Histoires De La Bienheureuse Agnès H1- 5
1ère Histoire - Soir doctobre en Beaujolais 5 -
Episode 5 / 6 : Où le lecteur voit que le guet-apens vire à lorgie
Remarque préliminaire : Pour la compréhension de lhistoire, il est très utile davoir lu les 4 épisodes précédents.
On servit à boire. Agnès tenta de refuser tant la tête lui faisait mal de tout ce quelle avait déjà bu et de tout ce qui sétait passé dans cette soirée, mais en vain. Le Jacquot, ivre, se tenant à elle et lui intimait lordre de boire tout son verre dun vin blanc liquoreux et très fort. Il avait de plus en plus de mal à parler distinctement et Agnès ne comprenait pas tout ce quil disait :
- " Maintenant, petite garce tu vas avoir tous les hommes à ta disposition !... Je veux dire que tu choisis celui qui va te baiser en premier. Un verre
, un homme
Et ainsi de suite
! Tas compris. Voilà un verre
Tu bois et tu es prise
Et vous les gars, vous la prenez par où vous voulez
Devant
, derrière
Comme vous voulez
! ". Agnès avait du mal à suivre ce quil cherchait à faire. Aussi, elle ne répondit rien.
La Brigitte qui revenait vers la table accompagnée de Johann expliqua à Agnès juste ce quil fallait :
- " En fait, on te demande de choisir un homme dans lassistance pour commencer, puis un autre, de prendre avec lui du bon temps et de boire un verre entre chaque coup qui sera tiré. Tu vois ce nest pas compliqué et si tu ne veux pas, cest moi qui vais moccuper de toi, salope !
Alors, choisit !". Agnès était interloquée par le ton sans appel de la jeune patronne. Tout allait trop vite pour le niveau de sa compréhension du moment. Elle osa demander :
- " Mais que me voulez-vous au juste ?... Que vous ai-je fait pour que vous me traitiez comme ça ? "
- " Tais-toi, putain !, lui asséna la Brigitte
Tu le sauras bien assez tôt et alors pour toi, ce sera le commencement de la fin ! Garce ! "
- Oui, vas-y, ma Brigitte, renchérit la Bernadette, ne ten laisse pas conter par cette sale bourgeoise qui aime plus les bites et les types que le travail.
- " Oh, oui, cest tout ! " renforça bêtement le Françou.
- " Aller, assez discuté
coupa la Brigitte, qui choisis-tu ? ".
Agnès ne voulait pas répondre. Elle savait parfaitement que si elle coupait dans ce jeu, elle était cuite, il en était fini de la parcelle de liberté qui lui restait et quelle ne pourrait remonter la pente. Elle se renfrogna en refusant de répondre. Après un court silence la Brigitte reprit :
- " Bon, comme tu voudras ! Tu peux faire ta mijaurée, tu nauras pas raison !... Alors je choisis pour toi. Verse-lui dabord un grand verre de vin, Françou
Et quelle le boive, elle va en avoir besoin ! ".
Agnès tenta de résister un moment et ne desserra pas les dents. Mais le Françou qui en avait vu plus dune, fit mine de lembrasser sur la bouche. Agnès voulut esquiver le baiser, et tournant la tête fit un "Ahhh" de dégoût. Le vieux profita de la diversion pour lui verser le verre dans la bouche. Bien quelle essayât den rejeter la moitié, elle en avala une bonne partie. Le vin lui dégoulinait sur les seins et surtout dans le sillon entre les seins et venait lui coller les poils du pubis. Le Françou léchait les trainées de vin sur son buste, son ventre et jusque dans ses poils
Agnès eut de nouveau un haut-le-cur, mais ne parvint pas à vomir les grandes goulées de vin qui lui brûlaient lsophage.
Sans ménagement la Brigitte qui était venue à sa hauteur, la couchait sur la table où elle se retrouvait de nouveau allongée sur le dos. Elle fit signe à Bernadette de la tenir de lautre côté et à Françou de venir sur elle :
- " Allez mon Françou, monte-là bien et mets lui ton beau calibre dans la fente ! ".
- " Oui, oui
Patronne !... Tu peux compter sur moi !... dit-il en enjambant la petite infirmière. Je vais la baiser bien à fond !". Le Françou entreprit donc de la chevaucher. La belle Agnès ne desserrait pas les jambes, bien quau fond delle-même elle eut très envie de connaître enfin cet engin monstrueux en elle, ce membre si différent qui lobsédait
Brigitte était repassée au bout la table, aux pieds dAgnès :
- " Hubert, Adrien, écartez-lui bien les jambes ! ". Les deux garçons empoignant les chevilles de la belle bourgeoise et y pesant de tout leur poids lui écartèrent les jambes, non sans difficultés. Agnès résistait de tout son corps. Elle savait que si elle laissait le vit monstrueux du Françou effleurer sa chatte, celle-ci lavalerait sans quelle puisse faire quoi que ce soit et elle serait vaincue
Mais les garçons arrivèrent à lui faire écarter les cuisses. Brigitte sétait mise entre les jambes écartées dAgnès et guidait déjà la queue énorme vers la fente de la jeune femme. Le Françou, déjà petit et tant sa bite était longue nétait étendu que sur les cuisses et le ventre dAgnès, pour pouvoir entrer en elle. Sa face édentée était tout juste au niveau de ses seins. Cette position de lhomme sur elle, lui provoqua une forte répulsion. Quand dhabitude elle était prise ainsi à la missionnaire, cétait toujours par des hommes plus grands quelle, qui pouvaient lui rouler de patins pendant quils sintroduisaient dans sa chatte
Là, cétait manifestement un nabot qui la sautait. Lexpression était tout à fait juste. Il nempêche, lorsquelle évoquait le membre Quasimodo de son cavalier, elle se sentait défaillir à la seule idée de lavoir enfin dans son trou de femme.
La Brigitte, qui avait saisit le vit du Françou à pleine main, en agitait la tige pour que lénorme bout se fasse un chemin entre les lèvres du con dAgnès. Rapidement le gland démesuré, vint frapper à la porte de la chatte. Agnès ne put réprimer un frémissement que la Bernadette, juste à côté delle ne manquât pas de remarquer :
- " Vas-y mon Françou, tu y es
Pousse doucement et tu vas enfin la baiser !.
La main de la rouquine avait dépassé le bout de lengin du Françou et de ses doigts, elle écartait les lèvres de la fente et les bords du trou pour faciliter le passage de la tête du nud :
- " Tu parles que ça lui fait de leffet, dit la Brigitte, le bout de la bite la à peine touchée, quelle mouille déjà, la grue
Cest la preuve quelle aime les bites et quelle ne peut sen passer
! Vous allez voir : dès quil va enter, elle va décharger
!" Agnès voyait bien quelle ne pouvait dompter sa mouille qui avait commencé à couler dès queffectivement la bite du Françou lui avait touché la moule. Oui, oui quil lui mette enfin dans le trou et quon en finisse quelle le sente le pénétrer comme elle le souhaitait depuis une heure !... Mais la Brigitte toute en perversité prenait un malin plaisir à retarder lentrée du braquemart dans la grotte. Elle faisait aller et venir le bout de lénorme gland juste sur les piliers de la porte, sans lintroduire vraiment. Agnès sentait que son clito était rebroussé vers le haut par le diamètre excessif du gland, en même temps le bas de son trou à baiser était complètement frotté par le frein du pénis du Françou.
Afin de précipiter les choses, elle donna un coup de rein de sorte que le bout du gland entra jusquà la moitié de son con, distendant les lèvres et forçant le trou pourtant très dimensionné de la belle infirmière. La Brigitte sen aperçut et fit remarquer pour tout lentourage :
- " La garce en veut tellement, quelle se baise elle-même sur la grosse queue du Françou !... Hein, putain, tu la veux dans le trou et bien va, tu las maintenant ! ". Disant cela, elle enfonce de la main le vit du Françou plus profondément. Agnès pense quelle est déchirée tant la poussée est brutale et la grosseur du vit importante.
