Couples Liégeois 1/2

Sur un site gay je lie la conversation avec un couple gay de Liège, Willem et Marc de 41 et 43 ans, ensemble depuis 17 ans et marié depuis 6 ans (Le mariage homosexuel est autorisé en Belgique). Nous correspondons ainsi durant près de 3 mois, entrecoupé par des périodes sans se parler de 15 jours quelques fois, mais avec toujours le même plaisir de se retrouver. Echange de photos, long dialogue en tchat, on parle de nos fantasmes et de nos goûts question sexe. Nous sommes en entière osmose à ce niveau-là. On s’envoie nos tests HIV. Tout est réuni pour une rencontre. Un jour en tchat mon petit couple liégeois m’invite un samedi à les rejoindre pour un après-midi coquin. Il est déjà 15h et Charleville-Mézières - Liège il me faut près de 2h de route et je leur propose de reporter ça à dimanche, ce qui me laisserai plus de temps devant moi et de partir plus tôt.
« Viens alors du matin comme ça tu mangeras avec nous ! » Me propose Marc
« Ok ! Demain 11h30 je serais chez vous. »
9h du matin je suis dans ma voiture. Je me laisse un petit laps de temps devant moi car je ne connais pas la route. Sur les coups de 11h je suis à Liège et je les appelle comme convenu qu’ils viennent me chercher pour me guider jusque chez eux. 10 minutes après ils arrivent au lieu de rendez-vous. Ils sont tout à fait comme sur les photos et je n’ai aucun mal à les reconnaitre. Willem le crâne rasé, en débardeur et short de sport est le premier à descendre de voiture. Il s’approche de moi et me dit :
« Je monte avec toi on va suivre Marc. ». A peine monté, je file le train à Marc qui a déjà démarré.
Dans la voiture ni l’un ni l’autre ose prendre la parole. Willem regarde devant, son débardeur très échancré dévoile un torse épilé et bronzé et de son short fusent ses jambes musclés, bien dessinées que souligne par un bronzage parfait, il est très sexy habillé comme ça et je lui dis.
Pour toutes réponses il pose sa main sur ma braguette et me masse l’entre-jambe.

L’effet est immédiat. Il me sourit et continue de plus belle d’une main experte et habile en fixant la route comme si de rien n’était. Aujourd’hui je ne porte rien dessous et la bosse est de ce fait plus importante. Entre deux passages de vitesses, je tente de faire de même avec lui car vu la déformation du short, la chose promet d’être belle. De ses doigts agiles il ouvre la braguette de mon pantacourt en prenant bien garde de ne pas me la coincé dans le zip, délicatement il l’extrait et joue avec le gland. A mon tour j’accède à sa queue en passant la main sous son short, il est comme moi sans rien dessous. Je vais à l’encontre de son gland que je sens déjà bien dur et tout humide. J’en ressort une petite goutte du bout du doigt que je porte à ma bouche.
Tout ça sans un mot. Le voyage ne fut pas assez long pour pousser plus loin nos caresses car nous voici déjà devant une porte cochère qui s’ouvre sur leur jardin. Marc entre le premier et me fait signe de le suivre. Les portes se referment derrières nous. Je remets mon sexe en place et je descends de voiture en tentant de cacher ma bosse par les pans de ma chemisette. Willem c’est éclipsé prestement, certainement pour cacher lui aussi son trouble à Marc qui se présente, on se fait la bise. Il me pose les questions d’usage si le voyage c’est bien passé, si j’ai trouvé facilement etc… Mon trouble se calme doucement. Marc me fait visiter leur petit jardin qui leur sert surtout d’aire de bronzage. On s’installe sur des transats quand Willem revient nu comme un vers avec des rafraichissements. Le corps brillant comme s’il était huilé entièrement épilé et au bronzage intégral. Je ne peux m’empêcher de regarder sa verge large et circoncise entourée d’une paire de couille assez volumineuse.
« Met- toi à l’aise ! »
Me dit Marc
« On vit très souvent nu ! ».
Joignant le geste à la parole il se relève et se dessape très vite. J’en fais de même. Ma peau blanche contraste avec leur teint halé. Nous sommes tous deux face à face en semi-érection sous le regard de Willem amusé et excité.
