Voyeur Malchanceux, Seconde Initiation.


Il aura fallu que j'attende bien deux semaines… un vendredi soir, alors que je finis ma boucle de jogging, j'aperçois une voiture garée sur l'allée qui descend de ma cour. Je prends mon temps, curieux tout de même, je reçois rarement des visites imprévues, et je n'ai pas invité de soumis ce soir… Une légère idée, y'en a bien un qui aurait une raison de revenir me voir, tiens.

Je monte dans la cour, contournant la voiture, pour trouver mon blondinet voyeur devant ma porte !

-"Tiens, quelle bonne suprise !" M'essuyant dans la manche de mon t-shirt, je lui fais un grand sourire franc. Il est déstabilisé.
- Euh, excusez-moi de vous déranger…
- Non, non, pas du tout, tu vois, là c'est détente.
Il me fait un sourire timide.

- Qu'est-ce qui t'amène ? Entre, entre, dis-je en le poussant presque.

Une fois dans la cuisine, je sens bien son malaise. Il m'explique en bredouillant que "euh, l'autre jour…", bref, il cherche son portefeuille, qu'il a hésité a venir, mais comme il ne l'a vraiment pas retrouvé, il est venu voir chez moi plutôt que de refaire tous ses papiers et sa carte bleue.

- Ah oui, ça doit pas être pratique, mais ton portefeuille, je l'ai pas vu moi… On peut aller regarder si tu veux ?
- Euh, oui, ok.

Je lui indique la chambre, il hésite à peine et se retourne. J'en profite pour mater son cul bombé, son jean lui va très bien, mine de rien il a un petit côté “minet viril"…

- Bah je te laisse regarder, en fait, je me prends une bière, moi.
- Bon, d'accord

Et il entre dans la chambre, où ça doit puer le fauve : j'ai eu une nuit agitée la veille avec un soumis et un pote, et j'ai pas ouvert ce matin… il doit retrouver une certaine ambiance. Je vois la lumière qui s'allume, et je l'entends trifouiller pendant que je vais dans le frigo sortir deux bières.

Je le rejoins et le trouve à quatre pattes devant le lit, en train de regarder dessous.

Ah, il va trouver ? Non, il est d'abord tombé sur un ou deux accessoires, qu'il regarde étonné… Un fouet et un masque. He he. Il les pose à côté de lui, et tend le bras à nouveau sous le lit. Cette fois, il en ramène un grand bouquin noir, et juste après, son portefeuille.

- Ah, voilà !
- T'as trouvé ? Tant mieux… ah, bah il avait glissé… l'autre fois.

Le rouge lui vient aux joues, il est encore agenouillé devant moi qui suis venu le rejoindre. Il baisse les yeux et retombe sur le fouet et le bouquin, qui s'est ouvert : un vieil album photo que j'avais ordonné à un soumis en apprentissage de faire à partir de photos de plan. Il a un long moment d'arrêt, il vient de comprendre ce qu'il regarde. Gros flottement dans ses certitudes de jeune hétéro… Il n'a pas si bien compris la première leçon, faut croire.

- Chouette, t'as retrouvé le fouet aussi, je le cherchais celui-là.
- Ah ? euh ? mais…
- T'inquiète, tu risques rien, lui dis-je en me marrant ; Viens plutôt au salon boire une bière, j'ai pas trop envie de la boire seul.
- Bon ok.

Il semble soulagé que j'aie "oublié" notre première rencontre, que je ne le maltraite pas, et content d'avoir retrouvé son portefeuille. Il se lève et sort de la chambre. Je ramasse l'album photo, et je le suis. Je chope les deux bières au passage, et vais au salon, où il me suit.

Je m'assieds sur mon (seul), canapé, pose l'album dessus, les deux bières sur la table basse. Il s'assied à l'autre bout, bien entendu. Je trinque a ses papiers retrouvés, lui aussi, mi-figue mi-raisin.