Sous limpulsion des coups de poignets de la Brigitte, le vit énorme du Françou commence un lent va-et-vient. Il percute à chaque passage le point G., bouscule les lèvres du vagin, la hampe frotte sur le clitoris quelle sent prêt à exploser
La configuration en coudes successifs de la tige du vit, lui procure des sensations inouïes, quelle navait jamais éprouvées jusque là
Cette bite immonde et tourmentée est capable de lui branler le point G, en même temps quelle boute au fond de sa matrice et quelle frotte le clitoris
Un divin régal, jamais égalé
Elle sent quelle va éclater en mille morceaux et quelle ne va pouvoir contenir un véritable déluge de jouissance
- " Ooooooh, oui, vas-y mon bon ami
Fais danser ta bite au fond de moi
Oui, comme ça
Oooohhhh, tu es merveilleux !... Merveilleux, jai jamais connu ça
Baise-moi bien à fond ! Tu es super ! Oh oui, vas-y !
Vas-y encore !! Je suis une salope, une putain tout ce que vous voudrez, mais cest bon !... Cest trop bon !... Ah salauds, je jouis, je jouis comme une folle !... Pousse ta bite encore ! Encoooorreee
Je jouiiiiiiiiiis
Je décharge encoooooore
Là !! Pour toi !!..."
Elle déferla sur la queue de son baiseur qui lui bouchait si complètement le con que la liqueur ne pouvait sortir. Sous la pression le vieux retirait sa bite, ce qui laissa la place à un déluge de cyprine chaude. La jolie putain déchargeait comme jamais, avec des soubresauts et contractions spectaculaires.
- " Ca y est dit la Brigitte dont la main et le bras était inondée de la liqueur dAgnès, la garce vient encore den tirer une bordée
Mais comment peut-elle jouir comme ça à répétition ? "
- " Cest lhabitude ma belle, à croire quelle fait ça toutes ses saintes journées
!" ajouta perfidement La Bernadette qui lui palpait durement les seins
Après ça, tu ne diras pas la pimbêche, que tes pas une putain et une grande, hein ?... Salope !! "
Agnès était trop à sa jouissance pour entendre les injures
Elle émergeait seulement de lextrême plaisir où le vit énorme du Françou lavait plongée, en se disant que malgré tout, il eût été dommage, quelle ne connût pas ce moment là
Rapidement la Brigitte la fit rouler sur le côté de la table, puis elle fit étendre au milieu le Françou sur le dos, à même la cyprine qui faisait une immense flaque sur la table. Elle fit boire un nouveau un grand verre de vin à Agnès. Elle navait plus la force de résister à quoi que ce fut. Le ventre encore tremblant de son orgasme formidable, elle se laissait aller à ce quon la contraignait de faire
Elle sentait maintenant nettement livresse de lalcool la gagner, ivresse qui en plus de sa jouissance, lui tournait la tête. La Brigitte la fit monter à plat ventre sur le Françou, face à lui. Le vieil édenté navait pas déchargé une seconde fois et bandait toujours, au point quAgnès dans linconscience de son ivresse se demandait si elle écarterait assez les cuisses pour quil puisse entrer de nouveau en elle
Cest cela et seulement cela qui pour linstant la préoccupait : pourrait-elle sécarter assez pour quil puisse venir se remettre dans son trou distendu
La grande Bernadette lui avait saisi les chevilles et lui ouvrait les cuisses au maximum. Agnès sentait que sa fente encore dégoulinante de sa jouissance précédente, baillait largement. Elle pensait dans la confusion de son esprit que la vieille allait en profiter pour faire encore des allusions désagréables à son intimité. Ce nétait pas sans raison :
- " Regardez-moi cette ouverture, railla la Bernadette, un trou de salope à y fourrer mon poing !... Même si le Françou la bien dilatée, il est quand même sûr que la garce a une entrée comme on en a rarement vue !... Pire quune bouche de métro !..." Bien quAgnès sattendit à ce sarcasme, elle en fut, comme toujours lorsquon latteignait sur ce plan, très offensée. Mais elle neût pas le temps de sen occuper bien longtemps, car la Brigitte avait saisit lénorme vit du Françou encore dégoulinant de cyprine, dont elle lui menaçait lentrée du con. Lengin était si gros que la main assez fine et délicate de Brigitte nen faisait pas le tour, loin sen faut. Elle appuyait le gland toujours aussi gonflé sur les lèvres de la vulve dAgnès, pour les faire souvrir sous la pression. Dès quil fut de nouveau entre les lèvres de sa vulve, Agnès sentit ses sens chavirer et elle se dit quelle allait encore jouir sans pouvoir se maîtriser. Ce sentiment de non maîtrise la rendait folle de honte, mais en même temps lexcitait à lextrême : échapper ainsi à tout contrôle la rendait encore plus accessible au plaisir, ou plutôt décuplait celui-ci
Des mots, des qualificatifs les plus osés, comme : "salope", "putain", "gourgandine", "traînée", et même "truie", lui traversèrent lesprit, mais elle les garda pour elle, ne les donnant pas à entendre à lextérieur.
La Brigitte avec une grande application faisait pénétrer la bite noueuse dans la fente et le trou de la petite infirmière
Elle se mit à tout organiser autour delle :
- " Toi, dit-elle à Armand, appuie bien sur les fesses de la bourgeoise et écarte les lui bien à fond pour que le Françou entre bien comme il faut. Toi, Bernadette, branle bien mon homme et tiens-le prêt pour tout à lheure, et toi mon petit Hubert, mets-toi à genoux devant la bourgeoise pour quelle suce ta belle bite, pendant quelle se baisera sur le vit du Françou ! ". Puis dans la foulée sans attendre les mises en place quelle préconisait, elle ajouta à ladresse de la petite brune :
- " Elise, viens entre mes cuisses et suce-moi le clito et toi, Johann viens me baiser en levrette pendant toute lopération. Il ny a rien que jaime autant que dêtre prise au con et en même temps être léchée au clito !... Adrien, viens prendre Bernadette en levrette, elle aussi à envie de se faire baiser pendant quelle maintient la bandaison du Jacquot
".
Pendant que tout cela sorganise, Agnès sent le vit monstrueux pénétrer lentement en elle, écartant ses lèvres, dilatant son trou, distendant les parois basses de son vagin. Limage du braquemart énorme qui lobsède depuis le début sincruste dans son mental. Elle voit dans sa tête le vit avancer en elle autant quelle le sent
Son orifice urinaire juste à lintérieur de ses lèvres est tellement comprimé par lengin quelle a limpression davoir envie de pisser. Le vit entre et se cale progressivement dans son antre. La bite a peu de place pour manuvrer à lintérieur du con tant elle est énorme et touche demblée toutes les parois en même temps. Elle est tellement coudée et de biais que chaque frottement à lintérieur de son vagin, excite Agnès comme jamais. Le gland difforme, passe et repasse pile sur son point G, et dès quil senfonce au fond de la matrice, cest un nud énorme de la tige qui masse alors le point en question
Et au-dessus delle, Armand plus quà demi ivre lui aussi, lui appuie par à coups sur les fesses, faisant entrer encore plus profondément le membre démesuré du Françou. Agnès nen pouvait plus, elle était encore sur le point de jouir, tant elle était baisée bien à fond. De plus Armand, qui de par sa position dominait les fesses dAgnès lui a mis un doigt dans son joli cul. Pour elle, être baisée devant et avoir un doigt qui lui branle le cul, est un délice quelle recherche le plus souvent possible. Elle sentait que son plaisir montait en elle et se développait. La Bernadette donna de nouveau de la voix :
- " Ah, putain
! Je savais bien que mon Françou, il ten boucherait un coin de ton trou de salope !... Tu as beau en avoir un superbe, il est quand même bien bouché, hein !
