Suite Et Fin De Mon Dressage
Comme Pierre men avait parlé, jallais avoir loccasion de me racheter et de donner satisfaction à une autre de ses relations, je lui demandais combien dhommes y allait il y avoir, il me répondit que cela ne me regardait pas, mais que ce qui allait marriver avait été orchestré dans les grandes lignes
Je mhabillais comme la fois précédente : jupe courte, cuissardes, chemisier, et mon collier
Pierre me conduisit en voiture jusquà un portail et me dit : cest là, donne satisfaction, il me tendit une enveloppe que je devais remettre
Je sorti, regardais la voiture séloigner, je me décidais à sonner, le portail souvrit, je me dirigeait vers la porte dentrée de la maison une distance denviron 15 mètres men séparait
Un mot scotché sur la porte :
« Tu te déshabilles, tu mets le bandeau qui se trouve a terre sur tes yeux, et à genoux »
La phrase magique à dire : je suis je suis venue pour me faire dresser et me faire monter
Je regardais aux alentours si il ny avait peu de vis-à-vis, deux fenêtres doù on pouvait me voir, je ne vis personne derrière les vitres
Je me déshabillais, mis le bandeau, a genoux, jattendis un long moment. Ils me faisaient déguster mon humiliation, moi, qui, étant plus jeune mamusais a faire marcher les garçons, et à présent être a leur entière disposition, et devoir donner satisfaction ,mabandonner a eux, combien seraient tils ?
Jentendis la porte souvrir, je prononçais la phrase magique, et tendis lenveloppe, il louvrit et lu a haute voix
MODE DEMPLOI DE PATRICIA
Si vous lisez cette lettre, cest que vous avez devant vous Patricia, et cette lettre est en quelque sorte son mode demploi :
Cest une bourge particulièrement salope, elle est aussi bien clitoridienne que vaginale, elle mouille rapidement et facilement.
Il est préférable de la fouetter avant de la posséder, elle nen éprouvera que plus de plaisir et se donnera avec plus dardeur.
Elle suce bien, mais peut saméliorer, ne pas hésiter a la faire sucer le plus possible et avaler, ne pas hésiter à lhumilier, elle apprécie.
Voilà, je vous en souhaite bonne utilisation, et surtout nhésitez pas a la punir si elle ne vous donne pas satisfaction, je men chargerai également dès son retour (cest la double peine)
Je sentis une main me pincer fortement le bout dun de mes seins, me fit me relever et mentraîna à lintérieur
- Messieurs, je vous présente Marie Chantale, la salope que nous attendions.
Il mordonna de mettre les mains sur les hanches, comme une pute qui vend son corps et retira mon bandeau
Jai cru que jallais défaillir, horreur, un copain de FAC : Philippe se trouvait devant moi, je le reconnu facilement, il navait guerre changé.
A lépoque je lavais fait marcher, lui posant des lapins , jouant avec ses désirs pour moi sans rien lui accorder, cela faisait partie des jeux de filles. Philippe ne marchait pas, il courait, le type de lamoureux transis
Comment Pierre avait il fait (face book?) il est machiavélique, jétais livide. Nue devant lui, je sentis le bout de mes seins sériger, je men voulais de ne pouvoir les contrôler, cette situation humiliante plaisait aux bouts de mes seins, nue devant lui et a sa merci, devoir lui obéir, le satisfaire
Javais envie de protéger ma poitrine, mon sexe avec les mains, mais pensais au fouet entre les jambes, et pensais que je devais affronter, surmonter cette épreuve, je devais être a la hauteur, ne pas décevoir
A la fac et par la suite, javais le pouvoir sur les hommes, a présent, cétait linverse, ma vie avait basculé depuis que je connaissais Pierre
- Alors la bourge, comme on se retrouve, te souviens tu de moi ?
- Oui Philippe
- Tu te souviens de mavoir fait marcher et même courir ?
- Oui, mais cela fait longtemps, et ce nétait pas méchant
Je reçu une paire de gifles (jai limpression que les hommes aiment bien me gifler)
- Cest moi qui parle et juge, toi qui obéis, je nai rien oublié, et tu dois bien te douter que lorsque Pierre est venu me demander ce service, jai pris grand plaisir a accepter, participer à ton dressage est intéressant et qui te fera le plus grand bien
- Jai invité quelques copains, mais cest bien pour te rendre service, pour te faire plaisir
.
Dabord, tu vas nous parler de toi, ensuite nous tutiliserons comme doit lêtre une femme dans ton genre
Il me fit asseoir sur une table basse, les fesses juste au bord, les bras croisés derrière le dos, les cuisses grandes ouvertes, il attacha des pinces à mes lèvres avec des poids (tout en visitant mon intérieur humide) pour bien ouvrir ma chatte. Ils étaient face a moi assis sur fauteuils et canapé à me détailler, je reçu une paire de gifles (cest bien ce que je disais me gifler doit être leur plaisir aux hommes).
