Torpeur Et Canicule

Torpeur et canicule


Un petit texte non prévu que je viens de commettre aujourd'hui même. Comme j'en ai déjà plein en réserve je décide de le proposer sans attendre …

…

La chaleur avait atteint son paroxysme. Dehors c'était la fournaise, on ne pouvait pas rester au soleil plus de quelques secondes. Dans ces maison sans véritable mur la chaleur était supportable. Presque fraîche quand un mouvement d'air traversait les murs en bambou. Même la lumière traversait mais elle nous parvenait atténuée.

Dehors les cris des s nous rappelaient qu'il y avait une école juste à côté, j'étais pris par cette torpeur qui nous frappe au moment le plus chaud de la journée.

La fenêtre était refermée par une sorte de rideau de palme tressées qui laissait passer l'air, et nous permettait de regarder dehors sans être vu.

Duma était appuyé sur un poteau de bois qui supportait le toit, il regardait dehors, il n'y avait personne, on voyait une route de terre vide, même pas un chien. Tout le monde s'était réfugié à l'ombre, tout le monde s'était réfugié dans un endroit plus frais, pour autant que ce mot ai encore un sens dans cette fournaise.

Les cris des s ne résonnaient plus, eux aussi, pourtant plus résistants à la chaleur s'étaient réfugiés dans leurs classes respectives et en pleine journée c'était le silence, un silence qui n'était dérangé que par les murmures de postes de ratio lointains qui faisaient entendre chacun une musique différente, suivait un brouhaha de musiques confuses diffusées en sourdine qui avait l'effet d'une berceuse.

On somnolait, c'est avec des gestes lents que je préparais un thé glacé. Je savais parfaitement qu'il ne serait pas glacé, le réfrigérateur ne fournissait pas assez de glace pour cela mais il serait frais, presque froid … J'en remplissais deux grands verres et en tendais un à Duma. Il me remerciais par un sourire.

Lui aussi n'avait plus la force de parler.

Je sirotais lentement mon thé, en face de moi Duma en faisait de même. Il portait sur lui une large chemise colorée ouverte sur toute sa hauteur qui laissait apparaître une poitrine, un torse fort recouvert d'une forêt de poils durs et frisés. J'étais torse nue. Nous avions tous les deux un pantalon en toile légère, très large, c'était ce qu'il y avait de plus agréable à porter avec cette chaleur.

A chaque mouvement qu'il faisait, je le regardais. Je me demandais s'il portait ou pas un sous vêtement, on ne pouvait pas voir ses formes sous ce pantalon très large, c'est son torse qui me faisait de l'effet, c'est son torse que je regardais, lui regardait dehors, il avait l'air distrait et c'est lentement qu'il buvais sont thé frais.

Il était large d'épaules, musclé du torse et n'avait pas un poil de graisse sur le ventre. Mais à la place une superbe tablette de chocolat et c'était pas du chocolat blanc. J'avais envie de le croquer.

Quand Duma bougeait, je me demandais si cette forme que je voyais sous son pantalon était juste un effet de l'étoffe ou si c'était l'effet de sa virilité. Si jamais c'était ça il y aurait de quoi avoir peur … J'imaginais quelque de chose de lourd et de long qui se balançait.

Je restais là pensif pendant un long, un très long moment à me questionner sans lâcher du regard son entre jambe. Quand je relevais les yeux je croisais mon regard, il avait un sourire qui semblait complice, et un petit peu coquin. Ou alors c'est moi qui surinterprétais … J'étais sûr qu'il avait remarqué que c'est l'emplacement de son sexe que je regardais.

Il bougeait avec élégance, il en rajoutait ou bien c'était moi qui surinterprétais de nouveau. Et cette impression se confirmait, à chaque pas je devinais ou croyais deviner une forme longue qui devait être lourde et large. Large et longue qui devait se relever au moment ou il se retournait vers moi, il me souriait.