Quen dis-tu ?... Cest encore mieux quune bite de nègre, hein ! " Puis sadressant à Adrien qui la prenait en levrette, elle linvita à la baiser bien à fond :
- " Oh oui, vas-y mon joli
Va bien au fond !... Naies pas peur de pousser, jaime que tu sois bien au fond de moi, pendant que je me branle le clito
! "
Brigitte qui surveillait le bon déroulement des opérations, avait fait signe à son homme pour quil vienne se mettre sur la table, à genoux derrière Agnès entre les jambes du Françou :
- " Là, viens mon bon, dit-elle au Jacquot dont elle empoignait la bite bandée en même temps, viens, tu vas lavoir ta récompense ! Cest la prise de la soirée et elle réservée au patron
! " Et la salope appuya la bite de son homme sur le petit trou dAgnès qui les genoux sur la table de chaque côté des jambes du Françou lui présentait bien involontairement lintérieur de la raie de ses fesses ouverte par Armand
Dans cette position, Agnès navait évidemment pas vu venir le coup, si ce nest quArmand avait retiré le doigt de son cul. Lengin large et bien bandé du Jacquot effleura dabord son illet, puis sur une poussée de lhomme, le gland pénétra sans mal dans le cul déjà préparé par le doigt dArmand. Mais la largeur du membre du Jacquot distendait quand même les bords de la rosette. Elle eut une douleur très vive quand la bite senfonça dans son cul. Mais très vite, les aller-et-retours de la queue, dissipèrent rapidement la douleur qui fit place à un plaisir indicible et tellement différent de lautre, si complémentaire. Elle était prise en double et elle aimait ça. Ses soupirs et ses râles quelle essayait dabord de contenir, ne trompaient personne
Armand, comme la Brigitte, ou encore évidemment le Françou, juste en dessous delle, et même les femmes autour, avaient bien compris que le plaisir montait tout droit en elle.
- " Salope, elle aime ça, hein, la cochonne !... Une bite dans le con, une autre dans le cul
Y a quà voir
! Elle aime ça, jvous dis !!...", lui envoya la Bernadette
Mais Agnès, tout à son plaisir, lentendait-elle ? Pas sûr
Elle accompagnait doucement les mouvements de lhomme derrière qui lenculait et en même temps elle sempalait davantage sur le vit du Françou qui la comblait si bien, dans tous les sens du terme. Le vieil édenté juste à la hauteur de sa poitrine, mettait les bouts de ses tétons dans sa bouche impure et les suçait. Les relents dhaleine fétide du vieux mâle montaient jusquà elle. Mais elle nen avait cure maintenant
Elle navait jamais été baisée et enculée comme ça et donc elle profitait ! Elle sentait que les autres, autour, tous les autres, hommes et femmes, la regardaient avec étonnement, curiosité et réprobation, mais aussi avec une certaine admiration. Maintenant elle nen fichait. Armand avait glissait une main entre le Françou et elle, et lui avait pris un sein ; il le pelotait tout en la raillant :
- " Cest égal disait-il, tout en la tripotant, avoir un cul denfer et des nichons qui valent pas tripette, cest un monde, ça !
"
- " Oui, insistait Bernadette, dans un bordel, elle gagnerait beaucoup dargent avec son cul, mais il faudrait quelle rembourse tout à cause de ses nichons de vieille salope ! ". Cette remarque déclencha les rires alentours. Johann tout en baisant la patronne, regardait avec admiration le trio sur la table devant lui, nen revenait pas :
- " Alors ça, disait-il, cest la première fois que je vois une femme se faire prendre en sandwich
Cest super ! "
- " Oui, lui répondait en écho Hubert, enconnée et enculée en même temps !... Je navais jamais vu ça ! On devrait appeler ça : se faire "encon-culer", non ? ! Et tout le monde de rire du bon mot.
Agnès était maintenant folle de son corps dans cette position quelle affectionnait et dont elle cherchait à jouir le plus souvent. En même temps quelle épousait les mouvements des deux hommes, elle se mit à penser aux différentes fois où elle sétait fait prendre en sandwich. Au sauna, une fois avec Pierre qui regardait
Une autre fois par un noir et un jeune homme, tous deux très fortement montés (Voir le récit : '' Premiers sandwiches '')
Cette fois aussi avec les jeunes hollandais sur la route à quelques kilomètres dici
Et dautres encore
Mais cette fois ci, cétait autre chose : une bite énorme et difforme dans le trou à bites, une autre large dans le derrière et surtout dans cette ambiance hostile où elle savait quelle marquait des points auprès des femmes à cause de ses capacités et puis là ici, elle était saoule ou presque et ses sens enivrés décuplaient son plaisir et ses sensations
Elle sentait quelle arrivait au paroxysme de son plaisir et quelle ne pourrait plus se contenir avant déclater dans les bras de ses amants. Pour temporiser, elle leur demandait à ses fouteurs :
- " Doucement, allez doucement
Arrêtez-vous là, un peu
Comme ça
sentez-vous vos bites ensemble ?... Hein ?... Vous les sentez au fond de moi des deux côtés
Vous me faites du bien, mes salauds
Allez reprenez, maintenant
, doucement
Là, comme ça !..."
Et lorsquelle sentait que plus rien nallait la retenir et quelle allait tout larguer, elle fit ce quelle naurait pu faire en temps normal : elle chercha de ses mains la tête du vieux et colla sa bouche sur celle avinée du Françou en dessous delle et lui roula un énorme patin. Sa langue heurta la seule dent encore présente sur le maxillaire du vieux et elle faillit avoir un haut-le-cur, mais ne retint pas son baiser. Le nabot, dabord surpris navait sans doute de longtemps été embrassé de la sorte et par une jeune et jolie femme qui sentait bon de surcroît, en eut les sangs qui lui tournèrent. Dans un soubresaut formidable il déchargea son foutre abondant et chaud dans le con dAgnès qui partit elle aussi sur le champ
Elle eut lantre intime inondé à la fois du foutre du Françou, mais aussi de sa cyprine qui ne pouvait sortir tant le trou du con était bouché par le vit énorme du vieil édenté. Elle en eut une douleur furtive, mais violente, due à la surpression des liqueurs dans son vagin. Elle ne pouvait sortir car son enculeur la bourrait et la maintenait en place sur son baiseur... Très vite cependant, devant la jouissance des deux autres, le Jacquot, ne tint pas plus de quelques aller-et-retours supplémentaires dans le cul de la belle et il partit lui aussi lâchant sa sauce si longtemps retenue dans le fondement dAgnès, en engueulant :
- " Ah la salope !
Elle ma eu
Elle ma fait lâcher tout le foutre que javais
!! La garce !... Ca cest une baiseuse vous pouvez me croire
! "
- " Cest une pute, une pute !... Cest tout !...", lui retourna la Brigitte qui devait se sentir diminuée par la jouissance extrême dAgnès
Elle continua :
- " Une pute, tu entends !... Pourquoi elle accepte de faire ça ce soir avec tous les hommes, hein, des hommes quelle ne connaît même pas !!... Dis-moi un peu
, tu crois que cest pour tes beaux yeux, hein ?... Et en plus elle en jouit la garce, cest pour elle, pour son cul et son plaisir quelle baise, la salope
! " La Bernadette relaya la remarque :
- " Oui, oui, tu as raison la Brigitte !!... Cest une pute, capable de baiser avec nimporte qui ! Comme toutes les putes !! "... Puis elle ajouta :
- " Tu vois, pour la punir vraiment, cest pas ça que nous aurions dû faire
Elle aime trop ça et sans doute, tout ça, cest lui faire trop plaisir !!... ".
