Chapitre 31 : Le Lido, Puis Un Trio Endiablé Avec Denis, Futur Amant Régulier.

Après l’écriture des deux chapitres précédents, j’ai le plaisir de vous raconter la suite de cette journée mouvementée du samedi sept octobre 2006, lors de notre visite au mondial de l’auto.
Pour les non-fidèles de notre parution, je suis Caroline, en 2006, j’ai quarante-neuf ans, je suis la seconde épouse d’Éric, et si vous souhaitez mieux me connaître je vous invite à lire les chapitres précédents (21 à 30), après la lecture de ces chapitres très détaillées de ma vie affective, je pense sincèrement que je n’aurai plus de secret pour vous.
C’est un réel plaisir pour moi d’écrire, je puise dans les journaux « intimes » qu’Éric aime renseigner régulièrement même pour nos ébats à deux, et puis Éric m’aide également sur certains détails quand ma mémoire me fait défaut.
Nous en profitons, pour vous réaffirmer que nous vous restituons simplement notre vie de libertins, nous n’inventons rien, ce n’est pas une fiction, nous avons conservé volontairement nos prénoms, les lieux où se sont passés nos aventures, et nous essayons d’être le plus précis possible en vous restituant ce que nous avons vécu et ressenti.
Comme pour les deux précédents chapitres, je suis toute excitée à l’idée de vous raconter cette histoire. J’espère simplement que vous serez dans le même état d’excitation que moi à la fin de la lecture du chapitre. Je pense que d’autres chapitres suivront…En fonction de vos commentaires et de vos encouragements.
La journée est riche en émotion.
Nous rencontrons Jean-Jacques mon ex-amant, présentation de celui-ci à Éric.
Puis nous visitons ensemble le mondial de l’auto.
Nous rencontrons Denis, le commercial Porsche, par l’intermédiaire de Jean-Jacques.
Denis va non seulement nous vendre notre future Porsche, mais il va surtout me doigté délicatement sous la table pendant tout le déjeuner en présence d’Éric et de Jean-Jacques, l’ami m’a chauffé scandaleusement, mais j’ai réellement apprécié, cette impression fut certainement ren par la présence mon ex-amant qui s’entend merveilleusement bien avec Éric.

Puis Denis nous invite tous les quatre, c’est-à-dire Jean-Jacques et son épouse, Noëlle, que je vais rencontrer pour la première fois, Éric et moi pour le spectacle et le dîner prestige « carré or » c’est-à-dire très près de la scène, au Lido de Paris. Porsche ayant réservé cette espace pendant toute la durée du mondial de l’auto.
Retour rapide à notre hôtel, car nous avons rendez-vous avec Denis avant dix-neuf heures, avenue des Champs Elysées devant le Lido de Paris.
Mais, je réclame quand même un gros câlin à mon chéri, j’ai très envie de sexe, Denis m’a mis dans un état d’excitation… Et j’ai vraiment besoin de me faire câliner et peut être de me faire pardonner…
Ce fut vite fait, bien fait, Éric est un bon baiseur, il sait comment me prendre quand je suis comme cela, peu de préliminaires, en levrette, il me pénètre en douceur, pour commencer, puis ensuite il me ramone un bon moment, en augmentant la cadence régulièrement sortant et rentrant sa bite et provoquant des gémissements de plus en plus forts.
Nous reprenons nos esprits tous les deux allongés sur le lit, et je me décide de lui révéler que nous avons fait une « petite folie » avec Denis lors du déjeuner en sa compagnie.
Je lui raconte en détail comment Denis m’a doigté délicatement sous la table, et comment j’ai pu prendre autant de plaisir à être caressée de la sorte.(voir au Chapitre 30).
Sa réaction est surprenante, même si je suis habituée avec Éric à sa façon d’être : il est rassurée, car il pensait que j’étais mal à l’aise avec Jean-Jacques, car j’avais été très discrète pendant tout le déjeuner, il regrette simplement, ne pas en avoir été informé, car cela l’aurai bien excité. Véritable « Gentleman » mon Éric adoré.
- Et bien justement, il a prévu de continuer ce soir au Lido…Mon chéri…Lui dis-je.