Je n'avais pas de sous vêtement moi non plus, mais rien ne se voyait. Un dispositif spécial, fermé avec une clé retenais toutes les réactions que je pourrais avoir. Confiné, renfermé, verrouillé et là je ne parle pas d'une quarantaine. Je parle d'un dispositif PK. Vous connaissez la marque PK ? C'est le numéro un de la ceinture de chasteté. Élégant, discret, confortable et terriblement efficace ... 'Si tu l'as, tu bandes pas' avait dit un jour un présentateur à la télé.

Je sentais mon cœur se serrer dans mon torse. Ma queue, elle se sentait serrée de plus en plus, et malgré sa grosse colère, elle poussait de toutes ses forces contre les barreaux de titane. C'était un combat désespéré, c'était pas vraiment inconfortable. Mais si j'avais retiré mon dispositif à ce moment, et je vous jure que je l'aurais fait si j'avais pu, j'aurais bandé comme un malade. Je sentais tout mon corps vibrer de désir.

Je ne pouvais pas bander là mais je pouvais me faire défoncer le cul, et là c'était mon cul qui parlait, il y avait comme une panique et un désir impérieux.

Je ne montrais rien de ce que j'éprouvais. Enfin c'est ce que je croyais.

Maintenant c'est lui qui me regardait. Je regardais dehors et de temps en temps jetais un regard vers lui. Au bout d'un moment ça en faisait plus aucun doute, il bandait et ça devait être quelque chose. Je parle là de sa queue. Cette forme qui poussait son pantalon par l'intérieure et lui donnait de plus en plus de relief.

Il me regardait d'un œil rieur, avec un petit sourire amusé. Je regardais son pantalon et là ce n'était plus une simple bosse. Il terminait son verre et s'approchait de moi. Il s'arrêtait à vingt centimètre de moi. Je sentais la chaleur de son corps, mais étrangement je n'en souffrais pas.

Il passait sa main sous sa chemise et se caressait le torse, ses poils étaient drus et frisés, étaient-ils doux. Je n'osais vérifié. Il m'impressionnait, il était plus grand et plus large que moi, et il était plus fort également, j'étais terriblement impressionné, attiré aussi bien sûr, mais intimidé également.


Il passait la main sur ma braguette, oh juste un doigt, il frôlait juste l'étoffe, j'ai rien senti.

– C'est tout l'effet que je te fais ?
– Je suis pas très expressif …

Il éclatait de rire, s'approchait encore un peu puis me disait juste '' Je peux ? ''. J'étais tétanisé et je ne bronchais pas . Il posait doucement sa main sur ma joue et se penchait vers moi, il m'embrassait.

J'ai cru que mon cœur allait éclater, la douceur de ses lèvres, la chaleur de sa langue, la force de sa main qui m'effleurait à peine … Quand je prenais conscience de ce qui se passait il avait replié un bras dans mon dos. Je refermais les miens autour de lui. Et la je sentais que, en effet, dans son pantalon c'était du lourd.

Mon cœur battait fort et je sentais le sien. J'aurais aimé y trouver un peu de calme mais j’étais encore plus heureux de sentir que pour lui aussi son cœur trahissait une forte émotion. Je l’enlaçais dans mes bras.

Les poils frisés qui tapissaient son torse et lui donnait cet aspect rustique étaient doux, sa peau était douce également. Je sentais ses mains fortes qui se promenaient sur mon corps, elles soulevaient et repoussaient ma chemise. Je penchais mon visage sur son torse et le couvrais de baiser, je repoussais avec délicatesse sa chemise, j'en profitais pour glisser quelques doigts sous son pantalon et lui caressais le haut des fesses, juste là ou se termine le dos.

Son dos était musclé, ses fesses étaient fermes. Il glissait ses mains sur mon pantalon et descendait jusqu'au haut de mes cuisses, dans mon dos, et me serrait très fort. Il glissait alors ses mains entre mes cuisses et me soulevait, il faisait une tête de plus que moi et là, je me retrouvais à la hauteur.

