A La Bibliothèque
ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS
À LA BIBLIOTHÈQUE
Je commençais à me demander pourquoi javais choisi cette université. Le seul moyen daller sur Internet, nous avait annoncé le recteur, cest de passer par les postes qui sont à la bibliothèque ! À quoi avait-il servi à mon beau-père de moffrir un bel ordinateur portable ? Jai hésité quelques jours puis je me suis décidé à aller à la bibliothèque de luniversité. Cétait impressionnant, toutes ces machines bien alignées qui nattendaient plus que nous. Je me suis assise à lun des postes et jai consulté mon compte mail. Javais quelques messages damies et damis qui regrettaient que je les eusse quittés. Après avoir répondu, jai surfé sur le net puis je suis retournée à ma chambre. Javait trouvé une chambre chez une veuve qui moffrait lhébergement et en retour, je lui faisais ses courses et ça mallait très bien à côté dautres étudiants qui devaient payer un loyer.
Je suis retourné à la bibliothèque quelques jours plus tard et jai à nouveau vérifié mon courrier et surfé quand jai entendu deux filles qui séchangeaient ladresse dun site
intéressant. Je me suis mêlée à leur conversation et jai noté ladresse du site et je me suis précipitée dessus pour découvrir que cétait un site déchange où visiblement les correspondants aiment bien se montrer nus. Je navais même pas remarqué que les PC avaient une caméra dans lécran et quand jai cliqué, une petite lampe rouge sest allumée au dessus de lécran et mon visage est apparu dans une petite fenêtre et la fille à lautre bout ma dit quelle me voyait et nous avons continué à discuter puis elle ma demandé si je voulais voir ses seins et sans attendre ma réponse, elle a soulevé son T-shirt et jai vu sa poitrine et javais commencé à soulever le mien que jai entendu une voix qui me disait déteindre le PC et de la suivre chez le recteur.
Je ne savais même pas qui cétait.
Du coup, je ne suis pas retourné dans cette section de la bibliothèque et je me suis contentée daller consulter des livres. Jai aussi suivi quelques cours et puis je suis rentrée chez ma mamie. Elle était si gentille avec moi que je me confiais volontiers à elle et que je lui racontais ma vie en lui parlant de moi si bien quelle a fini par me parler delle et un soir elle ma dit quelle allait me décevoir si elle mapprenait que le seul métier quelle eut jamais fait était la prostitution.
Javais du mal à admettre quelle qui était si fragile ait pu vivre de ça et elle ma demandé si je lui en voulais de mavoir révélé ça. Que pouvais-je y faire ? Elle sest levée de sa chaise et elle est allée chercher un album de photo quelle ma fait découvrir et qui résumait sa vie. Je tournais les pages sur ses photos et elle me disait que jétais intelligente et que je devais étudier pour avoir un bon métier et elle qui navait jamais travaillé à lécole pensait avoir été une bonne putain qui sétait toujours ef de rendre heureux ses clients.
Dans cet album, elle avait été une gamine heureuse avec ses parents, puis une jolie jeune fille, puis une jolie femme de cinquante ans et encore un peu plus vieille. La dernière photo la montrait devant un car au départ dun voyage pour les retraités. Ma logeuse me regardait, amusée puis elle ma demandé si je voulais la voir pendant quelle travaillait et sans réfléchir, jai accepté.
Elle ma expliqué quelle avait des favoris mais quils ne la choisissaient pas toujours, que les hommes sont volages, quils font lamour tout en imaginant quils donnent du plaisir à leur partenaire. Elle a ajouté que quoiquils laient prise dans le vagin, dans le derrière ou dans la bouche, ça lui importait peu. Ce que voulait sa patronne était faire rentrer largent puis elle ma avoué quelle avait un béguin mais que celui-ci ne la regardait pas, et quune des filles lavait consolée mais cétait venu aux oreilles de la patronne et quelle avait eu droit à une raclée. Elle a ajouté que ce nétait pas toujours drôle mais quelle y avait passé de bons moments puis comme tous les clients la connaissaient un peu trop, elle avait dû changer détablissement.
Cétait plus chic mais certains clients venaient avec leur femme et elle devaient les satisfaire pendant que les hommes les regardaient. Elle ma regardé dans les yeux puis elle ma dit quelle était fatiguée et quelle devait aller se coucher mais je lai suppliée de continuer et elle ma dit quelle men raconterai plus le lendemain soir.