- Ah oui, alors le rabais commercial ? C’est grâce à toi ? Me répondit-il.
- Il a très envie de moi, je lui ai dit que nous formions un couple très libre, que tu étais très permissif et même candauliste, que tu prenais plaisir à me voir dans les bras d’un autre…
- Oui, mais quand même, devant Jean-Jacques, et puis nous étions très entourés !!!
- Tu sais, j’ai moi-même apprécié. Et puis il est mignon, non !!!
- Donc, tu as prévu quoi pour ce soir ? Me demande-t-il.
- Rien, enfin, peut-être qu’il pourrait nous rejoindre ici, si tu veux ? Depuis le temps que tu souhaites me voir dans les bras des autres, maintenant, je n’ai plus l’intention d’arrêter…
Éric, acquiesce et semble même satisfait de la soirée et de la belle surprise que je lui offre, il est vrai, qu’il est encore sur son petit nuage après la commande de sa première Porsche.
Nous n’avions pas prévu de sortir dans un cabaret, j’ai donc peu de choix pour ma tenue du soir, j’avais prévu une robe bustier de cocktail bleu en taffetas très simple mais très élégante qui doit me mettre en valeur. Avec cette coupe droite et courte, c’est chic, habillée et ultra féminine. Mais c’est peut-être un peu osé. Le haut est rembourré. Je n’ai pas besoin de porter un soutien-gorge. Un simple string et des escarpins, dans les mêmes tons pour parfaire mon allure complète ma tenue légère du soir.
Quand je sors de la salle de bains, Éric me déclare :
- Ah oui, si tu veux être discrète Chérie !!! C’est raté… Tu sais, une robe de soirée bleue ne passe jamais inaperçu. Mais cette teinte évoque la noblesse, l’élégance et convient pour se faire remarquer…Mais c’est peut-être un peu court !!!
- Tu trouves ? Chéri !!!
- Disons qu’elle est bien moulante et très sexy !!! Mais elle sublime ta silhouette…
Je passe mon manteau habillé de couleur crème, puis nous partons en taxi rejoindre le directoire de Porsche.
Nous sommes accueillis par Denis, celui-ci nous présente Marc O……le nouveau directeur général de Porsche France, et Ursula de Porsche Allemagne.
Puis d’autres invités de la marque arrivent, et enfin Jean-Jacques accompagné de son épouse Noëlle que je vais rencontrer pour la première fois.
Je dois vous avouer que je ne suis pas à l’aise, sincèrement, cela fait près de vingt-cinq ans que je couche avec son mari, même si depuis plus de cinq ans nous ne nous voyons plus.
J’essaie donc d’être la plus naturelle possible quand Jean-Jacques fait les présentations, nous sommes ses amis, il lui précise que je suis Caroline, la personne avec laquelle il collaborait à l’hôpital de Suresnes…
- Tu te souviens ? Chérie. Lui demande-t-il.
Je m’approche pour lui serrer la main, mais elle s’approche pour me faire la bise, je suis un peu surprise, je fais la bise à la femme de mon amant, c’est très drôle…
Il est dix-neuf heures, Denis nous invite à rentrer dans le cabaret. Nous sommes en placement prioritaire, nous allons profitez au plus près de la magie du Lido.
La personne chargée du placement nous déclare :
- Le Lido vous invite à une expérience inouïe !!! Mesdames, Messieurs…
- Ouvrez grand vos sens ! Au son de l’orchestre, savourez notre dîner gastronomique signé par notre chef signature. Les vins et champagne Ruinart sont à discrétion et prolongez ces délices en vous laissant transporter par la magie du show : Paris-Merveilles : une ode à Paris et à vous Mesdames « les femmes », emmenée par les flamboyantes danseuses du Lido, les Bluebell Girls !!!
- Passez une bonne soirée…
- Merci monsieur. C’est la réponse collective de la table…
- Je suis désolé, n’oubliez pas photo avec les Bluebell Girls à la fin du spectacle…Merci à vous…
Denis, fait le placement de notre table, comme par hasard, il se positionne près de moi, mais Éric, lui demande si c’est possible d’inverser sa position avec la sienne, il préfère être à ma droite qu’à ma gauche, prétextant qu’il est gaucher.
