La Chienne De Monsieur (5)
Dorénavant, Monsieur mappelle Sarah. À chacune de nos rencontres, il insiste pour que je me déguise en femme et que je me plonge dans le rôle quil ma préparé. Jai tour à tour été sa secrétaire salope (voir récit précédent), son infirmière cochonne (un classique), son étudiante en mini-jupe à couettes et à bas rayés, une femme élégante lors dune soirée chic et sa cheerleader (meneuse de claques) ingénue. Je ne sais comment il fait pour dénicher tous ces costumes, mais je métonne à chaque fois du résultat saisissant de ma transformation. Je ne suis plus seulement sa chienne ou son esclave sexuelle, je suis aussi devenue sa marionnette, sa petite poupée personnelle. Monsieur mhabille et me déshabille à sa guise, mentraînant dans des scénarios dignes de films pornographiques, ce qui nous excite manifestement tous les deux.
Ce soir, jentre chez lui avec une certaine peur mêlée dexcitation. Cest quil ma demandé demporter mes deux godes avec moi. « Surtout le gros, ma-t-il précisé. Lui et moi, on va bien moccuper de ton ptit cul ! ». Comme prévu, je trouve sur le tapis la petite boîte et les instructions de mon maître : « Mets ça et maquille-toi. Je te veux la plus vulgaire possible. Tu es une fille de la rue que jai recueillie chez moi. Enlève ton plug et laisse tes godes dans la cuisine. »
Arrivée dans la salle de bain, je me déshabille prestement et retire le plug, conformément aux instructions que jai reçues. Jenfile une mini-jupe de jeans noire et une camisole vert kaki. La mini-jupe est évidemment très courte, ce qui donne à mes jambes pâles une allure interminable. Comme sous-vêtement, je porte le string rouge que Monsieur ma donné lautre soir. Dorénavant, je le porte chaque fois que jai rendez-vous avec mon mâle. Quant à la camisole vert kaki, elle est trouée en plusieurs endroits et tellement serrée que jai de la difficulté à lenfiler.
Vient ensuite létape du maquillage. Je mapplique à mettre le plus de noir possible autour de mes yeux et sur mes lèvres, ce qui contraste fortement avec le reste de ma peau très pâle.
Jignore où Monsieur a trouvé ces tatouages (dans un sex-shop sûrement) mais ils sont parfaitement adaptés à ma condition. Je me sens vraiment comme une jument marquée au fer. Jai lair dune sorte de punk-gothique et je naurais aucun mal à passer pour une fille qui demande la charité au centre-ville. Satisfaite de mon reflet dans le miroir, je suis déjà toute excitée, ce qui fait pointer encore plus mes tétons qui émergent de la camisole.
Jouvre la porte de la salle bain avec lintention de me diriger vers le salon, mais une ombre me bloque aussitôt le passage. Sans avoir le temps de réagir, je reçois une gifle si puissante quelle me projette au sol. Recroquevillée sur la céramique, je me mets à sangloter silencieusement. Ne montrant aucun état dâme, Monsieur sagenouille et, dun geste sûr, attache la laisse sur mon collier.
- Tu crois que je tai accueillie chez moi sans rien espérer en retour ? Cest ça que tu crois, espèce de petite pute ? me demande-t-il en restant près de moi.
Son ton étrangement doux tranche avec ses mots et la violence du coup dont il ma gratifié. Enfin il se relève et tire sur la laisse. Je ne sais plus trop si dois agir selon mon rôle de chienne ou bien me mettre dans la peau de la jeune punk-gothique. Je décide dattendre un signe de mon maître et, en attendant, de le suivre docilement.
- Assieds-toi là, mordonne-t-il en pointant le canapé face à son fauteuil et en lâchant la laisse qui retombe contre mon corps.
- Ben, merci de mavoir accueillie, lui dis-je sur un ton que je mefforce de rendre un peu vulgaire.
- Ce nest pas comme ça que tu dois me remercier, Sarah. Je croyais avoir été clair
- Mais jsuis pas vraiment venue pour ça, moi ! Ça fait que jvais y aller, jpense bien. Je suis pas une p
Au moment où je prononce ces mots, Monsieur se lève du fauteuil et retire son veston, sa chemise et ses chaussettes. Son torse et ses bras musclés me font saliver denvie. Il sapproche de moi et reste debout.