Le lendemain, javais hâte de rentrer de luniversité. Javais acheté des pâtisseries en rentrant. Nous avons dîné. La femme ma demandé où elle sen était arrêtée et je lui ai dit quelle était folle dune femme. Folle amoureuse, a-t-elle continué ! « Cest la seule fois où jai vraiment été amoureuse, a-t-elle ajouté ! Elle était venue plusieurs fois avec son mari puis elle est venue seule et je voyais bien que les autres filles étaient jalouses de moi. Savaient-elles que le plaisir de cette femme était de me faire mal ? Elle me martyrisait et elle me faisait pleurer. Elle plantait ses ongles dans mes seins et elle menfonçait la main dans le vagin, entièrement. Elle apportait une corde et elle mattachait les poignets aux chevilles et elle me fouettait. Elle me fouettait entre les cuisses, sur la vulve et elle me fouettait les seins et après elle frottait sa chatte contre moi. Elle me laissait de bons pourboires, ce qui était interdit car tout devait passer à la caisse et on nous redistribuait largent quaprès, une fois par mois et selon nos mérites et le nombre de nos clients. A chaque fois, à la fin, elle me libérait et elle me serrait dans ses bras et elle membrassait en pleurant et en me disant quelle était désolée de me traiter comme ça et petit à petit, je suis tombée amoureuse de cette femme ! »
Ma logeuse me regardait et elle se demandait si jétais capable dimaginer quon puisse être amoureuse de celle qui vous bat. Elle a rouvert lalbum de la veille et elle en a sorti une photo en me disant que cétait la femme qui lavait prise en posant son appareil sur le meuble.
Elle avait appris assez dallemand pour comprendre ce quils se disait et pour le principal, la femme disait à son amant quil devait faire ce quil devait et pas plus. Un troisième homme est venu et il a, lui aussi, sodomisé la femme et un quatrième a suivi et un cinquième. Elle se demandait combien il y en avait eu avant aussi. Finalement le mari est arrivé et il était muni dun fouet et tout en traitant sa femme de putain, il la fouettée et elle sest mise à hurler et à pleurer mais ma logeuse ne pouvait rien faire et elle est restée cachée dans son rideau. Quand il sest arrêté de la fouetter, le mari lui a dit quelle nétait quune ordure et quelle navait quà se laver et il a disparu. Ma logeuse est sortie des plis de son rideau et elle sest précipité à son aide. La pauvre femme ne pouvait presque plus marcher tant elle avait mal et ma logeuse la aidée à se laver puis a sallonger sur le lit et elle était tellement amoureuse delle quelle lui a proposé de senfuir avec elle. La femme lui avait répondu que son mari la retrouverait toujours. Quand ma logeuse est sortie du château, le minibus était parti et elle a dû faire tout le chemin à pied pour rentrer au bordel. Elle na plus jamais revue la femme et elle est allée alors de bas-fond en bas-fond, en maison dabattage à Hambourg puis elle sest retrouvée en Hollande.
Après la Hollande elle avait travaillé en free-lance au bord dun bois ou sur un parking dautoroute mais cétait trop risqué. Elle y avait rencontré des filles dont elle a commencé à soccuper et à résoudre les problèmes, des petites jeunes qui commençaient, des femmes jetées à la rue par leur ex-mari et qui avaient besoin de manger mais quand elle a risqué de se faire arrêter pour proxénétisme, elle a tout abandonné. Elle a ajouté que malgré tout ça, elle avait quand même réussi à mettre pas mal dargent de côté, de quoi se consti une rente, dacheter ce logement. Ma logeuse sest tue et elle a conclu que cétait pour ça que je devais faire de bonnes études. Elle a laissé les albums sur la table et elle est partie se coucher. Je navais rien noté la veille mais cette fois-ci jai passé presque toute la nuit à noter sur un cahier tout ce que la femme mavait raconté. Tout ce que je comprenais cest que si mon père rapportait trente mille francs chaque mois à la maison, ma logeuse en avait parfois rapporté dix ou vingt fois plus et par semaine. A me demander si cétait bien utile pour une femme de faire des études !
Le lendemain, je nai pas cessé de lui poser des questions. Nous étions le dimanche et nous allions nous promener sil faisait beau. Nous sommes allées au parc et nous avons fini par nous asseoir sur un banc. « Tu vois cette femme, ma dit ma logeuse en posant sa main sur mon bras, je suis sûre quelle se prostitue ! » Cétait une jolie blonde, à peine maquillée et joliment habillée. Ma logeuse ma demandé de bien regarder et je lui ai demandé si elle souhaitait que je me prostitue moi aussi mais elle ma dit de bien regarder et un peu plus tard, un homme sest arrêté près de la femme et ils ont échangé quelques mots et la femme sest levée. Ma logeuse ma dit de me lever du banc et de venir avec elle, quon allait suivre le couple. Nous les avons suivis deux rues plus loin. Le couple est entré dans un immeuble abandonné à moitié démoli et jai pu voir que le type donnait de largent à la femme qui sest agenouillée devant lui puis lui a ouvert le pantalon et lui a sorti la bite et elle lui a sucée. Cétait impressionnant. La femme sest ensuite tournée et elle a laissé sécouler le sperme de sa bouche puis elle est partie. Le type a refermé sa braguette.