- Alors, ça va sinon ?
- Euh oui, oui.
- Les conneries de l'autre fois, c'est oublié ?
- Oui monsieur.
- Ah ah, continue à m'appeler monsieur j'adore ça !
- Euh, comment ça ? il boit une timide gorgée de bière.
- Ben, pour les soumis, c'est une obligation ! Monsieur si ce n'est Maître.
- Ah, mais euh… Mais moi je suis pas…
- Non, non, bien sûr.
Mais t'es curieux.
- … Vous croyez ?
- Oui, tu es revenu, et seul, en plus. Et tu as bloqué sur l'album.
- ...

Je bois une gorgée de bière et lui tends le bouquin. Il n'ose pas le prendre. Je l'ouvre.

- C'est quoi en fait ? Vous faites souvent ce genre de chose ?

Je lui explique : c'est toute l'initiation d'un soumis que j'ai eu il y a quelques années, un jeune beau gosse qui a découvert le plaisir de se donner à un maître. Il reste bouche bée, je feuillette les pages pour lui, en m'arrêtant volontairement sur quelques photos.

- Là, c'est vous qui le… ? (Sur la photo, on voit ma queue en gros plan en train d'enculer le soumis.)
- Oui oui, c'est ma queue.
- …
- Tu as des questions ? Moi ça me gène pas du tout d'expliquer, c'est pas nouveau pour moi…

Il se tortille un peu, l'air de dire que non, non, il est sûr de lui, mais…

- Ben en fait…
- Oui ?
- euh, j'y ai repensé.
- A quoi ?
- A… l'autre fois.
- Précisément ?
- Ben, euh… Je savoure sa gène, il est pivoine.
- Allez, y'a personne là, tu peux en parler. A l'humiliation de ton collègue, ou aux sensations dans ton cul ?
- Euh oui. En fait, surtout les doigts, mais le reste aussi.

Je garde un silence, un demi sourire en le regardant. Il reprend sa bière pour se donner une contenance, et voyant que j'attends la suite, il se lance.

- En fait, c'est vrai, vous savez que j'ai joui, mais je comprends pas…
- …pourquoi… ?
- …Oui.

Je bois un petit coup et je commence à lui expliquer : c'est physique, il suffit de savoir s'y prendre, peu importe qu'il soit hétéro ou homo, si on stimule comme il faut, ça peut faire jouir à peu près n'importe quel mec. Il m'écoute ébahi, hochant un peu la tête quand je donne certains détails. Je finis mes explications, et ajoute :
- Mais peut-être que tu as particulièrement aimé parce que je t'ai maîtrisé et , en quelque sorte.

…là il reste la bouche ouverte.
- Comment… ?
- Ben ouais, t'as pas l'air pédé…. (il soupire)
- Non c'est clair je suis pas homo !!
- Ouais, mais j'ai l'impression que t'as quand même envie d'y goûter
- ah non, c'est bon, l'autre fois bon…
- t'as pris ton pied
- oui, mais…

Je lui prends sa bière des mains et la pose sur la table basse. J'ai gardé son poignet dans mon autre main, bien fermement.

- Vous allez pas recommencer ?
- Ca te fait peur ?
- …Oui
- T'as peur d'avoir mal ou d'aimer ça ?
- …
- Viens sentir ma queue, elle est déjà raide.

Je le tire en avant, il résiste. Je le prends par la nuque, il se raidit, a nouveau très rouge.

- Non, non, je suis pas pédé !

Je me lève et me place devant lui sur le canapé. Je grimpe dessus, il se tend en arrière, je me penche et lui colle mon entre jambe sur sa petite gueule. Apres la journée et le footing, ma queue moitié raide qui valse dans mon short doit bien sentir le mec !
Il se débat un peu je tiens sa tête contre ma queue.

- Alors, c'est si grave que ça, une bite ?
- mmm mmm
- Ah pardon, tu veux parler ?

Je le relâche et redescends, toujours devant lui.

- Un commentaire ?

Il reprend sa respiration, et me lance un regard noir. Je me marre… allez, c'est pas si grave, t'a jamais joué a touche-pipi avec des potes ?