Là je vous jure je ne touchais plus le sol !

Je passais mes bras autour de son cou et l'embrassais partout ou je pouvais sur le visage, il en faisait de même. C'est sans avoir touché le sol que je me retrouvais sur le lit.
Il était devant moi, il avait un large sourire, je ne l'avais jamais vu aussi beau. La forme de son pénis se dessinait avec précision. Je passais mes deux mains sur son ventre, les faisais glisser jusqu'à sa ceinture et lui ouvrais le pantalon. Il était large et tombait sur le sol. Une queue de très belle taille se dressait alors juste devant mon visage.

Je ne vous dis pas comment j'étais impressionné, je lui caressais la queue, il était circoncis et avait un gland magnifique. J'y déposais un baiser puis le caressais avec la langue. Je levais les yeux vers lui, il avait la tête penché vers moi et me souriais, avec la main il me caressait doucement la joue. Je lui souriais puis prenais sa queue dans ma bouche.

Un instant j'avais eu peur que ce ne soit trop, finalement c'était gros, c'était énorme mais c'était ce qu'il fallait. Plus ! Là ça aurait été trop !

Il me fallait tout de même un bel effort pour me la prendre en entier dans la gorge et je n'y parvenais qu'avec un peu de travail. Longuement je passais ma langue sur son gland, il gémissait de plaisir. Puis son gland entrait lentement dans ma bouche, un peu plus profond à chaque fois que je rabaissais ma tête vers lui. Je passais alors la langue sur sa queue, j'insistais longuement juste sous son gland, juste à sa base puis j'appuyais de nouveau la tête. Il m'encourageait en me caressait l'arrière de la tête. Il ne poussait pas, il savait que ça ne rentrait pas toujours et que ce n'était pas en forçant que ça marchait le mieux.

Mais quand mon visage s'est écrasé sur son ventre je l'ai entendu gémir très fort. C'était pas facile, c'était pas à conseiller à un débutant mais ça me faisait plaisir aussi de voir que j'y arrivais, de sentir cette énorme bite s'enfoncer dans ma gorge. Je ne pouvais plus respirer et je ne gardais pas la position bien longtemps.

Je relevais la tête, il avait un très large sourire et un regard admiratif. Il passait une main sous mon bras, je me relevais, il m'embrassait avec passion en ouvrant mon pantalon. Je me retrouvais nu devant lui. Mon dispositif de chasteté tentais de se relever sans y parvenir, il était trop bien ajusté et malgré la pression, ça ne marche pas.

Il regardait ça l'air fasciné, il s'accroupissait devant moi et me caressait les couilles avec un petit sourire malicieux sur le côté des lèvre.

– Là oui, je comprends mieux. Je ne me serais jamais douté que tu …

Il se relevait me prenait dans ses bras et me glissait juste à l'oreille … '' Retourne toi je vais te prendre … ''.

Mon cœur a failli éclater, un instant j'ai paniqué, j'en avais terriblement envie mais j'ai paniqué. Mon cœur battait avec violence. J'avais le souffle court et je tremblais. Je me suis retourné, je me suis penché, je m'appuyais sur le lit. Tout le monde sait que c'est plus difficile de se prendre une grosse queue dans la bouche que dans le cul. Je ne m'inquiétais pas donc … Je paniquais !

Il était viril, il se penchait sur moi, écartait les jambes pour se faire plus petit et glissait sa queue entre mes jambes. Je la sentait qui me soulevait les couilles. Jusque là tout allait bien.

Il refermait ses bras sur moi. Il me donnait des baisers chaud et doux dans le cou, je sentais sa langue qui me chatouillait le lobe de l'oreille. Il gémissait. Jusque là tout allait bien.

Il me caressait tout le corps, partait des épaules continuait sur mon torse, mon ventre, me donnais un baiser, puis sa main continuait sur mes couilles. Jusque là tout allait bien.