C’est vrai, Éric est gaucher, mais je pense qu’il a envie de jouer ce soir.
Il se retrouve à côté de la belle Allemande Ursula, et Denis est donc à ma gauche avec pour voisine Noëlle, près de Jean-Jacques, la table étant complétée par un concessionnaire Montpelliérain de la marque accompagné de son épouse.
L’ambiance est très festive, Noëlle me semble très sympathique, vraiment, et Jean-Jacques plutôt réservé au début, mais il trouve très vite un sujet de conversation en Allemand avec Éric et Ursula. Et oui, mes hommes ont beaucoup de points communs, dont celui de parler parfaitement la langue de « Goethe ».
Involontairement, je suis ce soir aux couleurs du Lido, et je reçois beaucoup de félicitations sur ma tenue, dont celles appuyées de Denis, qui me glisse discrètement que je suis très sexy et désirable…
Nous commençons le dîner, c’est un menu « Dégustation » quatre plats, mais nous avons le temps, avant le spectacle de vingt et une heure.
Le regard de Denis me fait bien comprendre qu’il souhaite poursuivre le petit jeu du déjeuner, et laisse apparaitre ses intentions à mon égard.
Nous avons convenu avec Éric, que je devais lui signaler par code, dès que notre « ami » allait commencer à jouer avec mon « minou », je devais renverser un verre vide délicatement…
Denis glisse délicatement sa main sur ma cuisse jusqu’à remonter un peu ma robe qui est déjà bien courte, le tout cacher par une belle nappe blanche.
Je ne réagis pas aux légères caresses qu’il m’adresse sous la table. Au contraire, je l’aide en écartant un peu les cuisses. Puis il promène son pied sur ma jambe. Puis, je sens sa main se poser sur ma cuisse, pour remonter vers mon entrejambe.
Même s’il m’excite terriblement, Éric, Jean-Jacques et Ursula discutent en Allemand et sont absorbés par leurs conversations, je tente de répondre aux questions de Noëlle me concernant, mais il m’est difficile de me concentrer.
Denis me déstabilisant doucement par ses appels répétés.
Est-ce les coupes de champagne, la température ambiante ou tout simplement le travail de Denis qui pose l’extrémité de ses doigts directement sur mon sexe, mais je sens la chaleur de mon humidité au travers de mon string.
Il recommence son petit manège du midi que j’ai tant apprécié, mais comme je suis joueuse, pendant que son doigt parcourt l’intégralité de mon sexe humide, je décide de renverser mon verre vide…Le code de démarrage pour Éric, qui sans s’arrêter de parler vient très vite rejoindre mon intimité, je sens mon clitoris rouler sous leurs doigts…
Denis et Éric se regardent. Éric étant ravi de la petite surprise faite à notre ami. Mais discrètement et très complices, ils continuent leurs petits manèges, ils écartent un peu plus mes lèvres vaginales.
Je sens la chaleur de mon humidité qui se dégage de mon corps.
Puis un doigt arrive à glisser un peu plus précisément entre mes lèvres, mais lequel, pendant qu’un autre essaie de pénétrer également.
Puis à l’entrée de mon vagin, ils arrivent à entrer, je pense, leurs premières phalanges.
Je ne peux retenir une petite réaction ce qui provoque chez moi un mouvement brusque, sursautant sur mon fauteuil tout en poussant un cri que je n’arrive pas à
Le reste de l’assemblée se posant légitimement des questions en me regardant fixement, surtout Jean-Jacques qui me demande :
- Tout va bien, Caroline, tu as un problème ?
- Non, non ça va, juste un petit frisson !!!
C’est un drôle de frisson, en fait je suis en feu, j’ai envie d’être prise, maintenant…
Pendant, tout le repas et le spectacle, qui est merveilleux, je vais subir le même traitement, Éric et Denis s’amusant finalement beaucoup.
A la fin du spectacle, et après les photos avec les Bluebell Girls, nous nous quittons tous, Noëlle est ravie d’avoir fait notre connaissance et nous invite à une sortie avec le Club Porsche prévu fin octobre.