- cest pour le passé, et ce ne sera pas la dernière
Nous allons jouer aux questions réponses, cest pour faire connaissance, pour tutiliser au mieux, si tu ne réponds pas assez vite cest une gifle, si tu mens (nous le saurons), cest une paire :
Et les questions commencèrent :
- A quel age je me suis faite baiser pour la première fois ?, à quel age javais commencé a sucer ?, a avaler ?, si je préférai être montée sans ménagements ou avec douceur, si je préférai les longues queues dans la bouche ou les épaisses ?, quels étaient mes fantasmes (elle fait mal cette question, humiliante , et surtout dy répondre avec franchise), etc. , je devais répondre en regardant dans les yeux la personne qui mavait posé la question
Je reçus seulement une fois une paire de claques (oui, encore une), de temps en temps un des hommes introduisait deux ou trois doigts dans ma chatte (que je maudissais car elle souvrait), pour me masturber, pinçait mon clitoris, me pinçait le bout des seins et installait des pinces a linge, je grimaçais de plaisir ainsi que de douleur, une forte envie de serrer les cuisses.
Les questions cessèrent, ils me firent les sucer les uns après les autres, eux, assis et moi à genoux devant eux, cétait pour me faire faire connaissance avec leur queue, ils nallèrent pas jusquau bout
Philippe, lui, préféra se lever, et moi à genoux devant lui, il voulait que je lui « vide les couilles », (le moment redouté arrivait), je le haïssais, jallais y être obligée.
- Allez suce Marie Chantale, et correctement, il faut que tu me donnes satisfaction sinon
..
Je fis glisser la fermeture, dégrafais la ceinture, fis descendre le pantalon puis le slip, je retardais linstant
son sexe était à présent dressé devant moi, je me décidais, je pensait que cétait le sexe dun autre que Philippe, cela maidait, je suçais la verge, les grelots, la décalottait et lenfournait dans ma bouche la faisant aller et venir, je pensais a ce qui mattendait si je ne donnais pas satisfaction, mon amour propre et orgueil en prenaient un coup, jy mettais beaucoup dapplications, dardeur
- Jusquau bout Patricia et tu avales, cela me fait plaisir de te voir me sucer a genoux la bourge sophistiquée devenue catin, je reconnais que tu es une bonne suceuse, tu verras tout a lheure lorsque je te monterai ma petite pouliche
Je buvais mon humiliation jusquà la lie, je sentis la sève monter, et inonder ma gorge, je lavalais en remerciant et en prenant bien soin de lécher la dernière goutte, jétais honteuse.
Je devais reprendre la main, prouver ma bonne volonté et prendre une initiative pour me racheter de la dernière fois.
Javais vu un fouet sur une commode, je me levais allais le chercher, me mise à genoux devant eux, le fouet a plat sur mes mains et leur tendis.
- Sil vous plaît, je suis meilleure lorsque jai été fouettée
Je me devais de donner satisfaction, je pensais au fouet entre les jambes, et en même temps cela me coûtait, de mhumilier ainsi devant Philippe
Jentendis lapprobation et rires a mes dépends, ils semblaient ravis : bonne initiative.
Ils mattachèrent les mains en lair, les jambes grandes écartée, je sentis le fouet claquer sur mes fesses, mon dos, pendant que deux me fouettaient les deux autres soccupaient de mes seins de ma chatte, de mon clitoris, puis ils échangeaient leur rôle.
Je compris quils désiraient me faire jouir, ou plus exactement mamener au presque orgasme et ralentir, donc, la frustration de jouissance, lun des hommes voulu me prendre par devant, mais sans me faire jouir.
Puis, Philippe de sassit entre mes jambes et devant moi, me mit des pinces aux lèvres munies poids pour laisser, je le suppose ma chatte bien accessible, et se mit à soccuper sérieusement de mon clitoris, le stimulant dun doigt, et de son autre main me pénétrait de deux ou trois doigts, conjointement à laction du fouet, cela devenait insupportable.
Javais linterdiction de jouir, je les suppliais, cest ce quils attendaient de moi, je mouillais, une vrai fontaine, javais honte, je me suis surprise a trépigner tellement le désir de jouir était intense et métait interdit, javais envie de jouir, de serrer les jambes, je tirais sur mes liens
Puis ils me détachèrent, jétais épuisée, ils voulurent me jouer pour savoir lequel allait me « monter » le premier.
Ils me firent mettre à plat dos, les jambes repliées vers la poitrine, et grandes ouvertes, un coussin sous les reins, je devais avec mes mains écarter mes lèvres et ouvrir ma chatte, je pensais que Philippe devait être ravi de me voir ainsi offerte, dans cette humiliante position, dailleurs il me le fit savoir
- Tu es indécente Patricia, lorsque tu était étudiante, je suis sur que tu ne pensais pas quun jour tu serai ainsi ouverte devant moi
Ils prirent chacun 5 billes, se mirent à trois ou quatre mètres de moi, celui qui en mettait le plus dans le trou de Marie Chantale serait le premier qui me sauterait, ensuite le suivant, etc..ex eco ils rejouaient.
