Chapira
La fille du professeur de langue qui donne des cours à ma dernière a une fille splendide. A 17 ans, elle a le corps dune femme accomplie. Je sais quelle est fort bien faite. Jai envie quelle pose nue pour moi. Je nai pas envie de le demander à la mère, ni à elle. Odette, ma femme fait la corvée pour moi. Elles se connaissent bien, ma femme na aucune difficulté pour convaincre la mère qui a son tour convainc sa fille.
Le jour dit nous allons chercher la jeune femme. Jai choisi lendroit des poses : une orée avec une vielle charrette. Je rêve de photographier la fille appuyée sur le dos, courbée sur la roue. En route je précise bien que cest pour des photos de nu. Elle en est daccord, puis nous bavardons, elle nous donne son nom : Chapira. Elle précise quelle est juive de naissance. Je men fous totalement, la seule chose qui mintéresse est sa plastique.
Elles bavardent avec ma femme dune foule de problèmes féminins. Je les laisse sexprimer comme elles en ont envie. Ma femme nest jamais que lalibi pour mon job du moment, elle garantie ainsi le respect de la jeune femme sans doute une vierge acharnée.
Nous sommes au bon endroit. Je sors mon matériel que je commence à monter. Sans que je le lui demande Chapira est vite toute nue. Elle tient devant elle sa robe par pudeur sans doute. Il me vient lidée dassocier ma femme à Chapira. Lidée ne lui déplait pas, elle sait que les clichés resteront chez nous ou chez Chapira. En un rien de temps, elle est aussi nue quEve au jour de sa création. Elle ne se cache pas à tel point que Chapira laisse tomber sa robe.
Nous nous mettons près de la vieille charrette dans la pose que jai en tête. La belle fille se mets comme je lui demande sans se plaindre un seul instant de la mauvaise pose pour elle. Ma femme ne vient pas très loin pour lui faire rectifier une position.
- Et si nous faisions des photos coquines avec vous deux.
Ma demande tombe à plat.
Au début je ne suis pas gourmand je les fais prendre la taille de lautre. Cest facile, surtout que jai en tête une suite pas très convenable. Je le verrais bien sembrasser sur la bouche. Je tente le coup doucement par des baisers appuyés sur les joues. La nature fait que petit à petit leurs lèvres se rapprochent « dangereusement ». Jusquau moment où elle échangeant un vrai baiser. Je vois leurs langues allaient dune bouche à lautre. Elles ne posent plus, elles flirtent. Et sans que je le demande elles commencent à se caresser les seins, leurs mains vont sur les chattes. Elles sont bien serrées, leur mains commencent des mouvements de masturbations. Elles ont oublié les photos, les poses, même moi.
Je ne connaissais pas Chapira, je connais bien Odette. A ma connaissance cest la première fois quelle agit ainsi avec une autre fille. Je les entends échanger des propos dignes dun film porno.
- Oui, branles moi, mets ta main sur mon cul,
- Tes doigts dans mon con, cest bon, branle moi encore.
- Je vais jouir, narrête pas, mets moi deux doigts dans le cul.
Ma bite ne peut pas résister à ces propos, à leur mauvaise tenue. Tant pis je me déshabille dans la nature. Qui aurait le mauvais gout de venir nous voir ?
Malgré ma nudité je prends toujours des photos de plus en plus osées. Elles se couchent pour mieux jouir. Jusquà ce moment ce nétais que des petites caresses. Maintenant elles se mettent en 69 sur la demande de Chapira. Elle est sur Odette qui lui donne toute sa chatte. Je regarde la langue qui soccupe de ma femme. Elle va jusque sur le cul. Elle aime se faire sodomiser, alors la langue entre facilement. Odette pousse ses petits cris habituels : elle ne va pas tarder à jouir, devant moi dune autre fille plus cochonne quelle. Et moi dans tout ça, il ne me reste que la main ou le cul de Chapira.
Je suis vite au fond de son rectum, de son cul. Quand jencule Odette, jai pour habitude de lui doigter le clitoris. Là, ne connaissant pas encore le corps de ma nouvelle maitresse, je fouille un peu pour trouver ce que je cherche. Elle a un con très doux, très gouteux, celui dune fille en chaleur. Elle remue son cul en même temps que ma bite. Odette me demande si sest bon. Ma réponse positive entraine la sienne ; Elle aussi jouit plus que les autres fois. Pourtant cest Chapira qui a le dernier mot en criant JE JOUIS
..
Le jour commence à tomber, il nous faut rentrer. Je range tout mon barda, les filles font semblant de shabiller en ne mettant que leurs robes. Je suis habillé normalement. Je monte à ma place, elles montent à larrière pour remonter les robes presque jusquà la poitrine. Cette fois cest Odette qui prend le dessus, elle pose sa bouche sur le con entrouvert de Chapira qui se laisse sucer un bon bout de temps pendant quelle branle ma femme.
Jarrête la voiture en face la maison de la prof. Chapira descend. Elle me demande quand elle pourra venir voir les épreuves. Quand tu veux, de préférence un soir, avertit ta mère que ce sera long, ajoute Odette qui mavoue quelle compte bien la baiser encore et me la donner pour de bon pour soulager ma bite.
En rentrant chez nous, cest ce quelle commence à faire. Elle sort ma queue, la met dans sa bouche et me fait une fellation bien venue. Je jouis dans sa bouche pour la première fois. La suite se règle au lit, quand elle prend le gode pour se baiser devant moi. Elle me fait encore bander, je la laisse se baiser seule, pour lenculer. Elle aime bien les doubles pénétrations, jen profite, jaime sentir son gode à travers son con.
