Heures Supplémentaires

Amy était prête à rentrer chez elle. Rapidement, elle rangea dans son sac ses effets dispersés un peu partout sur sa table de travail. Il était 22 heures, à cette heure là le bureau était complètement désert. La jeune femme avait décidé de continuer à travailler tard dans la nuit à la demande de son patron, un beau brun, grand au corps athlétique et au regard troublant. Amy, soupira en pensant à son patron. Comme elle aurait aimé qu’il la serre dans ses bras puissants, qu’il l’embrasse de ses lèvres pulpeuses, qu’il lui fasse l’amour au près d’un bon feu de cheminé. Mais au lieu de cela son patron, un véritable étalon collectionnait les aventures sans lendemain. Amy malgré sa poitrine généreuse, corps parfait et ses jolies boucles blondes n’avait apparemment aucune chance. Avec nonchalance, elle ramassa la moitié des documents qu’elle avait déjà traités et gagna le bureau de l’homme qui occupait ses pensées. Qu’elle ne fut sa surprise lorsqu’entrouvrant la porte du bureau, elle le vit, là devant elle en chair et os. Affalé dans son fauteuil, les pieds posés négligemment sur son bureau, il semblait tout droit sorti d’un magasine de sport fitness. Amy qui se demandait encore si elle ne rêvait pas se passa nerveusement la main dans les cheveux avant de s’éclaircir la voix. Le jeune homme qui semblait soudain avoir remarqué sa présence, lui sourit en la priant d’entrer.
_ J’espère que je ne vous dérange pas, lui déclara telle en pénétrant dans le bureau.
_ Bien sur que non voyons! Lui assura t-il, ce sont les documents avez-vous enfin terminé ?
Amy secoua la tête en signe de négation. Martin qui lui déclara que ce n’était pas bien grave la pria de poser les documents dans son tiroir qui se trouvait face à son bureau. Amy qui se savait détailler sous toutes les formes de coutures par son patron s’exécuta en roulant ses hanches. De sa démarche sensuelle qui appelait à la provocation, Amy passa devant Martin, se courba pour révéler sa croupe moulé dans sa jupe étroite .

Elle se redressa ensuite et ramenant ses cheveux en arrière lui demanda si elle pouvait lui être utile à quelque choses d’autre. Martin, un éclair de désir dans le regard lui dit que non. Amy de sa démarche envoutante contourna le bureau pour gagner la porte. Mais Martin qui s’était subitement redressé, l’interpella. La jeune femme se retourna vers l’air faussement surprise.
_ Cela vous dirait il de me tenir compagnie… proposa le beau Martin, voyez vous nous ne sommes que deux.
Amy, le cœur en joie, vint alors s’adosser sur le bureau, au dessus de son patron qui l’observait d’un étrange regard. Martin après avoir servit un verre de whisky à sa secrétaire vint s’adosser près d’elle. Lentement, il lui passa la main dans les cheveux et lui caressa le visage. Enhardie par le consentement qu’il lisait dans les yeux d’Amy, Martin descendit le long de sa poitrine généreuse, et lui caressa les seins. Il s’insinua ensuite les doigts entre les cuisses de la jeune femme qui gémit de plaisir. Il fit glisser délicatement sa petite culotte. Amy, qui avait tellement rêvé de se moment privilégié avec son patron, ôta son corsage, puis son soutient. Ses deux énormes seins jaillir soudain. Mais lorsqu’elle voulut retirer sa jupe, Martin qui n’y tenait plus ne lui en laissa pas le temps. Vivement, il plaqua contre son bureau.
Amy qui hochait la tête, l’indexe dans la bouche écarta les jambes. Son jardin secret apparut. Martin qui déboutonna rapidement son pantalon se pencha au dessus d’elle, son membre en érection tendu vers la jeune femme. Délicatement, il la pénétra de toutes ses forces. Son sexe dur s’enfonçait de plus en plus profondément en Amy qui hurlait de joie. Martin, au bout d’un moment d’actif mouvement de va et viens sentit sa jouissance approcher. Il émit grand cri de plaisir en libérant de formidable jet qui se rependit en Amy. La jeune femme enivrer de plaisir, gémissait en lui demandant de continuer, mais Martin, lui tapotant machinalement les fesses nues, la pria de se rhabiller. La jeune femme un peu mal à l’aise s’exécuta en se demandant qu’elle sera la suite de leur relation à l’avenir. Martin s’était de nouveau affalé dans son fauteuil, complètement épuisé fut surprit en constatant que la jeune femme restait planté là devant de lui.
_ Rentrer chez vous, marmonna t'il à son intention en agitant la main avec nonchalance.