- Non.
- Ah bah a ton âge il serait temps ! Tu sais quoi, j'ai dû te blesser dans ton orgueil quand même la dernière fois en te prenant par surprise… Tu veux l'occasion d'une revanche ?
- Comment ça ?
- Tu veux me montrer que t'es un bon petit macho, un vrai mec avec des couilles ?
- …
- Viens on fait ça a la régulière, on lutte et tu me montre que t'es un costaud.

Il se lève, hésitant.

- Faut savoir mon garçon, t'es pas pédé, alors, je te fais pas peur quand même ?

Là il est vexé, du coup il veut se lancer.
Je lui conseille d'enlever sa chemise, si il y tient, et je quitte mon t-shirt encore humide de sueur. Je dégage la table basse, il reste le grand tapis épais au sol.

Il s'approche, il a une bonne position, j'ai l'impression qu'il a de la pratique en lutte… je vais en chier un peu, mais tant mieux, la suite sera meilleure ! On commence à s'empoigner, je tente une prise et il se libère. A son tour, il essaie de me chopper, mais hop, raté.

- Tu sais quoi, on devrait pimenter un peu.
- Ah ouais ? (il est complètement dans le jeu, il a l'air plus mauvais et sportif maintenant… sexy !)
- Ouais, faut mettre un enjeu (Il est tendu vers l'avant, à l'écoute, méfiant). Celui qui gagne a ce qu'il veut de l'autre.
- Genre ?
- Si tu gagne, je fais ce que tu veux pour toi, n'importe quoi. Et dans le cas contraire...
- Ok, je vais gagner.
- On verra ça.

Je le chope d'un coup et le pousse au sol, plaqué sur lui. Il se débat, se libère se relève, grogne et m'empoigne a son tour pour me jeter au sol. Je le voyais plus gentil, pas si combatif, j'aime ça.

Le jeu dure un bon moment… mais j'ai l'âge pour moi et un entrainement important dans pas mal de domaines. Au fur et à mesure, malgré sa jeunesse et sa vigueur, il fatigue, se laisse emporter au sol plus facilement, peine à se libérer… J'en profite pour défaire sa ceinture pendant une prise, puis sa braguette pendant une autre. Je lui glisse a l'oreille que si je gagne, je vais faire de lui ma pute. Il se rebelle évidemment, m'insulte quand il en a le souffle. Moi, pendant les périodes de corps a corps, de plus en plus nombreuses, j'en profite pour passer les mains dans son jean. Remarque, lui se gène pas pour essayer de me taper dans les couilles, voire de les chopper. Mais n'empêche que malgré l'effort, il a l'air excité de sentir ma main passer sur son cul. Ca le déconcentre...

- Eh, mon petit, à la régulière j'ai dit ! et je crois que tu vas perdre. (Il grogne.)

J'ai un bras sous une de ses jambes, il est presque dos au sol, il retient encore mon épaule pour ne pas être totalement vaincu, mais… Voilà c'est fait, je suis plaqué sur lui, il ne peux pas se libérer. Rageur, il tape du poing sur le sol.

- Ben t'es un sauvage toi ! Je lui tends la main pour le relever après m'être remis debout moi-même.
- J'ai fait des compètes de tout, j'ai horreur de perdre, crache-t-il en s'essuyant le front du revers du bras. Alors, Monsieur pervers, j'imagine que vous avez des idées bien dégueu vu que vous avez gagné ?

Amusant, j'aurais pensé qu'il essaierait de me faire oublier qu'il y a un enjeu. Un mec d'honneur décidément…

- Je t'ai dit tout à l'heure, ce soir tu seras ma pute…
- Oh putain…
- Je te forcerai s'il le faut
- Je sais…

Je m'approche de lui doucement, et à son grand étonnement, je lui saisi la nuque pour l'embrasser à pleine bouche. Il est totalement déstabilisé, les bras ballants, dans mes bras, le jean entrouvert, que je fais glisser en même temps que je lui roule une pelle bien longue et baveuse, et je continue a le caresser, son dos musclé, son cul ferme, même sa bite.
Je me recule il me regarde incrédule.