Nous devons adhérer au club réservé aux propriétaires de la marque, mais avec la justification du bon de commande nous pourrons y adhérer…
Je suis très réservée pour retrouver Noëlle, mais Jean-Jacques et Éric insistent.
Denis me recommande d’y aller :
- Vous n’allez pas le regretter, il y a un programme très intéressant avec des stages de pilotage sur le circuit d’Abbeville avec un ex pilote de Formule 1, enfin avec un super palmarès aux vingt-quatre heures du Mans…Sincèrement, Caroline, si vous le souhaitez, je vous inscris en appelant Jean-Marc….
- Bon, si vous insistez, et si cela fait plaisir à Noëlle, j’accepte…
Nous nous quittons, Noëlle me fait de nouveau la bise, j’ai une « nouvelle copine ».
Denis reste avec nous, comme prévu, il nous propose de nous raccompagner à l’hôtel avec un beau Porsche Cayenne.
Nous passons prendre un dernier verre au bar de l’hôtel.
Nous parlons de choses et d’autres, sans rien évoquer de la suite de la soirée.
Nous continuons de parler de la pluie et du beau temps en savourant une deuxième coupe de champagne.
Puis au cours de notre discussion, nous venons à parler de l’amour et la passion qu’ont certains hommes pour les collants. Je dois vous dire que je commençais à m’impatienter, car j’étais en feu.
- Mon mari les adore, j’en porte donc assez régulièrement, vous savez Denis…
- Ah oui, ça m’intéresse. Me répond celui-ci.
- Tu peux peut-être aller te changer pour faire plaisir à Denis…Chérie. Me demande Éric.
Donc enfin de l’action, je monte prendre une douche et me préparer pour accueillir ces « Messieurs ».
Une fois prête, je téléphone à Éric en lui demandant de monter avec une autre bouteille de champagne.
Je porte un ensemble bas, string, jarretelles avec une minijupe.
Je suis très sexy, assise sur le lit, quand ils arrivent, ils viennent me rejoindre, ayant mon mari Éric à côté de moi, notre ami d’un soir de l’autre.
Éric glisse sa main sur ma cuisse jusqu’à remonter un peu ma jupe pour laisser apparaître la dentelle du haut de mes bas.
Et là, il se passe une chose « improbable », dans son élan il propose à Denis de toucher… certainement pour le convaincre car il parait septique et intimidé devant lui.
Denis n’a même pas hésité un instant, je n’ai pas eu le temps de comprendre ce qu’il vient de lui proposer que je sens déjà la main de Denis remonter le long de ma cuisse, s’en suit un frisson qui me parcouru tout le corps.
Éric, semble fasciné de voir Denis poser sa main sur moi.
Je suis étonnée de le voir se déplacer sur le fauteuil d’à côté pour mieux nous observer car Denis n’a toujours pas ôté sa main et commence à la remonter pour mon plus grand plaisir.
J’avoue qu’à ce stade-là, je suis déjà très excitée et de croiser le regard d’Éric qui le parait tout autant rajoute encore plus de tension.
Je laisse donc Denis remonter sa main aussi haute qu’il le souhaite. Il finit par écarter mon string pour pouvoir me toucher, vous n’imaginez pas l’excitation, mais Éric mon gentil mari nous stoppe en prenant la parole…
Je ne sais pourquoi, mais je me dis que c’est déjà la fin, mais non :
- Caroline, pourquoi tu n’enlèverais pas ton string ?
Mon Éric me propose d’enlever mon string, trouvant certainement Denis trop timide à son gout.
Ravie, je me lève doucement, et décide d’enlever ma jupe et mon string en même temps, ne gardant plus que mes jarretelles et mes bas.
Au moment de m’asseoir à nouveau, Denis m’en empêche.
Il pose ses mains sur mes hanches me retourne et me pousse gentiment afin que je me retrouve les genoux sur le lit, il s’installe juste derrière moi pour profiter de la vue, pose à nouveau ses mains sur mes hanches et me tire vers lui pour que je me cambre.
Il commence alors à glisser un ou deux doigts en moi, ce que j’attends impatiemment, il s’en aperçoit d’ailleurs car je suis très, très humide, c’est d’autant plus excitant pour lui et pour moi, cette excitation associée à la « gêne » de me faire toucher par lui devant mon mari.
