Profanation, Education De Valérie
Il va être dix-sept heures, Jean-Paul Balaruc marche dans la vieille ville une main dans la poche de sa gabardine, il triture le slip de Valérie. Comme il doit le resti, il veut savourer la douceur du tissus, le toucher une dernière fois, imprégner sa main de sa senteur. Presque à regret, il arrive devant la lourde porte de chêne de la demeure de Georges de Maubourg, celui qui préside aux vices des jeunes filles nanties de la ville. Il tire lantique sonnette.
Le valet Alex ouvre en sinclinant obséquieusement. Jean Paul est attendu. Comme il en a lhabitude il traverse le hall et retrouve dans le salon le Baron qui lui serre la main affectueusement et le fait asseoir dans un fauteuil profond. Alex, sans une parole apporte du thé fumant sur une table basse.
Avant que Georges le lui demande, Jean-Paul a sorti le slip de sa poche, la posé sur une table basse avec un gros soupir. Georges qui réalise les regrets du jeune garçon, lui fait remarquer quil ne sagit que dun chiffon sans importance.
Jean-Paul ne peut comprendre le mépris de Georges pour les filles et le lui dit. Georges lui assure sentencieusement quil doit avoir la même attitude, sil veut être heureux, il ajoute :
- Valérie va venir dici quelques minutes. Si tu veux, tu pourras en user
Jean-Paul se dit quil nosera jamais. Son cur bat à la pensée de revoir celle quil aime encore. Il boit son thé dun trait. Georges lui sert une rasade de whisky en disant :
- Jespère que tu nes plus amoureux !
Le garçon affirme que non, en mettant toute son énergie dans ses dires. Il est très nerveux.
Georges le presse de questions : a til récupéré la petite culotte facilement ? Valérie est-elle restée longtemps prés de lui ? A-t-il pu la toucher ? Porter la main entre ses cuisses ?
Jean-Paul ne sait sil doit dire la vérité. Georges souhaite-t-il quil nait rien fait ou bien le contraire ? Est-il jaloux ou non ?
Le garçon finit par dire quil a déculotté la fille retroussée et quelle la ensuite sucé.
- Elle ne ta même pas donné un baiser ?
- Non elle était trop pressée !
Georges conclut que cette attitude mérite une punition à laquelle Jean-Paul assistera, évidemment. Ils ont tous les deux les yeux luisants. Le garçon est plein de curiosité impatiente.
Ils entendent tinter la cloche, Alex qui ouvre. Jean-Paul est troublé.
Valérie est ponctuelle, Comme il le fait à chaque visite, Alex linspecte de la tête aux pied et risque une main sous sa jupe ; La jeune fille porte une robe de coton satiné pincée à la taille, sans ceinture, les épaules et les bras sont dénudées, la robe est maintenue par un petit volant élastique mettant en valeur sa petite poitrine. Le bas est évasé et sarrêt au dessus du genou. Ses bas sont clairs en voile satiné brillant et ses chaussures découvertes, avec de hauts talons. Alex ne se lasse pas de la contempler.
Comme il sefface pour la laisser entrer, il remarque la marque du slip sous la jupe : merveilleux spectacle !
Parvenue au salon, elle sarrête, interloquée de voir Jean-Paul.
Elle remarque surtout sa culotte étalée sur la table basse.
- Alors, dit Georges, tu ne salues pas notre ami ?
Elle effleure du bout des lèvres les joues du garçon et se précipite dans les bras de Georges. Il la prend sur ses genoux et lembrasse sur la bouche. Elle chavire, oublie tout. Jean-Paul observe avec attention.
Valérie a maintenant caché son visage au creux de lépaule de celui quelle aime ? Ses noirs cheveux sont répandus. La main droite de Georges lui pince les genoux, la forçant à décroiser les jambes. Jean-Paul voit cette main qui disparaît sous la jupe. Il semble quelle soit parvenue à la fourche des cuisses. On la devine qui sagite sous le vêtement. Valérie respire fort. Le sexe de Jean-Paul grossit quand la fille ouvre les jambes
George la relève ; la met debout faisant face à Jean-Paul.