Ma logeuse ma demandé ce que jen pensais puis elle ma demandé si jétais capable de le faire puis elle a ajouté que rien que dy penser, ça la dégoûtait mais quelle lavait fait avec ses amies, par nécessité. Elle a ajouté que si un jour jen avais besoin, si je navais plus dargent ni plus personne pour maider, je nhésiterais pas longtemps. Elle a aussi ajouté que si javais besoin dargent et que jen demandais même à un ami, il me demanderait une contrepartie, et que ce nétait rien, juste leur laisser faire leur petite affaire et oublier. Elle a encore ajouté quelle avait vite perdu ses illusions sur la vie, que plus on était riche et plus on avait besoin de sensation, que les pauvres se contentent de se soulager et les pauvres femmes de les soulager et que les riches y mettaient plus de raffinement.
Elle a glissé son bras sous le mien et elle ma dit quil était temps de rentrer et tout en marchand, elle ma avoué que ça lui manquait parfois cette vie facile, vivre dans le stupre, ne penser quau lendemain et rien que pour plaisanter je lui ai répondu quelle navait quà reprendre son métier mais elle ma demandé qui voudrait bien delle aujourdhui. Je ne lavais jamais vraiment regardée de près. Elle faisait partie du décor et je réalisais soudain quelle devait avoir une belle poitrine et je lui ai répondu quelle avait sans doute encore de jolis seins et la femme ma dit que quand je voudrais les voir je naurai quà lui demander. On a pressé le pas. Elle a ajouté quelle se masturbait tout comme je me masturbais. Inutile de nier. Je lui ai demandé comment elle sen était aperçu et elle ma répondu que si je poussais des cris dans la nuit ce nétait pas parce que je lisais un de mes livres de cours.
Nous étions arrivés. Ma logeuse a ajouté que même si ce nétait pas dans notre contrat, elle accepterait bien de faire lamour avec moi. Avec moi ? Nous avons préparé le dîner sans dire un mot et aussi après mais une fois la vaisselle faite, ma logeuse a ajouté quelle comprenait que ça puisse me dégoûter de faire lamour avec une vieille femme comme elle mais quelle mattendrait tous les soirs dans son lit si je change davis. Jai changé davis le soir même. Jétais dans mon lit et javais commencé à me caresser quand je suis sortie de ma chambre et je suis allée gratter à la porte de la chambre de ma logeuse et elle ma dit dentrer. Je me suis glissé sous son drap et elle a rallumé la lumière. Javais bien vu ses rides sur le front, je découvrais que le haut de seins eux aussi étaient ridés mais quand elle sest penchée sur moi, sa peau sest tendue et jai vu les plus jolis seins que je navais jamais vus.
Jaurais bien été une ingrate si je navais pas ressenti tant de plaisir avec elle. Je navais jamais rien ressenti daussi fort depuis que je me masturbais et elle ma masturbée de si belle façon que jai cru mourir en ayant un orgasme puis je suis occupé delle et son corps sest courbé comme un arc à la rencontre de mes doigts. Je nétais pas amoureuse, mais javais envie delle. Elle a fini par me mettre en levrette et par me traiter de petite putain et je me suis prise au jeu et je lui ai dit que jétais une petite fille méchante qui devait être puni et elle sest levée du lit et jai tout de suite senti un coup sur mes fesses puis un autres. Cétait des coups de fouet et ma logeuse sest placée de façon à pouvoir me fouetter la chatte et à chacun de ses coups jai poussé un cri et elle a dit quelle ferait de moi une putain. En attendant, je devais mettre les mains derrière la tête et me pencher pour laisser pendre mes seins et elle les a fouettés à leur tour. Ça me faisait mal mais cétait très excitant. Jamais je navais été punie aussi fortement.
Ma logeuse est revenue à ma chatte et je lai suppliée de me faire mal. Javais la chatte en feu sous les coups et quand elle ma dit davoir un orgasme jai joui. Après ça, la femme ma lié les mains dans le dos et les chevilles et elles les a reliés avec un corde et elle ma poussée sur le lit. Doù sortait-elle tous ces engins quelle menfonçait dans le vagin et lanus ? Aujourdhui, quand jy repense, jai limpression que ça a duré des heures. Cétait des coups de fouets sur les seins, des godemichés dans mes trous. Au bout dun moment, la femme ma mis une boule dans la bouche quelle a attaché avec une courroie autour de mon cou. Je ne pouvais plus ni parler ni crier et le supplice a recommencé. Ma logeuse ma dit quelle voulait me faire tellement avoir de plaisir que je nen aurais plus besoin et elle a presque failli à réussir.