Agnès ne compris pas tout de suite lallusion. Elle émergeait tout juste de sa folle jouissance et qui était encore dans létat second que lui avaient provoqué les décharges de ses amants. Le fond du vagin crépi par le sperme épais, chaud et abondant du Françou et le cul rempli du foutre brûlant et liquide du Jacquot, elle flottait encore entre les hommes qui relâchaient progressivement leur étreinte. Les bites du Jacquot et celle légèrement débandée du Françou, sortirent presquensemble des orifices distendus de la jolie bourgeoise. Ce retrait libéra simultanément le flot blanchâtre, mélange de la cyprine et de sperme du con béant de la Bienheureuse Agnès
De lillet lui aussi très ouvert, sépanchait le liquide plus transparent du Jacquot qui bullait à la sortie du sphincter culier. La Bernadette se précipita entre les cuisses encore très ouvertes dAgnès et de sa langue large et râpeuse, elle ramassa les sécrétions qui maintenant se mélangeaient sur la vulve ouverte dAgnès. Elle semblait se délecter de cette liqueur aux goûts et aux effluves très métissés
La vieille garce nen laissait rien perdre, elle dardait sa langue tantôt dans le trou du con de linfirmière, tantôt dans la rosette très desserrée, pour en récolter les moindres gouttes. Tout juste si elle prit le temps de dire :
- " Putain que cest bon
Ne jamais laisser rien perdre de ça
, cest le meilleur !... Et moi ça mexcite
Continue et baise-moi bien à fond mon joli !", dit-elle encore en sadressant à Adrien qui continuait de la prendre en levrette. Dans la position où elle sétait mise, le visage entre les fesses dAgnès, elle-même encore couchée sur le Françou, la grande bonne femme avait lénorme engin de son homme qui débandait à peine, entre ses seins volumineux.
Sous les caresses de la langue de la vieille cochonne, Agnès sentait quelle pourrait repartir à tout moment. Son petit trou du cul lui faisait mal davoir été dilaté et la langue de la Bernadette la calmait avec bonheur
Quand la langue touchait son trou de derrière, elle poussait sur son fondement afin de faire souvrir davantage lanus permettant ainsi à langue dy entrer plus avant
Elle sentait le foutre chaud couler de son vagin et rouler sur lintérieur de ses petites lèvres ; liquide tout de suite cueilli par le bout de la langue de la Bernadette. La langue sinsinuait au-delà des petites lèvres, jusquaux piliers damour qui bordaient lentrée du trou, renflés et meurtris par le braquemart énorme et tordu du Françou. Cette langue qui les massait et les lustrait, lui faisait le plus grand bien et calmait cette douleur sourde que provoquaient les chairs distendues. Lorsque la langue saventura complètement dans le trou pour pomper bien à fond le reste de foutre, Agnès sentit quelle ne retiendrait pas plus longtemps une nouvelle bordée de cyprine. Celle-ci se mit à couler abondamment du méat du pipi trou sur la langue de Bernadette qui sen délectait et aspirait alors encore plus fort les profondeurs du con grand ouvert
Ce fut à ce moment que Brigitte lâcha aussi sa jouissance dans la bouche dElise. La petite brune se releva dentre les jambes de la patronne, le visage tout barbouillé de la liqueur chaude et opalescente de la rousse. La Bernadette qui se sortait dentre les jambes dAgnès, apercevant la jolie figure dElise dégoulinant de cyprine, lattira à elle et se mit à lui lécher le visage. Johann qui navait pas arrêté de prendre Brigitte en levrette, avec un formidable râle, lui déchargea son jeune foutre abondant dans le con.
Agnès se releva de sa position sur le Françou. Le baiser profond quelle lui avait donné au plus intense de sa jouissance, lui laissait un mauvais goût dans la bouche. Elle saperçut que ce goût épouvantable venait de lhaleine pestilentielle que le vieux paysan à cet instant lui soufflait dans les narines. Elle en eut presque de nouveau un haut-le-cur. Elle finit par se dégager de sa position devenue inconfortable : à genoux sur la table entre les jambes du Françou, les seins pendants frottant la bite déformée, le nez sur la bouche immonde de lhomme, les fesses levées et donnant à voir toute son intimité souillée et distendue à ceux qui entouraient la table.
A cet instant elle prit conscience de ce quelle donnait à voir à laronde : depuis sa rosette jusquà son clitoris en dessous de sa fente très ouverte et dilatée. Elle eut brusquement une grande honte de cette position, ce qui lamena à accepter du rouquin le grand verre de vin quil lui tendit dès quelle fut de nouveau assise sur la table. Agnès le but dun trait une gorgée suivant lautre. Le verre devait bien faire un bon quart de litre
Au moins se dit-elle quand je serai saoule, ils feront de moi ce quils voudront, mais sans moi ! Ou plutôt sans mon consentement.
Le Jacquot, ivre de vin et les sens amollis par la jouissance quil navait pas ménagée, sétait écroulé dans lallée entre le banc de la table et une rangée de tonneaux. Incapable de se relever seul de sa position, il grognait en rotant et en râlant contre les autres qui ne laidaient pas
Hélène qui était sortie un peu de sa torpeur déthylisme avait voulu laider à se remettre debout. Mais son instabilité avait fait quelle était tombée sur le Jacquot et se retrouvait alors couchée en travers du patron. Ainsi au lieu de laider, elle lavait davantage encore cloué au sol, se vautrant sur lui. Elle lui avait saisi la bite qui ne bandait plus et le branlait en le suçant, comme si elle avait voulu le ragaillardir. Le Jacquot, avait ouvert les cuisses de la blonde et lui léchait lentrejambes, autant que sa soûlographie lui permettait de le faire. Ils étaient donc maintenant à faire un 69, nus lun et lautre à même la terre battue du chai.
De lautre côté dans lautre allée, la Brigitte suçait le reste de sperme de son baiseur qui bandait encore pas mal. Accroupie à côté du banc, les cuisses écartées, elle se branlait dune main la fente dégoulinante de sa liqueur, mélangée au sperme du jeune garçon. De minces filets blanchâtres descendaient de sa chatte ouverte jusquau sol que la terre battue de la cave absorbait plus ou moins bien. La jolie salope était échevelée et sa belle crinière rousse était collée par endroits par la vinasse et les sécrétions qui sétaient croisées là toute la soirée.
La Bernadette sétait assise sur le bord de la table, juste à côté de son Françou qui restait allongé le dos sur la table, les talons dans le vide. Les deux pieds sur le banc, elle écartait largement les cuisses. Entre ses cuisses ouvertes, Hubert, le jeune blondinet avait pris place, les coudes sur le banc, admirant lénorme fente de la grande femme. Sans soute nen avait-il jamais vue daussi grande et surtout avec un clitoris aussi monstrueux
Le jeune homme, de quelques doigts fouillait lintérieur du con de la Bernadette et de temps en temps, il pointait sa langue vers lénorme clito, quil happait et faisait tressauter
Elise était venue vers Armand dont elle branlait et suçait le membre. Le rouquin avait une bite bien proportionnée, plutôt longue et fine, mais dune belle taille et avec un gland bien formé et bien dégagé qui se dressait bien raide.