A nouveau les main de Georges repartent sous la jupe de la jeune fille, parviennent sur les hanches et redescendent lentement, Jean-Paul est troublé de voir celle quil aime en secret subir la volonté de Georges.
Les mains descendent encore et cette fois ci Jean-Paul à compris, il est entrain de luis ôter sa petite culotte rose quil descend jusquaux chevilles et lui retire complètement.
Elle est donc nue sous la jupe. Il ordonne à Valérie de lui remettre la culotte blanche toujours étalée sur la table basse.
Elle obéit, lui tend le vêtement quil remonte le long des jambes, des cuisses et lui ajuste le sur les hanches. Jean-Paul sent son slip se tendre à la vue du spectacle que lui offre Valérie et pourtant pour linstant rien ne lui a encore été dévoilé ; Il sait juste ce que porte Valérie sous sa jupe.
Georges se lève prend Valérie sous les bras la fait sétendre sur le tapis. Lorange des la robe tranche sur le bleu du sol. Le bas de la jupe se relève légèrement. Georges reprend la bouche, sa langue rencontre celle de Valérie, remue au plus profond. La fille se sent toute retournée, sa salive coule, elle souffle à perdre haleine. Tout en poursuivant ce baiser ardent, il fait signe à Jean-Paul de sapprocher. Le garçon se lève timidement et se place en tailleur prés des jambes de la jeune fille.
Valérie met ses mains sur ses yeux, paniquée davoir à se donner en spectacle. Elle est dautant plus angoissée que Georges a pris le rebord de sa jupe et commence à la retrousser. Les cuisses gainées de beige apparaissent, puis la lisière élastique décorée et large qui tient lieu de jarretière, enfin la partie nue des cuisses. La culotte apparaît, Georges à relevé la robe jusquà
la taille.
Valérie ne sait plus ou se mettre, Jean-Paul regarde avec avidité et tendresse la petite culotte tendue sur le ventre de la fille mettant en valeur le renflement du pubis et la beauté des ses atours.
George lui a pris le poignet puis la main, le forçant à toucher les genoux de celle quil désire. Puis il fait remonter la main le long des cuisses, lui fait sentir la douceur de lépiderme au dessus des bas. Il lui pose la main sur le pubis que la culotte cache encore. Il le fait appuyer. Jean-Paul sent la toison à travers le tissus lisse et doux et un peu le renflement de la vulve.
Georges lui fait signe de baisser la culotte
En tremblant Jean-Paul agrippe la ceinture du slip quil tire vers le bas. Le triangle noir du mont de venus apparaît, les poils sont soignés, encore plaqués au ventre par la culotte serrée, la toison est régulière et bien taillée. Puis le garçon abaisse la lingerie vers les jambes, lui fait passer les chevilles et les chaussures et lenlève complètement. Valérie serre les cuisses, on ne voit que ses poils frisés noirs. La fille éprouve de la honte à sexhiber ainsi à un garçon de son âge.
Jean-Paul pose la culotte sur la moquette. Il aurait voulu la mettre dans sa poche, comme lautre foi.
Georges sest mis à genoux, de part et dautre du visage de la jolie tête, il présente sa verge à lentrée de la bouche complaisante qui la happée.
Il senfonce petit à petit jusquau fond de la gorge.
Il reste ainsi immobile et sourit à son jeune ami. Il dit dun ton cassant à Valérie en lui claquant les cuisses :
- Veux-tu bien touvrir
Elle desserre un peu les jambes, si peu que Georges de ses deux mains la prend derrière la jointure des genoux quil replie sur la poitrine encore cachée par le haut de la robe.
Il montre le sexe féminin à Jean-Paul. La fente rose pâle, les lèvres fines et bien jointes parfaitement lisse. Georges louvre de ses deux mains dévoilant les nymphes et lentrée du vagin dun rouge plus vif que les lèvres
Puis il écarte la jointure supérieure et décapuchonne le petit bouton clitoridien.
Il bande très fort sous son pantalon dont la déformation ne laisse aucun doute. Georges dans la bouche de la fille amorce un va-et-vient de plus en plus rapide, comme dans un vagin. La belle Valérie manque de s. Le membre dur lui touche la luette. Elle sefforce d'ouvrir la bouche en grand, craignant de mordre, ce qui lui vaudrai une sévère remontrance.