Le lendemain je mattelle à faire les premières épreuves. La plus part sont bonnes, avec toutefois des réussites comme quand les deux femmes sembrassent sur la bouche en se touchant les chattes.
Je montre tout à Odette qui ne se retient pas du tout pour se masturber. Pour avoir un peu la paix je range tout en attendant de soir. Dès que la sonnette nous avertit, je vais ouvrir. Je suis surpris de voir Chapira avec sa mère. Elles entrent, Chapira membrasse sur la bouche devant sa mère. Je suis gêné de cette situation, surtout que la mère regarde avec intérêt. Odette arrive aussi : elles sembrassent comme de véritable habituées. La mère enfin ouvre la bouche. Je mattends à une belle engueulade, après tout nous avons baisé sa fille.
- Nayez pas peur, je sais que Chapira a fait lamour avec vous deux. Jétais là pour sa première fois, elle ne ma pas vu : je la surveillais depuis ma chambre quand elle était sur la terrasse avec le fils du voisin. Comme elle se masturbait, il na pas hésité à venir la baiser. Elle a ouvert ses jambes comme si elle avait fait ça toute sa vie.
- Nexagère pas, maman, tu mavais bien donné lexemple quand tu tenvoyais en lair avec le père de celui qui ma dépucelé.
Nous allons bientôt connaitre tous les secrets de famille.
- Nous pouvons voir les photos, demande la maman.
Je pose toute la collection sur la table. La mère, sa fille et ma femme regardent avec attention les ébats des deux gouines. Moi, je recommence à bander. Je connais mon intention : la mère est appétissante. Je la prendrais bien dans un lit. Cest dans cette intention que je pose une main sur son épaule. Elle me regarde en souriant, je sais quelle aussi voudrait tirer un coup avec moi. Comme ma femme soccupe bien de sa fille, je nai aucuns soucis immédiats pour ma queue.
Je la fais lever, je lembrasse longuement. La fille nous voit et nous dit quelle désire baiser avec ma femme. Elles se contentent du divan.
Je baisais la fille hier, je vais baiser la mère aujourdhui en espérant quelle soit plus dévergondée. Nous ne trainons pas en route. Dès que nous sommes nus, nous nous couchons. Après un premier baiser où nos langues font connaissance, nos mains se baladent sur le corps de lautre.
Je caresse son bouton, jarrive à entrer dans son con directement pendant quenfin elle soccupe de ma bite. Elle la prise à pleine main. Lentement elle baisse mon prépuce quelle fait aller presque contre mes couilles pour remonter lentement. Elle me branle aussi bien quOdette. Je me laisserais bien faire pour jouir.
Nous entendons dans le séjour les gémissements de deux femmes qui se gouinent sans soccuper de nous. Nous allons bien plus loin avec cette femme de 45 ans. Elle est particulièrement bien au courant de lamour. Quelle bonne baiseuse, meilleure même que ma femme, ce qui nest pas peu dire.
Cest elle qui attire ma bite en elle.
- Baises moi, jen ai envie depuis hier au soir, mets moi là.
Je nécoute que notre désir. Si elle me veut depuis que sa fille a parlé de moi, jai envie delle depuis un peu moins dune heure. Mais quel paire de seins, quelles fesses, quel con.
Jentre en elle comme en terrain conquis. Il faut dire que quand la terre est meuble, le labourage est plus facile. Elle a du en avoir des amants qui sont passés sur elle. Je vais tout au fond de son con. Elle le resserre pour mieux me sentir. Elle arrive au prodige de mettre son vagin au petit diamètre de son cul. Nous prenons notre plaisir sans nous occuper du reste. Elle a laissé son doigt dans mon cul. Jarrive moi aussi à mettre un doigt dans cette intimité différente. Je sens surtout ses spasmes de jouissance plusieurs fois.
Elle cri ses orgasme. Je comprend mieux quand Chapira avoue comment elle a fait lamour pour la première fois. Elle avait vu sa mère se faire mettre tout près delle. Elle en avait conclue que baiser était très agréable. Je narrive pas à jouir en elle : elle parvient à faire sortir mon pine juste un instant avant. En se penchant compétemment elle me prend dans la bouche pour déguster mon jus. Elle est pire que sa fille ou alors elle ne lui a pas tout appris.
Sa bouche revient sur la mienne pour que nous partagions le sperme. Elle vient sur moi, totalement étendue sur mon corps. Je sens ses seins contre moi, son bas ventre contre mon ventre. Elle mexcite encore. En restant sur moi, elle se met en cavalière sur ma queue. Je la laisse faire ce quelle veut. En me faisant face, elle se transforme en cavale denfer avec ma queue dans son cul.
Je suis dans son ventre, bougeant le moins possible quand Odette entre sans dire un seul mot, sinon : bonne baise. Elle ne vient que chercher son gode. Au passage elle embrasse celle qui me chevauche. Je suis plus résistant je ne jouis pas vite alors que la mère a des besoins puissants. Je sens son cul se fermer quand elle a un orgasme. Comme elle en a plusieurs cest le paradis des dieux antiques. Et le miracle arrive : nous jouissons ensemble. Il me semble que ma queue est prisonnière de son cul. Quand elle se dégage, elle reprend ma bite dans sa main, elle me branle sans résultat ;
- Si tu veux je reviens souvent, tu baise bien.
- Quand tu veux.
- Et ta femme ?
- Et ta fille ?
Depuis nous allons les uns chez les autres. Quand la fille nest pas avec un garçon de son âge nous baisons à quatre. Je sais ce nest pas moral de mêler mère et fille.
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