Dès quelle eut bu le grand verre, Agnès sentit quelle était de plus en plus saoule. Elle eut très envie duriner. Ne sachant que faire, elle ne se décidait pas à y aller. Plutôt que de risquer dêtre importunée en allant faire cela de son plein gré elle choisit de se faire accompagner. Ainsi, pensait-elle, elle serait plus en sécurité pour ne pas être ennuyée. Elle jeta son dévolu sur Adrien qui était juste à côté delle au bout de la table. Elle fit signe au petit brun de la suivre
Elle descendit de la table et dune démarche chaotique et hésitante, sappuyant sur le jeune homme, elle fit quelques mètres dans lallée et tourna entre deux rangées de tonneaux. Le coin était un peu plus sombre où elle pensa quelle serait ainsi moins remarquée. Elle voulut saccroupir au fond de lallée face à la muraille, mais Adrien, tout gentil et respectueux quil était, la fit se retourner afin quelle lui fit face. Elle hésita un court instant, puis se décida et saccroupit devant lui, jambes très écartées et la moule très ouverte. Pour Adrien, le seul fait de savoir quil allait voir et profiter du sexe de la femme quil avait désirée le plus dans cette soirée, lui faisait redresser la bite qui navait à aucun moment, cessée de bander
Agnès le remarqua et son trouble saccentua encore. Mais au lieu de profiter de ce moment de flottement pour se soulager et donner sa miction le plus vite possible, elle attendait. Sans savoir trop quoi, mais elle ne se pressait pas pour se vider
Le trouble quelle éprouvait à cet instant lui brassait de nouveau les sens et elle faillit perdre léquilibre. Etait-ce dû à son ivresse ou à son trouble, elle ne saurait le dire. Ce délai de quelques secondes pour sa réflexion permit à Adrien de se mettre à genoux entre ceux dAgnès. Le garçon brun avança sa tête entre les cuisses de la jeune femme, à quelques centimètres de sa fente. Agnès fut encore davantage troublée de sentir le souffle du garçon sur son pubis et sa fente ouverte. Le jeune homme avança la main vers son sexe, tout près des lèvres ouvertes :
- "Attends, sil te plaît, je voudrais jouir de toi et bien te regarder pendant que tu urineras
Jai tellement envie de ça depuis longtemps : de voir une jolie femme uriner, bien ouverte, face à moi. Et toi, tu es tellement superbe, classe et si désirable que je voudrais que tu me donnes à voir un si joli tableau !... ".
Agnès ne répondit pas, désarçonnée, certes, mais aussi profondément troublée par la demande du jeune et beau garçon. En tout cas elle ne protesta pas et ne referma pas les cuisses, ce que le petit brun prit pour une adhésion de sa part.
Doucement et respectueusement, de deux doigts il lui écarta les lèvres de la vulve juste en dessous du clitoris. Le contact des doigts sur son sexe la fit chavirer. Elle sentit quelle lâchait encore quelques gouttes de sa précieuse liqueur qui dordinaire allaient mouiller le string quand ces excitations lui arrivaient dans la journée. Là, le liquide perla au bord du trou dans lespace des lèvres en grosses gouttes qui roulaient sur son périnée puis jusquà terre. Le garçon qui fixait la fente de la jolie bourgeoise dun regard scrutateur, avait remarqué le petit épanchement et lui demanda :
- " Tu as commencé ?... Mais ne te retiens pas ma belle, laisse-toi aller et libère ton envie
". Agnès ne savait quoi répondre. Elle savait bien, elle, que ce nétait pas lurine quelle lâchait, mais une liqueur tellement plus subtile et personnelle. Elle se disait que si Adrien avait compris là, quà cet instant elle déchargeait, il lui aurait sans doute proposé autre chose
- " Allez, vas-y
Pisse bien ma jolie, que je te voie, avec le plaisir que tu sais !...". dit Adrien qui en même temps appuyait sur le clito et la commissure des lèvres, les retroussant de façon à bien voir la papille urinaire de la jeune femme. Agnès sentait le souffle chaud du garçon sur sa vulve et contractant doucement son pubis elle commença à uriner, la tête chavirée par ce quelle donnait à voir au jeune garçon
Les images dune soirée à lécole de Médecine, lui revinrent en mémoire. Cétait lors de sa troisième année, alors quelle faisait un stage dans un service dun hôpital de Lyon. Les internes avaient organisé une fête à laquelle ils avaient conviés quelques jeunes infirmières stagiaires. Au cours de la soirée évidemment très arrosée, les jeunes médecins avaient organisé des jeux à gages, gages sexuels évidemment où les petites novices sétaient trouvées piégées
Pour Agnès, elle avait dû monter sur une table et saccroupir au-dessus dun pot de chambre à lancienne et uriner dedans. Elle se souvenait vaguement quelle avait depuis longtemps perdu son petit slip et que deux garçons la tenaient sous les bras au-dessus du pot, pour lempêcher de tomber
Elle revit un instant ses jambes écartées gainées de ses bas noirs, tandis que plusieurs visages entre ses jambes et au ras de la table la regardaient uriner. Mais cette vision était un peu floue, tant elle avait bu ; plus encore que ce soir si cela est possible, car elle fut par la suite incapable de souvenir de ce quelle avait fait ensuite à cette soirée (Voir le récit : '' Une soirée mémorable '').
Tandis que là, même si elle avait beaucoup bu et avait la tête très chaude, elle avait parfaitement conscience de ce qui se passait pour elle et Adrien : il lui écartait la fente et elle urinait face à lui. Lurine, malgré les lèvres écartées par les doigts du garçon, filait dans un jet tendu et puissant qui heurtait le bord des petites lèvres, ce qui donnait à entendre ce chuintement caractéristique de la miction des femmes et que certains hommes trouvent si excitant
Adrien était de ceux-là. La vue du jet sortant de la petite papille juste en dessous du clitoris lexcitait terriblement. Et aussi le bruit du jet frappant les petites lèvres de la vulve de la jeune femme. Adrien était en train de prendre conscience que cette scène lexcitait sexuellement bien plus que tout ce quil avait pu vivre jusque là sur ce plan
Il venait très probablement de se trouver un nouveau secteur de fantasmes
Le jet avait tracé sur le sol un petit sillon dans la terre battue, éclaboussant les chevilles dAgnès de très fines particules de terre quil avait soulevées. Mais le nez dAdrien en prenait également. Le garçon ny prenait garde et ne perdait pas une miette du spectacle si excitant quAgnès lui offrait
Le jet perdait maintenant doucement de sa force et descendait dans la fente ouverte, coulait à lintérieur des lèvres de la vulve et dégoulinait sur le bord arrondi à la base du trou, avant de goutter par terre. Agnès contracta son périnée deux ou trois fois, ce qui intrigua beaucoup le jeune homme qui navait jamais observé cela chez une femme. Alors quelle allait se relever, elle vit le Françou arriver en face delle et regarder par-dessus les épaules dAdrien :
- " Et toi, la jolie dame, quand tu auras fini, tu voudras bien que je te nettoie la fente avec ma langue ? Ce serait extra !".
- " Elle a fini Françou, tu peux y aller, je te la laisse !... Elle pisse super, tu sais ! Bien droit avec un beau jet bien tendu et ce bruit du jet sur ses lèvres, cest super !...", ajouta Adrien en se relevant et laissant la place au vieil édenté qui vint se mettre bien entre les cuisses ouvertes dAgnès, le nez dans les lèvres de sa vulve et la joue gauche touchant à la terre détrempée par lurine.
- " Oh putain, il ny a rien daussi bon que de nettoyer une chatte qui vient de pisser
Et en plus, une belle moule comme la tienne ...", dit le vieux en avançant sa langue dans le trou du con de linfirmière encore tout mouillé durine. Agnès qui décidément ne contrôlait plus rien sentait le nez du Françou lui frotter le clitoris tandis que la langue épaisse et râpeuse du vieux lui entrait profondément dans le vagin. La langue parut immense à Agnès. Large, longue et pointue tout au bout, elle balayait les parois de lantre de la jeune femme, léchait le pipi-trou mouillé et aspirait comme une énorme pompe en même temps que les restes durine, toutes les sécrétions du vagin
Décidément, pensait Agnès ce bougre na rien comme les autres : un braquemart déformé et hideux, mais qui vous baise comme pas deux, et maintenant une langue gigantesque qui vous fouille les moindres recoins de votre intimité !... Brusquement une pensée lui vint : et si lhaleine fétide de cette bouche immonde qui se collait à sa bouche den bas, à elle, venait lui polluer son trou de femme, au point quelle ne puisse plus accepter de bites ? Non, quand même pas, pensa-t-elle !
Et puis, pour linstant cette langue si large et pourtant agile la faisait jouir de nouveau et cétait le principal
Une nouvelle fois, sans doute pour la énième fois de la soirée, Agnès sentait quelle allait décharger, tant cette langue savait lexciter là où elle aimait
Elle se dit quaprès tout le Françou ne lui reprocherait pas et elle se lâcha une nouvelle fois, cette fois dans la bouche du Françou qui nen laissa pas perdre une goutte, aspirant la cyprine chaude au fur et à mesure quelle sortait, et quil avalait. Après avoir bien léché la nouvelle vague de liqueur, le Françou se releva dentre les fesses dAgnès.