Tout en se servant de la jolie bouche de la jeune fille, Georges a repris la main de Jean-Paul ; il tente de lui faire toucher le sexe féminin.
Mais lautre est trop timide et se laisse guider sans réagir. Georges ninsiste pas. Très vite, son sperme coule dans la gorge de Valérie qui efforce de lavaler. Le jet est puissant et une grande partie de la semence coule sur le beau visage la fille. Georges reste ainsi un moment dans cette position, cuvant sa jouissance.
Il se lève alors, laissant la jeune fille allongée. Il dit à Jean-paul de se rasseoir et ordonne à Valérie de se mettre debout.
Elle se lève, sa robe retombe, elle ramasse son slip, le remet et rabat bien vite sa jupe. Elle reste debout, hébétée, tandis que les deux amis trinquent de nouveau, elle se sent inondée entre les seins ; Georges questionne sévèrement :
- Qui ta permis de remettre ta culotte ?
Elle dit quelle croyait en avoir terminé en présence de Jean-Paul
- Nous nen avons pas fini avec toi ! nous devons nous expliquer, dit Georges.
Elle supplie quon la laisse se laver le visage et le cou. On lui accorde cinq minutes. Elle se précipite dans la salle de bain ; elle se demande ce qui se passe ? Craint que son Georges ne laime plus.
De nouveau debout devant les garçons, elle tremble ; Elle na toujours pas quitté sa culotte. Il lui semble que cela va la protéger du pire.
Elle est toute pale. Que veulent tils encore ? Ne sest elle pas montrée assez obéissante ?
La voix impitoyable de laimé exige quelle prenne une attitude soumise. Elle tombe à ses pieds et reste agenouillée ? Les mains derrière le dos, Jolie et émouvante dans sa robe orangée qui moule ses formes.
- Genoux disjoints ! Yeux baissés, sécrie le maître.
Elle prend la pose prescrite. Elle en oublie la présence de Jean-Paul. Elle dit dune vois craintive :
- Mon Georges chéri, que veux tu ? Que dois je faire ?
Il veut quelle rapporte sa propre version de sa visite à Jean-Paul. Elle dit quelle a fait ce qui lui a ordonné. Elle a relevé sa jupe, lui a demandé de la déculotter pour quil apporte lui-même sa culotte ici. Puis elle lui a sucé le sexe, avalé son sperme.
- Tu es partie sans même dire au revoir !
- Que devais je faire de plus,
- Tu aurais pu lui laisser toucher le sexe !
Elle confesse que ce quil lui a imposé lui a assez coûté. Elle souhaite ne jamais revivre une telle situation.
- Il y a des mois que tu excites ce pauvre garçon
- Oh ! Laisse-t-elle échapper, indignée
Georges lui dit que tout cela est grave. Elle doit accepter dêtre punie ou bien sen aller et ne plus revenir.
Dans un sanglot, elle accepte. Elle doit demander au valet Alex de lui remettre le martinet.
Comme elle sen va, penaude, vers la porte communiquant avec le hall, Alex à son poste dobservation, a juste le temps de sesquiver jusqu'à la cuisine du sous sol. Valérie le trouve occupé à ranger la vaisselle. Avec courage elle réclame le martinet.
Alex fonce les sourcils :
- Mademoiselle à-t-elle oublié lattitude quelle doit avoir avec moi ?
Que devez vous faire avant de madresser la parole ?
- Excusez moi Monsieur Alex je suis émue et si pressée ;
- Jaime mieux ça ! Quattendez vous pour vous exécuter,
En soupirant, elle prend de ses deux mains croisées le rebord de sa jupe et se retrousse entièrement exposant au domestique la blancheur immaculée de sa petite culotte. Comme il le fait toujours, il pose sa main en conque au bas du pubis et donne quelques petites pressions sur la vulve voilée. Il prend le martinet dans un tiroir du vaisselier, le tend à Valérie dont la robe retombe, cachant les jambes.
- Voila pour que Monsieur vous réchauffe les fesses
Valérie retourne au salon, à son destin de petite fille docile. Sera-t-elle fouettée devant Jean-Paul ? Devra-t-elle ôter sa robe, son slip ? Sa gorge se noue.
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