- Pourquoi t'as fait ça ?
- Tais-toi, et dis monsieur !
- Monsieur…
- Tais-toi !

Il est bouche bée à nouveau. Il commence a sentir le résultat de sa défaite, il est à nouveau en position d'infériorité devant moi. Je lui dis de quitter ses baskets et son jean, il hésite à peine à se mettre en slip, trempé de sueur. "A genoux devant ton vainqueur", idem il le fait.
Je m'approche devant lui.

- Embrasse mes pieds
- Quoi ? non !

Je lui att la nuque et le penche en avant sur mes baskets. Je lui rappelle sèchement qu'il a perdu, et qu'il doit honorer le mâle dominant. Il renâcle, je commence a lui donner une claque sur la fesse au travers de son slip. il sursaute. "Aïe !" Il se débat encore, je continue. Il manifeste toujours, je commence a hausser le ton :
- Plus tu gueules, plus je claque, tais-toi et embrasse mes pompes, ça ira mieux pour ton cul !

Pas con, il essaye de se calmer et de reprendre appui sur ses mains, et approche ses lèvres de mes baskets. Il tremble un peu maintenant, mais dépose un baiser rapide sur mon pied.

- Voilà, tu vas découvrir ta place, et je sais que tu vas aimer.

Il a relevé les yeux vers moi… Une larme au coin de l'oeil, déjà dans la tourmente. Je vais l'emmener, mais doucement celui-là. Il ne se connaît pas lui-même… Je me penche et lui fais un baiser sur le front. Il a un très bref sourire, il a compris que je ne serai pas méchant gratuitement…

- Je veux juste que tu sois un jouet sexuel qui va prendre son pied avec moi, compris ?
- Oui…
- On dit "Oui Monsieur"
- Oui Monsieur (il se mord les lèvres).
- Tu vas être sage ?
- …Oui, j'essaierai
- Monsieur
- Oui, Monsieur

Pendant qu'il le dit, il les mots se hachent, il tremble a nouveau, et des larmes perlent a ses yeux. Je le relève, et l'embrasse à nouveau. Il est dans un tourbillon d'émotions contraires, il se laisse consoler, puis commence à répondre à mes caresses. Déjà brisé, il se donne à fond ?? Je suis étonné, mais bon ! Je lui parle à l'oreille :

- Je vais te faire jouir et tu vas me faire jouir, mon tout beau
- Oui…
- Mais tu dois accepter d'être guidé et puni s'il le faut
- Oh oui
- Mets toi a quatre pattes et suis moi.

Je progresse vers la chambre…

- Qui est ton mâle ?
- Vous Monsieur
- et qui est le débutant qui a besoin d'être pris en main ?
- (il souffre de ses genoux sur le carrelage)… moi Monsieur
- Tu aimes être guidé ?
- …je ne sais pas Monsieur

Nous arrivons a la chambre. Je m'assieds au bord du lit, il reste à quatre pattes devant moi. Regard vers le sol. Je lui explique calmement qu'on va juste baiser, qu'il n'a rien a craindre. Il a pris son pied la dernière fois… Je lui fais redire. Puis je lui dis de se redresser et de me regarder. Il pleure encore… Mais son slip est tendu d'une plus que demi-érection.

- Tu bandes ?
- …
- Tu bandes !
- Oui Monsieur
- Approche toi, mains dans le dos.

Il vient vers moi. Je lui caresse le torse, les tétons, passe ma main sur sa queue… il a un frisson.

- Viens chercher ma bite
- Non
- Me fais pas te forcer, viens prendre en main ta première queue !
- Non... forcez-moi.

Pas une seconde d'hésitation malgré une relative surprise : je lui balance une baffe. Il a un recul et un cri sourd.

- Viens chercher ma bitte.
- Non.

Deuxième baffe pour calmer son regard de défi, deuxième cri. Je passe derrière lui et prends une corde sur l'appui de fenêtre. Il a gardé sa posture de soumis, les mains dans le dos… il a donc conscience qu'il veut être … Que c'est ça qui lui donne la trique à ce moment précis. Je ne veux pas casser sa petite gueule, donc je vais le contraindre autrement ! Je passe rapidement la corde autour de ses mains.