- Jsuis pas ce que tu crois, mec
, lui dis-je dun ton faussement agacé.
- Vois-tu, Sarah, je pense que oui, justement. Et tu vas commencer par mappeler Monsieur et me vouvoyer.
- Non, mais ça va pas la tê
?
Une gifle aussi violente que la précédente me cloue sur le canapé. Entre deux sanglots feints, japerçois une bosse déformer le pantalon de Monsieur. Je vais bientôt y avoir droit, je le sens ! Fort à propos, Monsieur desserre sa ceinture et déboutonne son pantalon avant de le retirer et de le jeter nonchalamment au bout de la pièce. Il est désormais totalement nu devant moi (il ne portait pas de caleçon) et une sensation de puissance intimidante émane de son corps finement sculpté. Sa queue, lourde, repose contre sa cuisse.
- Je crois que tu nas pas bien compris, ma petite Sarah. La charité, ça nexiste pas. Tout se paye. Et puisque tu nas pas un sou
Monsieur sapproche encore de moi. Je nai dyeux que pour le sexe imposant qui est à ma portée.
- Elle est vraiment grosse
- Oh oui, et je te jure que tu vas bien la sentir ! Ne fais pas ta timide : branle-la, quelle durcisse un peu.
Plantant, pour la première fois, un regard arrogant dans les yeux de Monsieur, jempoigne sa bite et la masturbe lentement. Il ne faut que quelques secondes à mon mâle pour réagir à ce quil considère comme un affront :
- Tu te crois maligne, hein ? Tu vas voir ce que je fais aux petites fières comme toi !
Monsieur me tire alors par le bras et me fait choir sur le sol. En un instant, je sens mes mains être placées dans mon dos et un lien serrer vigoureusement mes poignets. Tout arrive tellement vite que jimagine que mon maître a préparé la scène depuis le début. Je me retrouve ensuite assise par terre, la tête légèrement appuyée vers larrière, contre laccoudoir du canapé. La grosse bite de mon mâle est maintenant bien bandée et danse devant ma bouche pendant que Monsieur me maintient la tête à quelques millimètres de son gland violacé. Un vrai supplice. Durant plusieurs minutes, il me ainsi, donnant de temps à autre des coups sur mes joues avec son gourdin, lapprochant et léloignant de ma bouche avide sans que je puisse le saisir avec mes lèvres ou le toucher de ma langue.
- Tu la veux ma bite, ptite pute ? Dis-moi que tu la veux et peut-être que je te laisserai la téter un peu ! lance Monsieur de la voix grave et rauque quil prend quand il veut me montrer qui est le maître.
- Oh oui, sil-vous-plaît ! Elle est tellement belle et jen ai tellement envie ! Si vous saviez depuis combien de temps je nai pas goûté à une queue ! lui dis-je dun ton suppliant avant douvrir ma bouche aussi grand que possible.
Sans plus attendre, Monsieur enfonce son gros dard entre mes lèvres. Son gland se fraie un chemin au plus profond de ma gorge et Monsieur entame un mouvement de va-et-vient qui me laisse sans cesse au bord de l, surtout que de sa main droite il me pince le nez pour mempêcher de respirer.
- Jadore sentir ton piercing de lèvre contre ma queue, ça me chatouille !
Après plusieurs minutes, Monsieur retire enfin sa bite noueuse et pleine de salive de ma gorge. Je tire profit des quelques secondes de répit qui me sont accordées pour prendre de grande inspirations et essuyer du mieux que je peux mon visage sur mes épaules. Devant moi, Monsieur arbore un sourire pervers et un regard fier qui exposent sans lombre dun doute sa toute-puissance sur moi.
- Reprends bien ton souffle, salope, parce que je suis loin den avoir fini avec toi.
Il me tasse ensuite vigoureusement vis-à-vis le centre du canapé et, menjambant, se place dos au meuble, comme sil sapprêtait à sasseoir. Restant plutôt au-dessus de ma tête, il appuie sur celle-ci pour la pencher vers larrière et dépose son lourd scrotum sur les lèvres.
- Bouffe mes couilles, espèce de pute. Cest ça que tu es, une pute, hein ?
- Oui, Monsieur, lui dis-je avant de commencer à lécher ses couilles sous toutes leurs coutures.