- " Oh, ben dis donc, tes une sacrée garce, toi
! Non seulement tas un trou à y mettre le poing, mais en plus tu mouilles comme une salope ! Putain, jai jamais vu ça ! " Et il ajouta pour Armand qui venait vers eux :
- " Tu sais, cest un coup énorme cette salope. Tu mets ta tête entre ses fesses et elle te donne à boire pour la soirée !... Putain, cest un super coup. Le type qui se fait une fille comme ça, il peut plus sen passer !
".
- " Moi, cest une autre tête que jai envie de lui mettre entre les fesses ! Et depuis un grand moment, tu peux me croire !", lui répondit Armand.
Agnès revenait vers la table, quand Armand qui ly avait précédée lui donna à boire un nouveau verre de vin. Agnès sentait quelle commençait à être très saoule et quelle ne pourrait pas continuer comme ça longtemps. Le vin que lui présentait Armand était dun jaune intense. Agnès pensa dabord que les hommes voulaient lui faire subir une nouvelle humiliation et lui faire boire leur pisse. Doucement mais fermement, elle repoussa le verre. Le Françou qui était arrivé à son côté lui dit sans hostilité :
- " Bois, tu sais cest bon, cest du vin jaune
Cest le meilleur et tu sais, cest un bon reconstituant
Cest un peu fort, mais il va te remettre daplomb ! ". La Brigitte qui elle aussi lattendait au bout de la table, se dressait devant elle, comme montée sur ses ergots et la tançait du regard :
- " Salope, il a encore fallu que tu te distingues, hein ? Que tu ailles pisser là-bas derrière avec toute une coterie pour te regarder faire !... Mais tu as le vice dans la peau ma parole !... Dabord tu vas boire, puisquon te le dit. ! On ne te demande pas de boire, on te le commande ! Pigé ? ". Puis regardant le pubis dAgnès, dune main elle lui fit écarter les cuisses et elle lui asséna, acide et mauvaise :
- " Regarde-toi espèce de salope, quand tu pisses tu tarroses toute les cuisses et les fesses ! Regarde-moi ces traînées de pisse sur lintérieur de tes cuisses
Tu na pas honte de te faire voir comme ça ! ". Agnès saisit le torchon déjà très souillé sur la table et se le passa rapidement à lintérieur des cuisses. Elle savait que ce quelle essuyait nétait pas de lurine, mais le reste de sa liqueur qui lui avait coulé là, quand elle sétait remise debout
Mais elle ninsista pas sur le sujet, ayant trop peur que lautre sen aperçoive
- " Salope, laissa tomber avec mépris la Brigitte, tu vois bien que tu nes quune pute et même une sale pute !" Agnès ne broncha pas et sempressa douvrir la bouche pour boire le verre que lui tendait Armand. Elle but dun trait ou presque tant elle était prête à tout accepter, y compris limpossible.
Sur cette intervention désobligeante de Brigitte, on navait pas entendu La Bernadette. Depuis un long moment elle se faisait branler et sucer par Hubert, le jeune blondinet qui semblait lui faire un réel plaisir. On lentendait juste murmurer des encouragements à son lécheur :
- " Ouiiii
Vas-y là, mon petit, lèche-moi bien ! Suce-moi bien
Ta langue est bonne, tu sais !... Passe la bien dans le trou ! Là, oui, comme ça
Putain que cest bon !... ". La garce était à son affaire bien occupée de ressentir les sensations de sa fente.
Armand lui, simpatientait et réclamait depuis un long moment déjà, que la patronne lui accorde le droit de monter linfirmière :
- " Eh patronne, vous savez ce que vous mavez promis lautre soir
Je voudrais bien pouvoir y arriver, moi !", demandait-il dun ton suppliant.
- " Oui, lui répondit la Brigitte qui voulait garder la main sur tout, ton heure arrive mon bon
On va essayer quelque chose qui devrait te plaire !... Fais-moi voir si tu bandes bien encore
" Elle lui prit la bite en main et la caressa pour en mesurer la rigidité :
- Hum, fit-elle admirative du beau sexe du rouquin, il ny a que les roux nest-ce pas pour bander comme ça !
Cest une très, très jolie bite, dont jai toujours autant envie !..." Elle cherchait en fait à valoriser les roux et les rousses dont elle était, ventant de leur sensualité et de leur sexualité débordante. Dailleurs en temps normal dans la ferme, elle baisait souvent avec Armand. Le Jacquot le savait, mais il fermait les yeux et il nétait pas rare que lorsque le Jacquot était saoul et quil cuvait sa cuite toute la nuit, la Brigitte vienne rejoindre le rouquin dans sa chambre au-dessus du chai, Souvent même cela se passait avec le secours du Françou à qui il arrivait de découcher, prenant le prétexte que la Bernadette ronflait
Certes Agnès ignorait ces détails, mais cela montre quelle ne sétait pas trompée : la patronne, nétait pas tout à fait à sa place dans ce milieu et en tout cas cétait une baiseuse, certainement autant, voire plus quelle-même !
- " Tu na pas déchargé encore mon grand ? Alors cest ton tour !
", dit-elle à Armand. Le grand dadais fit non de la tête et ajouta :
- " Oh oui, patronne
On va la baiser avec le patron, comme on avait dit !... "
- " Non, coupa-t-elle, laisse le patron là où il est il est saoul comme un cochon et on ne peut même plus le faire bander !... Nest-ce pas, Hélène ? " La fille releva à peine la tête au-dessus de la bite toute molle et débandée du Jacquot, qui devait ronfler. Puis sadressant aux autres :
- " Et vous autres, venez vous occuper de la petite pute ! " Les garçons rappliquèrent près dAgnès, attendant les ordres. Hubert qui se tenait derrière linfirmière, sans en avoir lair lui flattait les fesses de sa paume ouverte. La caresse fit tressaillir la jeune femme.
- " Armand, couche-toi sur la table, ta belle bite en lair, dit la Brigitte dune voix dorganisatrice qui ne supporterait pas la contestation. Et toi la petite salope, mets-toi dessus !". Agnès dont la tête tournait de plus en plus, sexécuta et se mit à califourchon sur le rouquin.
- " Non pas comme ça !... intervint violemment Brigitte, pas dans ce sens. Présente ton dos à Armand et mets-lui sa bite entre tes fesses !... Là comme ça !... Que lon voit bien ta poitrine hideuse et quon puisse bien la malaxée
!" Déjà le Françou savançait pour chevaucher le ventre de la belle infirmière :
- " Et moi je lenfile par devant, patronne ! "
- " Non, coupa la Brigitte, toi Françou, tu las déjà baisée !... Tu lui donneras ton engin à sucer, pour lui fermer la gueule !... Cest toi, Adrien qui va la monter par devant
"
- " Vrai ? Oh, oui, oui !! dit-il, jen rêve !
