Maria & Lydie
Jusquà présent je nai jamais pu faire lamour avec elle en pleine lumière, seulement le soir au lit, toute lumière éteinte. Javance à tâtons pour la caresser, chercher sa chatte. Elle naccepte que difficilement ma bouche sur son sexe, comme si cétait une corvée. Pourtant elle sait bien jouir sans entrave.
Je la vois des fois nue sous la douche quand elle oublie, rarement de fermer la porte à clé. Elle est très attirante, au point que je suis obligé de me consoler comme je peux avec ma main. Elle ma surpris un jour quand je me branlais. Maria a fait un véritable scandale
- Cnest pas moral de faire ce que tu fais.
- Cnest pas normal de cacher ton corps à ton mari.
- Cest pas pareil.
- Je te préviens, dès la première occasion de baiser une vraie femme qui saura me faire jouir sans se cacher je nhésiterais pas.
Notre dispute sarrête vite. En réalité je nai pas envie de la tromper. Pendant lamour, une fois je lui ai dit que jaimerais la voir avec une autre fille pour que nous baisions en trio. Elle refusait carrément, jusquau jour où, loccasion arrive sous la forme dune autre femme, Lydie, la fille de son beau père.
Une belle femme de son âge, belle comme une poupée, dévergondée daprès ses paroles : elle aime se branler, se donner à plusieurs hommes à la fois. Cest-ce que jentends pendant un bavardage entre les deux femmes quand je travaille dans mon bureau. Sans en avoir lair je remets une conversation languissante sur ce sujet pendant le repas du soir. Maria voudrait me faire taire, pendant que Lydie sépanche en donnant ses préférences sexuelles. Elle fait surtout léloge du triolisme.
Le soir, excité, je baise Maria en revenant sur le sujet, je la voudrais avec sa « demi sur » dans le même lit. Je la tanne tellement que sur un coup de colère elle allume la lumière. Enfin je la vois couchée, près de moi, nue. Le courroux la rend plus belle, plus femme. Je vois enfin ses seins magnifiques, son ventre plat.
Je prends pas mal de cyprine pour la mettre sur le rectum. Il me semble quelle essaie douvrir son cul quand je pose ma bite à lentrée étroite.
- Je suis totalement détendue, encules moi.
- Cest vrai tu le veux ?
- Oui.
Je force quand même pour entrer mon gland. Elle respire fort de douleur certainement. Alors je vais très lentement pour entrer. Quand ma colonne entière est entrée, je reste immobile.
Cest elle qui commence à remuer en gémissant. Pour elle il semble que ce soit bon, je ne parle pas de moi qui suis heureux de lenculer. Cest bon ce cul qui souvre pour la première fois. Elle trouve le moyen de rentre la sodomie encore meilleure en se servant des muscles de son sphincter. Soudain, sans que je naie bougé en elle, je la sens jouir en gémissant plus fort
- Encore.
- Je ne tai rein fait.
- Si tu mencules.
Je vais et viens enfin dans ses boyaux. Pour elle, elle suit les mouvements comme quand nous baisons. Je ne sais pas combien de fois de suite elle a jouit. Toujours est-il quelle me demande de baiser en trio le lendemain.
- Je le lui demanderai demain matin.
- Pourquoi le matin ?
- Si elle dit oui, que je me prépare.
Bof, les femmes sont bizarres. Quels préparatifs pour un triolisme ? Le soir quand je rentre du travail les deux filles sont encore en grande discussion.
Je ne veux pas me mêler à leurs disputes, je disparais.
Après le repas elles se lèvent ensemble pour débarrasser la table. Quand elles reviennent, elles son pratiquement nues.
- Nous allons baiser tous les trois, tu viens de suite ou nous nous baisons entre femmes avant.
- Allez devant, je vous rejoins.
Je suis scotché sur ma chaise : elles vont baiser ensemble, ma modeste femme et lautre dévergondée. Ce nest pas une tuile, cest la grande illusion qui se réalise. Je vais dans la chambre pour les voir nues, les lèvres collées dans un baiser profond. Ainsi ma femme est en avance sur moi. Je voulais baiser en trio, elle refusait et la voilà dans les bras dune autre femme.
Je vais presque les déranger quand je viens sur le lit à leur coté, moi aussi nu, la queue bandée. Elles se branlent comme si elle faisait ça depuis toujours, alors que Maria ne la jamais fait, devant moi en tout cas. Elles arrivent à jouir toutes les deux, avec un temps de retard pour Lydie.