- Je veux tentendre le dire, allez !
- Je suis votre pute, votre petite pute personnelle, Monsieur ! lui lancé-je en reprenant ses couilles en bouche.
Durant plusieurs minutes, je me gave ainsi des gros testicules de mon mâle, qui me donne de petites tapes sur les tétons, ce qui les fait vite durcir. Je mamuse à laper ses couilles comme le ferait un petit chat, à les suçoter un à la fois, puis, difficilement, les gober les deux en même temps. Parfois, Monsieur incline sa queue vers ma bouche et me lenfonce à nouveau profondément. Pendant que ses couilles bloquent mes narines, ce qui mempêche complètement de respirer, il prend un malin plaisir à tapoter mes joues ou ma gorge déformées par son gros gland, puis me redonne ses noix à lécher. Monsieur profite aussi des trous de ma camisole pour triturer mes tétons exposés. Il samuse à les tortiller et à les étirer, marrachant des gémissements de douleur qui ne font que lencourager.
Enfin, Monsieur retire ses couilles de ma bouche se retourne, me soulève par les aisselles et me laisse tomber sur le canapé. Sans effort apparent, il me retourne ensuite pour je sois perpendiculaire au canapé, sur le dos, la tête dans le vide et les jambes relevées contre le dossier, ce qui ne manque pas dexposer ma petite bite coincée dans le string. Je sais ce qui mattend. Monsieur ma déjà placée dans une position semblable au bord de son lit et mon visage en avait alors pris pour son grade !
- Quest-ce que tu veux, petite salope ? me demande-t-il avec un sourire machiavélique en me fouettant le visage de sa queue. Supplie-moi un peu
- Sil-vous-plaît, Monsieur, je vous en prie. Donnez-moi votre belle queue ! Défoncez-moi la gueule ! Arroser mon visage ! Je vous en prie !
Tandis que son dard se balance devant mon visage, Monsieur se remet à palper lendroit où devraient se trouver mes seins et à tirer sur mes tétons. Décidément, il me prend vraiment pour une femme ! Il décide finalement denfoncer sa queue gonflée dexcitation dans ma bouche avec une lenteur atroce. Je sens passer chaque millimètre de son gland, chaque veine de sa bite, sans pouvoir changer de position puisque mes mains sont toujours attachées et que Monsieur me tient maintenant fermement par les hanches. Je ne compte plus les réflexes d que je me suis ef de contenir quand, enfin, les couilles de mon étalon viennent sécraser contre mon nez. Je suis bien embrochée. Comme un poulet sur une rôtissoire. La bite dure comme le roc reste ainsi plantée en moi pendant plus dune trentaine de secondes, même que Monsieur donne de petits coups de bassin pour être bien sûr que sa queue est bien au fond. Jessaie tant bien que mal de respirer par le nez, mais y arrive difficilement à cause des lourdes couilles qui bloquent encore mes narines. Finalement, Monsieur retire sa queue de ma bouche aussi lentement quil la fait entrer. Un long filet de bave la relie toujours à mes lèvres et crée un pont de salive entre mon maître et moi.
Malgré mes suffoquements, la queue qui vient de glisser en moi est si imposante, si belle avec ses veines saillantes et son gland turgescent, que je ne peux mempêcher desquisser un sourire de satisfaction qui fait à son tour sourire Monsieur. Il replace ensuite son gland entre mes lèvres, place ses mains sous ma tête et la fait remonter jusquà ce que javale à nouveau complètement sa bite. Il impose alors un rythme irrégulier à ma tête, tantôt la faisant monter et descendre à toute vitesse le long de sa queue, tantôt plantant celle-ci au plus profond de ma gorge pendant de longues secondes. Peu à peu toutefois, il relâche son emprise et laisse pendre ma tête, saisit probablement le dossier du canapé et se met à me défoncer littéralement la gueule par de puissants coups de boutoir. Mon visage est recouvert de salive et de larmes et je ne peux plus rien voir distinctement. Durant plusieurs minutes, Monsieur me pilonne ainsi de toutes ses forces en me traitant rageusement de tous les noms : salope, connasse, pute, chienne, trou à bite, sac à foutre et jen passe. Je sens mes lèvres être distendues et ma gorge toute irritée par les passages répétés de la bite de mon maître en moi. Enfin, sa jouissance approche :
- Prends bien toute ma sauce, salope ! Aaarrrgghhh !
