Pascale La Fessée
Je suis pas mal fichue, 1,65 m, assez fine avec 50 kg toute mouillée, brune cheveux mi-longs, petits seins en poire, petites fesses dodues, motte épilée sur les grandes lèvres, juste une touffe de poils sur le mont de Vénus. Je peux raser, couper court ou laisser pousser, jai fait une épilation laser. Ca simplifie lentretien. Je ne suis pas du tout pudique, jadore le naturisme et je nhésite pas à me montrer. Jadore le sexe. Je peux être femme fatale, sous-vêtements en soie et dentelle etc, mais cest pas trop mon truc. Je préfère mon coté salope, qui aime se donner et être prise, voire humiliée
ca me fait jouir quon profite de moi !
Je suis mariée avec Antoine, qui adore le sexe lui aussi et me baise divinement.
Jaime aussi les jeux de soumission et de fessée, et lui aussi, ça tombe bien. , jaimais déjà la fessée, et plus dune fois jai tout fait pour men prendre une, et jai souvent réussi. Je pleurais bien parce que ça faisait un peu mal, mais au fond, jadorais cette sensation. Déclencher la punition, puis une fois quelle était lancée, perdre tout contrôle : être déculottée, navoir plus aucune échappatoire, être immobilisée, et cette chaleur sur les fesses
jen frémis encore.
Alors jadore quand Antoine recrée cette situation, dans le rôle du père ou du maitre décole. Nous avons notre code pour ces jeux. Pour démarrer, je prends une voix de petite fille, et alors il sait quil peut y aller, rien ne peut larrêter. Si cest son idée, il lui suffit dappeler la petite fille en moi : « je crois que tu nes pas sage ? » si je réponds sur le ton de la petite fille, cest OK. Si je ne veux pas, il suffit que je dise NON. Par contre, une fois que cest démarré, je peux toujours supplier ou essayer, plus rien ne larrête. Cest la règle.
Des fois, je fais exprès de commencer en public. Lautre jour au supermarché, jai fait mine de faire un caprice, avec ma voix de petite fille. « -Pascale, ça suffit ou je ten colle une ici ! » ma-t-il dit, entrainant aussitôt un frémissement de mes fesses.
Rentrés à la maison, je men suis effectivement pris une bonne mais je lavais bien cherchée.
Dabord, jai du me mettre au piquet, debout contre le mur, pendant quil rangeait les courses. Javais les fesses qui me chatouillaient. Je connais ses fessées, il men donne régulièrement, et elles sont cuisantes. Après, une fessée intéressante pour moi, cest une vraie, pas quelques claques sur la culotte, celle où on a vraiment envie que ça sarrête, qui fait mal. Cest à ce moment-là que ça devient jouissif. Et puis il faut aussi perdre le contrôle.
Alors, il a installé une chaise au milieu du salon, et sest assis dessus. Allez, petite fille, venez donc me voir ici. Je me suis approché, tête basse.
-Vous avez mérité une bonne punition, nest-ce pas ?
-oui répondis-je-
-vous allez recevoir une fessée magistrale !
-
jimagine
-une fessée magistrale cul nu ! cest tout ce que vous avez mérité !
Il me a fait alors mapprocher et me coucher en travers de ses genoux. Pour ne pas me retrouver par terre, jai été obligée de mettre les mains, et du coup mes pieds ne reposaient plus sur le sol
Il releva ma jupe, découvrant la petite culotte blanche de petite fille, puis passa un doigt sous lélastique, et la fit descendre doucement jusquà mes chevilles. Elle était déjà trempée !
-non, pitié, pas déculottée, dis-je, en agitant les jambes
-mademoiselle, une bonne fessée, cest cul nu !
-pitié, je ne le ferai plus !
-eh bien, après cette fessée, oui, je pense que tu ne le feras plus !
Je sens sur mes fesses nues, qui commencent à sacrément me démanger lair frais qui passe
jai aussi limpression de passablement mouiller.
