Martin, L'Étalon Fornicateur
La journée commençait mal pour Martin. Accoudés sur le rebord de la fenêtre, le jeune homme de 25ans fumait nerveusement sa cigarette en repensant à la dispute quil avait eut, 2 minutes plutôt avec Léa, sa petite amie. Rien alors ne semblait présager une telle situation lorsquelle avait débarqué dans son appartement une heure plutôt, pétillante, ses longs cheveux bruns remonté en un chignon et bien plus que désirable dans sa robe verte à fleur blanche qui moulait parfaitement ses formes généreuses. Léa était une grande brune à la poitrine généreuse quil avait rencontré deux mois auparavant lors dune visite à la cité universitaire ou résidait son jeune frère Michel, étudiant en pharmacie. Ce dernier lui avait présenté la jeune femme comme étant une étudiante en beaux art issus dune famille de bourgeois. Martin qui avait trouvé amusante lidée de senvoyer une fille à papa avait tout de suite fait une cour assidus à la belle brune qui na pas mit longtemps à lui cédé.
Martin se souvint comment ce matin, il avait sentit le désir naitre au creux de ses reins lorsquelle sétait serrée contre lui, les bras roulés autour de son coup et lavait embrassé langoureusement. Ses lèvres pulpeuses sétaient jointes frénétiquement aux siennes tandis que de ses mains, la jeune femme lui avait déboutonné le pantalon. Martin alors, avait laissé échappé un râle de plaisir lorsquelle avait empoigné fébrilement son membre déjà durcit par le désir. Délaissant ses lèvres, Léa sétait alors baissé vers le membre en érection de Martin, lavait empoigné fermement avant de lintroduire doucement dans bouche .Le jeune homme avait exalté de plaisir en sentant la chaleur de la bouche de Léa sucer son sexe, sa langue claquer fébrilement sur son gland les lèvres esquissé lentement les mouvements de va et viens. Martin, qui ny tenait plus, les yeux fermés avait alors déversé son fluide blanchâtre dans la bouche de sa belle qui avait émit un petit cri de surprise.
_ Je taime ! avait-elle murmuré.
Martin qui avait eut le pressentiment que les choses allait se compliquer avait détourné son regard pour remonter rapidement son pantalon.
_ Je taime !lui avait-elle répété encore une fois.
Martin qui avait feint la sourde oreille passa rapidement dans la cuisine. Elle ly avait suivit et lui avait reposé la question. Martin avait haussé les épaules ce qui lui avait alors attiré la colère de Léa qui après lavoir traité de tous les noms avait claqué la porte.
_ Elle savait sacrement bien sy prendre avec sa bouche !déclara Martin, elle va me manquer.
La sonnerie à la porte, extirpa Martin de ses pensées. En allant ouvrir, il se demandait qui cela pouvait bien être. Léa ? Peu être bien. En tout cas ce nétait pas une visite qui pouvait lui déplaire. Il ouvrit la porte. Non, ce nétait pas Léa, mais une superbe rousse qui devait apparemment avoir la vingtaine vêtu dun pantalon jean et un t-shirt. Elle avait de beaux yeux verts et semblait timide. Elle lui apprit quelle sappelait Aly et quelle était une copine de Léa.
_ Tiens donc !sexclama Martin de plus en plus intéressé par la jolie Aly. Elle est venu mais viens tout juste de repartir et je ne crois pas non plus quelle reviendra de si tot.
Aly se leva, Martin aussi. Elle lui tendit cordialement la main quand Martin lattira subitement à lui.
_ Vous pourrez tout aussi bien rester si vous le désirez, lui murmura til au creux de loreille.
Aly offusquée, se dégagea brutalement avant de lui asséner une belle gifle sur la joue. Martin qui sécarta rit à gorge déployé avant de la traiter de petite fille prude.
_ Vous nêtes quune petite frigide ! Allez sortez que je moccupe à dautres choses plus intéressante.
Aly se retourna, mal a laise et pris la direction de la porte pendant Martin qui retournait à la fenêtre ne lui adressa pas un regard. La jeune femme qui empoigna la poignée de la porte, se rétracta soudain. Combien de fois lavait-on traité de frigide, sainte nitouche ? Elle avait envie de se faire prendre dans tous les sens par ce bel homme qui lui plaisait et nallait pas hésiter. Après tout elle était majeure et navait rien à perdre. Aly referma la porte et se retourna vers Martin surpris. Elle ôta sous ses yeux médusés, son t-shirt quelle balança à lautre bout de la pièce, dégrafa son soutien gorge. Deux gros seins, fermes et bien tendu jaillirent soudain. Martin qui neut pas le temps de revenir de sa surprise observa la jeune femme déboutonner son jean et lôter délicatement, révélant sa petite culotte. A moitié nue, elle vient se planter devant Martin qui continuait à se demander sil ne rêvait pas. Où était donc passé la fille timide quil avait fait entrer dans son appartement tout à lheure.
_ Tu penses encore que je suis frigide ? lui demanda-t-elle audacieuse.
Martin secoua vivement la tête en signe de négation. Aly vint alors frotter ses seins généreux sur son torse. Le jeune homme fermant les yeux la laissait faire puis lui empoigna les seins avant de les presser vigoureusement. Aly renversa la tête, exalta de plaisir tandis que les lèvres de Martin descendaient le long de son coup, sur sa poitrine pour cueillir un sein quil lécha délicatement à coup de langue. Une main pressant vigouresement un sein, il suça lautre tandis que Aly enivrée de désir serrait ses jambes contre lui en le suppliant de continuer. Martin, excité par ces encouragements acheva denlever sa chemise que son pantalon suivit bientôt sur le sol. Etendue sur le sol, La jeune femme qui frottait ses jambes lune contre lautre, émit un cri dadmiration en voyant la majestuosité de son membre impérieux qui se dressait vers elle. Frémissante, elle écarta alors les jambes, prête à recevoir loutil de sa jouissante. Mais Martin faisant fit de cette invitation sinsinua entre ses jambes et les mains plaqués au dessus delle, lembrassa voluptueusement. Leurs bouches chaudes et humides sunissaient passionnément pendant que Martin achevait de faire glisser la culotte dAly. Le jardin secret de la jeune femme se révéla alors, palpitant et humide de désir. Martin fasciné par cette magnifique vue, se baissa, pencha la tête approchant la bouche et a vif coup de langue, lécha la cavité. Aly les doigts crispés dans cheveux de Martin, gémissait de plaisir en se tortillant. Martin, dont les reins brulait dun ardant désir quil devait impérativement combler souleva Aly quil posa sur la table basse du salon, là ou quelques minutes plus tôt il avait prise Léa. Retournant Aly a quartes pattes sur la table, Martin empoigna lune des jambes de la jeune femme, ce qui entrouvrit la cavité vaginale. Doucement, le jeune homme la pénétra, puis effectua de lent mouvement de va et viens. Martin, renversant la tête en arrière, les yeux clos laissa sexprimer le plaisir intense que lui procuraient ses vigoureux coups de reins.
_ Veux tu recommencer encore une fois ? lui demanda-t-il en lui caressant le visage.
La jeune femme hocha la tête et Martin comprit alors que Léa nallait pas trop lui manquer finalement.
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