Une dernière fois, Monsieur enfonce sa queue loin en moi. Des jets de sperme jaillissent au fond de ma gorge et me font à nouveau m. Puisque ma tête est toujours inclinée vers larrière et que, gravité oblige, ma bouche est sur le point de déborder tellement la semence de mon mâle est abondante, je serre les lèvres autour de sa bite.
- Aah, je me suis bien vidé, lance Monsieur en me caressant la poitrine. Tu navales rien sans que je te laie permis, ok ?
Je réponds par un hochement de tête et serre davantage les lèvres. Monsieur ressort alors lentement sa queue de ma bouche, se recule et, voyant que je ne peux me redresser seule, me donne un coup de main. Il me passe ensuite son sexe dans les yeux pour les nettoyer et me permettre dy voir quelque chose.
- Bonne chienne, murmure-t-il, bonne petite chienne obéissante.
Je lui renvoie un regard soumis, comme je sais quil ladore. Assise sur son canapé, le visage détruit par la salive, les larmes et le maquillage qui a coulé, mes lèvres gonflées, ma bouche pleine de sperme tiède, mes vêtements usés et troués, ma jupe remontée, je me fais vraiment leffet dune prostituée qui se serait fait maltraiter violemment puis rejeter à la rue.
- Mais jespère que tu as encore des forces parce que ça ne fait que commencer ! Il faut tout de même que je réponde à la demande écrite sur ton front, me lance Monsieur en tirant brusquement sur la laisse reliée à mon cou.
Je me retrouve alors violement projetée au sol et mon maître en profite pour me donner de vigoureuses claques sur les fesses. Puis il me fait mettre à genoux et tire à nouveau sur la laisse.
- On va continuer ça dans la chambre, minforme-t-il en reculant vers la pièce en question.
Il recule ainsi, face à moi qui, les mains encore attachées, titube sur mes genoux en essayant de le suivre, sans évidemment ouvrir la bouche. La bite de Monsieur, un peu ramollie tout de même, ballotte entre ses cuisses et est toujours aussi attirante. Je me sens comme une esclave qui suit le maître qui vient de lacheter pour la ramener chez lui. Je suis entièrement soumise à cette belle queue et même si cest douloureux pour mes genoux, je la suivrais ainsi sur des kilomètres et des kilomètres.
Arrivés dans la chambre, Monsieur me soulève facilement et me dépose au bord du lit. Il me commande ensuite de bien avaler toute sa semence, ce que je fais sans hésiter. Puis il mouvre la bouche de ses doigts afin de vérifier que jai bien tout bu :
- Cest bien ma chienne, tu nen as pas laissé une goutte. Maintenant, agenouille-toi par terre et appuie ton corps sur le lit. Comme ça, ajoute-t-il en appuyant sur mes reins pour que je me cambre. Montre-moi bien tes fesses que je puisse lire ce qui y est écrit. Slut ! On va voir ça, ma belle, si tu es aussi salope que tu le dis. Je vais juste moccuper un peu de ta chatte avant de te prendre comme un caniche. Je crois que je vais te le faire tatouer de façon permanente, celui-là, dit-il en parlant du dessin du berger allemand en train de mettre le caniche.
Monsieur saisit alors une bande de tissu et me bâillonne pour que je ne puisse émettre le moindre cri. Ça ne laisse présager rien de bien agréable, mais je me soumets tout de même à mon mâle qui sait sûrement mieux que moi ce qui me fera du bien. Il prend ensuite un flacon de lubrifiant et men arrose copieusement les fesses avant de les masser rudement et de les fesser du plat de sa main. Puis, il relève ma jupe, descend mon string sur mes cuisses et un doigt lubrifié sintroduit lentement en moi. Il décrit de lents va-et-vient, comme pour tester le passage avant une exploration plus en profondeur. Un deuxième, puis un troisième doigt le rejoignent rapidement et les mouvements dans mon cul sont de plus en plus amples et rapides, ce qui me fait gémir à travers le bâillon. Un nouvel objet appuie maintenant contre mon anneau. Ce nest pas le gland de mon maître, cest plus petit. Cest mon gode ! Cest mon petit gode que Monsieur fait entrer en moi, apparemment sans la moindre difficulté. Il faut dire que sa bite ma habituée à accueillir un bien plus gros calibre. Probablement déçu par le peu de résistance quil a rencontrée, Monsieur ajoute un puis deux doigts au gode, ce qui augmente tout de suite mes sensations. Mon cul est désormais malmené, écarté dans toutes les directions et je ne peux mempêcher de couiner frénétiquement en dandinant mon arrière-train. Mais, dun coup, tout se retire de mon cul.