Mais nous revenons à nos moutons, il matt une main, et la plaque dans le dos, puis abat sur mes fesses dénuées de toute protection une claque aussi sonore que soudaine. La première surprend, mais ne fait pas vraiment mal. Il attend un peu pour la seconde, qui me surprend et commence à cuire un petit peu. Les suivantes tombent fort, sans régularité et de plus en plus rapide. Je finis par dire aïe, aïe, il ralenti un peu la cadence, pour reprendre de plus belle. AÏE, AÏE. Il sarrête. Puis reprend, encore plus fort, encore plus vite. Mes fesses sont en feu, je commence à gigoter et agiter les jambes, mais ça na pas deffet, voire au contraire, la force et la rapidité des claques semble augmenter. Jai mal, mais cest tellement bon à lintérieur. Jai envie quil continue.
Après un moment, il sarrête. Jai les fesses en feu, et la chatte inondée. Il me caresse à nouveau, et me doigte. Je me laisse faire en ronronnant.
Puis il me relève et mordonne de me déshabiller entièrement. Ma culotte est à mes chevilles, je lenlève. Je dégrafe ma petite jupe, qui descend par terre toute seule. Je déboutonne ensuite mon chemisier, jenlève mon soutif. Je replie le tout et le pose sur une chaise. Il me fait alors mettre au coin, à genoux. Je ne dois plus bouger. Je mexécute. Jai très chaud aux fesses, lair frais fait du bien.
Après un quart dheure environ, il me fait revenir sur la chaise sur laquelle il sest assis à nouveau, et sans un mot, me fait signe de mallonger sur ses genoux. Je constate quun peu de ma mouille a touché son jean. Cest vrai que je suis trempée.
Il reprend la fessée, toujours aussi magistrale. Comme mes fesses sont déjà « pré-cuites », les sensations sont différentes. La douleur se mélange au plaisir. De temps en temps, une petite pause lui permet de constater létat de mon abricot, de plus en plus humide.
Et puis, il sarrête, et je dois de nouveau me mettre à genoux au coin, à poil donc cette fois.
Après un moment, de nouveau, il mappelle, mais il est assis sur le canapé. Je viens. Il me fait assoir sur ses genoux, face à lui, et me caresse doucement, le visage, puis le cou, le ventre et la motte, puis me fais allonger sur le ventre et caresse mes fesses meurtries.
-elles sont bien rouge, déclare-t-il avec un air satisfait. Beau travail. Il prend une photo. Je verrai plus tard queffectivement, pas un cm² de mes fesses na été épargné.
Il me retourne sur le dos, et plonge sa bouche sur ma moule, je sens sa langue qui effleure mon clito et mes petites lèvres. Il men faut peu, et dès quil sattarde sur clito, le faisant rouler sous sa langue, je sens un premier orgasme me traverser du ventre vers la tête.
Il ouvre son pantalon, sort sa queue, il bande monstrueusement, son gland est humide. Il me relève les jambes, les pose sur ses épaules, et membroche sans façon. La pénétration est brutale, il enchaine avec de grands coups de butoir, me pilonne, jai limpression que sa queue va me transpercer, jambes repliées, pieds presque aux oreilles, je ne peux pas bouger. Je feule sous les coups de boutoir.
Il ralentit le rythme mais continue de me baiser à fond. Je sens sa queue en moi, je gémis.
Puis il ressort, att du gel, quil me tartine sur la rosette, puis sans rien me demander, me pénètre à nouveau mais par derrière. Cest très fort, jen crie. Après un petit moment, il commence à me défoncer le rectum. Je sens sa queue vibrer et alors quil jouit rapidement, un second orgasme me traverse, fulgurant
Plus tard dans la soirée, je lui dirais : « naurais tu pas fait une bêtise, mon chéri ? et il prendra sa voix de petit garçon pour me répondre : -peut être que je vais avoir la fessée ?
Mais cest une autre histoire
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