Enfin à moi de jouer. Les deux filles commencent par me caresser à peu près partout Ma bite va exploser si elles continuent ainsi. Sans que je demande quoi que ce soit, leurs bouches viennent sur la pine. Elles se la disputent un moment avant de la partager. Lydie a droit au gland pendant que Maria me mordille la colonne et les couilles. Elle va même à chercher mon cul pour y entrer un doigt quelle fait aller et venir.
Je ne tiens pas longtemps : jéjacule dans la bouche de Lydie qui accepte mon sperme au point de le partager avec ma femme qui refusait jusquà présent. Elle sest drôlement dessalée.
Je ne vaux plus rien pour un bout de temps. Pourtant elles sentendent bien pour me faire bander encore. Ce nest pas un doigt mais deux qui sont entre mes fesses, moi qui ai horreur de ça. Lydie soccupe bien de ma queue, je bande vite. Cest au tour de Maria de venir prendre ma bite dans la bouche. Elle ne me suce pas vraiment bien. Cest suffisant pour la suite. Elle vient sur mi, sinstalle facilement les ambes écartées sur la queue.
Quand Lydie sassoit sur mon visage, je ne vois plus rien, jai des sensations totalement différentes avec un con sur la bouche. Et quel con, madame, un con de course, un qui sait jouir de partout. Ma langue suffit tout juste. Je lèche dabord selon sa position, le petit trou, le vagin et le clitoris.
Je sens les deux corps féminins savancer lun vers lautre. Certainement elles sembrassent et se caresse les poitrines. Je ne jouis pas : je viens de le faine, elles en profitent pour changer dendroit. Jhérite du sexe de Lydie sur la queue pendant qua Maria est assise sur ma bouche. Pour elle je sais où elle aime que je la lèche. Jessaie de changer un peu en mettant ma langue sur lanus. Elle me refusant cette privauté : elle laccepte maintenant avec plaisir puisquelle en jouit.
Ma queue est entourée par les parois musclées du vagin de Lydie. Elle aime être dans ce genre de situation. En plus elle possède bien lart de se servir des mouvements microscopiques de son sexe. Je sens également un doigt qui à cadence régulière vient me tripoter à peine la queue : elle se branle.
Je pensais juste faire quelques allers retour dans deux sexes. Je ne sers quau plaisir de ces dames, je suis leur poupée gonflable. Je ne demande pas mieux.
Je lâche mon sperme dans le con de Lydie. Elle en jouit encore. Décidément elle est en chaleur, comme Maria la prude, ou lex prude, puisquelle demande un 69 à Lydie qui accepte. Toute chasteté perdue, voilà ma femme qui jouit à la lesbienne, à la recherche de plaisir. Ce nest pas une position normale puisquelles se servent à peine des langues, ce sont les doigts qui servent à branler, baiser ou enculer ; jentends leur cris de joie et de plaisirs pendant les orgasmes quelles prennent.
Cest finalement trop fort pur moi. Je bande encore une fois. Je sais que je ne débanderais pas de si tôt avec ces deux nymphomanes.
- Jai envie de vous baiser à la fois.
- Comment ?
- Mettez vous lune sur lautre, les cons très près.
Elles obéissent facilement, su moment quil sagit de baiser. Je vois leur seins écraser ceux de lautre, leur ventre bien collés, leur clitoris apparents. Joublie leur con, je vais essayer de passer ma queue sur les clitoris : jai la place pour glisser entre les deux. Elles ont compris le but de mon désir. Elles sont réellement collées par ces petits bouts de chair.
Je pose ma queue sur les deux boutons. Jappuie pour les entendre aussitôt gémir. Pour moi cest presque aussi bon que de les baiser. Elles sont secouées par les orgasmes. Je continue longuement même si elles me demandent de les baiser normalement.
Je vais me les faire lune après lautre. Je tourne Lydie qui écarte bien ses jambes, jentre dans son val denfer en y allant et ressortant. Elle gémit pendant que Maria lembrasse sur la bouche. Elle jouit longuement.
Je change de cavalière. Je baise ma femme, ce qui est logique. Elle passe ses jambes autour de moi, comme elle le fait parfois. Cest une sarabande qui commence. Elle cri à chaque fois quelle jouit, toujours embrassée par Lydie. Cest dans son ventre que je jouis une dernière fois de la nuit, quand laube apparait. La suite sans doute demain si je suis encore en forme, ce qui métonnerais beaucoup, mais avec Lydie et Maria, rien nest moins sur.
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