Je détaille Marc au corps épilé intégral aussi moins musclé que celui de son homme, entre ses deux cuisses luisantes jaillit sa pine circoncise. Il att ma bite et avec délicatesse me branle lentement, il se tourne vers Willem et lui demande :
« Tu as envie de le sucer ? »
Il ne lui en fallait pas plus et pour toute réponse le voici à présent entre mes cuisses pompant ma tige avec délectation. Il est gourmant et je vois ma queue disparaitre et réapparaitre entre ses lèvres. Je m’allonge sur un transat pour mieux apprécier. Je tends la main vers la bite de Marc et je le branle, je l’attire vers moi pour le pomper à son tour. Sa tige d’une bonne longueur au gland large auréolé de parme, me déforme les joues. Je remonte les jambes sur les accoudoirs du transat pour libérer ma corolle. Willem me lape à présent le cul avec avidité, j’ondule du bassin pour mieux le ressentir encore. Marc ne reste pas inactif et se penche pour me branler. Bientôt Willem remplace sa langue par un, puis deux doigts et prend le relais de son mec pour me pomper. Mes gémissements sont étouffés par la pine de Marc au goût musqué. Cette colonne et la bouche de Willem m’excite dangereusement. J’arrête tout net, presque avec violence, Willem pour ne pas jouir. J’aime rester dans cet état d’excitation au bord de l’éjaculation. Il se relève et vient me retrouver autour de la pine de son homme. Pendant que Willem pompe Marc, de mon côté j’enduis de salive deux doigts et je viens lui titiller la rosette. Mes doigts rentrent sans aucune résistance. Je les fais aller et venir durant un long moment avant qu’il n’explose dans la bouche de Willem. Ca jouissance est belle voir, il est crispé sur la tête de son mec et je ressens toutes les contractions à chaque éjaculations. Willem à tout en bouche. Du bout de la langue je remonte cette queue jusqu’à ses lèvres et dans un patin fougueux on se partage sa semence. Marc nous abandonne pour un petit brin de toilette et dresser la table du déjeuner. Nous continuons notre baisé, nos mains se cherchent, nos corps s’enflamme… Mon vit se dresse vers lui, il s’allonge sur moi, j’entoure sa taille de mes jambes, je le plaque contre moi.
Il ne fallait pas m’exciter maintenant il faut assumer. Sa queue frotte le long de ma raie dans un rythme assez soutenue, puis ralenti tout doucement. Je sens son casque sur ma corolle et les yeux dans les yeux on attend qui des deux sera le premier à donner l’impulsion pour ouvrir ma grotte intime et laisser entrer cette obus si doux. Je commence une douce pression quand Marc nous appelle pour passer à table. On revient à la réalité et on se lève frustré de n’avoir eu plus. Il n’est pas encore midi et la journée commence déjà tambour battant.
Un menu pratiquement fait que de salades nous attend sur la table de jardin. Le repas se passe sous une chaleur accablante et nous décidons de prendre le café au salon à la fraiche. Willem s’installe à côté de moi pendant que Marc nous répare le café. Nous voulons reprendre où nous étions resté. On s’embrasse et se caresse sans retenu. Je prends les devants et je me penche sur cette queue d’un bon diamètre et légèrement plus courte que celle de Marc. Son gland est plus petit que la hampe. La position étant inconfortable on pousse la table de salon et je m’agenouille entre ses cuisses lisses qui sentent bon le Monoï. Je gobe sa fraise qui m’a déjà fait fantasmer sur le transat. Je lui titille le frein du bout de la langue, Willem se contorsionne sous mes lapés, il appui sur ma tête pour une pénétration plus profonde. Je suis obligé de le refreiner un peu.
Marc nous rejoint au salon, pose le café sur la table et viens s’installer à genou près de Willem. Il l’embrasse à pleine bouche, lui caresse les seins, les lèches et lui mordille les tétons. Je sens ses mains me caresser les fesses que je cambre au maximum. Du doigt il me masse la corolle qui ne tarde pas à s’ouvrir. La position étant inconfortable, Marc vient s’installer derrière moi et entreprend de me lécher la pâquerette. Je me repositionne à quatre pattes pour mieux me cambrer et lui laisser libre accès. De sa langue experte, il fouille les moindres replis de ma grotte, me caressant les couilles et la bite.
Sa langue va et vient dans mon puits intime. Je râle de bonheur, des râles étouffés par la pine de son mec que je dévore avec avidité et passion. Marc inonde mes couilles et ma tige de salive rendant ses caresses encore plus électrisantes. Il me triture les couilles avec ardeur et passion sans pour cela avoir mal. Il tend ma bite vers l’arrière pour me l’a pompé avec avidité la faisant claquer sur mon ventre à chaque fois qu’il l’a relâche. Replongeant ses doigts ou sa langue dans mon cul. Me branle et me doigte encore. Je hurle me plaisir. Moi de mon côté j’en fais de même avec Willem. On s’arrête un moment pour s’embrasser goulument et reprenant de plus belle nos succions et branlettes. Suçant à deux Willem, Marc ou moi-même. Sentant des doigts se mêler dans nos culs ouverts et offerts. Passant d’une queue à l’autre, d’une bouche à l’autre. Mêlant nos goûts, nos jus et nos odeurs de mâles en ruts. Cette foire d’empoigne a duré un bon moment avant qu’on se calme et que l’on reprenne place pour boire notre café.