- Tu devrais voir comment tu es toute ouverte ! Mais pas tout de suite, ma bite (je gémis de déception). Il me reste encore quelque chose à te faire subir.
Sachant ce qui mattend, je mefforce de relâcher mon anus le plus possible. Monsieur crache dans mon cul ouvert et enfonce ensuite ce que je sais être mon gros gode de 25 de longueur par au moins 6 cm de large, muni dune ventouse pour bien coller au sol. de stopper la progression de lobjet à la moitié de sa longueur, Monsieur pousse un râle de mécontentement. Quant à moi, je peine à respirer tellement lintrusion est brutale, sans compter que le gode, mené par la main implacable de mon maître, commence à aller et venir en moi. Je sais que lobjectif de Monsieur est de lenfoncer complètement dans mes fesses, ce que je lui ai avoué nêtre jamais parvenu à faire tout seul. Et il semble bien quil arrivera à ses fins, car à chaque plongeon dans mon cul, le gode senfonce un peu plus loin, écartant mes chairs sans le moindre état dâme. Monsieur non plus néprouve aucun scrupule, ce qui lui permet de continuer à me malmener. Enfin, je mords le bâillon par réflexe lorsque je sens les couilles de silicone frapper mon périnée : jai une queue de cheval fichée en moi, mais, étrangement, je ne ressens aucune douleur. Seulement lagréable sensation dêtre remplie comme jamais je ne lai été auparavant.
- Je te lavais dit que tu pourrais laccueillir sans trop de problème. Tu sais, de là où je suis, jai vraiment limpression que ce gode tarrive jusquau milieu du dos ! Peu importe, on va voir combien de temps tu peux le supporter, maintenant !
Pendant une bonne vingtaine de minutes, Monsieur me défonce avec le gode en le propulsant de toutes ses forces au plus profond de mon cul. Heureusement, il ne ménage pas le lubrifiant, ce qui empêche mon anus de trop brûler. Je voudrais crier mon plaisir dêtre ainsi prise par ce membre quasi animal, mais le bâillon ne me permet que de gémir et de baver sur la couette. Enfin, plantant le gode le plus profondément possible en moi, Monsieur me tire par les cheveux pour que je me redresse. Je tombe alors assise, complètement embrochée sur lénorme pal de silicone dont la ventouse se colle au plancher. Monsieur tire ensuite mon bandeau vers le bas et saisit ma tête de ses deux mains (une sous mon menton tandis que lautre senroule dans mes cheveux) pour la placer devant son gland violacé. Il se met vite à me défoncer à nouveau la gueule avec une vigueur détalon. Sa queue est dure comme jamais et je sens que de mavoir baisée avec les godes la gravement excité. En quelques minutes, il jouit à nouveau dans ma gorge, mais les jets de sperme sont moins crémeux que lors de la jouissance précédente. Comme si rien ne sétait passé, la bite de Monsieur ne cesse pas daller et venir dans ma bouche, sans ramollir le moins du monde. En voudrait-il encore ?