Jentendais les commentaires du style ça y est, dans le trou de la bourge
Ca y était lordre pour me « monter » était établi, Philipe mavait gagnée en premier, ils me « vidèrent des billes» en me fouillant avec vigueur et sans ménagement, et me disant que jallais être remplie mais avec autre chose, puis memmenèrent sur un lit.
Je mallongeais, deux des hommes me prirent chacun une jambe et ils mouvrirent au maximum, les jambes un peu repliées et relevées, jentendis Philippe dire cest moi qui te monte en premier et tu as intérêt à te donner, je veux tentendre couiner
Jétais écartelée, je vis que Philippe enfila une genre de bague en caoutchouc muni de picos à son pénis, il me pénétra dun coup sec, puis allait et venait lentement en moi, mais bien profondément, il me prit la tête entre ses mains pour que je le regarde dans les yeux, (je compris a quoi servait lobjet quil avait mis a son pénis : celui-ci venait exciter mon clitoris a chaque coup de boutoir, terriblement efficace)
Il allait et venait lentement en moi, comme pour savourer son triomphe, sa domination et me faire comprendre quil me prenait, me baisait, quil me dominait, quil me chevauchait, quil prenait le contrôle de mon corps, de mon esprit
- Alors tu vois, je te monte, je te baise, je te la mets bien profond, et je veux tentendre chanter, gémir, abandonne toi, sinon je dirai à Pierre que je ne suis pas satisfait de toi
Il continuait de me besogner de plus en plus fort, cela me faisait de leffet, je commençais à geindre, gémir, je sentais ma chatte souvrir, souvrir inexorablement et mouiller
Il ralentissait, jusquà ce que je le supplie de me faire jouir, membrassant a pleine bouche, introduisant deux ou trois doigts dans la bouche que je suçais avidement
Il arriva a ses fins, je ne me contrôlais plus et le remerciais de me donner du plaisir de me faire lhonneur de me sauter, il me gifla à deux reprises pendant quil me possédait pour son plaisir me dit il, je mabandonnais, il se déchargeât, jétais humiliée, domptée, vaincue, il avait pris possession de mon corps, de mon esprit
Pendant quil me prenait jentendais vaguement les commentaires salaces des « invités » de Philippe, « cest une sacré salope la Marie Chantale », écoute comme elle « couine » bien, regarde comme ses mamelles ballottent,
Un des hommes voulu me prendre par le petit trou, je dus me mettre courbée, la tête plaquée sur une table, les mamelles pendantes, les cuisses bien écartées, et les mains écartant les deux lobes de mes fesses, et de demander sil vous plaît, faites moi ce plaisir
Pendant que celui qui mavait gagnée me pénétrait, deux autres de chaque coté de moi, soccupaient de jouer avec mes seins, les pinçant, les giflant
Les deux autres voulurent me prendre en sandwich, la vraie catin que lon utilise
Je livrais mon corps et âme tout au long de laprès midi à leurs caprices, avec lalternance de prise de possession de mon corps entrecoupée de jeux tels
de me mettre des pinces reliées a de longues chaînes aux lèvres, et je devais jambes grandes écartées et légèrement repliées, mains sur la tête faire aller et venir mon bassin davant en arrière, les poids devant aller toucher mes fesses et mon ventre, sinon fessée, ceci agrémenté de commentaires
Je devais offrir un magnifique spectacle
Un godemiché sur un tabouret, je devais my empaler, les mains sur la tête
Ils avaient beaucoup dimagination, jétais leur jouet sexuel quils pouvaient utiliser a leur convenance puisque obligation dobéissance et de donner satisfaction, a ce stade, je navais plus aucune pudeur
Voici arrivé la fin de mes récits, Pierre me dit que jétais dressée et que nous allions pouvoir vivre différentes aventures et situations
Comme par exemple le soir ou je me suis retrouvée attachée au lit dans un grand hôtel, nue naturellement avec la serveuse venant apporter un plateau et Pierre de lui dire : madame na pas été sage, jai du lattacher
Le lendemain le personnel de lhôtel me regardait avec un sourire narquois
Aventures qui se sont déroulées dans différents lieus : Etretat, dans les forets, chez un gynéco un peu particulier dune ville du sud est de la France, etc
.
Depuis le début de ces récits, jai divorcé davec mon mari
Avec Pierre nous vivons séparément, et heureuse pour ma part, je suis indépendante
Comme jai déjà pu le dire, je ne suis lesclave que de mes pulsions, désirs, envies, Pierre nest pas mon maître, je ne suis son esclave, mais sa grande complice
Je remercie Pierre de mavoir dressée, je bénis le jour ou jai fait par étourderie lerreur de transférer mon journal intime sur cléf USB et dêtre « tombée » sur la bonne personne.
Nous ne poursuivrons pas notre vie ensemble, je désire quitter la France pour aller vivre dans un autre pays, au sein dune ville romantique, impériale, envoûtante, dont je suis amoureuse
Je vous souhaite a toutes et tous de vivre aussi intensément que je puis vivre.
Patricia
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