10-A La Plage ...

Ça s'est passé à Berck dans les dunes de la plage naturiste. C'était mi-septembre, une journée où il avait fait chaud pour une fois et la plage était quasi déserte. J'allonge ma serviette entre deux dunes à l'abri des regards et je m'allonge nu sur le ventre. Dix minutes plus tard arrive un mec, il me salue et me demande s’il peut profiter lui aussi de ce petit coin tranquille ? Je relève la tête et lui répond « Il n’y a pas de souci les dunes sont à tout le monde » et je replonge mon nez dans mes bras croisé de façon à me faire un oreiller mais tout de même la tête tourné vers lui. Il est assez grand dans les un mètre quatre-vingt, bien bronzé, les cheveux très court grisonnant, les yeux d’un marron assez clair quasi noisette, le corps bien bronzé, un torse assez velu, pas très musclé mais pas bedonnant non plus, il a un ventre assez plat pour quelqu’un de son âge, son petit slip de bain laisse apparaitre une belle bosse et un petit cul bien pommé et ferme, de jambes bien dessinées, un beau mec (du moins à mon goût). Il étale sa serviette non loin de moi et retire son maillot tourné vers moi, enfin je découvre ce bel objet, rasé, des couilles brunes et lisses, une hampe qui fait bien dans les 10-12 centimètres recourbée sur les bourses et un petit prépuce laissant apparaître le bout du gland.

Je suis sur le ventre masquant mon érection. Il s’assoie et se passe de l’huile solaire. Il commence par le torse, puis les bras, les jambes et fini par la belle queue maintenant complètement déployer. Je fais celui qui ne regarde pas, mais l’envie est trop forte pour détourner les yeux. Ce moment de plaisir solitaire m'excite beaucoup. Il insiste un bon moment, son gland luit au soleil, bien décalotté, à peine plus gros que la hampe qui atteint maintenant un bon 18 centimètres, bien droite, bien épaisse (entre 5 et 5,5 de diamètre), les veines saillantes. Il s’allonge sur sa serviette face à moi les jambes repliées et largement écartées.

Je ne rate rien du spectacle. Appuyé sur les coudes, le buste relevé il se cajole, les couilles qui montent et descendent au rythme de ses caresses me dévoile un anus bien brun. Positionné à la perpendiculaire, la tête sous le bras. Je me tourne vers lui pour apprécier ce spectacle. Je fais mine de dormir mais il n’est pas dupe et sait que je mate. Le salaud m’excite et m’allume au maximum. « Et puis merde ! », je vois bien qu’il a envie de moi et j’ai envie de lui. Décidé et excité je me lâche. Tourné sur le dos, face à lui jambes écartées, je me branle aussi. Nous nous reluquons ainsi de longues minutes puis il se lève et vient étendre sa serviette le long de la mienne. Il se présente « Stéphane ! » et je lui réponds « Alberto ! ».

Debout devant moi, la queue tendue, j'en profite pour le happer avec gourmandise. Le goût de l’huile solaire c’est franchement désagréable ! Sans lâcher prise je fouille mon sac à la recherche d’un kleenex, je tente d’effacer ce goût avant de reprendre possession de cette pine. Je lui caresse les couilles bien rondes à la peau tendue. Il m’appuie sur la tête et donne le rythme.

Je suis à mon affaire quand je sens une présence derrière de moi. Un autre type c’est approché de nous et se caresse. Je tends la main vers cette nouvelle bite et l’attire vers moi. Je m’occupe à présent de ce nouveau jouet. Elle est plus courte, moins épaisse et poilue, le contraste est saisissant, par contre des poils sentent le parfum, c’est assez agréable. La main de notre invité surprise se joint à la mienne affairé sur la queue de Stéphane et nous le branlons à deux. Ce jeu a duré un bon moment passant d’une queue à l’autre. Les goûts se mélangent dans la bouche, c’est enivrant.