Je vais pouvoir la prendre à mon tour ? "
" Oui intervint Brigitte, mais pas de précipitation, hein
! "
Adrien sempressa et escalada la table et vint se coucher sur Agnès qui se trouvait désormais dans le sandwich. Il voulut la prendre sur le champ, mais la Brigitte sinterposa pour que les bites nentrent pas tout de suite. Brigitte expliqua alors ce quelle voyait pour la suite :
- " Toi, Armand dans un premier temps tu vas la prendre dans le trou du con. Il est large et tu vas y entrer facilement. Baise-là un petit moment dans cette position, elle dessus à lenvers de toi, en dessous
Et ne vas pas trop vite, hein ! Ne décharge surtout pas !... Tu entends ?! "
Le rouquin acquiesça et Brigitte prenant sa longue bite en main lamena entre les lèvres de la vulve dAgnès et ly enfonça doucement. Le trou était si grand et si béant que le membre fut avalé directement et sans hésitation par la moule chaude et baveuse. Agnès sentit le nud lui frotter toute la face antérieure du vagin et lui appuyer juste sur le point G, à la racine intérieure du clitoris qui se gonfla sur le champ
Lengin long et nerveux allait et venait dans son trou de femme lui caressant lintérieur des parois et, si elle ne comblait pas complètement tout lespace de lantre, elle lui faisait quand même beaucoup de bien, en la limant juste où il fallait
Cest alors que la Brigitte prenant en main le membre plus court dAdrien, lintroduisit dans le même trou, juste au-dessus de la verge dArmand. La pénétration de ce nouvel organe dans le même orifice, fut un peu plus laborieuse
Evidemment deux bites dans le même trou, même si celui-ci est déjà très large, dilaté et accueillant, cela ne va pas de soi malgré tout
Brigitte écarta un peu les lèvres dAgnès de sa main libre et le vit dAdrien finit par pénétrer lui aussi, moins profondément certes, mais comme il était au-dessus, il pointait juste sa tête sur le point G, ce qui nétait pas négligeable pour linfirmière.
Agnès sentit rapidement que les deux sexes la comblaient juste à sa mesure. Bien sûr cela navait rien à voir avec le vit démesuré et difforme du Françou, dont le diamètre devait encore dépasser celui des deux autres sexes ensemble, mais quand même, elle sentait que son vaste trou était convenablement bouché et cette sensation lui faisait du bien
Il fallut un petit moment et quelques allers et retours désordonnés pour que les choses se callent et que les mouvements se coordonnent. Il ne fallait surtout pas que les deux baiseurs superposés senfoncent ensemble dans le con. Quand cétait le cas, Agnès en retirait quand même du plaisir, celui dêtre bien enconnée et bouchée, mais cétait au détriment du limage fait par les deux engins
Par contre quand les mouvements alternaient bien, elle en tirait davantage de plaisir du fait du frottement tantôt en haut tantôt en bas, de ses parois
Brigitte ne manquait pas de bien observer la manuvre et au besoin de la diriger, en ralentissant les fesses de lun de lun ou de lautre. Quand la cadence fut installée, elle passa sa main sous la cuisse droite dAgnès et vint lui mettre un, puis deux doigts dans le cul. Elle avait remarqué que la jeune infirmière adorait cela plus que tout : dêtre bien baisée devant et un doigt ou deux dans la rosette. Elle ne se trompait pas, cétait là un déclencheur fort pour la montée de la jouissance dAgnès.
Une fois dans une soirée à Lyon, Agnès sétait faite fister complètement le cul par une main de femme jusquau poignet, tandis quun amant bien monté la baisait par devant. Elle en avait éprouvé une jouissance inoubliable (Récit : '' Une expérience très particulière '')
Les deux jeunes hommes sactivaient dans son antre. Elle sentait le plaisir monter et elle ne put sempêcher de dire à mi-voix ses fantasmes du moment :
- " Ah, oui, cest bon,
Cest bon !... Allez-y, limez-moi bien mes chéris !... Jaime me faire baiser comme ça !... Oh oui
Deux bites ensembles dans le même trou, cest bon ! Continuez
". Et elle attrapait Adrien par le cou et lui roulait des pelles denfer. Le garçon ainsi flatté redoublait defforts pour la satisfaire. Agnès sentit son orgasme monter. Les deux doigts dans son illet complétaient son bonheur
Ses cuisses se mirent à trembler et à être agitées de soubresauts convulsifs. Elle connaissait bien ces signes quelle ne pouvait contrôler. Brigitte aussi les interprétait dans le même sens et encourageait les deux baiseurs :
- " Allez-y mes salauds, ne relâchez pas !... Continuez !... Elle va jouir
La salope est prête à éclater une fois encore
Hein, putain, que tu aimes ça !? ". Et Agnès, complètement accaparée à sa jouissance montante, de sentendre répondre :
- " Oh oui
Ouiiii, jaime ça !... Continuez !... Je viens !... Je viens !!".
Cest à ce moment quAdrien qui depuis quelques instants déjà résistait pour ne pas partir lui aussi et tout lâcher, se mit à jouir en gueulant :
- " Ohoooo ! Putain... Jen peux plus
Tu me fais décharger, cochonne
Jai jamais baisé comme ça
Tu es bonne, ma coquine !... Tes super !... Je taime !..." Il se crispa pour décharger au beau milieu du con de la jeune femme, son foutre chaud. Agnès eut la sensation que la décharge était si abondante quelle lui remplissait le vagin. Et léjaculation du petit brun détermina son orgasme. Sa liqueur déferla sur la bite dArmand et profita de la sortie de celle dAdrien qui se ramollissait déjà pour couler à lextérieur. Séance tenante Armand dont le vit était inondé de tout côté par le sperme dAdrien et par la cyprine dAgnès, montra quil allait jouir à son tour. Mais la Brigitte toujours attentive sen aperçut et sortant les doigts du fondement dAgnès, sempara prestement de la bite dArmand pour la sortir du con avant quelle nexplose et la glisser entre les fesses de linfirmière. Agnès sur linstant compris la manuvre et sécria :
- " Ohhh
Oui, oui
Dans le cul !... Dans le cul !
Mets-moi la dans le cul !... Décharge-moi derrière, oui
Oh lala, oui, derrière
! ".
Brigitte eut juste le temps de réintroduire la longue tige dArmand dans la rosette dAgnès que déjà le rouquin lui déchargeait dans les entrailles. Agnès que cette pratique excitait au possible, déchargea encore une fois le reste de sa cyprine qui coula sur la hampe du vit dArmand, lui inondant les couilles et lintérieur des cuisses
La Brigitte, la fustigea encore :
- " Ah putain !... Encore ?... Mais tu vas te vider pauvre catin
Dis-moi pourquoi tu décharges comme ça tout le temps dès que tu te fais baiser
? Hein
Cest le propre des salopes, ça non ?... " Agnès qui nétait pas encore sortie de son orgasme ne répondit pas. Elle avait maintenant soif, très soif. Et elle savait que cétait là le signe quelle était ivre : la tête chaude prête à éclater et la soif
Et sans doute aussi, se disait-elle, elle se sentait capable de faire tout ce à quoi on lavait contrainte
La Bernadette, toujours les fesses sur le bord la table et appuyée sur ses coudes était en train de se faire mettre par Hubert. Elle aussi était saoule, bien que ce ne soit pas facile à voir car elle tenait bien lalcool. Cétait surtout à sa voix pâteuse et à son manque darticulation que lon pouvait voir quelle avait trop bu. En bafouillant, elle fit remarquer :
- " Alors comme ça, la petit putain a encore déchargé !... Non, mais cest bien la preuve quelle aime les mecs et surtout leur queue, hein ?!... ". Puis sadressant à Hubert qui la baisait à genoux sur le banc entre ses cuisses très écartées :
- " Et toi, mon joli, jaime ta jeune queue, elle est superbe, mais tu vois, je ne te sens quà peine
Il me faut un autre calibre, à moi, hein
Tu vois mon Françou ?... Eh bien, tu as compris ce qui me va
Tu sais ce que je voudrais là, cest que tu prennes la bouteille vide là à côté et que me branle le trou avec !
Si, si !... Ne me regarde pas comme ça
Fais ce que je te dis, et tu verras !... ". Disant cela, elle att elle-même la bouteille à côté delle et repoussant un peu Hubert qui ne la désenconne pas complètement, elle se met le goulot dans le trou en même temps que la bite du jeune blondin.