Il me tripotait les couilles, s'amusait à secouer mon dispositif, la pression dans la cage devenait infernale, je respirais fort. Jusque là tout allait bien.

Puis il m'écrasait les couilles, il s'arrêtait à la limite de la douleur, juste avant je veux dire. Puis je sentais sa queue pousser contre mon anus qui résistait. Jusque là … ça allait encore …

Puis je sentais mon anus se dilater, il poussait fort mais pas comme une brute, quand mon anus cédait il poussait moins fort. Mais ça rentrait, je sentais son énorme sexe me pénétrer. Jusque là … ça pouvait encore aller …

Il me serrait enfin très fort contre lui, se redressait, je suivais le mouvement, je n'avais pas d'autre choix et je me relevais aussi donc. Jusque là … Oua la vache ! … mais ça allait encore.

On était presque en position debout, sa queue s'enfonçait toujours, très lentement, je sentais chaque millimètre s'enfoncer en moi et son ventre s'écrasait contre mes fesses. Jusque là …

Là c'était le pied, j'ai hurlé de plaisir. Je sais il y a une école, j'en suis désolé mais là, j'ai vraiment pas pu me retenir. Il s'est retiré un peu et est revenu à la charge, d'un mouvement rapide et violent. Il poussait ensuite, il écrasait son ventre contre mes fesses. Je ne vous dis pas mais là, j'ai dégusté. Je serrais les dents pour ne pas hurler mais je ne pouvais pas retenir un gémissement tremblant. On aurait pu croire que je pleurais.

En fait je jouissais. Je ne jutais pas, avec un truc pareil dans le cul on peut pas, enfin moi je peux pas. Mais je jouissais. J'avais l'impression d'éjaculer, cette sensation au niveau de l’urètre quand on éjacule mais rien ne coulait, rien ne sortait.

C'est à ce moment qu'il a commencé à me limer le cul, il y est allé en douceur, les mouvements étaient lents et amples, amples et fermes. Le plaisir montait en moi, il avait envahi tout le ventre et à ce moment je sentais mes épaules trembler puis les cuisses. C'est lui qui me retenait, je serais tombé autrement. Mes jambes ne me portaient plus.

Je sentais son souffle contre mon oreille et mon souffle se synchronisait. Nos gémissements aussi devenaient synchrones. Mes jambes m'avaient lâché maintenant c'était mes bras, je ne contrôlais plus mes gestes, mes bras s'agitaient dans le vide, tentaient de le retenir, de le tenir, tentaient je ne sais quoi.

Il n'était pas violent, la seule violence était la taille de sa queue. Aucune violence quand il me l'enfonçais dans le cul mais seulement une grande force contrôlée. Il était concentré sur mes réactions, de nous deux ça en faisait au moins un qui comprenait encore ce qui se passait.

Il n'a pas eu de mouvements violents au moment ou il a juté en moi. Ses muscles se sont alors un peu contractés, je me suis senti bien, tellement bien dans ses bras puis il s'est détendu. Tous ses muscles se sont détendus.

Il avait un sourire audible au moment ou il me laissait tomber, il me lâchait sans prévenir et je m'écroulais sur le lit. Je jutais alors abondement et je jouissais encore un moment, il s'était assis juste à coté de moi et me caressait doucement les reins.

Je récupérais longuement puis m'allongeait sur le dos. Toujours très amusé il me caressait les couilles, la pression avait baissé dans ma cage et je me sentais tout mou.

Il me regardait, son visage était magnifique, son corps toujours aussi désirable mais j'avais eu ma dose et pour le moment je n'en demandais pas plus. La musique qui provenait de tous les postes de radio était maintenant couverte par les cris des s. Je me disais que, eux avaient le droit de crier et que moi j'avais du me retenir pour ne pas les effrayer.

Mais là, je n'avais pas envie de crier, je n'avais plus envie de rien pour le moment. Je me sentais bien !



N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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