Stéphane, s’agenouille devant moi et me pompe pendant que j’aspire littéralement l’autre tout en fouillant sa rondelle du doigt. Paul (prénom inventé car je n’ai pas su comment il s’appelait), m’interrompt et fouille dans son sac, il en ressort quelques capotes, m’en tend une, et un tube de gel.
L’affaire se précise et ça m’excite beaucoup. Je tartine le cul de Paul et j’enfile la capote le temps qu’il se positionne en levrette. Stéphane se met devant, lui offre sa queue et penché sur son dos, il lui écarte les fesses m’offrant se cul prêt pour une visite. Le tableau est merveilleux. J’enfile Paul pendant qu’il pompe Stéphane. Je suis obligé de me refreiner plus d’une fois car je suis prêt à exploser. Je stoppe un instant, mais sans ressortir et j’enfile une capote à Stéphane. Je me badigeonne de gel et je l’invite à prendre possession de ma petite rondelle. J’ai beau être très excité, j’ai tout de même du mal à le recevoir en entier. Ce mec est quand même bien monté. Il finit avec beaucoup de douceur et attention par la rentrer complètement. Stéphane donne le rythme et nous subissons avec gourmandise ses assauts variant du tendre et doux au plus sec et vigoureux. Je sens que je suis prêt à exploser, j’agrippe les hanches de Paul et je l’encule sans ménagement faisant claquer mon cul contre le ventre de mon pourfendeur. Les deux sensations mêlées me font monter le plaisir, dans un râle je rempli ma capote. Stéphane se retire pour jouir sur mon cul. Toujours planté dans le cul de Paul je le branle et il se répand sur le sable.

Les mouchoirs en papier effacent notre moment de plaisir et Paul nous quitte comme il était venu. Stéphane et moi sommes allés nous baigner dans la mer, ce qui nous a permis de discuter et faire connaissance. Il est bi comme moi, marié, 51 ans et père de deux s. M’avoue qu’il m’avait vu monter dans les dunes et qu’il tenterait bien sa chance avec moi (idée géniale qu’il a eu) et nous continuons de discuter entrecoupé de quelques jeux anodins et petits attouchements (sans trop insister pour ne pas ressortir la queue bandante). Nous profitons encore quelques instant de l’eau, c’est si bon de nager nu et nous voilà revenu sur nos serviettes nous faire dorer au soleil.

On discute côte à côte, on se caresse du bout des doigts durant une bonne heure, se retournant de temps en temps pour parfaire notre bronzage.
Nous sommes tous les deux sur le ventre et je fais glisser mon doigt le long de sa raie, je masse de temps à autre sa rondelle et je la sens petit à petit s’ouvrir. Tourné vers moi, il me fait un clin d’œil. Il ne m’en fallait pas plus pour me décider. Je me retourne sur le dos, il en fait tout autant et se penche sur moi pour me piper. J’attire son cul vers moi et lape sa rondelle, j’alterne entre ses couilles et son cul, quelques fois ma langue remplace mes doigts. Quand il fut bien dilaté, je cherche dans mon sac une capote et Stéphane se met en levrette. A quatre pattes derrière lui, je continue de lécher sa rosette qui s’ouvre de plus en plus. Je plonge ma langue et la ressort à plusieurs reprises. Je suis très excité, je déploie ma capote et je l’encule d’un trait. Mon ventre claque sur son cul à chaque va et vient, il m’encourage à lui défoncer le cul et moi de mon côté j’alterne entre des coups de reins rapides et secs, et d’autre plus lents et doux pour faire durer le plaisir. Deux mecs sur le haut des dunes nous regardent et se branlent. Ces spectateurs qui nous matent et le spectacle de son cul bronzé que je pilonne rend l’instant très jouissif. Stéphane halète de bonheur, j’empoigne sa queue et je le branle. Je me plaque bien au fond et j’accélère mes mouvements de poignets, il inonde sa serviette en jets puissants de sa crème blanche. Il se retourne, s’assoie face à moi, retire ma capote et me branle au-dessus de lui et je crache ma semence sur son torse. Je suis exténué et je m’assoie près de lui. Nos visiteurs repartent, satisfait de notre prestation. On souffle un peu allongé côte à côte, puis une petite toilette intime, on replie nos affaires, on se salue et chacun de son côté nous sommes reparti comme nous étions venu.

C’est ainsi que c’est terminé un très bel après-midi de mi-septembre 2009.

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