08 - Rasage Intime
Je suis un adepte des sexes glabres. Depuis plus de dix ans je me rase le sexe et la vue d'une belle queue bien rasée me fait fondre. J'ai fait quelques séries photos de ma verge dépourvu de poil que j'ai mis sur mes fiches de certains sites de drague gay.
Un jour je suis contacté par un homme de ma ville (A l'époque j'étais sur Lens) qui me dit apprécier les photos de mon sexe nu. Nous dialoguons sur le sujet et je lui propose d'en faire autant à sa queue. L'idée l'excite beaucoup et me voici le soir même chez lui. Quel fut ma surprise en arrivant, je connaissais cet homme de vue, nous nous étions croisés quelques fois en ville et j'avais senti à l'époque de nos premier regards croisés que je ne lui étais pas indifférent et lui non plus ne m'était pas indifférent, mais je n'aurai jamais osé l'aborder je ne drague que sur le net. Lui aussi fut fort agréablement surpris et m'avoua qu'il avait flashé sur moi mais était persuadé que j'étais hétéro. Comme quoi il ne faut pas se fier aux apparences. Toutes ces confidences m'ont mis le feu et la bosse qui déforme mon pantalon ne laisse aucun doute à ce sujet.
Je profite de l'émotion partagée pour me rapprocher de lui pour l'embrasser et lui caresser la queue déjà bien en forme. L'envie de le sucer me turlupine et je lui propose de commencer la séance de rasage. Je le suis à sa salle de bain et nous nous déshabillons. Il m'est impossible de commencer sans goutter cette pinne qui pointe vers moi. Je m'agenouille pour le pomper et il s'assoie sur le rebord de la baignoire. Après l'avoir tété un long moment, je fouille dans la poche de mon blouson pour en sortir une tondeuse.
« Alors toujours OK ? », « Bin oui! » me répond-il. Je commence par lui tondre le pubis le plus ras possible pour me simplifier le rasage. Le gel de rasage et le rasoir étaient déjà prêts sur le rebord du lavabo. Je mouille abondamment ses poils et je badigeonne sa queue et ses couilles de gel de rasage.
Nous passons dans sa chambre, nus comme des vers. Je m'assoie sur le lit et je l'attire vers moi. Sa queue avait perdu de sa vigueur, mais très vite il retrouve sa fougue quand je l'ai prise en bouche.
J'aime la forme de sa queue, son goût, son gland violacé, ces bourses lisses et fraiche. Je lui lèche le pubis dénué de tout poils, c'est une sensation nouvelle pour lui, je lui lèche l'entrecuisse sans oublier de lui gober les couilles. Je lui demande de s'allonger sur le lit et je lui relève bien les jambes pour disposer de cet illet. Je plonge ma langue dans ses replis, l'inonde de salive pour laisser place à mes doigts. Je le pourfends de mes doigts, un, puis deux, puis trois, je vais et je viens sans difficulté. Je l'encule de mes doigts et le pompe goulument. Je sens sa queue se raidir, avoir quelques soubresauts et j'ai juste le temps de libérer sa pinne pour voir jaillir son foutre avec une violence inouï. Les deux premiers jets le dépassent pour s'étaler sur la tête de lit, les suivant viendront inonder son torse et son ventre.
Je le laisse un temps reprendre ses esprits, tout en gardant sa queue poisseuse dans ma main et je lui malaxe les couilles de l'autre? Son souffle ralentit, son corps se décontracte. Il est beau dans son plaisir et je ne peux réfréner l'envie de l'embrasser pour le remercier du formidable spectacle qu'il vient de m'offrir. Une petite toilette s'impose et il se lève pour me laisser seul le temps d'effacer les traces de sa jouissance. Pendant ce temps, allongé sur le lit je me caresse lentement. Quel surprise de voir un gode sur sa table de nuit. Il est de taille respectable, mon petit musicien sait occuper ses moments de solitude. Je prends la bête en main avec l'envie de l'essayer. Je me badigeonne l'anus de salive et je déroule une capote sur l'engin; Allongé sur le dos les cuisses bien remontées, je pointe l'objet à l'entrée de mon cul. J'imprime de petits va et viens pour me dilater, quand apparaît Stéphane au pas de la porte, il me sourit et viens me rejoindre. C'est alors qu'il me glisse à l'oreille « Tu vas voir comme il est bon! ». C'est en même temps que le gland de latex me pénètre et je laisse râle de bonheur s'échapper de ma gorge. Stéphane m'embrasse et me happe la queue d'une main ferme pour me branler. « Suces-moi!!! ». Il descend vers ma queue pour gratifier d'une pipe d'enfer pendant que je me lime excité comme un fou. « Prends-moi, je veux une vrai bitte maintenant! ». Il se pare d'un préservatif et je me mets en levrette tendant ma croupe au maximum. Son chibre me pénètre sans forcer, je viens plaquer mon cul contre son ventre pour le sentir entièrement en moi. C'est un plaisir indéfinissable, je voudrais que ça dur. Stéphane est un très bon amant, doux et viril à la fois. Ma queue gorgée de sang frappe mon ventre à chaque coup de boutoir. Stéphane se retire, m'habille la bitte de latex et viens littéralement s'empaler sur moi. Il se déchaine sur mon vit et je suis obligé de le réfréner plusieurs fois pour ne pas exploser.
Rassasié de sexe, un petit brin de toilette et c'est ainsi que se fini cette soirée haute en émotions divers.
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