Ma Soeur Me Rend Visite

Ding-dong !
Le carillon du portail retentit.
C’est ma sœur Claude.
Je la savais en visite chez ma mère aussi avais-je disposé trois caméras dans la chambre en vue de sa visite. Je lui fais signe que je viens lui ouvrir et allume les trois caméras en passant.
J’ouvre le portail et laisse passer ma sœur. Un coup d’œil à droite. Un coup d’œil à gauche. Personne en vue. Je ferme le portail et me retourne vers Claudie. Je l’enlace et l’embrasse sur la bouche. Ma sœur répond à mon baiser.
- Tu ne perds pas de temps ! me dit-elle.
- Un an sans te baiser et tu me reproches de te sauter dessus ?!!!
Je la laisse passer devant ce qui me permet de la mater : une robe légère, une petite culotte que j’aperçois par transparence et un soutien-gorge. Ca ne devrait pas opposer trop de résistance.
- Tu n’as pas maigri Claudie !
- Ca te pose un problème ? je peux repartir.
- Ne te fâche pas, tu me plais comme ça.
C’est surtout le fait qu’elle soit ma sœur qui m’excite car sinon je ne l’aurais pas abordée dans la rue : grosse, 67 ans… non, elle ne casse rien. Ce qui me plait c’est de baiser ma sœur, une bonne relation ueuse, et de faire cocu ma femme et mon beau-frère en même temps.
Toues ces réflexions nous amènent à la porte de la chambre où j’introduis ma sœur.
Debout à côté du lit nous nous enlaçons pour un très long, très profond et très humide baiser. J’aspire sa langue, j’explore sa bouche, je me frotte contre elle, je lui pelote les fesses.
- Allonge-toi ! lui dis-je
Ma sœur s’exécute. Je me couche contre elle. Appuyé sur un coude je la regarde. Je retrousse doucement sa robe. Je masse sa chatte par-dessus son slip. Elle écarte les cuisses en gémissant. Je passe sous la culotte et sens ses poils pubiens.
Je la dispute :
- Je t’avais dit de t’épiler !
- Je le ferai. Promis !
- Tu n’auras pas à le faire.
Je me relève et quitte la chambre.

Je réapparais avec tout le nécessaire.
- Relève ta robe !
Je lui ôte le slip.
- Soulève tes fesses que je glisse la serviette.
- …
- Ecarte les cuisses !
Je lui humidifie la chatte et l’enduis copieusement de crème dépilatoire.
- Là ! on a 5 minutes devant nous.
Je me couche contre elle pour l’embrasser à nouveau. En même temps je déboutonne sa robe que j’écarte pour découvrir son ventre et sa poitrine. Sans cesser de l’embrasser, je lui caresse le ventre et remonte pour dégager ses seins du soutien-gorge.
- Hummm, tu as des seins superbes Claudie.
Je me penche pour les lui téter arrachant à ma sœur des gémissements sans équivoque.
Je lui embrasse les seins, je lui embrasse le ventre, je l’embrasse goulument sur la bouche en lui pelotant les seins. Je caresse son ventre rebondi.
Je me redresse, ôte ma chemise, mon short, mon slip.
Ma sœur lorgne avec envie ma queue dressée et mes couilles.
Tandis qu’agenouillé à côté d’elle je balance mes vêtement sur une chaise, je sens sa main prendre possession de mes couilles et les masser. Je me rapproche de son visage. Claudie ne se fait pas prier et enfourne ma queue dans sa bouche gourmande. Ah la salope ! Elle suce divinement. Sa salive coule aux commissures de ses joues. Ma bite va et vient dans sa bouche. Je lui caresse les cheveux…
C’est le moment que choisit le minuteur pour nous rappeler que les 5 minutes sont passées.
Armé de la spatule, je « décape » sa minette.
Un petit nettoyage au gant de toilette.
- Super ! tu n’as plus un poil ma Claudie.
- Laisse-moi voir !... Ca me fait tout drôle.
- Je vais inaugurer ta nouvelle minette. Je vais te la bouffer.
Aussitôt j’enfouis mon visage entre les cuisses de ma sœur. Hummm, pas un poil pour venir gâcher le plaisir. La vulve, les lèvres, le clito, le trou du cul, tout y passe.
- Hummm on croirait lécher une gamine !
- Cochon ! pervers !
Je me redresse et rampe sur ma sœur.
- Tu ne crois pas si bien dire ma Claudie. Je vais te baiser.
Ma sœur joue le jeu :
- Non Danou, je suis trop jeune !
- Hummm oui, ma petite sœur chérie, je vais te dépuceler !
- Non, non, !!!
Ma queue l’a pénétrée. Je lime dans le vagin de ma sœur. Je la touche partout. L’excitation monte de plus en plus et nous en sommes aux propos salaces.
Ma sœur se cambre, se cabre, crie, m’insulte, m’implore d’arrêter.
Au lieu de ça, je lui crache tout mon sperme dans la chatte avant de m’effondrer à côté d’elle.
- Ho mon Danou ! c’est encore mieux qu’un marathon. Regarde comme je suis en nage… et toi !
- Pendant que je récupère, tu pourrais t’occuper de ton petit frère ?...
Trop heureuse de l’invitation Claudie se penche sur moi et…

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