Je retourne devant lui… Sa trique est vraiment bien présente maintenant !

- Tu me facilite pas la vie, petit… mais je vois comment on va faire. Je vais te la faire gouter ma queue.

Il me fixe pendant que je baisse mon short. Il me regarde comme pour la première fois, avec un intérêt particulier pour ma queue qui a débandé un moment.

- C'est ça que tu regardes hein ? il ne répond pas. Oui, c'est ça que tu vas prendre dans ta petite gueule…

Je m'approche en me branlant un peu pour commencer a durcir. Puis je lui colle ma queue sur le visage. il ferme les yeux cette fois ci, et clos les lèvres fermement. Mais il gémit déjà, comme si il n'attendait que ça…

Je sens que ça aussi, il va falloir que je lui prenne de force… au moins au début. De toutes façons, ma queue a durci très vite devant son joli minois. Je lui ai attrapé la nuque d'une main pour qu'il ne recule pas, et de l'autre je plaque mon gland contre sa bouche. Rien a faire, il résiste. Je le prends sous les bras et le jette sur le lit.

J'applique un truc simple : a genoux devant sa tête tournée vers moi, je lui pince le nez… Rapidement, il ouvre les lèvres pour respirer, par réflexe… et j'en profite pour y coller mon gland. Il rue. Je continue le manège et il finit par s'accepter à nouveau vaincu, mon gland dans la bouche.

- Ouvre ta gueule et lèche.

Une larme à nouveau à l'oeil, il commence a goûter cette fois. Peu à peu je lui donne un peu plus de bite à lécher, a sucer… Je vérifie, il trique toujours.

- Alors, ca t'excite de devenir un petit pédé, ma puce ?

Il gémit en sucent un peu plus profond… Merde, il fait ça bien en plus, ses lèvres et sa bouche sont très douces, et si ça continue il va me la gober en entier… Mais non, il a un sursaut d'orgueil et fait mine de tout ressortir… A nouveau il veut que je le force. Je prends sa nuque et c'est moi qui commence à baiser sa bouche de joli blondinet.

Il a les yeux levés vers mon visage, un moment… il regarde le mâle qui lui enfile sa queue dans la bouche. A force d'aller au fond de sa gorge, il a a nouveau des larmes aux yeux, mais sa queue reste bien raide dans le slip, soulevant l'élastique par moments.

Sa bouche est trop bonne, c'est trop bandant de le voir comme ça, les mains attachées dans le dos, sa gosse bite bien raide, en train de me sucer, mi , mi excité d'être obligé de le faire… Je commence a lui raconter n'importe quoi, qu'il est une bonne pute, que je vais faire de lui ma salope, et j'en passe.

Je m'installe a califourchon sur sa tête, il m'a l'air prêt pour se faire vraiment limer la gueule maintenant. J'ai la tête en direction de ses pieds, l'idéal pour pénétrer au plus profond de sa gorge. Et je me fais plaisir, en le lui disant ; il n'est bon qu'à me faire du bien, il est ma chose, même plus un mec, mais juste un sex-toy pour moi… je me plaque contre lui, la bite bien profond dans sa gueule, et je caresse son corps de jeune mec bien foutu en lui baisant la bouche.

Je me fais plaisir, et à un moment où je lui enfonce ma queue encore plus profond… Il se met a se tendre, son bassin se contracte, se jette vers le haut plusieurs fois pendant qu'il gueule avec ma queue dans la bouche.

J'ai un moment d'arrêt, puis sors ma bite de sa gorge pour ne pas l'. Il a encore quelques spasmes, et c'est la que je remarque : sur son slip, une grosse tache sombre, et juste à l'extérieur, devant l'élastique soulevé par son gland encore bien gonflé : encore une belle marre de sperme !

J'éclate de rire !
- Eh ben t'es plein de surprises petit… Alors c'est bon d'avoir la bouche bien rempli d'une bonne queue ?
Je me retourne pour le regarder, il pleure à chaudes larmes…




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