L’après-midi commence aussi fort que la fin de matinée. Ce traitement m’a mis en appétit. J’aimerai autre chose que des doigts dans mon p’tit cul. J’ai de nouveau envie de la pine de Willem. Marc reprend les choses en main et nous propose de monter à l’étage où nous y serons mieux installés. C’est leur chambre avec un vaste lit. Aux murs sont accroché des photos de leurs noces, de leurs différents voyages, mais aussi quelques photos d’Apollons tous dénudés et certain dans des actions très excitantes. Ce sont des photos tirées de magazines gays. Le temps que Marc nous mette un DVD gay, je regarde toutes ces photos dont une qui m’excite plus que les autres. On y voit un Apollon empaler sur un homme en position du cavalier inversé avec en gros plan sa queue en érection. On devine aisément qu’il apprécie le traitement.
Willem vient se plaquer contre moi et me glisse à l’oreille :
« Tu veux que je te fasse pareil ? »
Dans un soupire presque inaudible je lâche un :
« Oui ! ».
Un petit moment de silence et je sens qu’il me caresse déjà les fesses. J’aime cette caresse et elle a le don de me mettre en transe. Marc c’est allongé sur le lit et nous regarde, je viens à 4 pattes entre ses cuisses happer son chibre. Les cuisses bien écartées et le cul bien cambré, j’invite Willem à continuer ce qu’il avait entreprit. A genou derrière moi, il me caresse tout le corps de ses mains douces et chaudes. Sans lâcher ma prise en bouche d’une j’att la queue de Willem et je la frotte sur ma rosette que je sens palpiter au moindre contact avec son gland. Il agit comme une bouche qui voudrait le happer. Je me tartine de salive et je guide sa queue juste à l’entrée. Je fais une pression sur cette ogive que je sens me dilater millimètre par millimètre. Enfin ! Willem crispe ses mains sur mes hanches et continue la lente progression divine. Pour la première fois j’ai pris une bite d’un seul trait sans m’arrêter. Il est complètement en moi. Marc n’en reviens pas, il se lève pour regarder ça. A part lui et encore que très rarement, il n’avait plus enculé un mec depuis des années. Tout de suite j’ai craint une pointe de jalousie, mais non au contraire, ça l’excite et il encourage son chéri à me prendre. Cette situation m’excite encore plus et je deviens une vraie salope faisant claquer mon cul contre son ventre. Je m’empale comme un déchainé sur la queue de Willem tout en branlant Marc. Willem stoppe et cède sa place à Marc. Le bonheur pour moi, j’en avais rêvé depuis longtemps d’être la chose de deux mecs. Son gland large et généreux écartèle mon cul avec délice. Willem me redresse et vient m’embrasser, on se branle mutuellement. Marc m’encule comme un acharné et moi je suis aux anges, j’ahane de bonheur. Ils se sont relayé ainsi 5 ou 6 fois durant une bonne demi-heure. Willem dans une frénésie sans nom me crache son foutre en flot impressionnant dans le cul et fini les dernières gouttes sur mon dos. Que c’est bon de sentir se liquide chaud en moi. J’aime sentir sa purée couler le long de ma raie, caresser ma « chatte » béante. Il me pénètre de nouveau pour quelques va et vient puis se retire. Je me nettoie le dos et le cul d’où coule encore sa purée, mais il m’en faut encore, je suis encore en maque, je suis insatiable. Marc s’allonge sur le lit et je viens dans la position de la petite cuillère m’empaler sur son pieu. Le foutre et ma « chatte » béante, il rentre en moi avec facilité. Je sens qu’il sera plus long à venir, ayant déjà éjaculé le matin. J’insiste encore un moment mais rien ni fera. Je profite alors de cette queue qui me lime avec douceur et passion. Le foutre de Willem qui rentre et sort de mon cul fait des clapotis salaces et excitants. J’ai bien fais d’insisté. D’un coup je sens les doigts de Marc se crisper à mes hanches et le flot de son élixir, plaqué au fond de moi. « Remplis » par leurs deux foutres je suis heureux. Willem qui assistait à la scène vient nous rejoindre. Il nous caresse le corps le temps que l’on reprenne conscience après cette joute électrique.