Je me remémorais ce quelle mavait raconté avec cette femme dans le château. Jétais encore attaché quelle sétait collée contre moi et elle me demandait pardon de ce quelle mavait fait subir. Le jour était déjà levé quand elle ma détachée. Jétais presque morte et je navais plus de jambes. Je suis quand même allée suivre mes cours à luniversité et quand je suis revenu, ma logeuse ma dit quelle avait réfléchi et que jétais faite pour ça, que jallais prendre sa suite et quelle allait soccuper de moi et elle sest occupée de moi. Elle ma appris ce que je ne savais pas encore. Que dirait mon beau-père sil savait ce que jétais devenue ? Ma souteneuse puisquil faut bien lappeler par son nom, ma acheté les vêtements qui convenaient à ce que jallais être et jai connu mon premier client dans un grand hôtel.
Tout cet argent, ai-je pensé, pour à peine une demi-heure et javais même fait semblant dy prendre du plaisir. Le type mavait mis du foutre partout, les cheveux, le visage et la poitrine et il avait même voulu que je men fasse une crème de beauté et je me létais étalé puis javais pris une douche. En refermant la porte sur moi, il navait même pas eu une parole. Jai continué à tourner deux ou trois fois par semaine et le reste du temps je prouvais à ma logeuse quelle navait pas eu tort de me faire confiance mais un jour, en entrant dans la chambre 17, je me suis trouvée face à face à mon beau-père. Cétait lui et il ne ma pas vue et je me suis sauvée en courant. Ma logeuse men a voulu et elle na pas tardé à me dire quelle avait eu du mal à rattr le coup et que javais un nouveau rendez-vous.
Jy suis donc retourné et je me suis retrouvée face à mon beau-père qui a failli avoir une attaque quand il ma reconnue mais je lui ai dit tout de suite de ne rien dire à ma mère et je me suis déshabillée et je lui ai fait sa petite affaire sans savoir sil était plus ou moins excité de baiser sa belle-fille. Les vacances de Toussaint approchant, ma mère ma écrit pour me demander si je viendrais les voir et jen ai parlé à ma logeuse qui ma dit que cétait dommage de perdre un week-end de gains mais que le devoir filial
Je suis allé voir ma mère et mon beau-père et nous avons fait comme si rien ne sétait produit. Je suis même allé écouter à la porte de leur chambre. Ils faisaient lamour. Mon beau-père lui disait quil avait épousé une salope et ma mère lui a répondu quil avait fait delle une putain puis il a ajouté quil aimerait bien me baiser et ma mère lui a dit que jamais je naccepterais un homme qui amène des putains à la maison.
Il a répondu que ça plaisait à ma mère et quelle était la dernière à se plaindre, quelle aimait prendre son pied avec des filles, et quil ne comprenait pas quelle refuse de se faire connaître comme lesbienne. Jen avais assez entendu. Le lendemain matin en me levant, je suis allée dans la cuisine. Ma mère préparait le café et je ne sais pas ce qui ma pris. Je me suis collée dans son dos et jai glissé la main dans louverture de son peignoir et jai attrapé son sein gauche. Elle ma demandé ce qui marrivait. Je lui ai répondu que tout ce que je voulais cest quelle soit heureuse et ma mère ma répondu que ce quelle voulait elle aussi cest que je sois heureuse puis jai ajouté que jaime lamour et que je me masturbe et que je fais lamour à tous ceux qui veulent de moi. La ceinture de son peignoir sétait détachée et ma main a glissé sur son ventre. Ma mère était complètement épilée et jai posé le bout de mes doigts sur ses petites lèvres et je lui ai demandé si mon beau-père la rendait heureuse. Elle a poussé un soupir puis elle ma avoué quil se contentait de tirer son coup.
Cétait tout ? Ma mère ma avoué aussi que mon beau-père lui payait des filles et quavec elles elle était heureuse. Ainsi donc elle préférait les filles. Je lui ai suggéré de sen trouver une qui la prendrait avec elle mais ma mère navait pas ce courage. Quand je suis rentrée chez ma logeuse, je lui en ai parlé et elle ma dit quelle sen occuperait. Elle lui a trouvé une femme de son âge que je lui ai présenté et ma mère a accepté de sinstaller avec elle. Je vais toujours les voir de temps en temps. Quand à mon beau-père, sil a mis du temps à accepter le divorce, il est resté mon client. Aujourdhui, ça fait dix ans que je me prostitue et que je consacre mon temps à moccuper de ma logeuse. Je voudrais quelle ait une fin digne, par exemple mourir en faisant lamour avec moi même si ça ne mexcite pas vraiment.
FIN
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