoulinante. Et elle jouit, encore une fois, son corps exulte de se laisser aller à tant de sensations.
Calmée, elle se rhabille et rentre chez elle. Ce soir, Jean n'est pas là, une réunion de travail tardive.
Elle dîne rapidement et file sous la douche se détendre.
- "J'espère qu'Alfred va bientôt se réveiller" se dit-elle," je veux qu'il retrouve son statut de dominant. Et elle échafaude déjà quelques plans pour arriver à ses fins". Puis elle se couche et s'endort au bout de quelques pages de lecture, apaisée, heureuse.

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