- " Là, tu vois garçon quil y a de la place pour les deux ! Tiens, recule-toi un peu et enfonce doucement la bouteille tu vas voir
! "
La coquine avait posé ses chevilles sur les épaules dHubert de sorte quelle avait les jambes écartées et très relevées et sa fente très ouverte. Le blondinet enfonça doucement la bouteille qui entra presquaux trois quarts dans le trou qui paraissait sans fond. Puis il la fit aller et venir dans lorifice qui aurait pu, au niveau du diamètre, prendre une autre bouteille de même dimension. A chaque fois quil entrait de nouveau la bouteille, celle-ci senfonçait davantage dans le con, au point quaprès quelques allers et retours, elle disparaissait presquentièrement
Les autres, Adrien, Armand, maintenant soulagé, Elise et aussi le Françou avaient fait cercle autour du duo. Seule Brigitte était restée un peu à lécart et observait la scène depuis lautre côté de la table. Johann sétait mis à genoux sur la table et soutenait la Bernadette dont il maintenait la tête légèrement relevée, afin quelle voie bien la manuvre quelle dirigeait. Le portugais sétait traîné sous la table jusquau niveau du groupe et la tête au niveau du banc, il était juste en dessous des cuisses ouvertes de la Bernadette qui se faisait goder le con. Le Jacquot, gisait au même endroit que tout à lheure dans la rangée de tonneaux la plus près de la table. Il cuvait son vin en dormant, la queue molle, pendante entre ses jambes. La blonde Hélène avait du lui pisser dessus, car il avait les fesses et le torse qui baignaient dans une sorte de mare, partiellement bue par la terre battue. La fille était assise à côté, le dos appuyé à un tonneau, les cuisses écartées et la chatte aux poils blondinets à lair. Elle avait lil torve dune femme ivre et elle buvait à petits coups au goulot dune bouteille de vin à moitié pleine.
Agnès était restée assise sur la table, les jambes en tailleur, les fesses dans son foutre qui avait inondé la table. Sa fente était ouverte et le trou du con, plus dilaté que jamais était béant. Elle contemplait la scène du godage de la Bernadette dans un état second dû à la fatigue, à livresse qui lhabitait désormais et au surréalisme de la situation
La Bernadette se faisait pistonner et accompagnait de son bassin, le mouvement de va-et-vient donné par Hubert à la bouteille. Elle poussait des " hans " pour scander ses poussées vers lavant de la bouteille que son con enfournait complètement :
- " Oui, vas-y petit, là, cest bon
Enfile-moi bien à fond
! Que je sente bien le goulot qui bute au fond
! Ah putain, cest bien meilleur quand on me le fait !
. Je me le fais souvent, mais cest pas pareil
! Pousse bien mon joli
Eh Armand, je boirais bien un coup, moi, jai soif bordel, cest sans doute de décharger comme ça
Ah oui, un goulot enfoncé en bas et un autre en haut !!... " Et le godage continuait, sans précipitation mais avec régularité
Armand qui maintenant se substituait au patron, revenait avec une bouteille de vin jaune quil déboucha en disant :
- " Françou, va en chercher quelques bouteilles et sert à boire à tout le monde ! ". Puis il enfila le goulot dans la bouche de la Bernadette. Le breuvage coulait dans la bouche de la vieille femme qui lavalait à longs traits. Elle but ainsi plus de moitié de la bouteille :
- " Putain ça fait du bien !... Ca rafraîchit !... Jen avais besoin !... Bondiou, que cest bon
! Allez petit, vas-y
, narrêtes pas, je sens que je monte
! ".
Le Françou revenait et servait un verre à tout le monde et aussi aux femmes. Agnès avait elle aussi très soif et ne refusa pas le verre bien rempli que lui tendait le Françou. Elle en but une grande gorgée. Le vin était si fort quelle se mit à tousser et à s. Cette première gorgée lui brûlait la gorge, la langue et le palais. Ce quAgnès ne savait pas cest que ce vin jaune, très liquoreux pesait dans les 18 à 20 degrés dalcool, ce qui le faisait ressembler à des liqueurs espagnoles. La tête lui tourna immédiatement. Elle but encore plusieurs gorgées, car les suivantes lui parurent moins violentes et moins agressives. Ce fut le Portugais qui fut atteint le premier : il retomba de tout son long sous le banc, assommé par lalcool contenu dans les deux verres quil avait avalés. Puis Elise qui ne sétait pas méfiée du breuvage, se mit à tituber et ne resta debout que parce Adrien et Armand la tinrent entre eux, la pelotant et la branlant en face de la Bernadette. Celle-ci elle tenait le coup, car elle haletait de plus en plus fort
Le Françou, très éméché lui aussi, était venu derrière la Brigitte qui depuis un temps assez long maintenant, ne buvait pratiquement plus. Il lui passait son gros braquemart, dont on ne savait dire sil avait débandé tant il était énorme, entre les fesses, se frottant à elle. Agnès qui avait toujours aussi soif, sétait affalée sur la table et la tête appuyée sur un coude regardait sans trop voir la Bernadette qui commençait à jouir. Linfirmière avait le regard des jours de cuites : un regard vitreux et vide, dont les mouvements oculaires semblaient navoir aucun sens, aucune suite logique
- " A moi, salauds !..., gueulait la Bernadette au bord de la jouissance, vas-y mon gars pousse encore plus, je vais partir
Oh, putain
Il me faut une bite dans chaque main en même temps que jai le con rempli
Toi, viens !, fit-elle à Johann, qui de derrière elle, passa à côté, et toi aussi mon beau brun !", dit-elle à Adrien.
Celui-ci monta sur la table et saccroupit juste à côté de la tête dAgnès, qui avait de ce fait les couilles du garçon à dix centimètres de son nez. La Bernadette entreprit de branler les garçons. Armand qui en face de la scène soutenait Elise se branlait lui aussi. Le Françou derrière la Brigitte en fit autant et la patronne, portant la main à sa chatte se frotta énergiquement le clitoris. Agnès, qui sentait quelle était de plus en plus saoule, incapable de reprendre son propre contrôle, commença à se caresser elle aussi, un doigt dans le trou du con resté très ouvert. Puis elle glissa sa tête sous les cuisses ouvertes dAdrien, lui lécha les couilles et lui darda sa langue profondément dans le trou du cul. Le garçon nen croyait pas ses yeux, ni ses sens
Ainsi, tout le monde se branlait comme pour accompagner le godage de la Bernadette. Celle-ci était mûre et partit en torche. A une poussée dHubert, la bouteille refusa dentrer à nouveau et ressortit sous la pression. La grande salope déchargeait. Le flot de cyprine opalescente et chargée en mucus, un temps retenu par la bouteille, jaillit au-dehors comme un geyser et un flot brûlant aspergea tous ceux qui étaient en face : Hubert, Armand, Elise
La cochonne délirait dans sa jouissance :
- " Putain de Bon Dieu, oh que cest bon !!... Oooohhh oui !!
Ca soulage ça, de dégager comme ça
Ca cest de la liqueur de salope, mes aïeux !!... Ah mes salauds, déchargez vous aussi
Aspergez-moi !! Remplissez-moi de foutre, que je le lèche !! ". Et la vieille garce continuait dépancher ses flots de liqueur, tandis que Johann dabord, suivi dAdrien ensuite, lui déchargeaient sur les seins
Puis ce fut Armand qui lui expédia son foutre sur le ventre, suivi de près par Hubert qui se vida sur la fente ruisselante de la Bernadette
Quant au Françou, il déchargea dans la raie des fesses de Brigitte, qui elle aussi se faisait jouir avec un doigt dans le con
Agnès elle, étendue sous les fesses ouvertes dAdrien avait pris la bite du garçon en bouche et suçait presque machinalement le reste de foutre qui en coulait encore. Elle sentit bien quelquun à lautre bout de la table qui lui écartait les cuisses et lui passait sa langue dans la fente
Elle pensa, sans en être sûre, que ce pouvait être le Françou
Puis, plus rien. Elle se sentit partir et sombra dans une sorte de coma éthylique. Ivre morte elle était, incapable du moindre mouvement, de faire quoique ce soit, douvrir les yeux
Elle eut un temps limpression du néant absolu
Suite et fin au prochain épisode : le n° 6 / 6
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!