Apparemment oui, car, sans avertir, il me remet mon bâillon plein de salive, me replace à genoux au bord du lit, retire le gode et plante sa queue en moi en sagrippant à ma ceinture de munitions. Il me pilonne ainsi pendant une dizaine de minutes, marrachant des cris étouffés par le tissu entre mes lèvres. Puis Monsieur, sans déculer, me soulève et me monte sur le lit. Il attache maintenant mes chevilles ensemble à laide dune cordelette. Je me sens comme en transe : attachée tel un saucisson, muselée comme une chienne, une bite dans les fesses ; cest pour moi le summum de la soumission. Ses deux dernières éjaculations layant laissé encore plus résistant que dhabitude, Monsieur me prend dans une dizaine de positions différentes : debout au bord du lit, il me pilonne, couchée sur le côté ; par-derrière, ma tête écrasée sous son pied, il me défonce et crache par intermittence dans mon trou béant ; en cuillère, en me serrant le cou de ses grosses mains ; en bateau ivre ; en amazone, me faisant valser dans les airs ; et jen passe. Enfin, alors quil me prend à nouveau en levrette, je sens progressivement les mouvements de Monsieur ralentir, signe quil approche de la jouissance. Une dernière fois, sa queue se gonfle dans mon cul puis lâche de puissants jets de sperme sur mes parois intimes. Sans retirer son sexe de mes fesses, Monsieur seffondre ensuite sur moi, me plaquant sur le matelas. Durant ce qui ma semblé durer des heures, je nai vraiment été quun trou, quun orifice mis à la disposition de mon maître. Toute volonté mavait abandonné pour nourrir les désirs de mon mâle.
Après quelques secondes, je sens sa queue dégonfler lentement, ce qui crée une impression de grand vide en moi. Il détache mon bâillon.
- Alors, Sarah, tu as aimé ?
Voilà qui est étrange : Monsieur semble se soucier de mon plaisir !
- Oui, Monsieur, cétait fantastique. Jespère avoir été à la hauteur
- Tu as été parfaite, me répond-t-il en sextrayant de mon cul. Viens laver tout ça, maintenant, ajoute-t-il en me détachant
Pendant quau-dessus de mon maître couché, je maffaire à laver affectueusement son sexe ramolli et poisseux de son sperme et de mes sécrétions, il entame la conversation :
- Hier, jai discuté avec Robert, au bureau. Un gars avec je travaille depuis une dizaine dannées. Sa femme la quitté il y a bientôt six mois de ça et il me racontait comment il trouvait les soirées longues, tout seul chez lui, sans chatte à fourrer ni seins à malaxer. Il ma demandé comment je men sortais, moi, dans le célibat. Comme cest un ami de longue date, eh bien, je lui ai parlé de toi.
-
- Je lui ai dit : « Elle na pas vraiment de seins ni de chatte, mais si cest fourrer que tu veux, elle est faite pour toi. » Je lui ai décrit quelle bonne petite salope tu étais, à quel point tu aimais quun bon mâle soccupe de tes trous, comment tu étais accro à ma grosse bite, à mon jus et tout ça. Je lui ai même montré une photo que javais prise de ton cul ouvert après que je laie bien ravagé. Tu te souviens, cétait la fois tu étais déguisée en collégienne ?
- Oui, Monsieur, vous maviez fait crier comme jamais ce soir-là. Et mon cul avait pris plusieurs heures à se refermer, lui dis-je en minaudant avant daller donner quelques coups de langue sur ses bourses.
- Robert ma dit que ça lui donnait envie, ce que je lui racontais. Je voyais à travers son pantalon quil bandait juste à mécouter parler de toi. Jai donc décidé de te prêter à lui. Tu es ma pute, après tout.
- Vous me satisfaites amplement, Monsieur. Mais si vous aimeriez quun autre homme profite de moi, je me plierai à votre volonté. Vous savez que je suis prête à tout pour vous, Monsieur.
- Je ne te demandais pas ton avis ! dit-il en me donnant quelques claques. Reprends ma bite quelques instants
- Bien sûr, Monsieur, pardon, Monsieur, lui dis-je avant demboucher à nouveau son sexe mou.
- Mais je veux lui montrer quelle salope tu es, question de lui mettre leau à la bouche. Va me chercher lappareil-photo dans ma table de chevet.
Monsieur prend alors plusieurs photos de moi dans différentes positions qui dépeignent toutes quelle bonne soumise je suis : une avec sa bite gluante qui disparaît entre mes lèvres, une où jécarte mes fesses pour montrer à quel point mon cul a été encore une fois dévasté, une autre où je mapplique à sucer mon gros gode et une dernière avec celui-ci planté dans mon fondement.
- Excellent. Il ne pourra pas résister à ça. Maintenant, va prendre une douche. Tu peux coucher sur le canapé si tu veux, mais ne me réveille pas, je dois me lever tôt demain matin. Laisse la clé sous le tapis quand tu partiras.
- Bien, Monsieur. Bonne journée demain, Monsieur.
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