C’est une première pour Denis, il n’est pas habitué à « baiser » une femme devant son mari, et donc il est parfois un peu maladroit.
Je continue d’ailleurs à jouer du regard avec lui.
Éric finit enfin par ouvrir son pantalon pour sortir sa queue et se toucher pendant qu’il me regarde prendre du plaisir avec les doigts de « notre » ami en moi.
- Je trouve ça fantastique… que je t’offre à Denis, notre ami, ainsi…Ma chérie. Me déclare Éric.
- Oui, tu as raison, tu es mignon…Mon amour. Je lui réponds cela en le pensant vraiment.
L’ami en question ne sait plus vraiment où il est, je pense même qu’il en a oublié mon mari et ne pense qu’à une chose, me toucher, me donner du plaisir et me prendre.
De mon côté, je me dis qu’il est aussi temps de lâcher prise et de me laisser faire, et de toute façon s’il continu à me toucher comme ça, avec ses doigts trempés en moi, il va finir par me faire jouir, alors j’en profite encore quelques secondes, je me cambre et je pousse pour que ses doigts s’enfoncent en moi puis je me relève.
Je trouve que Denis ne semble pas à l’aise, et est long à bien me prendre.
Je me retourne, puis j’ouvre la ceinture puis la braguette de Denis, je sors son sexe et je découvre qu’il est tout autant excité que moi, terriblement tendu, d’un gros calibre et déjà humide lui aussi.
Denis fait ce qu’il veut de ma bouche. Ni une ni deux je me jette dessus, lève les yeux, regarde Éric, tout en essayant de la mettre toute entière dans ma bouche.
Éric devient fou, il a une grosse érection et se masturbe énergiquement, lorsqu’il me voit faire ça et encore plus quelques instants après lorsque Denis vient attr ma tête pour me diriger et littéralement prendre ma bouche, je ne le lâche pas des yeux, Éric en peut plus…idem pour moi, je peux presque jouir à ce moment-là.
Denis me ramène vers lui pour glisser sa langue dans ma bouche encore dégoulinante puis me dirige vers la queue d’Éric pour que je le suce à son tour et vient se mettre derrière moi pour me prendre, c’est clairement lui qui mène la danse et me permet de sucer mon propre mari !!!
Éric dans un état d’excitation déjà énorme est encore plus fou de me sentir me faire prendre pendant que son sexe est dans ma bouche, et plus je prends du plaisir avec Denis, plus je le suce avec délectation, d’ailleurs, j’aime tellement ça que je sors à Denis un :
- Vas-y prends moi fort…Plus fort !!!
Éric regarde Denis qui ne pense qu’à une seule chose : mon cul.
Et moi je pense à ma double pénétration…
Personnellement, quand je pense « plan à trois » avec deux hommes, je pense tout de suite à double pénétration, pas vous ?
Alors je ne me vois pas passer à côté de cette occasion, je prends donc l’initiative d’attr mon mari Éric pour le faire glisser sous moi afin de lui grimper dessus, plus qu’une alternative pour Denis, me prendre les fesses.
- Tu veux que je te pénètre le c…Euh l’anus ? Me demande Denis surpris.
- Je pense, que tu n’as pas le choix !!! Lui répond Éric hilare.
Sentir leurs deux sexes en moi…Remplie, un dans mon vagin et l’autre dans mon anus, j’adore… wow j’en veux encore, c’est une sensation de dingue, je fini par perdre tout contrôle et par prendre un des meilleurs pieds de toute ma vie. Mais à chaque double pénétration, je crois que c’est à chaque fois, ce que je déclare. J’adore, j’adore…
Me voir dans un tel état a stimule Éric et Denis car ils ont quasiment joui en même temps que moi et en cœur, parfaite synchronisation entre nous trois.
Voilà, nous allons revoir régulièrement Denis, déjà à la réception de notre Porsche, ensuite lors des différentes maintenances de notre voiture, et puis également pendant un weekend particulièrement chaud lors d’une manifestation automobile : Le Mans Classic 2010.
A chaque fois, c’est un plaisir pour Éric et moi de le retrouver. Vraiment.