Dans la chaleur de cet après-midi-là, nous sommes en sueur. Nous passons à la salle de bain et tous les trois dans la baignoire, cela devient une nouvelle séance de caresses et de baisés. Nous redescendons au salon nous rafraichir. Marc me félicite pour l’exploit de mettre fait enculer par Willem. Chose qui n’était pas arrivé au moins depuis 10 ans. Je suis fier qu’il est eu envie de moi et je lui demande pourquoi ?
« Tout à l’heure sur le transat tu m’as tellement excité que j’étais prêt à te prendre, et j’y ai pensé pendant tout le repas. »
Marc presque ému se lève pour l’embrasser tendrement et lui dit :
« C’est bien mon bébé, je suis fier de toi car tu t’es laissé complètement aller. »
Ils restent côte à côte sur le canapé et je regarde ce couple heureux et amour. On discute un bon moment mais Marc doit s’absenter pour rendre visite à sa maman comme tous les dimanche après-midi et il nous laisse tous les deux nus comme des vers. L’ambiance et l’expérience passé nous excite encore je pense. A nos regards nous avons compris que nous en voulions encore. L’absence de Marc me donnait le sentiment qu’il m’autorisait de disposer de son homme, cela rajoutait du piment à nos ébats. Je me rapproche de lui et avec fougue on se roule des pelles endiablées, on se caresse, se lèche, se suce avec frénésie. Quatre à quatre on remonte à l’étage pour continuer ce que nous faisions en bas. Je plaque mes mains au mur, cambrant mon cul face à la photo du bel Apollon empalé sur cette queue. Je ne sais dire pourquoi mais cette photo m’excite. Il me lape littéralement le cul dans un clapotis excitant. Mon cul, mes fesses et le lobe des oreilles sont mes plus grandes zones érogènes. Je m’allonge sur le lit la queue hyper tendue et Willem tel l’Apollon de la photo vient s’empaler sur moi. Au début accroupi sur moi et légèrement en avant, ne voyant que son cul musclé et bronzé descendre le long de ma colonne. Il reste planté ainsi un petit moment en faisant quelques roulis du bassin, puis s’allonge sur moi. Je le soulève un peu en le tenant par les fesses et je commence à le pilonner tel un forcené. Pour ne pas jouir tout de suite nous changeons de positions qui vont de la petite cuillère, à la position du missionnaire les jambes recourbées sur son torse, puis par la levrette. C’est dans cette position que je sens des mains me pétrir les fesses. Prétextant que Willem était malade auprès de sa maman, Marc était rentré plus tôt nous rejoindre pour profiter de la fête. Il avait pressenti que nous n’en resterions pas là. J’en profite pour le branler et très excité j’enduis mon cul de salive et je l’invite à m’enculer de nouveau. Sa queue en demi-érection tente de rentrer dans mon cul pourtant bien dilaté. La pénétration est fastidieuse. Il y renonce et préfère se mettre en levrette à côté de son mec et me tend son cul offert. Je libère un cul pour prendre l’autre et inversement. Je vais-je vient d’un à l’autre, je butine ces deux roses avec délectation et passion. Sentant mon éjaculation proche, Willem me plaque contre lui et je crache ma semence dans son cul en dandinant son cul il me hurle :
« Oui ! Oui ! OOUUIIIIIIIII ! Vas-y ! Donnes moi tout ma salope !».
Marc m’enfonce deux doigts dans le cul. Les deux cumulé je brame comme un cerf ma jouissance.

« Putain, ces mecs m’excitent !!! »
Le souffle court et rapide, je reprends petit à petit mes esprits. A genou Marc m’embrasse avec tendresse, et caresse le dos de son homme. Je libère enfin ce petit cul divin. Sa corolle dilatée laisse suinter un filet de foutre sur ses couilles lisses. Il s’affale sur le lit et je viens m’allonger près de lui encore essoufflé. Marc en vrai petite femme d’intérieur nous ramène quelques kleenex. Je nettoie ma queue et Marc nettoie le cul de son mec.
C’est ainsi que se fini l’après-midi et il est temps pour moi de partir. Ils insistent pour que je reste dîner avec eux. J’appelle ma femme pour lui dire que finalement je rentrerai plus tard que prévu car il m’invite à dîner chez eux.
« C’était si bon que ça que tu restes. » Me dit ma femme.
« Oui, je t’expliquerais tout ça ce soir ! »
« D’après ce que j’entends, tu ne vas pas rentrer très tôt alors !» Me dit-elle.
Marc me prend le téléphone des mains et lui assure que c’est lui qui a insisté pour que je reste. Le temps de reprendre le téléphone de lui envoyer quelques bisous pour la remercier, elle me dit :
« Eclates-toi bien ! Bisou ! » Et elle raccroche.
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