Mon Premier Plan Uro
Il y a trois ans, ou plus, jai rencontré L. un jeune dAlger, il est musicien. On se connaissait de vue, mais sans plus. Un jour, alors que jattendais un taxi, il sarrêta à mon niveau avec sa voiture et proposa de maccompagner là où jallais. On a discuté un peu, des banalités. Il est petit de taille, teint clair, cheveux noirs, mignon. Le soir en rentrant à la maison, je me connecte sur facebook. Je tape son nom et je le retrouve, je lui envoie une demande dajout quil accepte rapidement. Sen suit alors des conversations quasi quotidiennes, surtout le soir. Un soir, je tente le tout pour le tout. Quand il me demanda si jallais bien, je lui dis oui sauf que jai chaud. Il répond : « Lol, où ? » Je rétorque : « Devine
» Sa réponse me décida de me lancer : « Entre les cuisses ? » Pour toute réponse, je lui envoie un émoticône représentant un baiser suivi de « là où ça fait du bien ! » Et jenchaîne : « ça te fait du bien où ? » Il tard à répondre, jai cru que ça a dû le vexer
Quand je my attendais le moins, il menvoie un message : « Sur mon zeb ! » Là jai compris que cétait loccasion ou jamais. Je lui proposais de venir à la maison (jétais seul) pour lui déposer un baiser sur son zeb.
Une heure après, il mappelle pour que je lui ouvre la porte. On se dirige vers ma chambre. Lumière tamisée. On sassoit sur le bord du lit, ne sachant quoi faire. Après ce léger moment de trouble et de gêne, il me prit la main et la posa sur son entrejambe. Je le caresse doucement. Japproche mon visage du sien. On ferme tous les deux les yeux, laissant nos lèvres faire connaissance. Un baiser doux, chaud. On sembrasse, il me mordille les lèvres, sa langue pénètre ma bouche et provoque la mienne. Cest chaud et tendre à la fois. Ces mains me caresse le torse, ses doigts parcourent mon corps, sarrêtent sur mes tétons, les caressent, les titillent avant de les pincer. Cest mon point faible. Je mallonge sur le lit, il sallonge sur moi et membrasse.
L. se relève, continue de me déshabiller avant denlever son pantalon. Il baisse son caleçon. Sa queue, petite (la taille mimporte peu), est toute raide. Je me mets sur les coudes, il sapproche de moi, jouvre ma bouche et il pousse dedans sa bite. MMMMMMM, elle est bonne. JE mapplique à lui prodiguer une pipe quil noubliera pas de sitôt. Je suce, je lèche, tout passe, le gland, la verge, les couilles. Vu la taille de son zeb, faire des gorges profondes est un jeu d. Cela lexcite énormément. Il marrête car le plaisir est à son paroxysme et il risque de jouir. Il me demande de mettre en levrette. Ses mains parcourent mes fesses, sattardent sur ma raie. Il écarte mes fesses et je sens sa langue chatouiller mon trou. Je me trémousse. Sa langue rapide parcoure mon fondement, le mouille. Il me pénètre avec la pointe de sa langue. Je sens mon trou de balle frétiller, souvrir sous les assauts répétés de sa pointe. Il sarrête un petit moment, et un doigt remplace sa langue, il me le pénètre dun coup, en entier. Juste le temps de mhabi à cette intrusion, et il entame un va et vient énergique. Je gémis, je me laisse aller au plaisir qui menvahit. Il retire son doigt de mon fion, me demande de mallonger sur le dos et de lever et décarter au maximum les jambes. A peine en position, que sa bite menvahit. Malgré sa taille, je la sens bouger en moi. Je suis inondé de chaleur et de plaisir. Il se laisse aller sur moi, membrasse et continue à me limer profondément, rapidement. Comme il me baisait sans protection, je lui demandais de ne pas jouir en moi.
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